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—CHAPITRE QUATRE—




-⍟-
≛⋆.
'⁎
.✩

-⍟-


MELEK HAWKINS



ASSISE SUR UNE CHAISE, LE VISAGE FERMÉ, ET LE PIED BOUGEANT DE HAUT EN BAS, JE ME FAISAIS GRONDER COMME UNE ADOLESCENTE.
Et ça, malgré les explications que j'avais fournie juste avant.

« C'est inadmissible ! Vous devez faire face à tout, dans le respect ! » cria mon supérieur

Cette homme me tordait le bras et je devais sourire —c'était hors de question. Je n'étais pas le genre de personne à tendre l'autre joue.

« Cet homme a levé la main sur moi. Et il a tenu des propos racistes. » me justifiais-je

Son visage s'adoucit tout de suite.

« Je sais bien que vous n'êtes pas en tort, mais les gens en haut de moi n'essayeront même pas de vous comprendre. Et je suis très satisfait de votre travail, mademoiselle. Ce serai dommage de vous virer. Vous comprenez ? » me demanda t-il

« Oui, bien sûr. » répondis-je résignée

« Mais je vais essayer de m'expliquer avec eux, pour éviter une sanction inutile. »

En sortant du bureau, je percutai quelqu'un : Penelope. On discuta et elle m'expliqua que les supérieurs sont plutôt sexistes, et ça serai possible qu'ils soit même raciste. On dû rapidement se remettre à travailler, mais ma discussion avec le colonel resta encrée dans ma tête. Il est possible que l'on me renvoie pour quelque chose de débile, mais je ne le saurai pas avant une semaine, puisque que tout les chefs sont à un réunion je ne sais où.

Je désinfecte des blessures toute la journée, en tâchant d'éviter les regards noirs que me lançait le raciste. Il a dû sûrement se faire remonter les bretelles. Ma brûlure à la joue -que je n'avais toujours pas désinfecter- me procura une douleur aiguë toute la journée après l'avoir effleuré accidentellement. Je grogne, alors que mon ventre gargouilla encore, me provoquant une violente nausée.

C'est sûrement ces sexistes de supérieures qui ne veulent pas engager d'autres infirmières. Tellement le personnel est minime -une dizaine-, cela fait quelques semaines que je n'ai plus de pause la journée. Et je ne parle même pas de Penelope qui passe ces journées à courir de partout en donnant des directives.

Je range le matériel en fin de journée, quand une voix derrière me fit sursauter.

« Salut p'tite tyran. » s'exclama James, avec un petit un sourire en coin
« P'tite tyran ? » l'interroge-je le sourcil droit levé
« Tu aurai pu tuer Bradley si on ne  t'avais pas retenue. »
« On se tutoie maintenant ? »
« Je dirai bien non, si j'étais un gentleman, mais puisque tu ne tombe pas sous mon charme, on peut se tutoyer. » répondis t-il en m'aidant à tirer le chariot jusqu'à la salle de rangement. « Alors il c'est passé quoi  avec Bradley ? » continua t-il
« Il m'a traité de sale arabe. »
« Je l'ai toujours détesté. » dit il amèrement

Le matériel rangé, nous discutons jusqu'à être coupé par un gros bruit, suivi des ampoules s'explosant, les bouts de verres s'écrasant contre le sol.

Dans le noir complet, je ne vis pas la main de James prendre la mienne pour m'aider. Il sorti un briquet, créant un peu de lumière pour éclairer la pièce.

« Ça va ? » me demanda t-il
« Oui. Je n'ai pas peur du noir. »
« Moi si. »

Mes sourcils se froncèrent. Je ne pensait pas qu'il puisse avoir peur du noir. Je ne peut me moquer, je suis un peu claustrophobe sur les bords.

« Il y a peut-être une invasion, je veux que tu te cache et que tu fasse attention. D'accord ? » murmura t-il
« Non. Je ne vais pas me cacher. » réplique-je en m'arrêtant alors que le brun souffla.

On s'avança dans la pièce étroite pour nous diriger dans le laboratoire de Stark, le seul endroit sûr en cas de fusillade. Tout le monde était déjà arriver, nous devons fermer la porte. Mais avant que je puisse le faire, James me poussa dans le laboratoire, avant de sortir et fermer la porte derrière, allant sûrement mettre sa tenue pour nous protéger en cas d'invasion. Je tape contre la porte métallique fermer à clef, en l'insultant de tout ce qui me passe par la tête.

Penelope me calma, en m'emmenant vers des tapis installé à côté de bougies, pour se réchauffer. Des bruits de tirs résonnèrent, alors que certaines infirmières ainsi que quelques scientifiques se mirent à pleurer.

« Doucement, on va se faire repérer. » chuchota fermement Howard Stark
« Les filles, doucement. » répéta Penelope en rougissant
« Merci. Vous êtes ? »

Son sourire charmeur a déjà fait fondre P. depuis longtemps. Je le sens à 50 mètres de distance. La salle semble vide grâce au silence qui l'imprègne, un silence cassé par quelques couinements de peur à chaque balle de fusils s'échappant.

Ma tête appuyé sur le mur à côté de la porte, j'observe la pièce me faisant penser à certains films de science-fiction.

Un bruit nous fis tous retenir notre respiration: des bruits de pas en face de la porte. Tout le monde se cacha, mais par manque de place, Penelope, Howard et quelques personnes et moi sommes résignés à se cacher derrière un petit meuble, à côté de la porte.

La poignée bougea de haut en bas avant d'être lâcher. Quand les bruits de pas furent éloignés, nous pûmes enfin respirer, et la boule bloquée dans ma gorge s'estompa.

Mais la porte s'ouvrit à la volet sur un soldat allemand armée, après que la poignée fut explosé grâce à une balle.

Il pointa son fusil sur du vide, puisqu'il n'aperçu rien, tout le monde caché. Mais un demi-tour sur lui même, et je suis morte. Alors sous l'adrénaline et une impulsivité forte, je récupère dans la main de ma patronne une clé à molette, et sauta sur l'homme lui assénant un coup sur le derrière de la tête.

Sur son dos, je ne l'aperçu pas me donner un coup au flanc avec son arme. Une sensation de brûlure me prit les côtes, me coupant de la situation pendant quelques secondes. Le soldat me récupéra alors que je m'échouais contre le sol, la respiration saccadée, et me colla le dos à son torse, pointant son arme sur ma tempe. Je n'avais même pas peur de mourrir, sans doute grâce à l'hormone du danger circulant dans mes veines.

Le bruit d'une arme à feu résonna dans tout la pièce, suscitant des cris de quasiment toutes les personnes dans la pièce, et quelques secondes après une douleur au bas dos me fît grincer des dents, alors que mon agresseur s'écroula au sol dans un bruit sourd.

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