-They should be nice but they don't-
Allons bon ! J'ai menti ! Qui l'auraient crus ? Tout le monde ? Personne ? Bah, on s'en fiche... de toute façon, c'est mon livre, j'écris ce que je veux dedans ! Et comme l'heure est aux péchés, on va faire un chapitre dédié aux djinns... Ça ne te plaît pas à toi au fond de la salle ? Pas de soucis voyons... tu peux directement passé au chapitre suivant sauf qu'il n'y en a pas encore au moment où tu lis ces lignes... tu es condamnés à errer dans ce chapitre...
A jamais...
A jamais...
A jamais...
Mais bon, ne soyons pas dramatique, ce n'est pas grand-chose, ça aurait pu être pour l'éternité...
Bon, qui veut des cookies au chocolat ?
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Neroshe : t'es bien morose... qu'est-ce qui t'arrives ?
Narazeth : *allongée sur le ventre, la tête dans un coussin, elle pousse un soupir à mi-chemin entre le grognement et le cri de désespoir. Elle se redresse tandis que Neroshe s'assoit à côté d'elle en passant une main dans son dos* il va y avoir un conclave...
Neroshe : c'est quoi ça encore ?
Narazeth : si tu veux, il arrive qu'un djinn, pour une raison plus ou moins obscure, décide de rassembler ses semblables afin de faire des sacrifices d'enfant et invoquer les forces du mal
Neroshe : tu sais, je crois que je vais vraiment finir par t'en mettre une à force de blagues dans ce goût là...
Narazeth : pourquoi, c'est bien l'humour !
Neroshe : *lui met une droite pour la forme, sauf que Narazeth s'écarte et elle se retrouve sous elle. Neroshe pourrait facilement sortir, mais elle a la flemme, et puis Narazeth et toute chaude et c'est l'hiver* ... bon, continue...
Narazeth : *sourire, s'allonge sur sa prisonnière et joue avec une des mèches de celle-ci* pour être sérieuse
Neroshe : pour changer
Narazeth : oui ! T'as vu ? En fait, il s'agit juste d'une sorte de réunion spirituelle où on se retrouve et qui a lieu toutes les décennies... et ça permet de se retrouver, une sorte de réunion de famille si tu veux... bien sûr, la personne avec qui on est vient, ça t'intéresse ?
Neroshe : bizarrement, pas tant que ça voir pas du tout
Narazeth : *lui caresse gentiment la joue* s'il te plaît ?
Neroshe : c'est complètement hors de question.
Narazeth : tu vas vraiment me laisser seule avec des gens dont tu ignores tous ?
Neroshe : te connaissant, j'ai plus peur pour eux que pour toi
Narazeth : dans ce cas, tu m'oblige à utiliser l'argument... il va y avoir un buffet d'alcools du monde à disposition !
Neroshe : ... faudrait pas arriver en retard, à ton machin-truc alors
Narazeth : tu sais que ce n'est probablement pas vrai et que je dis peut-être ça pour t'attirer ?
Neroshe : oui, mais sinon tu ne vas pas me lâcher de la journée et perdre en crédibilité
Narazeth : *lui fait un câlin* aww... t'es la plus gentille et la meilleure petite amie qu'on puisse rêver !
Neroshe : ouais ouais... je sais, c'est tout moi, ça. Et puis, si tu m'as mentis, il sera toujours temps de te martyriser *sourit*
Narazeth : *plus très sûre que ça soit une bonne idée* comme tu veux...
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Nahi : *poke la joue de Lucifer depuis un long, très long moment*
Dios : *voit la scène, a très envie de lui dire d'arrêter, mais pour une raison inexplicable, il ne l'a toujours pas fait*
#1-
Auteur : j'ai dit que nous allons parler des djinns, c'est ce que nous allons donc faire... j'ai tellement de choses à dire à leur sujet que ce chapitre ne suffira peut-être même pas à dire tout ce que j'ai dire (surement pas !). Je m'attelle donc au sujet avant que certaines personnes, oc comme créateur, décident de me trouer la peau à coups de tirebouchon artisanaux et rouillés... Bred... les djinns sont des entités (comme les crabes d'ailleurs, la preuve, la musique. D'ailleurs, la consommation de crustacés comme les crabes, les langoustines ou les homards est formellement interdites) spirituelles qui vivent en adéquations avec la nature. Ils sont les représentations d'un penchant qu'ils peuvent à loisir exacerber chez quelqu'un sans que la personne ne puisse se défendre de quelques manières que ce soit sauf si elle avait mangé quinze kilos d'argent et de romarin au préalable. Pratiquement immortels, ils ne craignent rien mis à part le romarin et l'argent qui leurs sont hautement toxiques. Ils sont capables de se priver totalement de nourritures bien que leur magie ira en diminuant jusqu'à devenir inutilisable et ils auront tendance à être un peu... grognon... pour se soigner, le mieux et le gingembre et le thym !
-
Nahi : *lit tranquillement un recueil de nouvelles à l'eau de rose dans une vieille bibliothèque. Un bon feu brûle dans la cheminée au centre tandis qu'un peu à l'écart sur un fauteuil, cachée par l'amoncellement de couvertures et de coussins, se trouve sa sœur en train de boire une tasse de chocolat chaud fumant*
Voydel : *entre dans la pièce et enlace Nahi avec délicatesse avant de lui embrasser la joue*
Nahi : *s'écarte de lui en le regardant bizarrement* mais vous êtes qui ?
Nadi : *s'étouffe de rire avec sa boisson*
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Acarat : *enroulée autour d'une stalactite, elle regarde passer des plats chargés de victuailles. Elle finit par tendre un de ses bras et attraper quelque chose de rond, lisse, à la chaire rose et à l'extérieur blanc. Curieuse, elle passe sa langue sur la chaire juteuse. L'acidité vaguement amère du fruit lui chatouille agréablement les papilles. Elle décide de finalement y gouter. D'abord du bout des lèvres, elle finit par en dévorer la chaire. Une fois qu'il ne reste rien de plus que la dure peau, elle la laisse tomber sur le sol de marbre avec un bruit mat. Ses yeux nervuré d'orange se tournent ensuite vers la pile d'agrumes tranchés en deux sur le présentoir, et qui ne demandent qu'à être manger*
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Lucifer : *tombe sur les restes des cadavres malheureux des derniers pamplemousses des Enfers de la saison* NOOON !
Aimée : relax, il en reste encore un... j'avais prévu une réserve en cas d'urgence
Lucifer : tu me le jure ?
Aimée : par contre, c'est le dernier... profite-en bien *sort un bocal de fruit au sirop sans le fruit*
Lucifer : *désespoir pur* NOOON !!!
Acarat : *au plafond, se délecte du fruit et finit par jeter l'écorce sur la tête de Lucifer qui passait par là, ne trouvant aucun intérêt à la manger*
-
Narazeth : *baille* tu t'amuses bien ?
Annabelle : écoute, l'abomination, je suis occupée pour le moment. Alors si tu as quelque chose à me dire, fais-le. Sinon, va voir ailleurs et laisse-moi bosser.
Narazeth : quelle impatience de nos jours...
Annabelle : viens en au fait avant que je ne décide de t'arracher la tête, peu importe l'avis de Neroshe
Narazeth : c'est compréhensible que tu sois devenue tueuse à gage plutôt qu'institutrice avec ton attitude...
Annabelle : *plaque une flèche en argent contre la gorge de celle-ci, à la jonction entre la jugulaire et une carotide* j'ai dit, les faits.
Narazeth : *déglutit, mal à l'aise et repousse l'arme du bout du doigt* je sais qui a kidnappé ta filleule et où elle est en ce moment...
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Auteur : remplissage de bas de page ?
Le Démon : *en furie, casse tous les murs avec une masse de chantier* ACTIVEEEEE !!!
/!\-
~à titre d'avertissement~
Roi : *maitre d'un empire puissant, magicien rompu à l'exercice. Connus pour avoir mis à feu et à sang des nations autrefois glorieuse grâce à ses armées. Sur son trône, son conseiller le plus fidèle se tient sur sa droite* tient, tient, tient... deux pauvres petites créatures qui se retrouvent désormais sans maître depuis que je l'ai 'ait tué... vous savez ce que ça veut dire ?
Nadi & Nahi : *à l'unisson, enchaînées et à genoux devant lui* nous vous sommes désormais fidèles, nous sommes vos possessions, dévouées à vous servir vous et toute votre descendance jusqu'à ce que vous en exprimiez le souhait contraire.
Roi : bien, parfait. Vous savez, vous m'avez posé tellement de problèmes que ça ne serait que justice de vous punir aujourd'hui, vous ne croyez pas ? *prends le visage de Nadi dans une main et celui de sa sœur dans l'autre* et j'ai une petite idée de ce que je veux vous faire subir... *il s'écarte. Des gardes sortent des rangs pour les forcer à se lever et ils leurs arrachent leurs tenues traditionnelles avant de les plaquer violement contre la table où se déroulent habituellement les banquets ou les réunions. Il se passe ensuite ce que vous savez ce qu'il va se passer. Lorsqu'il a fini, des traces de sangs argenté et bleu ciel maculent le sol et la table*
Nahi : *à demi-consciente, recroquevillée par terre, elle parle sans que l'on puisse comprendre un traitre mot*
Nadi : *allongée sur le flanc, toujours maintenue en croix par les gardes du roi. Elle a le souffle haletant de douleur, pourtant elle n'arrête pas de rire, amusée* pauvre petit roi... qu'est-ce qu'on va bien pouvoir faire de toi ?
Roi : tu n'es pas quelqu'un de fort ni de terrifiant. Ni toi ni ta sœur ne me faites peur.
Nahi : si tu le dis...
~Les semaines passent, les jumelles sont enfermées, régulièrement torturées, mais elles sont toujours dans l'esprit du roi, le hantant. La vie reprend son train quotidien. Cependant, le monarque se rend compte qu'il n'arrive plus à être satisfait par aucune femme, peu importe qu'il s'agisse de la reine ou d'une simple servante, son appétit n'est que grandissant sans parvenir à être comblé. Il jalouse de plus en plus les autres hommes dont il se méfie et qu'il évince à tour de bras. Finalement, finissant par juger que la situation ne peut plus durer, il va voir ses deux prisonnières. Lorsqu'il ouvre la porte, comme possédé, il va à leur recherche, laissant les corps parler. Les années passent au sein du palais ou chaque jour et plus dément que celui qui le précède. Complètement coupé du monde extérieur, ses habitants sombre dans l'excès, la décadence, les orgies démesurées, la luxure, le péché. L'empire autrefois invincible s'effrite, saigné de toutes part avant de n'être plus qu'un mirage de ce qu'il était autrefois.~
Nadi : *s'approche à pas de feutrés du vieux roi aux cheveux blancs et s'assoit sur les genoux de celui-ci* vous avez raison... nous ne sommes pas fortes et il nous faut plus de temps qu'à des gens comme vous, mais voyez le résultat par vous-même...
Nahi : *passe ses bras autour des épaules du dirigeant* pourquoi croyez-vous que l'on dit qu'envie et luxure sont les mères de tous les vices ? Votre empire, votre pouvoir, votre prestige... ils ne sont plus.
Roi : *semble réfléchir quelques secondes avant de réaliser, écarquillant les yeux* vous m'avez trompé et trahis !
Nadi : *rire amusée* bien sûr que non, voyons ! Comme votre cher conseillé à qui vous avez fait perdre la tête, nous avons toujours fait exactement ce que vous vouliez dans les moindres détails... comme par exemple éliminer tous les prétendants au trône
Nahi : *sourire* nous avons toujours pour but de détruire ceux qui tentent de nous posséder par la force
Roi : *sa lèvre inférieur tremble tandis qu'il bégaye vaguement quelque chose et que des crocs se referment sur sa gorge en un dernier et mortel baiser*
Nadi : le roi est mort... vive le roi~ !
-
Nadi : *allongée contre Voydel, pelotonnée dans ses bras* et comme ça, j'ai pu faire ta connaissance !
Voydel : ... c'est moi ou il y avait un avertissement ?
Nadi : oh, tu sais... je t'ai juste raconté ça parce que tu m'as demandé, et même si il était vieillissant, il a tenu trois ans le bougre... en tout cas, son sang ne valait pas le tien ! *sourit en lui embrassant doucement le cou*
Voydel : t'es quand même effrayante par moment...
Nadi : je peux t'embrasser ?
#2-
Auteur : et revoilà de petites informations... au niveau de la langue, les djinns ne parlent presque exclusivement que leur langue natale et l'Erébique voir une ou deux langues qu'ils auraient appris (à l'exception de Kamiko qui en connait un sacré paquet et de Narazeth qui lui a dû apprendre une langue car il ne connaissait que l'Erébique). En effet, ils sont plutôt nuls pour l'apprentissage et parfois, ils perdent même l'utilisation de leur langue d'origine.
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Neroshe : *se fait draguer lourdement dans la rue par deux hommes plutôt pathétiques à tout point de vue*
Narazeth : *sous sa forme féminine, elle semble si fragile et sans défenses, elle se jette à son cou, éplorée* Nero ! Je crois qu'Annabelle va faire une terrible erreur, il faut absolument que tu l'en empêche !
Neroshe : *soupire* pourquoi ? Elle est où ?
Narazeth : je ne sais pas... elle s'apprêtait à partir je ne sais trop où
Neroshe : *râle avant de s'en aller, la laissant seule avec les deux hommes*
1 : eh ! Tu te prends pour qui ?
Narazeth : *son expression change du tout au tout, passant de proie apeurée à prédateur affamé* vous allez quitter cette endroit immédiatement cet endroit et ne plus jamais revenir ou vous approchez d'elle sinon ce que l'on retrouvera de vous ne sera pas suffisant pour vous identifier. Si tant est qu'il reste quelque chose de vous...
2 : oh mon dieu... c'est la folle ! *fuit en hurlant*
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Neroshe : je croyais qu'on avait dit plus de meurtre en public en journée...
Narazeth : c'était ta cible, je ne voulais pas intervenir, mais il allait s'en prendre à des gens... tu m'as dit de l'empêcher de s'approcher des curieux, c'est ce que je fais
Neroshe : tu l'as immolé de l'intérieur, lui faisant exploser la boîte crânienne
Narazeth : bah quoi ? Il ne leur a rien fait ! Tu as peur que ça affecte la santé mentale des enfants ?
Neroshe : non, ça je m'en fous... c'était plutôt cool en fait... un peu gore, mais cool...comment tu as du violet pour tes flammes ?
Narazeth : oh, ça doit être le nitrate de potassium, ça t'a plus ?
#3-
Auteur : les djinns possèdent plusieurs faiblesses. La première c'est la claustrophobie. Lorsqu'ils se trouvent dans des lieux non-naturels clos hermétiquement. La seconde, c'est l'argent qui brûle leur essence spirituelle. La dernière et la plus dangereuse est le romarin. L'exposition à ces trois choses provoquent un stresse qui fera se fermer les chakras du djinn. Ces pouvoirs restent bloquer à l'intérieur de lui. En réaction, elle finira par se libérer brusquement selon la puissance magique du djinn (selon l'exponentielle ex/10) provoquant une déflagration aura un rayon entre 27 cm et 298 m... il existe également quelques maladies particulièrement dangereuse pour eux. Comme leur résistance physique est plutôt médiocre (décidément), lorsque leur état s'empire à cause d'elle, ils finissent par provoquer une catastrophe naturelle et/ou écologique. Parmi les plus connues de ces maladies, on retrouve notamment la peste blanche, la peste noire, la fièvre volcanique ou la lyse intestinale... et les effets sont aussi sympathique que le nom le laisse présager...
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Ardress : *se balade dans le palais de Royal, curieuse. Seulement, à chaque fois que quelque chose tente de s'approcher d'elle pour l'arrêter, il tombe invariablement au sol, se roulant en boule pour s'endormir ou n'ayant pas d'élan. Elle se contente de contourner discrètement Eole qui semble faire de beau cauchemars et finit par arriver dans la salle du trône ou Royal tente vainement de réveiller à sa manière, c'est-à-dire et lui mettant des coups de poings et des baffes* tient, vous ne dormez pas ?
Royal : *luttant fortement contre le sommeil* oh, super... une nouvelle tarée à ajouter à la liste... qu'est-ce que tu veux, toi ? Le repos éternel ?
Ardress : *soudain très intéressée* c'est possible, ça ?
Royal : bien sûr que oui, voyons... tu veux de l'aide pour l'atteindre ? *plonge le bras dans la cage thoracique de cette dernière avant qu'elle ne lui réponde pour essayer de lui arracher le cœur, sauf qu'il n'y a rien dedans, vraiment rien*
Ardress : *rire* ça c'est marrant en tout cas ! Ça chatouille un peu !
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Narazeth : je suis toujours gentille, prévenante, attentionnée...
Lilith : modeste ?
Narazeth : bien évidemment !
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Nadi : *a un sacré mal de crâne depuis un bout de temps, mais ronge son frein*
Voydel : tout va bien ?
Nadi : bien sûr, pourquoi ça n'irait pas ?
Voydel : je sais pas t'as pas l'air en forme ces derniers- *est coupée dans sa phrase par la chute de Nadi*
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