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—CHAPITRE TROIS—




-⍟-
≛⋆.
'⁎
.✩

-⍟-


MELEK HAWKINS



LE VENT ME FIT HÉRISSER LES POILES, ALORS QUE JE ME FROTTAIS LES BRAS DANS L'ESPOIR DE ME RÉCHAUFFER UN PEU. Malgré mon polaire, la fraîcheur de la nuit réussissait quand même à s'infiltrer, effleurant alors ma peau.

L'heure sur ma montre affichais deux heures quarante. Tout le monde dormait. Ce n'était pas étonnant, les soldats avaient passé la nuit à faire la fête, et certaines des infirmières les avaient accompagnées. Le réveil sera dur.

Assise sur l'herbe fraîche, je contemplait les étoiles, les ayant jamais vu aussi bien à cause de la polution lumineuse. Tout était noir, et la seul choses qui éclairait la nuit sombre, c'était ma petite lampe torche.

Je n'arrivais pas à dormir. Morphée n'était pas décidée à venir m'enlacer. Alors je cogitait. Et si il y avait bien une chose qui prévoyait une mauvaise semaine, c'était de trop réfléchir. De plus la nuit noir ne m'aidait pas à trouvé le sommeil.

Je tournait la tête rapidement quand un bruit me fit sursauter. Une ombre se dessina dans la nuit noir, une ombre qui est tout simplement le sergent Barnes, celui qui m'avait aidé auparavant.

« Salut. C'est beau non ? » dit-il en désignant le ciel

« Pas faux. »

Il s'assit à mes côtés, en me regardant d'un regard que je connaissais assez pour mettre de la distance entre nous.

« Arrêtez de me regarder comme ça. »

« Je ne fais rien. » répliqua t-il en accentuant son regard.

« Sa ne sers à rien de me faire ce regard de... séduction. »

Il ricana.

« Me suis-je fait repérer ? »

« Totalement. »

Ce regard ne marchait pas, je n'étais
pas dupe.

« Je ne vous ai jamais vu avant. Vous êtes nouvelle. »

J'hochai la tête, sa phrase sonnant plus comme une affirmation qu'une question. Je n'étais pas très bavarde étant de nature pas  sociable —voir renfermer ou peut-être trop méfiante.

« Vous ne dormez pas... » me questionna t-il en laissant sa phrase en suspens

« Melek. Et non, je n'y arrive pas.»

« Melek. Un magnifique prénom.»

Cette fois il était honnête, il n'avait plus cette air d'homme à femme collé au visage, me rassurant alors.

« Et vous Barnes ? » demandais-je

« Je m'appelle James, et je n'ai plus vraiment l'habitude de dormir sur mes deux oreilles, même ici. »

C'était évident que le front laissait des séquelles réparables avec l'habitude mais aussi irréparable. Mais bizarrement j'étais intrigué. Il s'allongea sur la terre, en regardant le ciel à son tour.

« C'est comment le front ? » interrogais-je

« Horrible et traumatisant. » me dévoila t-il d'un traite « Mais ça en fait grandir plus d'un et nous fais apprécier ce qu'on a. » continua t-il

Je le regardais, attendant la suite.

« C'est à dire... je- ça nous apprend à profiter du moment présent. Là, je me confie à une inconnue, à... » il regarda l'heure sur ma montre « Trois heure trente-deux du matin et ça ne me dérange pas. Ce moment est peut-être le dernier que je passerai dans le calme donc autant profiter. » continua le brun

On passa la nuit à débattre sur des films ou même de la musique. Jusqu'à que la fatigue soit trop forte et qu'on aille se réfugier dans nos chambres respectives. Barnes était plutôt gentil, moi qui le penser bêta, je m'étais trompé, et ça même si il avait des goûts musicaux douteux. Vers quatre heure Morphée eu raison de moi, pour deux petites heures de sommeil.

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MA QUEUE DE CHEVAL SE BALANÇANT AU RYTHME DE MES PAS, AUSSI RAPIDE LES BATTEMENTS DE MON COEUR.

Cette matinée à été mouvementée, j'étais épuisée, et ma courte nuit n'arrangeait évidemment pas les choses. J'allais devoir combattre contre la fatigue et la faim, puisque il y avait tellement de monde que je ne peux me permettre de prendre ma pause. Et en plus de tout ça, les infirmières ayant fait la fête hier, sont toutes incapables de gérer leurs patients de la bonne manière. Mes nerfs n'allait pas tenir toute la journée sans exploser. C'était un fait établi.

Heureusement, quelques heures après le calme repris, et on put enfin aller déjeuner. Pendant la discussion avec plusieurs infirmières, on était venu aux origines de mon prénom, peu commun en Amérique.

« Je suis à arabe, mais je n'y suis jamais aller dans mon pays d'origine. » répondis-je

« J'aurais rêvé avoir une origines. Je suis américaine de souche, donc aucune vacances dans un pays d'origine. » dit une des infirmières

J'haussai les épaules. Je ne savais même pas de quelle pays mon père était originaire, alors mes origines n'avait pas vraiment d'importance.

Après ça, nous allâmes vérifier l'état des malades, mais en m'approchant de mon patient, il éloigna mon bras avec que je ne touche son pansement.

« Je refuse être touché par une sale arabe. » cria l'homme que j'avais sauvé d'une balle un jour avant

Je m'approchai encore de lui, ignorant sa remarque, mais il m'attrapa le bras pour le serrer.

« Lâchez-moi. » dis-je calmement

J'étais patiente, mais si il ne me lâchait pas rapidement, son bras allait malencontreusement se retrouver en angle droit. C'était une promesse.

« Sale bougnoule ! »

Alors que j'allais me jeter sur lui, plusieurs infirmières, dont Penelope, me retinrent. L'homme aussi commença à se jeter sur moi, pour me frapper de je ne sais quelle manière, puisqu'il était censé être alité.

Mes muscles tremblaient de colère, je voyais rouge. Je savais que je risquais ce travail à répondre à cette homme mais je ne le laisserai pas me manquer de respect.

Le colonel arriva, un visage déformé par la colère, suivit de près par James.

« Hawkins dans mon bureau tout de suite ! »

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