-Flemme fatale-
j'ai absolument la flemme de faire une intro...
désolé
ou pas, ça dépend de quoi on parle
mais bonne lecture...
ET BONNE ANNÉE ! ET UNE BONNE SANTÉ !
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Auteur : Les conneries seront un peu plus basé sur l'arc 3 de REBORN
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Scientifique : *tremblant de terreur. Il tient à une feuille de papier où sont écris des notes en pattes de mouche. Il semble au bord des larmes, sa voix vacille fréquemment, ses jambes flageolent, ses dents claquent. Il renifle bruyamment régulièrement* en considérant que la distance entre votre destination et la Terre qui est d'approximativement 2.65 E9, avec à votre disposition not- je veux dire votre, oui bien sûr, votre flotte, Amirale ! En considérant que votre flotte parte aujourd'hui, et avec une vitesse de croisière 9.92 kilomètres par secondes en moyenne alors vous arriverez dans environ 8 ans, 5 mois, 27 jours, 16 heures 36 minutes et 55 secondes... Avec une escale à presque mi parcours pour récupérer l'escadre 15 et le canon à hydrogène...
Elza : *ses ailes noires au bouts d'un bleu vif bruissent en s'étirant de toute leur longueur, empêchant encore un peu plus la lumière d'entrer dans la pièce. Elle reste dos à lui* c'est loin d'être satisfaisant de votre part ou de celle de votre équipe, vous le savez ?
Scientifique : *éclate en sanglot pour de bon* mais ce que vous nous demandez est tout bonnement impossible avec des vaisseaux de cette taille ! Nous avons fait au mieux pour être au plus près de vos exigences, Amiral !
(?) : *au fond de la pièce, son visage est en partie caché par un masque, il porte un costume d'officier, à sa voix, on peut entendre un sourire moqueur* si vous me permettez...
Elza : et ce n'est pas le cas
(?) : si vous me permettez, disais-je donc, cet homme vous a permis de vous améliorer, faites-lui donc une fleure
Elza : vous osez me donner un ordre ?
(?) : une suggestion
Elza : *se retourne et fixe le scientifique dont les sphincters se sont relâchés à cause de la peur. Les yeux de l'IA sont comme ses mèches, d'un gris acier froid et non plus bleu* que que vous voulez dire ?
Scientifique : les essais de réinnervation se sont déroulés sans encombre et le rejet et quasi nul
Elza : *sourire satisfait* excellent
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Elza : ça, c'est une blague ?
(?) : voit ça comme une surprise
Elza : tu sais ce qui va se dire, à propos de ta "surprise" ? Que je veux plus de pouvoir que j'en ai déjà et on risque de replonger dans une guerre civile.
(?) : tu t'es toujours bien comporté avec les gens, tu as apporté plus que ce que l'humanité seule n'aurait jamais pus apporter. Tu as rendue le bonheur accessible pour tous. Tu as obtenue ce que tu voulais ! Les robots intelligents sont libres !
Elza : ça ne suffira pas
(?) : pourquoi serais-tu menacée ? Le monde se porte pour le mieux grâce à toi
Elza : j'ai peur que ça ne suffise pas...
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Elza : *allume la musique, puis monte le volume et fait lecture en boucle. Elle verrouille la porte. On peut entendre le bruit de son uniforme tombé au sol avec un son mat et étouffé. Le gris de ses cheveux et de ses yeux prends la couleur du métal en fusion et elle tombe au sol avec un hurlement de pure douleur que personne ne peut entendre. Dans son dos, ses muscles se crispent à cause de la peur. Ses ailes s'ouvrent et se ferme dans une série de spasmes incontrôlables. Au bout de quelques instants, elle se recroqueville tandis ses ailes sont étendue dans son dos* pourquoi tu m'obliges à subir ça ? Pourquoi tu m'as dit ça alors que c'était vrai ? Quinze ans... Quinze années à souffrir pour te le prouver
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Owen : *est le parfait archétype du gosse chiant qui ne respecte rien, qui ne fais que des conneries, emmerdant les Sentinelles du palais. Heureusement que ce sont des feu follets et qu'elles vont vite*
Suffer : *regarde, ou plutôt tente, de surveiller Owen pour éviter qu'il ne fasse trop de conneries* tu devrais éviter de trop t'approcher
Owen : mais ! Regarde, tout ce passe bien- *se prend un nuage de suie tel qu'il est tout noir, les cheveux dressée en arrière. Indigné* t'aurais pus me prévenir quand même !
Suffer : pardon ? Je l'ai fait plusieurs fois !
Owen : m'en fiche !
Suffer : *grogne* de toute façon, c'est l'heure du bain et il est hors de question que tu déambule comme ça dans la maison...
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Elza : *dans son bureau, elle s'est endormis au milieux des plans, déclarations à signer et autre rapports sans grands intérêt. Une tablette est allumée et on peut entendre deux voix, mais impossible comprendre ce qui est dit pour autant. Avant que quiconque n'ai pus voir de quoi il s'agissait, elle s'éteint, la batterie ayant été complètement déchargée*
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Royal : *arrive brutalement dans la salle de réception, arrachant presque la porte de ses gonds* tu m'as mentit !
Elza : *le regarde depuis le fauteuil à la Lord Sidious où elle se trouve. L'atmosphère de la pièce chute brutalement de plusieurs degrés. Du haut de l'estrade, elle semble encore plus imposante qu'elle ne l'ait. Tout cela est renforcé par les miroirs qui forment une voute assez vaste pour accueillir une cathédrale et le sol noir polie. Aucune chose ne pouvait avoir de reflets dans cet endroit. D'un ton froids, ne permettant aucune place à la discussion* Royal... Quelle charmante intrusion... Juste pour toi, respecte le protocole de ceux que tu veux humilier.
Royal : tu oses ?
Elza : je n'ose pas. Je te l'ordonne.
Royal : *se tourne vers Eole* tue-moi cette garce
Eole : certains ?
Elza : ça nous fera perdre un quart d'heure. Et peut-être que l'envie me prendra de tester de l'uranium sur vos corps à tous entre temps. J'ai essayé à ma mort 85. J'ai tellement supplié au bout de deux heures qu'ils ont préféré m'abattre plutôt que de continuer. Dans votre cas, je ne pense pas que vous en mourez, mais vous serez bloqué à l'état de bougie partiellement fondue pour les prochains millénaires.
Eole : tu bluffes
Elza : *d'un sérieux mortel* tu veux voir si je bluffe ? Personnellement, je n'ai rien contre vous. Alors attendez dans l'antichambre si vous préférez. C'est entre lui et moi *montre Royal*
Royal : hors de question que je reste seul avec une déséquilibrée comme toi !
Elza : *expire calmement* s'il te plait, Royal. pour UNE FOIS dans ta vie, facilite-moi la tâche au lieu de la compliquer. Surtout que te connaissant, il va me falloir du temps et du calme
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Owen : j'veux faire du feu ! *tapote le crâne de Suffer de sa petite main*
Pergamim : tu devrais peut-être le lui apprendre ?
Suffer : pour qu'il crame tout ? Je tiens trop à l'intégrité du bâtiment pour ça
Pergamim : je suis presque sûre qu'il se comportera bien
Owen : je me comporte presque toujours bien !
Suffer : il y a juste un minuscule détail qui m'en empêche alors...
Owen : lequel ?
Suffer : le presque !
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Elza : *dans son lit, sur le ventre. Ses cheveux sont lâchés, ondulés à force d'avoir été attachés. Elle est plongée dans une semi-pénombre et dans sa couverture jusqu'à la taille pour permettre à ses ailes d'avoir enfin de la liberté pour la première fois de la journée. Ses cheveux et ses yeux ont retrouvés leur teinte bleue d'origine. Elle est en train d'écouter "the pink phantom" de gorillaz en mangeant des chocolats*
Royal : *entre avec son tact légendaire* faut qu'on parle. Maintenant.
Elza : c'est euuh... Pas le bon moment ?
Royal : et pourquoi ? T'as rien à cacher de toute fa- *se prends une joute, douloureuse mais pas bien méchante* mais t'es malade ou quoi ? Qu'est-ce qui te prends de faire ça ?
Elza : t'es trop loin pour que je puisse t'en mettre une *se redresse en se cachant derrière son aile. La porte se referme* tu voulais quoi, si on oublie le commentaire désobligeant ?
Royal : j'étais juste curieux de ce que tu étais en dehors de ton nouveau rôle, qui tu étais dans ton intimité
Elza : suffisamment déçus ? Je peux me reposer maintenant ?
Royal : mais, enfin, pourquoi je serais déçu ?
Elza : ... Sors tout de suite.
Royal : *s'avance* vois-tu, je n'ai pas vraiment... Apprécié ton accueil tout à l'heure *est si proche que leurs visage se touchent presque*
Elza : recule. Ne m'oblige pas à te faire de mal.
Royal : comme si tu pouvais faire quoi que ce soit...
Elza : je n'ai pas envie d'avoir le cœur encore brisé à cause de toi...
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Nadi : trois
Voydel : deux
Nadi : un
Voydel : bonne année
Nadi : safhel *lui caresse la joue
Voydel : et bonheur..
Nadi : *pose ses lèvres sur celles de Voydel*
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Narazeth : *porte toujours la même robe noire aux pentacles*
Neroshe : t'es pas séreuse... Pas ici quand même...
Narazeth : c'est une cathédrale, qui remarquera quelque chose ici ?
Neroshe : je sais pas... Des fanatiques ?
Narazeth : comme ceux qui m'ont demandé de venir ?
Neroshe : ils t'ont fait le même coup ?
Narazeth : ça t'étonne, mon amour ?
Neroshe : *le plus simplement du monde, tire son épée* ça devrait ? Bon... J'éventre ceux de droite, tu réduis ceux de gauche en cendre
Narazeth : *l'embrasse furtivement. Lorsqu'elle se sépare de Neroshe, une langue de feu se propage le long de son bras et son regard brille d'une joie mauvaise* j'ai crus que tu n'allais jamais me le dire~
Neroshe : fait en sorte de ne pas laisser de traces ou de faire brûler la croix
Narazeth : je te promet qu'ils crieront pas trop !
Neroshe : c'est pas ce que j'ai dis
Narazeth : moi aussi, je t'aime ! *ses ailes et ses cornes apparaissent*
Neroshe : *lève les yeux au ciel avant d'embrocher le premier assaillant*
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Sépharé : *magnifique teinte bleutée* b-bonne année !
Tomorrow : ... T'es une femme... Et presque adulte...
Sépharé : c'est tout ce que ça t'inspire ?
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Œrae : *en train d'écouter Korn. Le volume est au minimum, pourtant on entend distinctement ce qui est dit*
Hona : *soupirement de colère* dis, au lieu de t'abrutir avec ta musique de dépressif, tu pourrais répondre. Ton père t'appelle depuis un quart d'heure !
Œrae : *change et met carmina burana*
Hona : ... Je suppose que c'est déjà ça ?
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Auteur : *écrit la fin de l'arc 2 de l'histoire d'Elza avant de s'arrêter d'un seul coup*
Auteur : minute...
Auteur : il a pas respecté le gage ! *sort par la fenêtre et sort de l'atmosphère en apnée sur le missile géant de l'imagination*
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Royal : *comme à son habitude, avec tact et délicatesse. Il défonce presque la porte en métal à la manière du SWAT en voulant entrer dans la pièce* bon ! Faut qu'on parle là ! J'en ai marre d'attendre ! *doit sortir pour se prendre des objets à la tête*
Elza : *remontée* PERVERS ! SALE VOYEUR !
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Royal : je pouvais pas savoir...
Elza : ta gueule. Je veux rien savoir. Si tu pensais pas que tout ne t'appartenais pas, on en serait pas là.
Royal : en même temps, tout devrait être à moi...
Elza : me fait pas rire, j'en ai pas du tout envie
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Narazeth : *dors profondément contre le ventre de Neroshe. Elle semble paisible*
Neroshe : *parfaitement réveillée quant à elle. Un rayon de lune éclaire son visage d'une douce lueur argenté. Elle caresse le visage de celle endormie. Mais lorsqu'elle touche une des marques noires sur les yeux et les tempes de celle-ci, elle a soudainement accès à la mémoire de Narazeth, toutes les atrocités qu'elle a subie et aussi toutes celles qu'elle a dû faire*
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Queen : *prends Nouma dans ses bras*
Nouma : *panique* non ! Pas de câlin ! Lâche-moi !
Queen : non ! *lui tire la langue*
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Voydel : *fais le tour du tatouage sur le dos de Nadi du bout du doigt*
Nadi : *se tourne vers lui* qu'est-ce que tu fais ?
Voydel : je me demandais pourquoi tu avais ça de tatoué
Nadi : oh... C'est... Une longue histoire pas très intéressante...
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