Chapitre 27
🌟 jeudi, 7 heures 🌟
— C'est quoi ça ? me demande Natsu, un sourcil arqué en me montrant l'objet qu'il tient en main.
Ce garçon me désespère.
— C'est évident, non ? intervient Juvia en lui donnant un tape derrière la tête le faisant grogner.
— C'est l'objet qui servira a enfermé Minerva, imbécile. Soufflé-je en faisant glisser celui-ci sur la table vers lui.
— Aaaah ! il empoigne l'objet avant de le regarder. Comment ça fonctionne ?
Juvia se tape le front.
— Ça n'avance pas, hein ? intervient Levy en posant ses livres sur la table.
— Je l'allume comme ça ? demande le rose.
— Non, ça recule... réplique Juvia en se couchant sur la table, passe un livre Levy.
Cette dernière s'exécute, moi, je soupire. Je prend l'appareil dans les mains de Natsu.
— La, tu vois ? Ça s'allume comme ça, je lui montre le petit bouton servant à mettre en marche l'appareil.
— Je savais... il reprend l'appareil de mes mains.
Je lève les yeux au ciel puis je me lève en prenant mon sac.
— Tu vas où ? me demande Juvia en relevant la tête vers moi.
— Quelque part, je répond puis je m'en vais hors de la bibliothèque.
— Bye bye~ me lance Lévy d'un signe de main.
Je referme les portes derrière moi et j'entame ma route. Je compte changé de filière, la littérature c'est plus trop mon genre. Je laisse ça à Levy.
J'arrive devant des escaliers, je pose ma main sur la rambarde et commence à les monter, je croise différentes personnes. Certaines ont des styles vestimentaires étranges et douteux.
Je juge pas hein.
Plus je m'aventure dans le couloir et plus la décoration change, on passe d'un bois d'une architecture moderne à un style ancien.
Personnellement, j'adore.
Je finis par m'arrêter devant un porte en bois de chêne, dessus, il y a marqué « conseiller d'orientation ». Je frappe quelques coups avant de patienter quelques secondes plus tard une voix m'incite rentrer. J'ouvre la porte et la referme derrière moi avant de m'asseoir sur le (très beau) siège couleur bordeaux.
— Bonjour, je dit à la vieille femme devant moi.
Elle a les cheveux roses qui reflètent du jaune, elle a le regard dur et des yeux de couleur marron/rouge, elle porte aussi des lunettes. Sa chemise blanche kaki lui va parfaitement, je devine facilement qu'elle porte une jupe marron.
Elle a les mains jointes sur son bureau et se tient droite sur son siège.
— Que puis-je pour vous mademoiselle ? dit-elle en penchant sa tête sur le coté.
— J'aimerais changer de filière.
— Celle dans laquelle vous êtes ne vous convient plus ?
— Malheureusement, non.
— Vous êtes dans quelle filière ?
— Littérature. Je répond.
Elle hoche la tête avant de se lever et de fouiller dans l'immense étagère qui recouvre la quasi-totalité du mur qui se trouve à coté de son bureau. Elle empoigne un énorme dossier avant de revenir s'assoir en face de moi.
— Votre nom et prénom ? elle allume son ordinateur en ouvrant le dossier.
— Lucy Heartfilia.
— Hum hum.
Elle fait lentement bouger sa souris d'ordinateur en fronçant les sourcils.
— Lu-Lucy Heartfilia ?
— Oui, c'est à mon tour de froncer les sourcils. Un problème ?
Elle fixe son ordinateur puis rajuste ses lunettes.
— Votre nom me rappelais quelqu'un, oubliez ça.
Elle continue de fixer son ordinateur.
Pourquoi tout je monde réagis bizarrement à l'entente de mon prénom ? Comme Juvia et Mirajane par exemple.
— Quels genres de travail aimeriez-vous exercer plus tard ? demande-t-elle en portant son attention sur moi.
— Aucune idée, (elle fronce des sourcils) à la base je voulais faire libraire ou littéraire ou carrément devenir auteur, mais ce n'est plus d'actualité.
— Je vois, donc vous n'en avez aucune idée, elle réfléchit un moment quittant son ordinateur. Ça ne vous gêne pas de passer un test ?
— Qui consiste en quoi ?
— Eh bien, selon vos réponse nous vous attribuerons un travail adapté si celui-ci ne vous plaît pas vous n'aurez qu'à repasser le test.
Je hoche la tête.
— Quand aura lieu ce test ?
— Dans la semaine, je vous préviendrais ne vous inquiétez pas.
Elle me fait un léger sourire puis elle se lève m'incitant à le faire aussi, ensuite elle me tend sa main que j'empoigne.
— Ah oui, je m'appelle Polyussica, en espérant que cette information vous soit utile dans l'avenir. elle se rassoit.
Je quitte son bureau et colle mon dos au mur à coté de la porte.
C'est bizarre, j'ai comme l'impression....
Qu'elle me connait...
Je hausse les épaules et entame ma route vers les escalier pour quitter l'étage réservé à l'administration. Mais j'ai la surprise de voir Luxus.
Oui, Luxus Dreyar se promener comme si de rien était ici, il n'est même pas inscrit, aux dernières nouvelles.
Je m'arrête pour le dévisager, il lève les yeux au ciel.
— Que fais-tu ici ? je demande en croisant mes bras.
— Pourquoi je devrais te répondre ?
Je soupire, il a raison mais quand même, il n'a rien à faire la.
— Tu n'es même pas inscrit.
Il lâche un rire moqueur.
— Au cas où tu ne l'aurais pas remarqué mais le nom de famille du président de l'université est Dreyar, je te laisse deviner mon nom.
— Mais...
— C'est mon grand-père, t'es contente ? Tu peux me laisser tranquille maintenant.
— Non, je réplique, il soupire d'agacement.
— Tu veux quoi encore ??
— Pourquoi t'es ici ? Si c'est ton grand père t'as tout le temps de la voir, pourquoi maintenant ? je demande en arquant un sourcils pour bien l'énerver.
— Ok ok, il passe une main dans ses cheveux avant de croiser ses bras. C'est pour Lisanna, Mira veut qu'elle s'inscrive ici et je suis juste allé demander un traitement de faveur, contente madame je-me-mêle-de-ce-qui-ne-me-regarde-pas ? il croise ses bras, me surpassant de toute sa hauteur.
— Aaaah, tu pouvais le dire plus tôt ! Je souffle. Tu t'énerves pour rien en plus.
— Ouais ok, salut. il s'en va.
Il s'est mis en colère tout seul, on est d'accord ?
🔥14 heures🔥
C'est tout heureux que je quitte la salle de cours.
Heureux ? Cours ? Moi ?
L'auteur raconte que de la merde, c'est simple (en plus elle sait même pas écrire).
Ahem... Je quitte la salle accompagné de Jellal qui me quitte bien vite pour aller dans sa chambre. Lâcheur.
Je suis tenté de faire la même chose maiiis... Je dois enfermer une folle. Quand je dis folle je parle de Minerva évidemment.
À l'heure actuelle, elle doit se trouver dans les couloirs. J'entame ma marche vers les amphithéâtres. Je touche ma poche et sens bien l'objet que l'on m'a donné ce matin.
Les filles se sont tués pour m'apprendre à utiliser ce truc. C'est pas ma faute si c'est compliqué aussi. Elles sont drôles elles.
Aaah, tant que j'y pense, nous sommes déjà en octobre, bientôt les vacances. Et surtout n'oublions pas que c'est Halloween !
Sauuuf que.
Moi je compte pas retourner avec les gens qui m'ont élevé, ou peut-être une petite visite à Yögan. Uniquement pour elle.
— Oh Natsu ? Tu peux plus te passer de moi c'est ça ? fait la voix détestable de Minerva.
« Débrouille toi pour te retrouver seule avec elle. » Cette phrase me revient soudainement.
— Exactement, je répond sans réfléchir, elle glousse.
Respire Natsu.
Elle enroule ses bras autour de mon cou avant de me murmurer à l'oreille.
— Tu t'es rendu compte que cette blonde ne valait rien ? Je fronce des sourcils, je m'apprête à la repousser.
« On doit avoir les preuves au plus vite. » fait la voix de Lucy dans ma tête. Je lève les yeux au ciel et la repousse doucement.
— Ç-Ça te dirais de... d'aller dans un endroit plus tranquille ? Je demande, elle me sourit avant de saisir mon col et de me tirer quelques mètres plus loin.
On se retrouve dans une pièce, qui semble être une salle non attribuée.
Je m'assois sur la table qui se trouve au milieu de la pièce puis je cherche l'objet qui est dans la poche de ma veste en cuir qui se révèle être un dictaphone.
Minerva ferme la porte derrière elle avant de venir vers moi. Elle passe ses mains sur mon torse et écarte ma veste. Je la stoppe net avec ma main.
— J'ai deux trois petites questions à te poser d'abord. Je déclare, elle lève les yeux au ciel. Qui était Hibiki pour toi ?
Elle parait surprise, j'en profite pour mettre le dictaphone sur enregistrement, elle se reprend.
— Je vais pas te mentir, un vulgaire jouet que je manipulait à ma guise. la brune passe une main dans ses cheveux. Lui et moi on avait les mêmes centre d'intérêts.
— C'est à dire ?
— Faire du mal au gens. (Cette fille est folle ou quoi ?) Je connais Hibiki depuis le lycée et comme tu le sais, il a kidnappé une fille, c'était mon idée, la torturer était une expérience très réjouissante. (Elle passe son doigt sur mon torse.) Voir son visage si pure se tordre de douleur... (Je saisis son poignet.) J'ai déjà tué quelqu'un.
— Pardon !? Je m'écris avec des sueurs froides, folle qu'est-ce je disais ?
— Ohh, (elle se défait de mon emprise sur son poignet pour caresser ma joue.) C'était ma mère, dit-elle d'une voix froide. Elle faisait très mal son rôle d'épouse, parfois j'ai honte de la ressembler autant. Elle était contraire au idéaux de mon père et faisait tout pour l'arrêter.
— Il-Il faisait quoi ton père ?
— Des trafics en tout genre parfois illégaux mais ça apportait de l'argent à la maison. Mais cette conne de femme ne voulait pas de cet argent "sale". Un jour, elle s'est disputée avec mon père, j'ai juste fait ce que mon paternel aurais du faire. Un accident est si vite arrivée, elle est morte électrocuté dans sa baignoire, tu devines bien que c'est grâce à moi, elle me sourit mais moi je me sens pas bien du tout. Depuis tout va bien dans ma famille, je vis heureux avec mon père. Et puis je ne sais pas par quel moyen mais il a réussi à nous fiancer. Son pouce effleure ma bouche, il a peut-être menacer ton père, un rire mauvais s'échappe de sa bouche.
Mais j'ai tout, sauf envie de rire.
— Mais tout ça on s'en fout non ? Tu voulais que l'on sois tranquille alors on peut... elle commence à passer sa main sur mon torse tout en descendant plus bas.
Je la stoppe en me relevant.
J'ai eu tout ce que je voulais, j'ai plus rien à faire ici, moi.
— Je viens de me rappeler que j'avais quelques choses de prévus, je me dirige vers la porte, on remet ça à plus tard, hein ? Je lui fait un signe de main et quitte le la pièce dans demander mon reste.
Je souffle une fois à l'extérieur, sauvé de cette folle, je prends le dictaphone dans ma poche, je souris en voyant qu'il a bien tout enregistré.
Je me hâte d'aller le remettre à une personne en particulier.
♡゚・。。・゚♡゚・。♥。・゚♥
Vous pensez que j'ai mis du temps à sortir ce chapitre ?
Bref désolé pour ceux qui ont reçu la notification du chapitre publié, en fait c'est pour doigt qui a glisser (je voulais juste ouvrir un snap (╥_╥))
Ce livre est un peu mal organisé pour moi, mais vous, vous en pensez quoi ?
J'ai envie de faire les choses rapidement comme vous j'en ai marre d'attendre >:( (sauf que moi c'est l'inspiration que j'attends mdrrr)
Bon je vous laisse mes amour j'ai un chapitre à écrire, des devoirs à faire(mdrrr), des livres à lire et une tête à coiffer ! ❤
.。.:*✧24-10-2018.。.:*✧
(Je marque la date on sait jamais u.u)
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