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Chapitre 1

10 heures du matin

Tu comptes vraiment partir ?

Je soupire et me retourne vers la petite fille tout en rangeant mon tee-shirt dans ma valise.

Oui, je suis désolé. Wendy...

Wendy est ma voisine d'en face, j'ai l'habitude de jouer avec elle et de traîner avec son frère Jellal, mon ami d'enfance.

Alors... avec qui je jouerai, qui me consolera quand j'en aurai besoins, hein ? Lucy !

Elle se réfugie dans mes bras, en pleure. Oui, je suis contente de partir mais, je ne pensais pas à ça non plus.

Tu es irremplaçable Lucy !! Ne t'en va pas je t'en supplie !

Pardonne moi, je...

Je suis interrompue par ma mère qui claque la porte de ma chambre en l'ouvrant.

Vos gueule les chialeuses !!! Wendy ta mère t'attend dehors, dégage !

Ne la parle pas comme ça, Layla. J'ordonne en défiant ma mère du regard.

Et sinon quoi , hein ?! (Elle se rapproche de nous.) Ici, c'est chez moi ! Je parle comme je veux à tout le monde car c'est moi qui décide, ok ?!

Elle saisit la petite bleu toujours en pleur par le bras et la sort de ma chambre, je l'entend descendre les escaliers puis la porte claquer. Je me remet à préparer mon sac quand Layla se positionne à l'entrée de la porte.

Demain, tu fous le camps ! Crache-t-elle. Cette maison sera pour moi toute seule ! De l'air !

Elle jette sa vieille cigarette avant de s'en aller. Au fond, je me fous de ce qu'elle fait, pense ou dit depuis qu'elle a signé les papiers, elle ne représente plus rien pour moi... Je n'ai pas besoins de prostituée comme elle.

Je sort de ma chambre et me dirige vers le salon je vois ma mère dans le canapé entrain de dormir. Je lui tape la tête avec la carte pliée que j'avais entre les mains.

P'tain ?! T'es conne ou quoi ?!

Je hausse les épaules et lui dit :

Voici le chemin de l'université, je ne veux pas que tu me perdes non plus.

Ta gueule ! Râle-t-elle en se rendormant.

Je lève les yeux au ciel puis je remonte dans ma chambre pour finir de préparer mes valises.

🔥10 heures du matin🔥

Je suis dans ma chambre pensif. J'ai préparé mes valises depuis un bail déjà. Je me relève et vois ma porte entrouverte.

— Je sais qu'il y a quelqu'un ici ! Casse toi !! Je râle.

J'entend comme un ricanement, puis ma porte s'ouvre totalement.

— Zelef... Dis-je en soupirant.

— Bonjour ! Rit-il. Toujours aussi mal élevé !

— Tu veux quoi ?

— Hum... Il s'assoit sur la chaise de mon bureau. Tu comptes vraiment partir ?

Je soupire et m'assois sur le rebord de mon lit en fronçant des sourcils.

— Ça ne te regarde pas ! Je lance. Pfff.... de toute façon t'es trop con pour comprendre ça !

— Toujours aussi aimable avec ton petit frère ! Il rajoute. Hein ?!

— P'tain ! T'es vraiment chiant des fois ! Vas-y casse toi, t'a rien d'autre à faire non !? Je sais pas t'occuper de ta copine.

Il me regarde amusé. Zelef est mon petit frère, il a deux ans de moins que moi.
Quelque fois j'ai envie de le frapper. Car pendant que moi j'étais délaissé dans cette putain de maison, lui il est apparue comme une fleur ! Et là mes parents, comme par hasard, il décident d'être beaucoup plus présent ! Le pire, c'est qu'il en est conscient et ça ne le gêne pas le moins du monde.

— Tu parles de Mavis ?! Ah ! Oui c'est une petite amie en or ! Tiens, toi aussi tu devrais t'en trouver une ! Non ?

Je serre les poings.

— Casse toi j'te dis, tu veux que j'te frappe ?!

Je me lève prêt à exécuter mon action, mais il me devance en quittant ma chambre avant d'ajouter :

— A la prochaine "nee-san" !

Je frappe mon poing sur le bureau.
Pfff... Demain j'me casse, ah ça oui ! J'm'en vais !

***

**

*

8 heures du matin

Aujourd'hui c'est le grand jour ! Je suis si heureuse ! Je pars enfin vivre ma vie !

Je m'enferme dans la salle de bain, j'en ressors habillée de ma robe rose préférée qui m'arrive aux genoux. Je me place devant mon miroir pour observer l'état de ma tête. 

Olala, ça va pas là.

J'attrape une brosse sur l'étagère puis démêle mes cheveux.

Eh ! La gosse ! Tu fous quoi là ?

Layla crie depuis le salon me montrant bien son impatience.

Je ferme les yeux, prend un élastique et attache ma chevelure blonde en queue de cheval. Je ressort de la salle de bain et prend ma valise sous mon lit. Je descends les escaliers.

Je suis prête. Dis-je.

Elle me dévisage un moment avant de dire :

Pfff... 

Je connais ce silence, elle me juge.

Je n'ai pas besoins de ton avis de toute façon. Dis-je d'un ton neutre.

Je tourne la tête et sort de la maison pour m'engouffrer dans la voiture. Elle me rejoins beaucoup plus tard une veste en cuir sous la main. Elle s'installe puis me regarde bizarrement.

Qu'est-ce que tu as ?

Mets toi derrière, ça va pas le faire.

Je lève les yeux et écrase le plan sur ses jambes avant de sortir de la voiture pour aller m'assoie à l'arrière. Elle se moque d'une manière hautaine avant de démarrer.

Sur la route, elle me crache que je pouvais faire ce que je voulais dans le bahut, elle s'en ficherai totalement. Pff... Elle me prend sûrement pour elle. Je ne suis plus une gamine en pleine crise d'adolescence, moi !

🔥7 heures du matin🔥

Je regarde l'horloge, baille et me dirige vers la cuisine. Super ! Ma mère est là.
Elle m'adresse un sourire et va s'asseoir à table.

— Désolé, si elles t'ont réveillé aussi tôt. (elle parle des domestiques)

Je hausse les épaules et elle baisse la tête avant de manger son pain au chocolat (ou chocolatine, c'est vous 😕)

— Tu veux vraiment partir ?

Je soupire et m'assois à mon tour.

— Ça va, hein ! Tu as Zelef ! 

— Zelef, et toi vous n'êtes pas pareil, tu ne comprends donc pas ?

— Je comprend parfaitement maman ! Je l'ai compris depuis que ce p'tit con est arrivé...

— Arrête ! Me coupe-t-elle. C'est ton frère quand même !

— Il ne l'a jamais été pour moi. Dis-je en m'en allant.

Je sors de la cuisine et croise Yögan (ça se lit yougane).

— Vous allez bien Natsu-sama ?

Je lui adresse un sourire avant de m'en aller dans ma chambre. Yögan est la seule domestique sur qui je peux compter. Quand mes deux géniteurs étaient au travail, elle s'occupait de moi comme si j'était son propre fils.

***

— Natsu-sama ? Votre voiture est prête !

Je sors de ma chambre habillé d'une veste en cuir et d'un simple jean.

— Merci, Yögan !

Je prend mon sac et quitte ma grande demeure pour m'engouffrer dans la limousine. A ma grande surprise mon père est là.

— Je me demandais où tu étais ? Dis-je en balançant mon sac sur la banquette en cuir.

Il soupire avant de dire au chauffeur de démarrer. Mon père re-soupire avant de me dire :

— Quand on seras là bas, ne fais pas de bêtises.

Je lève un sourcil avant de dire :

— Ok.

Pour qui me prend-t-il ? 

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