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Part 77 : Naughty

La poussée de dents d'Eden le rend vraiment grognon,
Donc dernièrement il fait beaucoup de caprices à cause de la douleur et il demande deux fois plus d'attention de ma part, du coup je fais tout pour être à la hauteur.
Là par exemple il est un peu plus de 23h, et j'essaye de le faire dormir.

Je marchais dans la pièce avec lui dans mes bras,
En lui chantonnant des chansons que ma mère nous chantait enfant.
C'est pas pour dire, mais si je n'aimais pas autant la mode j'aurais vraiment pu être une chanteuse. Bah quoi ? J'ai une belle voix.
Bref.

Après plusieurs minutes,
Mon fils a finit par s'endormir,
Donc je l'ai posé dans le lit en mettant quelques oreillers autour de lui, histoire d'être sûre qu'il ne tombe pas avec toutes les acrobaties qu'il a tendance à faire en dormant.
Suite à cela je me suis mise à déjà ranger mes bagages,
Parce qu'on part demain soir et je sais que je n'aurais pas le temps de le faire dans la journée, vu qu'on compte faire des tas de choses pour notre dernière journée ici.

Je me suis ensuite rendue sur la terrasse de la villa,
Où se trouvait Saint dos à moi, au téléphone depuis tout ce temps.
Je me demandais bien à qui il peut parler depuis si longtemps, car ça doit bien faire une heure qu'il est en conversation téléphonique. Si ça se trouve c'est son plan cul....
D'ailleurs ça me fait penser que j'ai complètement oublié de lui demander par rapport à ça. Heureusement il n'est jamais trop tard dans la vie.

Quand il a tourné la tête un instant il remarqua ma présence,
Donc il a raccroché pour se diriger vers moi.

Moi : Bah dis donc, lançais-je pour le taquiner. Tu en as de longs appels, toi... Laisses-moi deviner ! C'était ton plan cul mannequin, c'est ça ?

Saint : Tu as tout faux, babe. C'était Chi. Elle se sentait mal parce que nos parents ont eu une énième dispute plutôt violente tout à l'heure et ça l'a vraiment inquiétée. J'essayais de la rassurer et on a finit par parler de tout et de rien sans voir le temps passer. La famille...

Moi : Oh, je vois.

Saint : Le petit s'est endormi ?

Moi : Mmh, marmonnais-je. J'ai du lui masser la gencive pendant un quart d'heure, le pauvre.

Saint : Le médecin a dit que ça devrait bientôt passer, donc il ne devrait plus souffrir trop longtemps.

Tant mieux, parce que ça me fait trop de la peine de le voir grognon comme ça.
Je me contentais de sourire.

Saint : Tu comptes te coucher maintenant ?

Moi : Non, répondis-je.

Saint : Cool. Dans ce cas ça te dit d'aller se poser dans le jacuzzi ? On prend à boire, à fumer, à grignoter et de la musique.

Pour être honnête avec vous,
J'hésitais un peu parce que je savais que c'était trop de tentation, et j'essaye un peu d'éviter ça depuis la dernière fois. Seulement vous me connaissez, je ne fais jamais ce qu'il faut... donc j'ai tout de même accepté. C'était plus fort que moi il faut croire.

Saint : Je préviens le personnel pour qu'ils nous mettent ça en place, on va se changer et on se rejoins ?

Moi : Ça marche.

Je suis allée enfilé un maillot de bain et un chandail,
Puis j'ai du m'attacher les cheveux et faire quelques petits trucs vite fais avant de le rejoindre. Monsieur ne m'avait même pas attendu hein, il était deja dans l'eau à allumer un joint.

Moi : Quel galanterie... râlais-je en entrant dans le jacuzzi à mon tour.

Saint : Je me devais de tout tester avant ton arrivée donc techniquement, oui, je suis galant.

Je levais les yeux au ciel.

Moi : N'importe quoi, crachais-je d'un air ennuyé.

Il se mit à sourire en coin.

Saint : Dis donc miss j'aime m'exhiber, c'est moi ou depuis un moment tu ne mets plus tes bikinis microscopiques d'avant ?

Je baissais les yeux vers l'eau un instant,
Avant de relever lentement les yeux.

Moi : J'ai une horrible cicatrice sur le ventre et c'est pour ça que je ne met plus que des maillots de bains un pièce pour l'instant, avouais-je d'une petite voix.

Saint : Ah merde. Je suis désolé, j'aurais pas dû dire ça. Je voulais juste te taquiner un peu, c'est tout.

Moi : C'est bon, dis-je. Je devais me la faire retirer au laser dans quelques jours, mais avec le travail qui m'attend avec Vogue je vais devoir repousser.

Saint : Tu ne veux toujours pas en parler ?

Moi : Parler de quoi ? Interrogeais-je, sourcils froncés.

Je savais bien à quoi il faisait allusion,
Mais je voulais faire diversion.

Saint : De tout ce qui t'es arrivé, babe. Tu sais que je suis là pour toi et que jamais je ne te jugerais. Tu peux te confier à moi n'importe quand et pour n'importe quoi.

Moi : Je n'ai rien à dire d'autre que ce que j'ai déjà dis et je vais bien, crachais-je froidement.

Je lui ai arraché le joint des mains pour pouvoir fumer,
Ensuite j'ai bu un peu de champagne.

Saint : Tu dois mettre des mots sur tout ce que tu ressens, Jam. Tu gardes tellement de choses en toi, ce n'est pas bon. Il faut que tu en parles, et moi je suis là pour ça. Pour t'écouter, pour t'épauler, et pour te consoler.

Moi : Je ne veux pas en parler Sainty, répétais-je fermement.

Je sais qu'il le fait d'une bonne intention,
Mais repenser à tout ça me fait souffrir et je ne veux plus être une fragile.
Je dois aller de l'avant et pour moi c'est du passé.

Saint : Babe-

Je le coupais net.

Moi : Arrêtes ! M'écriais-je, agacé. Qu'est-ce que tu comprends pas dans « j'ai pas envie » ?! Pourquoi t'es toujours autant insistant ? C'est chiant à la longue, tu te-

Il m'interrompit brusquement en plaquant ses lèvres sur les miennes après m'avoir attrapé par la nuque. J'avais tout de suite remarqué que ce baiser était plus fougueux et féroce qu'autre chose, donc je me suis prêté au jeu en répondant à son baiser. J'ai finis assise à califourchon sur lui avec une main sur son torse et l'autre dans ses cheveux, tandis que lui avait une main sur ma taille et l'autre qui descendait progressivement sur mon derrière.

La tension est rapidement montée, et la chanson  qui passait actuellement était juste parfaite pour pimenter les choses plus qu'elle ne l'était déjà.
Saint était plutôt tactile, et moi aussi je ne me gênais pas. Pendant un moment il a voulu me mettre un doigt mais je me suis rapidement raidie parce que ça me rappelait Rifat, donc je lui ai tout simplement fait croire que je n'aimais pas ça pour qu'il arrête.

En retour, pour ne pas qu'il y'ait de malaise j'ai passé ma main sur son short de bain, sentant déjà la bosse qui se formait progressivement de l'autre côté du tissu. Je me mordais la lèvre en me rappelant à quel point j'avais été choqué en voyant la taille et la grosseur de son membre l'autre jour. Je me doutais que la nature l'avait bien gâté, mais je n'aurais jamais cru qu'il en aurait une aussi... imposante. Je ne peux qu'imaginer ce que ça donne quand il est excité.

J'ai baissé son bas afin de prendre son sexe en main, puis sans attendre je me suis mise à lui faire une fellation. Plus j'entendais ses soupirs de plaisir, plus j'avais envi de lui. Ça devenait incontrollable. C'était comme une pulsion que je ne pouvais absolument pas contrôler, et je crois que lui non plus.

Je me redressais ensuite,
Avant de le regarder droit dans les yeux.
La petite bouille qu'il avait après la gâterie que je venais de lui faire était trop craquante, soit dit en passant.

Moi : Tu veux vraiment qu'on aille plus loin que ça en sachant tout ce que ça encoure, darling ? Demandais-je, sérieusement.

Il aspirait la peau de mon cou,
Tandis que je basculais la tête en arrière.

Saint : Toi tu le veux ?

Typique des mecs de retourner la question.

Moi : Je crois, soufflais-je entre deux soupirs.

Saint : J'ai jamais eu autant envie de quelqu'un de ma vie, alors ouais que je suis sûre.

Moi : Mais tu es conscient que c'est juste du sexe et rien d'autre, hein?

Saint : Shhht. Tu parles beaucoup trop bébé. Je sais. Arrêtons de jouer au chat et à la souris parce que ça me rend complètement fou...

Sa voix rauque me titillait encore plus.
On s'est de nouveau embrassé sauvagement.
À ce moment là on était bien conscient du fait qu'on avait bien trop envie l'un de l'autre pour faire marche arrière, donc il m'a prit par la taille avant de sortir avec moi dans les bras de l'eau, attrapant au passage l'enceinte à musique. On s'est rendu dans sa chambre, et il m'a délicatement posé sur le lit avant de se placer au dessus de moi, parsemant mon corps de baisers mouillés qui me procuraient des tonnes et des tonnes de frissons à la fois.

Il a commencé à baissé les bretelles de mon maillot de bain, alors j'étais assez anxieuse parce que jusque là personne d'autre que moi n'avait encore vu ma cicatrice et j'appréhendais un peu. Je crois qu'il a capté parce qu'il prenait son temps, tout en mordillant le lobe de mon oreille.

Saint : Détends-toi... ce n'est que moi. Avec ou sans cette cicatrice tu reste magnifique, Jamilla. Ne laisse jamais rien ni personne te faire douter de ça, d'accord ?

J'hochais timidement la tête,
Sans le quitter des yeux.

Ma poitrine à présent dévoilée à lui, il ne tarda pas à l'embrasser pour ensuite me retirer totalement mon maillot de bain. Je l'ai déshabillé aussi, jusqu'à ce qu'il reprenne le dessus en me plaquant sur le lit. Il s'est mis à me regarder de tout mon long et ça me gênait un peu, donc je rougissais. Il a posé ses lèvres sur les miennes, les glissant lentement à mon cou, ma poitrine, mon ventre et enfin... mon bas ventre. Sans trop rentrer dans les détails, laissez-moi juste vous dire que j'ai eu droit à un cunnilingus digne de ce nom. Je devais même lui demander d'arrêter parce que je n'en pouvais plus.

Nos préliminaires ont duré un long moment. Plus le temps passait, plus on était en extase, mais on n'avait pas envi d'être trop brusques alors on prenait bien notre temps pour que le truc soit encore mieux quand on passera aux choses sérieuses.
D'ailleurs en parlant de ça...

Saint : Je crois qu'on a un petit problème...

Moi : Lequel ?

Saint : J'ai pas de... préservatifs...

Moi : Merde. Moi non plus et je ne prends pas la pilule, expliquais-je.

Saint : Putain... on fait quoi ?

Moi : Si tu es sûre de pouvoir me trouver une pilule sûre pour demain matin tant mieux, dans le cas contraire on va devoir... attendre... murmurais-je.

Saint : Je ne peux pas attendre. Je reviens.

Il s'est levé de sur moi, a enfilé un peignoir et est sorti sans me donner d'explication. J'étais un peu frustrée parce qu'il m'avait laissé en plan, mais quand il est revenu quelques instants plus tard avec des préservatifs en main je me suis mise à sourire de toute mes dents.

Saint : C'est qui le plus fort ?

Moi : Comment t'as fais ? Interrogeais-je, curieuse.

Saint : J'ai dû demander au personnel, et figure toi qu'ils prévoient toujours tout un tiroir de condoms au cas où. Je trouves ça à la fois pratique et limite.

Moi : Je suis d'accord. Par contre c'est un peu gênent n'empêche, fis-je remarquer en riant. Ils doivent forcément se douter de ce à quoi ça va servir.

Saint : On s'en fiche...

Il a voulu se rallonger sur moi, mais avant je l'ai stoppé pour pouvoir moi-même lui enfiler le préservatif avant. Je voulais palper le truc avant pour être sûre que je pouvais assumer, parce que j'ai pas envi d'avoir des bleus après non plus hein...

Moi : Oh... une dernière chose, déclarais-je en me détachant de ses lèvres. Ces petits moments coquins entre nous... ça reste entre nous. Compris ?

Saint : J'allais justement te dire la même chose.

Moi : Ravie de voir qu'on est sur la même longueur d'ondes baby...

Il a recommencé à m'embrasser, puis ce qui devait arriver arriva. On a finit par coucher ensemble et je crois bien que ça a duré des heures. Heureusement qu'il a ramené toute une boîte de capotes parce que ça aurait été gênant de redescendre en prendre.

C'était à la fois doux, violent, passionné, palpitant, excitant, féroce... mais surtout sensationnel! J'ai même eu plusieurs orgasmes d'affilé, ce qui n'arrive pratiquement jamais. Moi qui avait besoin de me détendre, je suis plus que servie...

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