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Chapitre 29

🌟 15 novembre, 6 heures 🌟

— Ouvrez-nous la porte ! Crit une voix qui m'est totalement inconnue.

Je rabâche le drap sur ma tête en grognant, on peut pas dormir tranquille ? Des bruits retentissent comme si on frappait sur une porte en bois. Après quelques coups, je décide de me réveillé. Je me redresse, saisis mon téléphone qui affiche qu'il est six heures. Je ne l'aurais pas deviné avec ce ciel noir.

— Qu'est-ce qu'il se passe ? Demandé-je d'une voix grave à Juvia qui avait passé sa tête entre la porte pour regarder ce qu'il se passe.

— La police est ici, me répond-t-elle simplement sans se retourner vers moi.

Je reste perplexe. La police ? Dans le dortoir ? À cette heure-ci ?
Trop de question, je viens de me réveiller, dire que je comptais faire la grasse mat' car c'est le week-end. C'est raté. Je décide de me lever car c'est -on va se l'avouer- bizarre que la police soit ici.

Je pose le pied au sol qui a pour effet de me faire frissonner, je fouille dans le tiroir de ma table de nuit et attrape une pair de chaussettes que j'enfile ensuite (quoi ? vous n'avez pas de chaussettes dans le tiroir de votre table de nuit vous ?). Je me lève et m'avance vers Juvia, je pose ma main sur son épaule pour voir ce qu'il se passe.

Je constate que nous ne sommes pas les seules spectateurs, d'autres filles avaient ouvert leur porte essayant de comprendre ce qu'il se passe. Dans le couloirs deux policiers tentent de forcer la porte d'une chambre.

— Mademoiselle ouvrez la porte ! Tonne un policier en donnant un coup d'épaule.

C'est pas la chambre de- commencé-je alors que le policier donne un énième coup dans la porte et qu'une voix m'interrompe.

— C'EST QUOI TOUT CE BORDEL ?! La forte voix fait sursauter plusieurs filles dont moi.

Les policiers se stoppent immédiatement.

— Je peux savoir ce que font deux policiers ici ? Sans autorisation ? Demande un viel homme.

Il est petit, mais vraiment petit (il ne doit pas dépasser les un mètre) mais vu son âge et la manière dont il se tient, il n'a aucun mal à se faire respecter.

— Ce serait pas le- je me fais une nouvelle fois coupée alors que je posais une question à Juvia.

— Vous devez être le président de cette université, un des policiers s'approche du petit homme.

— En effet, c'est moi le président Dreyar Makarof, pourrais-je donc savoir quelle est l'utilité de votre présence dans mon établissement ? Questionne calmement le président avec un visage colérique.

— Nous sommes désolés de ne pas vous avoir prévenu de notre visite, nous avons reçu il y a quelques jours une plainte suivie d'une preuve plus que convaincante.

— Qui est ?

— Nous ne pouvons pas en parler pour le moment malheureusement, monsieur, mais vous pouvez nous aidez en nous laissant faire notre travail et arrêter la femme qui se trouve derrière cette porte.

Après cette phrase, un silence s'installe dans le couloir, aucune des filles n'osent parler ou même respirer.

Le président soupire d'un air nonchalant au bout d'un moment. Il s'avance, passe entre les deux hommes et se pose devant la porte verrouillée. Le vieux pose sa main sur la poignée de la porte.

Monsieur... commence un policier.

Quelques secondes après la poignée tombe au sol, comme si elle avait été brisé.

Le vieux se recule, se retourne avant de prendre le même chemin par lequel il était arrivé mais avant ça il dit :

— Faites vite, vous importunez toutes ces jeunes demoiselles, puis il disparaît au fond du couloir.

Les deux hommes ouvrent la porte avant de s'engouffrer dans la pièce, des cris retentissent et des bruits d'objet qui tombent au sol. Quelques curieuses s'étaient approchées pour mieux voir. Juvia est restée devant la porte de notre chambre les bras croisée, je suis restée à ses côtés.

— Minerva Orlando, vous êtes en état d'arrestation. Tout ce que vous direz sera retenu contre vous. Prononce le policier en menotant la brune en même temps qu'ils sortent dans la chambre.

Minerva se débat en grognant, les filles spectatrices se décalent pour les laisser passer. Le policier est même obliger de maintenir la tête de Minerva avec sa main car cette dernière se débat brutalement.

Il passe devant et la brune nous lance un regard meurtrier que j'arrive à apercevoir malgré ses cheveux qui cachent sont visage.

« Tu me le paiera. » j'arrive à lire sur ses lèvres.

Juvia lui fait un sourire avant de lui faire un signe de main, ce qui l'enragé encore plus.

— Désolé du dérangement, au revoir. Lance le policier avant de prendre la direction de la sortie.

Quelques minutes passent puis les filles se regagnent leur chambre en chuchotant.

— Eh bah... je dis en allant m'assoir sur mon lit.

Juvia me rejoins après avoir fermé la porte. Elle esquisse un sourire avant de me prendre dans bras par surprise.

— Euh...  commencé-je surprise par son action.

— Minerva a été arrêté, son sadique copain aussi... C'EST UNE VICTOIRE POUR NOUS !! Crit-elle (comme vous l'aurez deviné) dans mes oreilles.

— Oui ahah... je dit en sentant mon oreille siffler alors que Juvia se détache de moi pour sauter sur mon lit.

La porte de notre chambre s'ouvre laissant apparaître une chevelure rouge.

— Viens te joindre à nous Erza !

La rouge sourit avant de dire :

— Il n'y a plus aucun danger qui menacent mes amies maintenant. T'as raison de fêter ça Ju'.

— Hiiiiii ! Répond cette dernière totalement folle de joie (car elle ne reverra plus Minerva parce que comme vous le savez si bien, elle la déteste).

— Tu as vu ce qu'a fait le président ? Demandé-je à Erza.

— Remarquable ! On voit que ce n'est pas un vieil homme ordinaire, au moins il est digne d'être le président de cette université.

Je sourit en approuvant les paroles de la rouge alors que Juvia fait bouger mon lit à force de sauter dessus.

***

🌟10 heures🌟

— J'en ai marre de l'hôpital !!!

— Oui Mira, on le sait tous... tu le répètes tout les jours. Acquiesce Levy en souriant.

— Oui maiiiiis... la bouffe est DEGUEULASSE PUTAIN, j'en peux plus moi... pleurniche la blanche.

— Je compatis avec toi Mira-nee, justement hier avec Erza, nous sommes allées au KFC, le poulet j'te dis pas ! Ça change du Japon.

Mirajane est à la limite de manger son drap.

— Je sors quand d'ici moi, LUXUS !!

— Pas la peine de crier Mira, grogne le blond. Tu pourras sortir avant Noël, mais tu ne seras pas totalement rétablie.

— M'ENFOU, tant que je sorte... la blanche se prend le visage entre les mains comme pour pleurer.

Juvia éclate de rire sur l'épaule de Gajeel, ce dernier la regarde avec dégoût, je me met à rire à mon tour sur les jambes de la bleu car elle est assise sur un siège et moi je suis au sol (oui oui). Mon fou rire s'arrête mais je reste sur les genoux de Juvia à fixer le vide quand la porte s'ouvre sur Grey et Natsu.

— Voici les boissons ! S'exclame Grey avec des canettes en mains.

Natsu rentre dans la pièce refermant la porte derrière lui puis il distribue les boissons qu'il a dans les mains avec Grey.

— Il me reste que du Fanta qui en veux ? Demande le rose après avoir tout donner.

Juvia m'arrache la canette de Coca que j'ai dans les mains avant de l'ouvrir rapidement pour en boire une grosse gorgée. Je me retiens de l'insulter mais pince son genoux pour lui faire comprendre mon mécontentement.

— Donne, je dis à Natsu en tendant ma main en sa direction tout en levant les yeux en l'air.

Il me tend le Fanta que j'attrape rapidement, j'ouvre ma canette en essayant d'ignorer la sensation que m'a procuré l'effleurement de ses doigts sur les miens.

— Ma partie préférée ! Les signes astrologiques ! S'écrit Lisanna, un magazine en mains.

— Lisanna, moins fort... dit Luxus en levant les yeux en l'air exaspéré de le répéter plusieurs fois.

Alors, capricorne, ah ah ! J'aurais de la chance ce mois-ci !

— Tu es née quand Lis' ? Je demande avant de prendre une gorgée de Fanta.

— Le 12 janvier ! J'adore mon signe il est le symbole de l'endurance, tiens tu es née quand toi, Lucy ?

— Le 24 août.

— Vierge ! Je devais m'en douter ! Tu es une perfectionniste dans l'âme ! Rigole la blanche en tournant les pages de son magazine.

J'apprends que Erza est scorpion, Juvia est balance, Mirajane est gémeaux et Luxus est un bélier ! Grey est poisson et Natsu lion. Je connais déjà les signes de Gajeel, Jellal et Lévy (vu que nous sommes des amis d'enfance je vous le rappelle). Mais je vous le dit quand même, Lévy est un cancer, Gajeel un sagittaire et Jellal un verseau.

Après ça, nous discutons joyeusement jusqu'à oublier que l'on se trouve dans un hôpital.

— Oh mais c'est Natsu ! S'exclame Lis' en faisant les gros yeux devant un magazine.

🔥

— Oh mais c'est Natsu !

La phrase de Lisanna attire aussitôt mon attention. Ses yeux sont rivés sur un magazine « People ».

— Effectivement c'est lui, confirme Erza au côté de la blanche.

— C'est quoi le titre ? Demande curieusement Levy sans pour autant s'être déplacé vers Lisanna.

— « Le fils aîné du grand Igneel Dragneel se fait quelques shooting photos. »

Luxus retient un rire ce qui n'est pas le cas de Grey. Je me lève pour venir voir quelle photo dont il s'agit.

J'étais habillé d'un jean bleu déchiré aux genoux, d'un simple tee shirt blanc et par dessus une veste en cuir et je portais des lunettes de soleil de marque. J'avais les mains dans les poches et donnait l'impression d'être un badboy. Cette photo doit dater d'un an ou deux.

— Plutôt beau gosse le rose... se moque Juvia.

Je lui lance un regard noir.

Étant donné que je suis le fils d'un homme riche, il m'est alors obligé de poser pour plusieurs magazines.

— Il y a d'autres photos ? Demande Lucy alors que je me rassois sur ma chaise.

— Laissez-moi voir ! Se plaint Mirajane. Oh ! S'exclame-t-elle quelques secondes après.

— Vous êtes trop mignon ! Dit Lévy.

Je jette un rapide coup d'œil au magazine.
Ah. Ce n'est qu'une photo de moi avec ma mère et Zelef. Visiblement, nous sommes à une soirée vu que nous sommes habillés soigneusement. Zelef tiens le bras de ma mère et moi je suis à l'écart.

Cette photo aussi date de plus d'un an. Le magazine de Lisanna est une ancienne édition, c'est normal que je m'y trouve. Aujourd'hui c'est plus Zelef qui attire l'attention des médias. Ça m'arrange, je déteste poser pour les shootings.

— Donc... vu que tout le monde est calmé, commence Mirajane en se frottant les mains.

— C'est toi qui était excitée Mira, réplique Lévy.

— Chut, alors je disais... vu que tout le monde est CALMÉ, vous faites quelques pour Noël ? Demande la blanche le sourie au lèvres.

➰➰➰

Heeeeeey ! Vous allez bien ?

Si vous saviez à quel point j'ai des idées pour cette histoire !!

Mais dès qu'il faut que j'écrive je me distraire si facilement s'en est incroyable !

Pfff.

Vous l'avez trouvé comment ce chapitre sincèrement (no vent pls)

J'ai grave l'inspiration pour le prochain chapitre.... un indice ?

Noël, krkrkr

Allez salut !

..:*20/12/2018..:*

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