chapitre xii.
「...Farah Good...」
-•storybrook•-
Jour de congé, Farah avait décidé de passer quelques temps en famille, c'est-à-dire avec sa mère et ses deux frères. Elle en voulait beaucoup à Rumple pour ce qu'il avait pu faire, ou plutôt inciter à faire. Elle avait perdue sa sœur parce qu'elle avait épousé un homme. Un homme monstrueux, presque inhumain qui avait finit par la tuer. Comme il avait tué toutes ses compagnes. Farah se rappelait maintenant, du temps où elle était Anne, sœur de Douce.
Elle se rappelait de chaque petit détail, des disputes entre sa sœur et elle à propos de Barbe Bleue, de la jeune Edalyne, qui semblait elle non-plus ne pas apprécier cette union. Anne à cette époque se disait que c'était simplement parce que la jeune fille n'appréciait pas Douce. Maintenant, elle comprenait mieux ce dont il s'agissait. Edalyne, la fille de Barbe Bleue, avait essayé de prévenir discrètement la jeune femme du danger qui courait vers elle.
Farah se rappelle même d'un soir où Douce s'était confié par rapport à quelques choses. Une sorte de cauchemars qu'elle avait eue. Elle se disait que c'était juste ses angoisses de se marier qui ressortait et que cela ne voulait rien dire. Et si c'était justement des rêves qui devaient la prévenir de son futur ? Farah se demandait si ce n'était pas lié, tout ça, si Douce n'avait pas fait des rêves prémonitoires.
Mais Douce ne l'avait pas vue comme cela et encore une fois elle avait décidé d'éviter tout ce qui lui disait de ne pas épouser Barbe Bleue, cet homme qu'elle trouvait gentil, passionnant et aimant.
Et Douce lorsqu'elle s'était mariée était la plus heureuse des femmes. Ses angoisses s'étaient calmés, et elle avait danser avec l'homme qu'elle aimait, dans la grâce. Edalyne ne s'était pas montré, ou lorsqu'elle était parut, elle avait essayé une fois encore d'alerter discrètement celle qui allait devenir sa nouvelle belle-mère de l'homme que Barbe Bleue était. Elle n'avait pas réussit.
Douce était morte parce qu'elle n'avait pas sauter et que Barbe Bleue l'avait retenue. Douce était morte, et Anne n'avait rien pu faire. Farah gardait cette mort sur la conscience se disant que d'une façon, c'était un peu sa faute si sa sœur était morte. Elle aurait dû sauter avec elle. Elle aurait dû dire que Rumplestilskin ne les aiderait pas. Elle aurait dû le faire. Elle aurait dû dire une fois encore que Barbe Bleue était le monstre qu'on décrivait. Elle aurait certainement dû faire appel à quelques femmes qui avaient connues l'une des femmes de Barbe Bleue et qui savait peut-être ce qui se passait.
Farah, quoiqu'il en soit, se blâmait de la mort de sa sœur, même si elle savait que ce n'était pas elle qui avait tué, que ce n'était pas elle qui l'avait fait épouser cet homme et que ce n'était pas elle le monstre qui tuait toutes ses femmes.
-Farah, à quoi penses-tu, Emeric lui demanda, il voulait savoir pourquoi elle avait l'air si triste.
Emeric et Farah avaient toujours été assez proches. Dans cet univers comme dans l'autre. Cependant, dans la forêt enchantée, Emeric ignorait certaines choses sur sa sœur, le fait, par exemple, qu'elle aimait les filles. Seule Douce savait cela. Anne ne pouvait pas le lui cacher, à elle. Aux autres, par contre, c'était toujours ce qu'elle faisait. Elle ne s'était jamais dit que leur révéler qu'elle n'aimait pas les hommes, et que pour cela elle n'en épouserait aucun, était une bonne idée. Elle s'était toujours dit que cela gâcherait l'entente familial. Et ce n'était pas faux.
À chaque fois que Anne disait non à un de ses prétendants, Aymerique, son frère, se mettait dans une fureurs noir. Il ne comprenait pas comment Anne pouvait refuser tout ces gentilshommes, il ne comprenait pas non plus comment Douce pouvait suivre cette mauvaise influence. Et un jour, Aymerique avait dit quelque chose par rapport à Gaston. C'était ce jour là où il en a payé de sa vie. Anne l'avait tué. Et elle ne l'avait jamais vraiment regretté.
Quoiqu'il en soit, dans la forêt enchantée, bien que certains auraient apprécié qu'elle se confie à eux, Anne cachait certaines choses sur elle. Bien qu'elle le laissait parfois voir sur elle. Par exemple lorsqu'elle dansait avec une magnifique femme et qu'un grand sourire se posait sur son visage. Anne ne l'avait jamais vraiment caché, juste elle ne disait jamais vraiment qui elle était ou même pourquoi elle ne voulait pas se marier avec un homme. Elle les laissait imaginer. D'ailleurs, Emeric, lui avait l'air de vouloir parler avec elle de ce genre de choses. Dans la forêt enchantée, cela lui était déjà arrivé d'essayer de se renseigner sur la vie sentimentale de sa sœur.
Et ici, à Storybrook, Emeric et Farah en parlait parfois. Il lui avait dit qu'il serait ravie de parler avec elle des femmes qui lui plaisait. Cela l'intéresserait de parler des femmes ensembles, pour savoir, d'abord qui sa sœur aimait. Ruby, assise sur le divan, regardait joyeusement Farah, les deux profitaient d'un jour de congé avec la famille de l'une.
-Je pense à Douce...Je m'en veux un peu par rapport à ce qui lui ait arrivé.
Emeric lui lança un regard qui signifiait clairement que ce n'était pas sa faute, qu'elle ne devait pas se blâmer pour la mort de celle-ci. Elle lui répondit par un sourire triste avant que quelqu'un change de sujet de conversation. Diane avait commencé à parler de sa chocolaterie et de ses affaires, qui étaient plutôt bonnes, apparemment. Elle était d'ailleurs très contente d'elle-même et de l'argent qu'elle se faisait. Elle adorait son boulot, et en parler était quelque chose qu'elle faisait souvent. Très souvent, même, Farah pouvait le jurer.
La petite famille papotait calmement, Ruby avait décidé de réconforter sa petite amie, la prenant dans ses bras. La mère de Farah trouvait d'ailleurs cela très mignon, que sa fille soit heureuse avec une aussi gentille femme que Ruby, celle-ci étant serviable et aimable. On pouvait voir que dans cette famille, Ruby était beaucoup apprécier. En effet, depuis que Farah avait présenté Ruby à sa famille et que les deux jeunes femmes avaient commencés à sortir ensembles, ils passaient tous plus de temps ensembles.
Ils aimaient beaucoup la compagnie de Ruby et le lui faisait bien comprendre. Elle aussi aimait beaucoup passer du temps avec sa belle-famille. Elle espérait qu'un jour, Farah puisse avoir ce genre de relation avec Granny, la grand-mère de la serveuse qui, dans la forêt enchantée, était le chaperon rouge et le loup.
Malheureusement pour le moment ce n'était pas vraiment le cas, Farah ne s'entendait pas tant que cela avec Granny qu'elle avait parfois vu faire des critiques à Ruby sur sa manière de s'habiller. De plus, elle n'appréciait pas forcément sa manière d'être envers certaines personnes.
Quoiqu'il en soit, Ruby était heureuse d'être là, auprès de sa petite amie. L'humeur était partagée. Ils étaient beaucoup à sourire ou à être heureux par ce moment d'apaisement qu'était leur petite réunion de famille.
•▪︎•
Soudainement alors que le groupe était en pleine conversation, la clochette sonna. On pensa que c'était les livreurs de pizza, puisque le groupe avait passé commande. Au lieu de cela une jeune femme aux cheveux teints en bruns s'avança. Quelque chose dans son regard rappelait à Farah quelqu'un, une personne qu'elle avait connue, qu'elle connaissait et dont elle n'arrêtait pas vraiment de penser.
-Bonjour, qu'est-ce que tu fais ici ? Nous sommes entre amis et familles, et nous ne comprenons pas ta venue ici.
Farah réplique, elle est étonnée de voir une personne venir chez eux comme cela. Ce doit peut-être être une de ces personnes qui distribuent des choses en porte à porte. Non cette hypothèse ne tient pas : la jeune femme aux cheveux teints en bruns ne tient rien dans ses bras, pas de cartons de cookies à vendre en porte à porte, rien de tout cela.
-Suis-je bien chez les Good, demande la femme quelque instants après.
Farah répond que oui mais qu'elle ne comprend pas pourquoi cette question lui ait posé. Diane, Emeric et Émerique se lèvent et rejoignent Farah devant la porte. L'aîné des frères demande à cette inconnue ce qu'elle veut à sa famille.
Quand soudain il semble se mettre à comprendre ce qui semble être entrain de se passer. Cette jeune femme...Elle ressemble à Douce.
-Ce ne peut pas être elle...Ce n'est pas possible. Elle est censée être morte, réplique-t-il, sonné.
Ruby s'approche, ne comprenant rien à ce qu'il est entrain de se passer ou ce qu'il va se passer. Elle demande d'ailleurs des renseignements à sa petite copine, mais celle-ci semble être aussi perdue qu'elle.
Farah ne comprend pas ce qu'Emeric vient de dire, ou même pourquoi il l'a dit. Qu'est-ce que tout cela peut bien vouloir dire ? C'est bien ce que se demande Farah en entendant son frère.
-Et pourtant...c'est bien moi, réplique la brune qui avant ne l'était pas, sa teinture ne semblait d'ailleurs pas être de très bonne qualité, Je suis bien celle que dans la forêt enchantée, on appelait Douce.
Farah en tomberait presque d'étonnement si elle le pouvait, si elle était toute seule. Diane, sa mère, leur mère, semble aussi être capable de le faire, cela semble être un grand choc pour les Good.
-Mais comment est-ce possible ? Tu...Je t'ai vue mourir sans que j'ai pu faire quelque chose pour te sauver...Pendant des années et des années, même aujourd'hui, d'ailleurs, je me suis sentie responsable de ta mort. J'aurais dû te sauver...Comment te voir vivante peut-être possible ?
Sa sœur semble être capable de poser des dizaines de questions par rapport à sa survie, que s'est-il passé, dans la forêt enchantée ? Où était-elle durant la malédiction ? Était-elle retenue quelque part, où elle ne pouvait pas venir les alerter de qui elle se trouvait être ? Ou peut-être avait-elle eue une vie durant la malédiction, une vie où elle ne se souvenait plus de sa famille ni d'aucune autre personne qu'elle a pu connaître.
Ce doit être l'explication la plus plausible. Cependant, Farah aimerait savoir comment elle peut être en vie. Personne ne peut revenir à la vie comme ça, si ?
-Barbe Rose, le frère de Barbe Bleue, et Rumplestilskin, que vous connaissez déjà, nous ont ranimer à la vie, nous, les femmes que Barbe Bleue a pu tué. Moi et les autres, nous nous sommes enfuis, toutes de certains côtés après avoir volé des robes et ravitaillements. Certaines savaient où aller, d'autres non. Personnellement j'avais cherché à rentrer et une semaine de marche dans les pattes, j'ai pu apercevoir une fumée violette. Puis je suis devenus quelqu'un d'autre et je ne savais pas qui vous étiez. Je vivais en tant que danseuse dans un bar. Et depuis que la malédiction a été rompue, et que la fumée violette est réapparue, je voulais vous retrouver...Et à vrai dire, il semble que j'ai pu le faire.
Ses révélations étonnent grandement Farah. Douze femmes, puisqu'il semblait être le nombre de femmes qu'avait eu Barbe Bleue, se sont faites ressuscités ? Il faudrait qu'elle en parle aux petits, Edalyne, Henry, Ambre et Sofia. Ils le savent peut-être, ou peut-être pourraient-ils lui prêter le livre de conte pour qu'elle vérifie les dires de cette jeune femme qui se dit être Douce. Farah est légèrement méfiante par rapport à cette jeune fille. Il faut absolument qu'elle en parle au moins à Edalyne, qui a pu en entendre parler puisque cela fait partie de son histoire.
-Eh bien, bienvenue dans la famille, alors, j'imagine, dirent la famille Good.
C'était étonnant de voir quelqu'un qui était censé être mort ne pas l'être. Ça faisait même un peu peur. Et pour des personnes comme Farah, qui s'en était voulue de ne pas avoir pu sauver Douce, cela semblait tellement étrange. La première réaction que Farah avait eue était que cela n'était qu'un mensonge, et que cette jeune femme mentait. Elle avait vue de ses propres yeux Douce mourir, et lui faire croire à une résurrection serait quelque chose de mal.
Bien sûr, elle espérait que ce soit vraie, que Douce soit vivante, qu'elle soit cette femme devant eux, mais pour elle et sa méfiance connue de tous, il était possible que ce soit un piège, un mensonge. La voir mourir puis la voir revenir lui donnait un drôle de sentiment, en tout cas.
La journée continua, la famille Good se ré-installa sur leur canapé, parlant du temps perdus avec cette femme qui semblait être Douce. Plus le temps passait et plus, Farah se disait que oui, cette jeune femme teinte en bruns, était la version de Storybrook de Douce qu'ils connaissaient. Elle se comportait comme elle, parlait d'une façon qui rappelait tellement à Farah. De plus les anecdotes que cette jeune femme échangeait avec sa famille correspondait avec celles que la famille avait.
Lorsque Ruby tient la main à Farah d'une façon romantique, Douce fut étonnée de ce petit signe, puisque dans la forêt enchantée Anne ne se montrait jamais avec une personne à son bras, ou en tout cas même si elle s'affichait ouvertement avec des femmes lors de bal, elle niait à sa famille qu'elle les appréciait.
-Ils savent ?
-De quoi ?
La jeune femme montra Ruby et Farah se calinant, se tenant les mains. Douce était étonnée que Farah s'affirme quelque peu comme cela.
-Que je suis lesbienne ? Oh oui...Dans la forêt enchantée, il n'y avait que toi qui le savait parce que j'avais peur des réactions des autres, j'avais peur qu'on me déshérite, qu'on me traite de honte puisque je ne donnerais ni héritier ni héritière, commence Farah, Ici, je n'ai pas à avoir peur de cela...enfin moins que dans la forêt enchantée puisque je n'ai pas le devoir de créer un héritage.
Un instant gênant de silence. Farah se dit que cette conversation semble un peu étrange quand on y repense. Ruby les dévisage, un léger sourire aux lèvres.
-Et je suis sa petite amie, en effet...depuis quelques temps. Avant, on se tournait souvent autour.
Douce hoche la tête, un petit sourire aux lèvres. Elle est heureuse que sa sœur puisse enfin être heureuse avec sa sexualité, sans que ses devoirs de princesse interfère avec cela. Parce que oui, une princesse est, selon sa famille, quelque fois, censée se marier avec un homme. Parfois celui que la famille choisit pour elle. Heureusement, la famille dont Anne vient n'était pas ce genre de famille. Enfin si seul l'avis d'Aymerique, le frère mort qu'Anne a tué, cette famille le serait, et Anne aurait été marié à un homme sans son consentement. Mais elle l'avait tué, et il n'était plus là.
Il y avait des familles bien pire que celles-ci, des familles bien plus horribles. Des familles qui forçaient leurs enfants à épouser des hommes bien plus vieux qu'eux, ce qu'avait été ce que Regina avait vécu. Mariée à 18 ans avec un homme veuf parce que sa mère voyait qu'il était le roi. Les familles dans la forêt enchantée pouvait honnêtement être d'horribles groupes.
-Je suis contente alors, que tu ne sois plus obligée de faire semblant d'être une autre, que tu puisses t'assumer comme tu es. La personne merveilleuse.
Douce sourit à sa sœur, Farah lui répondit d'un même sourire. La grande sœur de l'ancienne brune était heureuse de la retrouver, et maintenant elle semblait complètement sûre que cette demoiselle qui s'était montré ici était bien sa sœur. Peu de personnes savaient que Anne était lesbienne, et Douce était l'une des seules à le savoir. Il était donc impossible que cette jeune femme soit une inconnue.
La famille continua à bavarder un moment, joyeusement, Farah, d'ailleurs était contente, quand soudain, une sonnerie de téléphone retentit. C'était le téléphone de Ruby qui lui rappelait que ses heures de gardes commençaient bientôt.
Farah décida alors de raccompagner sa petite amie dehors. Elle en profiterait pour aller voir Henry.
-Bon salut, je dois partir. Granny m'attends, réplique Ruby, À plus.
Ruby et Farah sortirent de la maison après que Farah ait dit qu'elle avait quelque chose à faire dehors et qu'elle reviendrait bientôt. Personne n'avait posé de questions, on l'a laissait tranquille, ils savaient bien qu'elle pouvait avoir des choses à faire ou vouloir passer du temps autre part quelque temps. Et là, c'était pour questionner Henry sur le conte de Douce.
Elle alla vers la maison de la maire, chose qu'elle faisait fréquemment, Regina étant une personne avec qui elle parlait souvent. Henry était dans la maison, et Regina était soulagée de le revoir, heureux et vivant après les événements derniers.
-Bonjour, je voudrais voir Henry, j'ai des questions à lui poser, déclare Farah, un petit sourire aux lèvres.
Regina la laisse entrer, lui rendant son sourire. En entrant dans la maison, Farah s'installe dans le canapé, attendant Henry. Henry arriva alors quelques instants après, avec son livre de conte puisque Regina semblait s'imaginer que cela allait concerner les contes.
-Je voudrais savoir...Les femmes de Barbe Bleue, elles ont été ranimées ? Je te demande ça parce qu'une jeune femme vient de dire qu'elle est Douce. Elle m'aurait expliqué que Barbe Rose, le frère de Barbe Bleue et Rumplestilskin, l'ont ressuscités, elle et les autres...Et tu connais ma méfiance habituelle, réplique Farah, en prenant un verre de vin, que Regina lui tends.
Henry tourne les pages de son livre de conte précipitamment, étonné de cette question et même de tout cela. Il n'est certainement jamais allé aussi loin, ou alors, il ne s'y était pas intéressé.
Lorsqu'il tourne les pages, cependant, il peut voir une image où Barbe Rose sort de sa cachette et commence à organiser un sort pour les ressuscités, quand soudain, Rumplestilskin apparaît. Les deux hommes les ressucites, et les femmes partent en courant. Certaines volent des affaires venant de différents commerces prêts du château, notamment les deux femmes qui ont été dénudées lorsqu'elles ont été tuées.
-Il me semble que ce soit vraie, regarde...Elles sont de nouveaux en vie. Par contre, je ne sais pas où chacune se trouve. Il faut que j'en reparle avec Edalyne plus tard. Douce est là, déclare Henry.
Soulagée, Farah hoche la tête tranquillement, honnêtement, tout cela l'étonne. Mais elle est heureuse que cela ne soit pas un mensonge ou une cruelle plaisanterie. Alors Farah rentre chez elle, profitant de sa famille sans une once de sa maladive méfiance. Elle partage alors des moments merveilleux avec sa famille, racontant de vielles anecdotes et riant.
Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro