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chapitre xv.

「...edalyne...」
-•enchanted forest•-

L'accueil de la famille d'Ambre et Sofia avait été parfait, je me sentais très bien là-bas, avec elles, papotant et profitant des journées entières pour me reposer après tout ces événements horribles qui m'étaient arrivés. Maintenant j'avais le soulagement de savoir que toutes les femmes de Barbe Bleue étaient en vie, quelque part, et que certaines rentraient chez elles. J'espérais grandement que rien d'autres de graves ne pourraient leur arriver.

Ma mère, je pourrais donc la retrouver. Enfin c'était ce que je n'arrêtais pas de me répéter, elle devait être dans cette forêt, et elle devait savoir ce qui de passait, le fait que Barbe Bleue avait perdue. Je ne savais pas vraiment comment, mais elles avaient retrouvées la vie. Grâce à deux personnes. Et cette information me plaisait.

Je savais que ma mère était en vie, qu'elle n'était jamais morte. Hélène, l'une des femmes de Barbe Bleue, une femme aux cheveux roux et qui semblaient ne pas avoir une très bonne réputation auprès de la populace, avait confirmé ma théorie. Borealice, ma mère, avait réussie à s'enfuir, et d'après Hélène, celle-ci cherchait à se venger de lui, au début elle n'avait pas trop compris pourquoi puis, plus les jours passaient plus elle semblait comprendre.

Hélène, je me rappelle, était, est - puisqu'au final elle n'est plus morte - quelqu'un d'assez intelligent et perspicace. Elle semblait maline, c'est alors qu'elle avait tenté de faire entendre ce que les rumeurs racontaient par un autre moyen. Mais cela n'avait pas marché, et elle était morte. Elle était en vie maintenant, quelque part. Je me demandais bien où.

Quoiqu'il en soit, je savais que Borealice était en vie, et qu'elle s'était fait des amies. J'allais les chercher. Et alors que je me préparais pour le faire, Ambre insista pour me suivre, elle ne voulait pas me voir seule après tout ce temps. Et je pouvais bien sûr comprendre. De plus cette idée me plaisait, je chercherais les traces de ma mère avec une amie, que j'aimais de tout mon cœur.

On sortit alors toutes les deux du château, se dirigeant vers l'extérieur. Il faisait beau et la chaleur du soleil me réchauffant, je souris paisiblement à mon amie, heureuse. Je pourrais retrouver ma mère, et j'étais accompagné de la meilleure compagnie possible, me semblait-il.

-Je suis contente de faire ça avec toi, je lui avait dit, un sourire naissant sur mes lèvres.

Il fallait avouer que je n'avais jamais eue d'amies avant, et qu'en avoir une qui me soutenait autant qu'elle pouvait me faisait du bien. Beaucoup de bien.

-Je suis contente de te connaître...Tu as l'air si différente des autres personnes que j'ai pu rencontré.

-Différente ?

J'étais étonnée d'être qualifié de cette façon, pas que cela soit quelque chose de mal, je m'y attendais simplement pas. J'étais basique, pourtant. J'étais la fille d'un baron sanglant, comme beaucoup de légendes en racontent. Ma mère avait disparu lorsque j'étais jeune, et mon père avait toujours cherché à ce que je l'apprécie, et je l'avais apprécié, puisque je n'avais jamais su tout ce qu'il faisait auparavant.

J'avais participé à des bals, vu la noblesse venir et repartir. Je ne semblais pas si différente de ses autres amies qui venaient toutes de nobles familles, à l'opposé, Sofia, elle, venant tout d'abord d'un milieu paysans, s'était faite des amies de tout les mondes, nobles ou paysans. Elle n'avait pas cette barrière qui l'empêchait d'une façon de parler avec des gens si différents de ce qu'elle connaissait maintenant.

Surtout parce qu'avant c'était différent, elle et sa mère vivaient seules, sa mère étant roturière. Avoir rencontré le roi Roland avait tout changé à la situation de cette femme, et elle avait trouvé l'amour.

-J'ai l'impression qu'à toi, je n'ai pas ce besoin de cacher des choses sur ma vie, sur ce que je pense ou sur ce que je fais. Je n'ai pas cette impression de me faire juger à chaque mots que je dis, Ambre m'avait révélé, Je trouve que notre relation est différente de celles que j'entretiens avec certaines de mes amies.

Et elle m'avait sourit, un sourire qui signifiait beaucoup pour moi. Je savais qu'Ambre était amie avec la plupart des autres élèves qui suivaient les cours d'un professorat d'élite, et qu'ils venaient tous de la haute classe. Ils étaient nobles, des princes et des princesses en devenir.

Ils devaient se tenir à carreaux, et certainement ne devaient faire que l'excellence. Peut-être cela expliquait qu'ils pouvaient juger plus facilement les autres, je me disais, puisqu'ils se devaient tous d'être parfaits. Ceux qui semblaient ne pas faire tant d'efforts pour l'être pouvait se faire juger, et chaque mots, chaque gestes, pouvaient certainement compter dans la manière dont les gens te percevaient.

Je n'avais jamais vraiment vécu ce genre de choses, moi. Puisque je ne me devais pas d'être parfaite, je devais apprendre, découvrir, laisser mon esprit être créatif, tout en se plongeant dans la lecture. Des livres de mon âge bien sûr.

Je ne voyais jamais beaucoup d'enfants, d'où le fait que je sois souvent seule, alors je n'ai jamais pu expériencer le regard des autres autant que ceux qui vivaient ici.

J'étais contente, cependant, qu'Ambre puisse avoir le courage d'oser se confier à moi. Je l'appréciait beaucoup et cela me faisait plaisir qu'elle pense pouvoir tout me dire comme j'aurais certainement pu en être capable.

On s'éloignait de plus en plus du château, se retrouvant à la lisière de la forêt. Sur la route on avait pu croiser des paysans, dont deux filles. Une se nommant Ruby, et l'autre se prénommant Jade. Deux amies de Sofia. Ambre ne les appréciait pas tellement, elle les trouvait quelques peu sans gêne, surtout lorsque celles-ci cherchaient à faire choisir Sofia sa famille, royale, désormais, et ses amies qu'elle s'était fait, et elles. Ruby et Jade faisaient souvent culpabiliser Sofia de les avoir quitter, de ne plus vivre à deux pas de chez elles.

Je ne comprenais pas vraiment comment on pouvait vraiment reprocher cela à quelqu'un, après tout, ce n'était pas elle qui décidait de tout dans sa vie. Et puis, de ce que j'avais compris, Sofia continuait de leur parler et de jouer avec elles, tout les jours. Une personne étant devenue noble du jour au lendemain aurait certainement pu arrêter de parler avec ses anciennes amies. Pas Sofia.

-Eh bien, regarde. Il y a une sorte d'atroupement, ici, Ambre m'avait dit.

On était en pleine forêt, et devant nous se trouvait une sorte d'auberge. On pouvait y voir des pirates. Le chef, qui avait un crochet à la place d'une de ses mains, ricanait joyeusement. Il avait dû passer une bonne soirée ici, vu son humeur.

Ils partirent rapidement, décidant de ne pas traîner. Leur bateaux était près de la côte, d'après ce que j'avais compris, et ils ne voulaient pas traîner.

Pendant qu'ils discutaient de cela, Ambre et moi, étions caché derrière un arbre. La blondinette qui m'accompagnait m'avait dit qu'il fallait faire attention aux pirates ou à tout êtres qui nous sembleraient louches. J'avais donc préféré ne pas révéler ma présence à ces hommes.

On avait repris la route après leur départ, et ils n'avaient pas tarder à partir. Avec Ambre, on avait parlé de beaucoup de choses, comme on le faisait d'habitude. Quand soudain, une voix me ramena à la réalité.

Cela faisait quelques temps qu'on marchait, et je venais d'entendre des voix, des bruits. J'avais plaqué Ambre contre un arbre avant de me cacher aussi.

-Vous ne pouvez pas faire cela, dit une voie féminine, Il n'a essayé que de vous voler. Ne lui enlevé pas la vie.

Mais l'homme, ou la bête, à en croire son corps qui semblait être recouvert de carapace ne semblait pas d'accord. Cet homme me rappelais quelque chose. J'avais déjà vue un homme lui ressemblant au château, et je l'avais espionner lorsqu'il parlait avec mon père. Mais qui pouvait être ? Qu'est-ce qu'il faisait là ? Voulait-il punir un homme comme la voix de femme semblait le dire ?

Tout ce que je pouvais dire, c'était qu'il semblait dangereux. Heureusement pour Ambre et moi, il ne mit pas longtemps à partir. J'avais eu peut qu'il nous repère lorsqu'Ambre avait lâché un bruit précipité.

-On ne vole pas Rumplestilskin, et on ne sort pas de son château comme on en est rentré, il avait dit avant de partir.

Et la femme qui l'accompagnait avait répondu : -Cette dénommée Borealice a bien pu le faire, elle, alors qu'à première vue, elle ne semblait pas être quelqu'un que vous appréciez, puisqu'elle traînait avec...ces femmes.

Donc cette jeune femme connaissait ma mère, m'étais je dis. Cela me faisait tout drôle de voir quelqu'un qui la connaissait, que j'avais presque faillit sortir de ma cachette pour lui poser des questions à propos d'elle.

-Oh, donc vous auriez voulu que je tue Borealice, au lieu de la laisser retrouver ses amies ?

-Non. Ce n'est pas ce que je disait. Je faisais simplement remarquer que tout le monde n'était pas traiter à la même enseigne, avec vous...Et que vous devriez faire preuve de plus de clémence, comme vous l'aviez fait avec cette Borealice.

Les deux personnes, après la réponse de la femme, reprirent leurs routes, qui semblait pouvoir être longue. Nous sommes sorties de notre cachette.

-Eh bien, ça en fait, du monde qu'on croise, m'avait dit Ambre, C'est étonnant de trouver Rumplestilskin ici. Il paraît qu'il ne laisse jamais son château très longtemps seul, pourtant c'est ce qu'il vient de faire. Étonnant...Et qui pourrait être cette fille qui l'accompagne ? Une servante, peut-être...

Ambre semble dubitative de son hypothèse, la trouvant étonnante. Comment une servante pourrait bien tenir tête à cet homme, le ténébreux, sans représailles de sa part ? C'est cela qui étonne la jeune fille, bercée aux nombreuses histoires que l'on peut entendre dans les rues.

Il est dit que Rumplestilskin est féroce, un homme monstrueux, au divers surnoms. Bête, monstre, ténébreux, crocodile. Bien nombreux sont les gens qui le craignent. Tout du moins une personne reste plus craignée que lui, une certaine reine qui rêve de vengeance envers une princesse. La Méchante Reine, féroce et crainte de tous.

Ambre l'avait déjà rencontré, et leur altercation n'avait pas été la plus positive. Des fermiers sont morts sur leurs champs puisqu'ils refusaient de dire si oui ou non ils protégeaient Blanche Neige, et Roland et sa famille y était allé pour dire à cette reine qui n'était pas de cette contré d'arrêter d'intimider des paysans qui n'étaient même pas ses sujets. Elle s'était montrée cruelle et avait menacé Roland de lui couper un bras, jusqu'à ce qu'elle dévisage le maître des sorts du château, Cedric, le sorcier.

Ambre avait alors trouvé cela bizarre. Ils se connaissaient. Juste avant de partir, la méchante reine avait eue un rire sardonnique, un rire étonnant qui semblait vouloir dire : quelqu'un d'autre s'occupera de votre malheur. C'était une des scènes qui faisaient que la jeune princesse en devenir se méfiait grandement du maître de sort, de l'homme qui cherchait à amadouer les doux yeux de Sofia en apparaissant gentil. Elle semblait voir que quelque chose clochait avec lui.

-Oui ça doit certainement être une servante. Ce qui me questionne, c'est pourquoi Borealice serait allée voir Rumplestilskin, et qui sont les amies de celle-ci, de ma mère.

-Nous le découvrirons certainement bientôt, elle avait répondu, Bien continuons notre route.

Alors nous avons continué à marcher. Marcher, marcher, jusqu'à ce qu'on décide de faire une pause sous un arbre, pour reposer nos pieds.

•▪︎•

-Darling, dis à mon amour les nouvelles. Je pense que cela pourrait lui plaire.

La voix d'une première femme nous parvint aux oreilles. Elle avait l'air guillerette, heureuse, légère.

-B, tu ne vas pas y croire tes oreilles !! Les femmes de ton ex mari ont été ramenées des morts, et ta fille a profité que Barbe Bleue ne s'occupe pas d'elle pour fuir le château qu'elle habitait. Selon les rumeurs, elle aurait fait semblant de se noyer pour le fuir. Tu peux toujours la retrouver.

-Et ensuite tu t'occuperas de ta vengeance face à cet être sanguinaire qu'est Barbe Bleue, comme tu nous en parles depuis si longtemps, une troisième voix s'éleva, cela semblait être une voie sage et sérieuse.

Je n'en croyais pas mes oreilles. Ma mère était donc là ? C'était elle, B, n'est-ce pas ? J'allais la retrouver ? Tout cela mexcitait tellement. J'avais hâte de lui sauter dans les bras, de lui dire qu'elle m'avait manqué, et que, non, je ne lui en voulais pas d'être partie. C'était normal, lorsqu'un homme était aussi horrible que mon père.

Ambre, à côté de moi n'y croyais pas plus que moi. Elle savait ce que cela pouvait signifier pour moi. Les retrouvailles avec ma mère. Nous sortions de sous l'arbre, allant faire la rencontre des voix.

Borealice était devant nous. Je la reconnaîtrait entre mille, elle et ses cheveux bruns. Ils étaient plus abîmés que ce que je me souvenais, comme tout son être semblait l'être. Elle avait les cheveux emmêlés, des cernes énormes sous les yeux, un corps amaigris par ce qu'elle avait dû survivre seule, dans les bois.

À côté d'elle se tenait trois femmes, une à la peau brune, aux cheveux blonds et aux lèvres charnues. Elle portait une tenue étonnante, apparemment faite de quelque chose venant de la mer. Ce devait être une de ces sirènes qui prenaient forme humaine. Il y avait aussi une femme aux cornes noires, le reste de sa tenue était de la même couleur. Et au plus près de Borealice, se tenait une femme aux cheveux bicolore, elle portait un manteau étonnant faite de fourrure. Elle semblait être celle qui surnommait les autres "Darling".

-Vous voulez dire que je pourrais retrouver ma fille, ma mère s'empressa de dire.

Les femmes ne nous voyaient toujours pas, même si nous pouvions les voir. Et alors soudain nous sortions complètement de notre cachette, se retrouvant devant elle. Les femmes se levèrent, et celle aux cheveux bicolore s'approcha, nous jaugeant.

-Cet endroit est dangereux pour des petites filles telles que vous, darling, elle avait dit, tenant dans sa main un cigare.

Borealice eue l'air choquée lorsqu'elle m'apperçut. Une jeune rouquine. Ce devait être l'enfant qu'elle recherchait. Elle semblait le savoir maintenant.

-Edalyne, elle dit avant de s'approcher de moi pour me prendre dans ses bras, sous l'étonnement générale de ses comparses.

Les trois femmes qui accompagnaient Borealice, ma mère, semblèrent étonnées de ses révélations. Donc la jeune fille était si débrouillarde que c'était elle-même qui avait retrouvé sa mère, et pas l'inverse. Eh bien, elle avait du courage pour s'introduire ici sans avoir peur de tout ce qui pouvait s'y passer.

-Edalyne ? Alors c'est elle, c'est ta fille, darling, demanda celle qui était la plus proche d'elle.

Borealice me sourit. Heureuse de me retrouver et de pouvoir me présenter aux gens qu'elle connaissait, et qui, elles, avaient toujours été là pour elle. Comparé à ces gens qu'elle avaient connues au début, qui lui mentait et qui parlait d'elle dans son dos. Certains l'avaient même mis en danger.

-Je pense que des présentations s'imposent, la voix d'Ambre retentit ramenant tout le monde à la réalité.

Edalyne n'était pas seule, donc. Elle était accompagnée d'une autre jeune fille de son âge, une jeune princesse. Borealice semblait contente que sa fille puisse s'être faite des amies.

Cela était une bonne nouvelle, Borealice avait eue peur que sa fille soit toute seule toute sa vie, tout le temps. Sans amies, ce n'était pas ce qui s'était passée vu ce qu'elle voyait en ce moment.

-Je commence, je dis, Maman, voici Ambre, une grande amie à moi, et la nièce de Beatrice, une autre femme de Barbe Bleue. On est devenue amie lorsqu'elle m'a demandé de lui dire si les rumeurs qu'on racontait sur Barbe Bleue n'était que des rumeurs ou étaient des faits. Ambre, voici ma mère, Borealice.

Borealice semblait étonnée parce que je venais de lui révéler. Certainement par rapport au fait que je savais ce que mon père était, ce qu'on ne croyait pas possible, certainement.

-Il...il t'a dis tout le mal qu'il faisait ?

-Non. Je l'ai découvert, disons...en lisant le carnet d'une des femmes de Barbe Bleue, où des tas de révélations sur lui ont éclatés. Des tas de femmes ont écrit ou dessinés dans ce carnet. Je pouvais y voir la mort, la peur. Elles avaient été traumatisée par cela, et certaines avaient décidés de mettre en place des choses pour alerter les suivantes. Et alors que mon père ne s'était pas remarié encore, je traînais dans la chambre des anciennes femmes, l'une d'elle ayant voulue faire chambre à part, ils ne partageaient plus jamais le même lit...Et j'étais tombé sur le carnet. J'en avais lut toutes les pages. Et j'avais découvert la cruelle vérité.

Des larmes courèrent de ses yeux. Elle semblait ne pas avoir voulue que je sache toutes ces choses horribles qui nous maudissait intérieurement, toutes ces choses étaient horribles, monstrueuses. Elle m'avait pris dans ses bras, cherchant à elle-même se rassurer.

-Je crois que...que c'est à moi de faire le tour des présentations, elle avait dit tristement, Voici Cruella De Vil, ma compagne, et elles, ce sont Ursula et Maléfique. Ensembles, elles forment les reines des ténèbres. Et ce sont les seules personnes qui m'ont soutenues depuis ma fuite du château, les seules personnes qui ne m'ont pas traité de monstre.

Cruella jeta un regard réconfortant à la femme qui venait tout juste de retrouver sa fille, et qui avait lâché des larmes en apprenant que ce qu'elle ne voulait pas qu'il arrive soit arrivé.  Elle s'approcha d'ailleurs d'elle et lui apporta son soutien par sa présence aux côtés d'elle.

Le tour des présentations avaient été fait et toutes parlaient ensembles. Borealice me rapportait sa vie à l'extérieur, et le fait qu'elle avait pu en baver, tout en me disant qu'elle aurait préféré être avec moi, ne pas avoir peur qu'il puisse m'arriver quelque chose. Les amies de la mère et de la fille se sentaient légèrement à l'écart dans cette conversation.

Soudainement, alors que les discussions n'étaient pas finies, un homme en longueur s'approcha, et une fumée commença à brouiller la vue.

-Votre père vous cherche, la voie stridente de Cedric retentit alors qu'un de ses sorts attrapaient la jambe d'Ambre et le bras d'Edalyne.

Roland devait certainement l'avoir emmener nous chercher.

Soudain, alors que c'était la première fois que Borealice et moi étions aussi proches, nous nous séparions, une deuxième fois, sans le vouloir. Je m'époumona, cherchant à lui crier des derniers mots.

-Maman !

J'avais peur, il fallait l'admettre. Je ne m'attendais pas aux méthodes de Cedric. D'ailleurs pourquoi me prenait-il aussi ? Je n'étais en rien quelqu'un habitant avec eux. J'avais le droit d'être ici puisque les enfants de Roland m'appréciait, et que Beatrice m'avait ramené avec elle, mais cela ne signifiait certainement pas que j'habitais chez eux maintenant.

Je voulais rester avec ma mère et ses amies, à vrai dire. Cela aurait été mieux, je pense. J'aurais enfin pu retrouver ma mère et ne plus la quitter.

-MAMAN !

Lorsque je pu revoir son visage, je décelait des larmes. Des larmes coulant de ses yeux doux. Des larmes coulaient parce qu'apparemment ce n'était pas l'heure de leur retrouvaille.

-JE TE CHERCHERAIS, cria Borealice à l'adresse de sa fille.

Les deux semblaient extrêmement triste de cela, cela signifiait qu'encore une fois elles s'inquièteraient de ce qui se passait dans la vie de l'autre sans pouvoir la voir et la retrouver. Elles s'étaient tellement manqué, et apparemment, il semblait qu'elles devaient se manquer encore plus pour se retrouver ensuite.

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