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chapitre bonus」 Cats are human's bestfriends

「...borealice...」

-•storybrook•-

Dans la forêt, c'était là que Borealice se trouvait. Elle venait à peine de fuir Mr. Blues, courant avec le peu d'affaires qu'elle avait gardé.

Il fallait le dire, elle en avait peur. Peur parce qu'elle savait qu'elle ne pourrait rien faire et qu'il faudrait qu'elle attende sa mort. Elle attendrait autant de temps que possible alors, repensant à combien de fois elle avait perdue du temps, excusant les actes de Mr. Blues, ou se disant que ça passerait, qu'il était juste très énervé et qu'elle était à portée de main.

Mais non. Plus jamais elle n'accepterai cela. Malheureusement pour qu'il arrête de lui causer tout ce mal, Borealice n'avait pas eue d'autres choix que de s'enfuir, après tout, porter plainte contre un des plus grands hommes de cette ville, ce n'était pas faisable. À chaque coin de rue on dirait qu'elle aurait menti. Et il aurait aussi été probable qu'on lui retire sa fille, parce qu'elle aurait parlé, et qu'elle n'avait pas la fortune que Mr. Blues avait.

Les larmes de ses pleurs coulèrent de ses yeux à ses joues, maintenant complètement mouillées tandis qu'elle courrait sans s'arrêter.

Soudainement, elle sentit une présence à ses pieds. Un joli chat noir se trouvait ici. Elle s'abaissa à son niveau, voulant caresser son doux pelage, et le chat ronronna, appréciant la caresse.

-Tu es ici depuis quand, toi, petit chat abandonné ? Personne ne voulait de toi et ils t'ont abandonné ici ? En tout cas tu es vraiment trop mignon, petit chat, elle dit, en lui faisant des gtatouilles derrière l'oreille, En tout cas, tu me rappelles quelque chose...même si je sais pas où je t'aurais vu. Serais-tu un chat de mon voisinage ?

Borealice savait très bien que ce chat ne pourrait pas lui répondre. C'était un chat, il miaulait. Il ne parlait pas. En tout cas pas dans la langue que Borealice et les autres qui se faisaient appelés les humains parlaient.

Mais c'était vraie qu'il rappelait quelque chose à Borealice. Un chat qu'elle aurait déjà vue quelque part.

Le chat avançait, puis regardait derrière lui, comme s'il voulait que Borealice le suive. Alors c'est ce que fit la femme qu'on nommait souvent la femme du riche homme d'affaire, du boss, celui qui terrifiait tout le monde. Et il semblerait qu'il la terrifie, elle aussi.

Mr. Blues avait été un monstre avec elle. Quoiqu'elle fasse, qu'elle soit libertine, comme elle l'était souvent, participant à des soirées, buvant et dansant.

Ou qu'elle soit plus sage, qu'elle ne sorte pas, et qu'elle fasse ce qu'il fallait pour que Mr. Blues ne lui en veuille pas.

Elle se retrouvait tout de même mal en point, Mr. Blues faisant exploser ce qu'il avait envie sur elle. Sa haine, et notamment le désir de procurer plus de peur encore, et de devenir plus grand encore.

Mr. Blues était un petit homme d'affaire, enfin selon lui, c'était ce qu'il était, et il voulait faire plus, aller plus loin.

Borealice ne comprenait plus l'homme qu'elle avait épousé. Il était devenu tellement violent, et à chaque coup, chaque baffe, chaque point dans le ventre, son visage effrayait sa femme.

Très vite, des bleues étaient apparues, lui recouvrant le corps. Et au début, Borealice voulait les cacher. Enfin...Elle avait peur de tout ce qui pourrait se passer sinon, de ce qu'il ferait si tout cela se savait, et elle avait aussi une frayeur particulière des remarques qu'elle pourrait se prendre.

Les gens croient souvent que lorsqu'on se fait frapper, c'est qu'on l'avait mérité. En tout cas, c'était ce que quelques personnes pensaient. Et Borealice craignait leurs reproches.

-Miaou, le chat fit, voyant que Borealice s'était arrêté.

Borealice releva le visage vers lui, sortant de ses pensées. Tout ceci était le passé. Maintenant, elle vivrait en pleine liberté, seule, dans cette forêt. Et cela lui irait très bien, n'est-ce pas ?

Elle avait continué à suivre le chat, celui-ci la menant à une petite maisonnette. Elle était abandonnée, il n'y avait pas de lumière, et lorsque Borealice entra, elle n'y vit personne. L'endroit parfait pour qu'elle puisse se reposer. Elle allait habiter ici.

-C'est ici que tu vis, chat-chat, Borealice lui demande, un sourire doux aux lèvres.

Elle a toujours beaucoup apprécié la compagnie des chats, ces petits animaux indépendants, et, il fallait l'admettre, si mignon. Son mari n'avait jamais voulu en avoir un. Édouard disait qu'il en était allergique. Mais peut-être était-ce faux, vu à quel point il lui avait fait du mal, lui mentant, jouant avec ses sentiments, aspirant à lui faire peur.

Borealice était bien contente que cela soit finit. Elle ne voulait plus jamais le revoir. Et à vrai dire, elle attendrait sa mort pour revenir à Storybrook. Elle saurait quand cela sera l'heure. Borealice le saurait, puisqu'elle sentira qu'elle n'aurait plus de raisons d'avoir peur. Plus aucune puisque son bourreau sera partit, dévoré par le temps, à croupir en enfer.

Il fallait l'admettre, en cet instant, Borealice se disait qu'elle manquait de courage et qu'elle aurait dû aller au poste de police pour qu'on prenne sa déposition. Après tout, le shérif Graham n'était pas quelqu'un de méchant, il l'écouterait certainement.

Mais ce n'était pas de lui qu'elle avait peur. C'était de son mari lorsqu'il l'apprendrait, des avocats qui lui poseraient certainement des questions horribles, pour la décribiliser et de la décision du juge. Borealice pensait déjà la connaître. Elle n'aurait pas gain de cause. Mr. Blues aura leur fille, et elle, elle devrait payer un pactole un avocat qui ne croyait même pas aux événements, pensant certainement qu'elle faisait cela rien que pour s'enrichir. Oh, et les gens glapiraient sur ce sujet à l'infini, ce qui n'était pas vraiment une des volontés de Borealice.

Alors oui, au lieu de dénoncer et de l'accuser de violence conjugale, elle avait fuit. Elle était partie alors qu'il venait encore une fois de jeter sa colère sur elle, s'amusant à la terroriser. Elle était partie. Et elle avait bien fait, elle savait que si elle était restée, la mort se serait penchée vers elle, et elle en serait emporté.

Emporté dans la mort, avec la mort. Et Borealice préférait ne pas mourir.

Elle s'installa alors dans cette petite maison, qui, elle trouvait, en tout cas, très cozy. Il faisait bon d'habiter une maison comme cela, selon elle. Elle avait une cheminée pour se réchauffer les jours d'hivers, et proches de la maisonnette se trouvait une clairière où des fruits s'y trouvaient. Un repas assuré pour Borealice. Bien sûr, cela changeait de ce qu'elle pouvait manger dans la vie active, celle qu'elle avait menée avec Édouard Blues, mais cela ne lui ferait certainement pas de mal de manger moins.

De plus, la maison comportait un petit lit, et lorsque Borealice l'essaya, elle le trouva si confortable. Bien plus confortable que le canapé sur lequel elle s'endormait parce qu'elle avait peur de rejoindre l'homme qui l'abusait dans leur suite nuptiale.

Ce chat ne l'a quittait pas, ou en tout cas, elle revenait toujours, et comme elle voyait que sa maîtresse ne se sentait pas bien, elle la réconfortait par des papouilles, des caresses, et des ronrons.

-•enchanted forest•-

Cruella et Borealice étaient ensembles, dans un café. C'était une journée spéciale. Elles fêtaient quelque chose par rapport à leur relation, leurs deux ans de couple. Maléfique et Ursula les avaient laissées seules, se disant qu'elles le méritaient bien, toutes les deux.

-Darling, je suis si contente d'être avec toi, Cruella répliqua, tenant la main de Borealice dans la sienne.

Cruella De Vil venait de lui offrir un collier, et Borealice était entrain de l'enfiler autour de son cou. Les deux femmes étaient toutes les deux si heureuses ensembles, elles se comprenaient et se soutenaient, même dans les moments les plus compliqués, principalement pour Borealice, qui cherchait toujours à établir sa vengeance. À chaque fois qu'une nouvelle femme que Barbe Bleue avait épousé se révélait morte, Borealice faisait une nouvelle rechute, pleurant pour sa fille et pour toutes celles qui mourraient.

Edalyne, comment pouvait-elle aller dans cette situation, si horrible et monstrueuse ? C'était une question que Borealice se posait. Elle espérait que jamais Barbe Bleue ne poserait la main sur elle, que jamais celle-ci n'apprendrait les raisons des morts des nouvelles mères qu'elle se trouvait. Cela signifierait sa mort, si elle savait.

Si elle savait, Barbe Bleue couperait certainement la tête à sa propre fille. Si elle savait quel monstre il était. Qu'il avait tenté de tuer Borealice, et qu'il en avait tué d'autres, des femmes.

Heureusement, à chaque fois que Borealice n'allait pas, elle pouvait compter sur les Reines des Ténèbres, celles-ci l'aidant à reprendre ses esprits par rapport à ses sujets là. La personne qui lui apportait le plus de soutien, évidemment, c'était sa compagne, Cruella De Vil. La femme qu'elle aimait.

-Et moi donc, Borealice répondit avec enthousiasme, En tout cas, ce collier est si jolie. J'aime beaucoup ton cadeau pour notre anniversaire de couple.

Cruella lui sourit, avant de prendre en main son verre de gin et de le boire. Il fallait dire que la femme accro aux manteaux de fourrures aimait beaucoup cette boisson alcoolisée. Borealice lui donna son cadeau, et Cruella après cela semblait pleine de joie. C'était une magnifique robe, la femme qui pouvait contrôler les animaux avaient hâte de la porter.

Les deux femmes se levèrent de table, Borealice payant, puis elles s'installèrent près d'une rivière, et alors qu'elles s'embrassèrent joyeusement et passionnément, elles entendirent les miaulements d'un chat.

-Il est mignon, tu trouves pas, ce chat, demande Borealice à Cruella.

Cruella lui sourit. Elle trouve Borealice tellement magnifique lorsqu'elle parle de tout et de rien, là aussi, elle la trouvait très belle.

-Oui, ce petit chat est mignon.

-Tu penses qu'il appartient à quelqu'un, Borealice lui demande, faisant les yeux doux, signe que la femme qu'on surnommait Mademoiselle Noire cherche à amadouer sa petite amie.

Il faut dire que Borealice adore les chats, les trouvant très mignons, et il y en a un qui est juste devant elle. Cruella rigole, trouvant cela amusant. Elle n'avait jamais vue à quel point Borealice aimait les chats avant.

C'était drôle de voir Borealice agir comme cela, enfin c'est ce que Cruella vous répondrait si vous lui demandiez pourquoi elle rigolait.

-Hum...Je pense qu'il est à personne. Regarde, darling, il semble être ici depuis bien trop longtemps. S'il a un maître, alors son maître voulait certainement se débarrasser de lui. Alors, si tu veux le prendre, tu peux. J'espère juste qu'il s'entendra avec mes trois petits chiens, mais ne t'inquiètes pas, ceux-ci ne seront pas un obstacle à la sécurité du petit minou, puisque je peux contrôler les chiens-chiens, réponds Cruella, disant clairement à sa compagne qu'elle pouvait prendre ce petit chat avec elle.

Le chat s'approcha plus encore d'elles, se posant sur les jambes de Borealice en miaulant et en ronronnant. La femme qu'on surnommait Mademoiselle Noire caressa alors le chat, et celui-ci sembla apprécier l'acte.

-On dirait qu'il t'a adopté, darling.

Et le petit couple souria, elles sortirent de table, après que Cruella ait menacé le barman avec ses chiens pour éviter de payer, et le chat, alors, les suivirent jusqu'à la carriole des reines des ténèbres où elles retrouvèrent Maléfique et Ursula.

-Qui est ce petit matou, Ursula demande aux deux femmes, Et vous avez passé un bon petit repas en amoureuses, les filles ?

Maléfique leur sourit, alors qu'elle vit le chat frôler plusieurs fois la jambe de Borealice. Il semblait adorer la femme que certains nommaient la Mademoiselle Noire.

-En tout cas, il a l'air d'adorer tes caresses, Borealice, Maléfique déclare.

Et ce fut comme ça que le petit chat rejoint les reines des ténèbres, prenant particulièrement pour affection Borealice. Oui, ce chat adorait la fille aux cheveux bruns qui voulait se venger d'un mari horrible qui lui avait fait bien du mal. Et c'était partagé. Borealice l'aimait beaucoup aussi.

「FIN」

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