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Chapitre 9

Après avoir passé toute notre soirée et toute notre nuit à faire les fou, on a donc dormi très tard, ce qui explique le fait que lorsque je me suis réveillée, il était seize heures.
Je n'arrive pas à croire que j'ai pu autant dormir, cela ne m'arrive presque jamais.

Je parcoure la pièce du regard, et remarque que je suis toujours allongée sur le lit de Bella, et qu'à côté de moi il y a elle et Nalah, et sur le fauteuil d'en face, Kylie et Camila. Les autres sont éparpillé un peu partout dans la maison, comme d'habitude.

Je quitte le lit pour me rendre dans la salle de bain. Hier soir j'avais sorti ma trousse de toilette, raison pour laquelle elle se trouve actuellement la sur le lavabo.
Je me rince le visage puis me lave les dents, avant de quitter la pièce.

Il y a des gens dans les chambres d'amis, et même en bas dans le salon.
Sans parler de cet idiot de Jason qui se retrouve carrément en train de dormir dans la baignoire d'une salle de bain. C'était hilarant, et j'ai même pris une photo.

Je suis allée dans la cuisine et j'ai pris un sac poubelle dans lequel j'ai jeté toutes les bouteilles vides d'hier, et autres résidus. Même si Hailey va faire venir des domestiques demain quand on va partir, il faut quand même qu'il y ait un minimum d'ordre.

J'ai ouvert le frigo pour en sortir une bouteille d'eau gazeuse que j'ai commencé à boire petite gorgée par petite gorgée. Je crois bien que je suis la seule à être debout. Vu comme ils ont picolé la veille, ils risquent de dormir jusqu'à au moins vingt heures, surtout les connaissant et sachant à quel point est-ce qu'ils adorent dormir.

Je posais ma tête sur mon bras en soupirant, tandis que j'avais les yeux tournés vers le magnifique jardin de la maison. On pouvait voir l'eau claire de la piscine illuminée par la lumière du soleil, et ça m'a juste donné envi de me baigner.
Je crois que je vais y aller, il faut juste que je mange avant. Mais bizarrement j'avais envie de croissant, et vue l'heure pour en avoir je vais être obliger d'aller à Melrose.

Je relevais brusquement la tête lorsque j'entendais des bruits.
Quelques secondes après, Micky fit son entrée dans la cuisine, et vu la manière dont il grimaçait et se touchait le front, je pouvais comprendre qu'il avait la gueule de bois.
Il s'asseyait sur une des chaises hautes de l'îlot central, et se mît à marmonner je ne sais quoi, en une langue incompréhensible.

Moi : hey.

J'ouvrais à nouveau le frigo pour en sortir une bouteille d'eau plate, puis je pris une aspirine dans le tiroir, avant de la lui donner.

Moi : tiens, ça te soulagera.

Il les pris, et buvait le comprimé.
Il reposait ensuite la bouteille sur le comptoir.

Michael : merci.

Moi : ça va ?

Je riais.

Moi : pas trop défoncé ?

Il me regardait, perplexe.

Michael : commence même pas à me faire chier Kendo, moi je te le dis.

Je me moquais de lui.
Hier ils ont pas mal fumé en plus de boire.
Ils ont voulu faire les mecs, et là ils n'assument pas.

Moi : mais j'ai rien fais !

Michael : tu commence avec tes sous-entendu !

Je riais, avant de m'approcher de lui pour l'embrasser sur la joue le serrer dans mes bras. Il enfouissait sa tête dans le creux de mon cou, et je le sentait sourire contre celui-ci.

Je m'écartait ensuite de lui, et commençait à sourire bêtement. Je ne sais pas pourquoi, mais il n'aime pas quand je fais ça, je crois que ça le stresse.

Michael : qu'est-ce que tu veux encore, toi ?

Moi : tu m'accompagne à Melrose ? On va acheter des trucs pour faire un brunch.

Il fronçait les sourcils.

Michael : quoi ? T'es folle il est déjà 16h passé, ce n'est plus l'heure de faire un brunch.

Moi : je sais mais on s'en fou. On est pas comme tout le monde alors ça ne fait rien. On achète plein de trucs et on vient réveiller tout le monde.

Michael : c'est hors de question, en plus je suis fatiguée donc vas y toi même.

Moi : s'il te plaît, mon Micky d'amour.

Michael: eh ne commence même pas à m'amadouer avec tes surnoms idiots, je ne suis pas un pédé.

Je faisais mine de bouder.

Moi : t'es méchant.

Je croisais les bras, comme les enfants.

Michael : arrête de bouder, Kenny.

Il s'approchait de moi, et posait ses mains sur ma taille avant de me tirer vers lui, de sorte à ce que je sois collé à lui.
Il s'approchait ensuite doucement de mon oreille.

Michael : ne me boude pas.

Il embrassait ma nuque, et soudainement un très long frisson me parcourut le dos.

Moi : alors tu m'accompagne ?

Il soufflait.

Michael : putain tes chiante, en plus tu n'es même pas encore prête.

Je haussais les épaules.

Moi : mais on y va comme ça, je suis déjà prête en plus.

Michael : en pyjama ?

Il me regardait de tout mon long.
Je portais un mini short noire, et un sweat gris.
J'avais aussi mes botte UGG marron claire.

Michael secouait la tête.

Michael : tu ne sors pas de cette façon.

Je le regardais avec des yeux ronds.

Moi : et pourquoi ?

Michael : parce que c'est beaucoup trop sexy...

Je lui tirais la langue.

Moi : eh bien tant pis pour toi, parce que j'y vais comme ça. Je reviens, je vais rapidement chercher mon porte monnaie.

Il fronçait les sourcils.

Michael : pas besoin, j'ai déjà ma carte sur moi. On y va.

Il sortait assez rapidement mes clefs de voiture de sa poche, puis on sortait de la maison pour monter dans sa Ferrari blanche. Je mis ma ceinture et lui aussi, et il commençait à conduire tout en me faisant écoutait quelques musiques de rap qu'il aimait bien en ce moment.

Nous arrivons devant un traiteur sur Melrose place, et il se gare. Je pensais descendre seule, mais monsieur s'est dépêché de descendre avant de faire le tour pour m'ouvrir la portière. Mais quel véritable gentleman, dis donc.

Moi : merci.

Je réajustais mes lunettes de soleil sur mes yeux, puis je le prenais par la nuque avant d'entrer dans la boutique. C'est ça un des avantages de faire 1,80m comme moi : on n'est jamais trop petite pour les garçons.

On entre et je passe la longue commande de pleins de trucs afin que tous mes enfants gourmands qu'on a laissé dormir puissent manger à leur faim. J'ai aussi commander des jus de fruit frais.

Vendeur : ce sera tout ?

Moi : oui oui, ce sera tout.

Vendeur : bien. Cela vous fait 197,75$

Je me tournais gentiment vers Michael.

Moi : Micky...

Je lui faisais les beaux yeux, et il tendait sa carte au vendeur qui la passait rapidement grâce au paiement sans contact.
Il lui rendait sa carte en le remerciant, et je faisais de même.

Moi : merci beaucoup d'avoir payé Micky, je te revaudrait ça.

Michael : hum ouais.

On s'écartait ensuite pour attendre nos commandes et laisser les autres prendre les leurs. Mais la venue d'une personne inattendue à compliqué les choses.

Au début je ne l'avais pas vu, mais c'est quand j'ai vu l'expression faciale de Micky changée que je me suis demandée ce qui se passait.

Moi : hey...tout vas bien ?

Il fronçait les sourcils et serraient les poings.

Moi : Michael !?

Je regardais donc en la direction qui attirait autant son attention, et c'est là que j'ai remarqué qu'il y avait Rosy son ex, avec un autre garçon. Alors c'était vrai, elle a vraiment quelqu'un d'autre et elle n'attend pas plus de temps que ça pour s'afficher avec.

Automatiquement j'ai posé mes mains sur le bras de Michael pour le retenir. Il a un tempérament vraiment fort, et avec lui il faut s'attendre à tout, mais surtout au pire.
Je lui chuchotais des mots dans l'oreille.

Moi : je sais que tu es en colère, mais juste...reste calme.

Il respirait assez fort, et elle aussi n'arrêtait pas de le regarder, tout en passant ses mains sur le bras du gars en question, ce qui avait la manie de rendre Michael encore plus fou de rage qu'il ne l'était déjà.

Moi : elle n'en vaut pas la peine.

Michael : elle se fiche de moi!

Moi : ce n'est pas grave, ne t'occupe pas d'elle.

Michael : elle n'a aucun respect...

Moi : oui, mais c'est comme ça.

Elle se mît à embrasser ce gars, rien que pour rendre jaloux Micky, et cela fonctionnait parce qu'il était fou de rage. Je ne sais pas pourquoi est-ce qu'elle s'amuse à le narguer comme ça. Elle est juste pathétique. Ce genre de fille me dégoûte plus quatre chose.

Michael : je vais la tuer !

Moi : non, arrête ça!

Michael : mais regarde ce qu'elle fait...

Moi : c'est une gamine, c'est tout!

Michael : elle veut jouer à ça ? Eh bien on va jouer...

Il me regardait intensément.

Moi : quoi ?

Il passait une main sur ma joue, avant de me prendre par la nuque et de plaquer ses lèvres sur les miennes. J'étais surprise, je ne m'y attendais vraiment pas. Il fit glisser ses mains sur ma taille avant de les mettre aux creux de mes reins pour me coller un peu plus à lui.

Un soupir s'échappait de mes lèvres, et il en profitait pour faire entrer sa langue dans ma bouche, dans le but de la poser sur la mienne. Je ne sais pas comment est-ce qu'il a fait, mais à ce moment précis, j'étais complètement perdu. La façon qu'il avait de tourner sa langue dans ma bouche, me rendait complètement folle. Jamais au grand jamais un garçon ne m'avait embrasser de cette manière. Et ce baiser était tellement fougueux que j'étais obliger d'y répondre en fermant les yeux.

Lorsqu'il s'est écarté de moi à bout de souffle, j'étais complètement secouée. J'étais perdu, je ne comprenais pas très bien ce qui se passait. C'est lorsque j'ai remarqué que tous les regards étaient braqués sur nous que je suis revenue à la réalité. Je me suis mise à rougir comme une tomate, en baissant la tête.
Putain. C'était quoi ça ?

Une vieille dame me fit un sourire, et je tournais subitement les yeux vers Rosy. Elle semblait folle de rage et ne tardait pas à prendre le bras du gars avec qui elle était et sortir du magasin.

Michael s'approchait de mon oreille et me murmurait un "merci" auquel je ne répondit pas, avant de prendre les sacs avec nos affaires qu'un homme venait de lui apporter.

Michael : merci. Kenny...on y va ?

Je sortais en même temps que lui, et nous montions dans sa voiture après qu'il ai mît les paquets à l'arrière. Avant de démarrer il se tournait vers moi.

Michael : ça va ?

Je secouais la tête.

Moi : pourquoi est-ce que tu as fais ça ?

Michael : je suis désolé, je n'aurais pas dû mais cette pute n'arrêtais pas de me narguer, alors j'ai voulu la rendre jalouse.

Moi : alors je t'ai servit d'appât pour la rendre jalouse, c'est ça ?

Michael : ce n'est pas ce que je voulais dire dans ce sens là, tu le sais bien.

Moi : Hmm.

Je me tournais vers la vitre sans dire un mot.
Il soupirait, et tournais le contact pour démarrer la voiture.

Michael : Kenny...ne me boude pas s'il te plaît. Je suis désolé, je te demande pardon je sais que je suis con et que je n'aurais pas dû faire ça.

Je ne répondis pas, et il posa sa main sur ma cuisse. Aussitôt, je m'étais mise à frissonner.
Merde.

Il retirait sa main en remarquant ça, et s'approchait de moi.

Michael : Killa, excuse moi.

Il tournait mon visage vers lui, et comme il me faisait une moue trop craquante j'étais obliger de succomber et d'arrêter de bouder. Je lui fais donc un sourire, et il me le rendit en me faisant un câlin. En plus il m'a appelé Killa, et il sait que c'est mon surnom préféré. D'ailleurs maintenant que j'y pense, c'est lui qui me l'avait donné il y a plusieurs années de cela parce que j'étais un garçon manqué et que je me prenais pour une tueuse.

Moi : c'est bon, je te pardonne !

Il souriait de toutes ses dents.

Moi : mais ne recommence plus.

Michael : promis.

Il mît de la musique et commençait à conduire en direction de chez Bella.
Lorsque nous sommes arrivées, il s'est garé puis on est descendu de la voiture pour entrer dans la maison.

Il ouvrait la porte et nous entrions à l'intérieur, nous dirigeant vers la cuisine où l'on finissais par poser tous les paquets.
D'ailleurs, Jason y était encore à moitié endormi, et il se frottait les yeux comme un petit bébé.

Jason : wesh vous étiez ou ?

Moi : on était allé chercher de quoi vous faire un brunch en retard.

Un large sourire prenait place sur son visage.

Jason : oh merci, on t'adore momma Ken.

Je pouffais de rire et commençait à préparer la table tandis que les garçons discutaient entre eux après que Joseph et Jaden nous aient rejoins.
Quand tout fut prêt, je pris une casserole et une cuillère et je me dirigeais dans toutes les pièces où il y avait des gens qui dormaient, afin de les réveiller une bonne fois pour toute. Il est presque dix-huit heures, ils abusent.

Moi : DEBOUT là dedans !!

Hailey : putain Kendall ferme la !

Clara : c'est quoi son putain de problème ? On peut pas dormir en paix bordel de merde ?

Lauren : en tout cas, je suis debout c'est bon là.

Nalah : non mais toute ta vie tu es chiante Kendall!!

Taco : la vérité si je mens, je te défonce ta race.

Tout le monde râlait, donc je commençais à courir pour ne pas que l'un d'entre eux ne m'attrape. C'est vrai que je suis chiante, mais c'est mon côté folle qui prend le dessus, il faut me comprendre.

J'allais redescendre dans la cuisine, mais c'est en entendant des voix que je me suis arrêté devant une pièce. C'est la salle de billard mais aussi un espèce de petit salon privé. Je pousse la porte qui était très légèrement ouverte, et ce que je vis me laissais de marbre.

Adrian et Jenny étaient allongés sur le fauteuil de la pièce, et seule une couverture couvrait leurs corps qui je suppose étaient nus.
Alors là, je suis sur le cul.
Comment ça se fait ?
Ils venaient de se lever, et à en juger par leurs têtes respectives, je crois qu'ils sont en train de réaliser ce qu'il s'est passé entre eux plus tôt.

Je refermais rapidement la porte et rejoignais la cuisine ou la plupart de mes amis se trouvaient, éparpillés un peu partout et commençant à manger.

Kylie : j'ai la gueule de bois.

Bella : ne m'en parle pas, j'ai envi de vomir.

Michael : ne dégueulez pas sur la bouffe, c'est tout ce que j'ai à vous dire.

Justin : mdr arrêtez vos conneries, on mange!

Jason : vos gueules, là !

On rigolait et discutait en mangeant, et de tout le repars, j'étais complètement intriguée par je ne sais quoi. Une chose est sûre : le baiser de Michael m'a perturbé, c'est un truc de fou.

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