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Part 7 : Irreversible

... : Bébé ? Réveilles-toi, c'est juste un cauchemars.

J'ouvrais lentement les yeux,
Réalisant que qu'il s'agissait juste d'un mauvais rêve.
Ce sont les voix de la boîte à pleurs de merde,
Je vous jure ça me hante depuis mon anniversaire.

Jordan : Tu m'as fichu la trouille tu sais ? Tu t'es mise à hurler et j'ai eu du mal à te réveiller.

Moi : Excuses-moi, répondis-je d'un air confus.

Il me serrait lentement contre lui,
Avant de m'embrasser dans le cou.

Moi : Quelle heure il est ?

Jordan : 9h. Il faut que je me prépare pour l'aéroport.

Moi : J'ai pas envi que tu partes, boudais-je.

Jordan : Je sais. Je n'ai pas envi de partir non plus mais il le faut. On se revoit rapidement ma puce, d'accord ?

Moi : Mmh, marmonnais-je en enfouissant ma tête dans son cou. Tu vas me manquer.

Jordan : Je suis encore là.

Moi : Oui mais tu me manques déjà.

Il passait sa main dans mes cheveux.

Jordan : Tu es mignonne.

Mon téléphone se mit à sonner.
Il était sur ma table de chevet,
Donc j'ai pu voir que c'était ma mère qui m'appelait.
Je décrochais.

********** Phone Call **********

Maman : Coucou mon bébé. Je te réveille ?

Moi : Non j'étais déjà debout. Et je ne suis plus un bébé maman. Ça va ?

Maman : Oui MON BÉBÉ, et toi ?

Moi : Ça va aussi mdrr. Tu m'appelle pour le meeting ? C'est à 13h30 je sais, je serais à l'heure.

Maman : Ça te dit qu'on mange ensemble avant ? Un moment mère-fille.

Moi : Euh oui pourquoi pas ? Ça me va.

Maman : Super. Tu passe à la maison vers onze heures et demi et on y va ensemble ?

Moi : D'accord. À tout à l'heure.

Maman : Bisou.

********** Call Ended **********

Jordan : Tout va bien j'espère ?

Moi : oui oui, assurais-je. Ma mère veut qu'on déjeune ensemble, c'est tout.

Jordan : Cool. Moi il faut que je me douche, mon avion est a dix heures et demi.

Moi : Tu es vraiment obliger de partir ? Interrogeais-je.

Il embrassait mon front, mon nez,
Puis mes lèvres.

Jordan : Tu connais déjà la réponse mon bébé.

Je soupirais.

Moi : Ouais. Je sais. Files te doucher bae. Je ne voudrais pas te mettre en retard, ajoutais-je en lui faisant un petit clin d'oeil.

Il se levait du lit,
Et j'en profitais pour lui donner une tape sur la fesse,
Vu que monsieur était tout nu.

Allongée et à présent seule dans la pièce,
Je réfléchissais à tout et rien,
Tout en organisant ma journée.

Je déjeune avec maman,
Ensuite il y'a le meeting Fenty,
Et après je dois aller voir une amie qui a besoin de mes services.
Voyez vous-même comment je souffre.

Quand mon chéri a fini sous la douche j'y suis allée aussi,
Et je me suis habillée et coiffée (voir média).

Moi : Je vais au restaurant bientôt, donc je vais juste te préparer le petit-déjeuner.

Jordan : Je prendrai à truc sur la route ou à l'aéroport bébé. Ne t'en fais pas.

Moi : Non, insistais-je. Je suis ta copine, alors je vais te nourrir. Viens.

Je lui pris la main et on descendit dans la cuisine.
J'ai sauté la femme de ménage qui venait de finir de nettoyer les plans de travail,
Avant de sortir tout ce qu'il fallait pour lui faire un bon petit déjeuner.
Il me regardait tout du long en me faisant parfois la conversation,
Et je voyais qu'il me prenait en vidéos ou en photo avec son téléphone.
Ça va je suis canon donc ça ne me dérange pas.
Je ressors bien partout de toute manière.

Moi : Voilà c'est prêt, m'écriais-je en posant le tout face à lui.

Jordan : Hum ça sent bon. Merci Jamilove.

Je déposais rapidement un chaste baiser sur ses lèvres,
Puis prenais place à ses côtés.
Je me suis servit du jus d'orange et une tartine beurrée.
Jordan jouait avec ma main en mangeant,
Avant de s'arrêter sur ma paume sur laquelle on pouvait voir la cicatrice en forme de S.

Jordan : Je ne t'ai jamais demandé, mais comment tu t'es fait ça ?

Je vous l'ai dit.
Il y'a des tas de choses de l'histoire avec Mehdi qu'il ignore.

Moi : Je me suis brûlée, mentais-je.

Jordan : Merde. Ça a du être sacrément grave quand même.

Moi : C'est du passé, crachais-je en retirant gentiment ma main.

Je lui ai tenu compagnie pendant qu'il mangeait,
Puis il a fallut que je l'accompagne à la porte,
Vu que le chauffeur l'attendait déjà devant avec ses bagages.
Il me prit le visage pour qu'on puisse se regarder dans les yeux.

Jordan : Je t'aime. Je t'appelle quand j'arrive.

Moi : Je t'aime aussi darling. J'attend ton appel.

Il colla d'abord son front en mien,
Et je fermais les yeux au contact de son souffle chaud sur mes lèvres,
Jusque'à ce qu'il ne finisse par m'embrasser langoureusement.
Notre baiser à duré genre cinq minutes.
Nous étions tous deux à bout de souffle après ça.
Heureusement pour lui je n'ai mit que du gloss,
Donc il n'a pas de rouge à lèvre.

Jordan : Je t'aime, je t'aime, je t'aime.

Moi : Moi aussi !

Jordan : Argh c'est toujours trop dur de te dire au revoir. je devrais vraiment filer cela dit. Prends soin de toi d'accord bébé ? Je t'appelle.

Moi : Fais attention aussi. Bye.

J'agitais ma main face à la voiture qui s'en allait avec lui à l'intérieur,
Avant de refermer la porte derrière moi.
Bon. Il est parti.
Je me retrouve de nouveau seule.
J'aimais bien l'avoir à la maison moi...
Mais bon on ne peut pas tout avoir dans la vie,
Ça je l'ai bien compris ces dernières années.

Pour passer le temps j'ai lu des mails,
J'ai organisé mon emploi du temps des prochains jours,
Et j'ai donné quelques instructions à mon personnel.
La routine quoi.

Comme je rejoins maman,
J'ai pris un chauffeur.
C'est clairement plus pratique.

Moi : C'est moi, hurlais-je depuis le hall.

Aucune réponse.
Sympa leur façon de m'accueillir...
Dommage que tante Esmee soit repartie à la Barbade.

J'ai déambuler un peu dans la maison.
La porte du bureau de mon père était entrouverte,
Et à vrai dire je pensais qu'il était déjà reparti,
Vu qu'il était là spécialement pour mon anniversaire.

J'ai jeté un coup d'oeil à l'intérieur.
Il y'avait mes parents ensemble,
Et mon père semblait raccrocher au téléphone.

Papa : C'est bon. Ils ont tout reçu et on aura les résultats demain.

Maman : À quoi bon ? Je pense qu'on a déjà la réponse. Tu l'as vu comme moi Hassan. C'est forcément le sien.

Papa : Qu'est-ce qu'on va faire, Rih ?

Je me demande bien de quoi ils parlent.
Qu'est-ce qu'ils manigancent encore ces deux là.

Maman : Je ne sais pas, mais ce n'est pas bon signe du tout. Tu sais aussi bien que moi qu'elle ne veut pas en entendre parler...

Papa : Mais on ne peut pas rester sans rien faire.

Maman : Je sais. Il faut qu'on réfléchisse. Je vais tâter le terrain mais-

Mon père a interrompu ma mère d'un signe de main,
Parce qu'il avait remarqué ma présence.
Mais ça va parce que ça donnait l'impression que je venais juste d'arriver.

Papa : Jamilla. Chérie.

Moi : Hello ! Vous parliez de quoi ?

Ils se sont regardés bizarrement.
Ok... il y'a clairement un truc louche.
Pourquoi ils font cette tête mdr ?
Limite on aurait dit qu'ils étaient constipés.

Maman : Tu as entendu quoi ?

Moi : Pas grand chose.

Maman : C'est exactement de ça qu'on discutait. De pas grand chose.

Moi : Ok... soufflais-je sans être convaincue. Si vous le dîtes.

Maman : Je vais chercher mon sac et on y va.

j'acquiesçait d'un signe de tête.
Papa me regardait mais pas comme d'habitude.
Il semblait nerveux, comme s'il appréhendait quelque chose,
Et à en juger par le peu que j'ai entendu ça à l'air d'être le cas.
En plus il n'osait pas me regarder dans les yeux,
Ce qui à mon avis était encore plus étrange.

Moi : Tout va bien papa ? Questionnais-je, perplexe.

Papa : Bien sûre. Pourquoi est-ce que ça n'irait pas ?

Moi : Je ne sais pas. Je te trouves bizarre, avouais-je.

Papa : Bizarre ? Moi ?

Il riait jaune.

Moi : Oui, affirmais-je en haussant un sourcil.

Papa : Je suis normal. Tu te fais des idées ma chérie.

Moi : Je vois. Et du coup tu repars quand ?

Papa : Je vais rester encore quelques jours, mais probablement la semaine prochaine. Pourquoi ? Tu es déjà pressé de voir ton pauvre père s'en aller ?

Moi : Pas du tout, rétorquais-je en le prenant dans mes bras. Tu sais bien que je t'adore.

Papa : Je t'aime encore plus ma fille.

Moi : Je sais papounet, fis-je remarquer.

Maman est revenue.

Maman : C'est bon. On peut y aller.

Moi : Cool. Bye papa.

Papa : Bon appétit. Amusez vous bien.

Avec maman on a prit son chauffeur,
Direction un petit restaurant caribéen près de Melrose.
Elle mange là si souvent qu'elle a déjà dû faire toute la carte,
Mais elle ne s'en lasse jamais.

On s'est installées,
On a commandé,
Puis on a tapé la discute.

Maman : Comment va Jordan sinon ? Il est encore là ?

Moi : Super bien, répondis-je. Il a prit l'avion tout à l'heure. Comment va Rakim ?

Maman : C'est ton parrain donc tu devrais savoir.

Moi : C'est ton copain donc tu es la mieux placée pour me dire... répliquais-je en lui tirant la langue.

Elle roulait des yeux.

Maman : Il va bien. Il est à Houston là.

Moi : J'ai une question. Vu que Rakim dort souvent à la maison et tout, il vient aussi quand papa est là ou pas ?

Elle riait.

Maman : C'est ma maison, je fais ce que je veux, donc la réponse est oui.

Moi : Thug life. J'aime bien le concept. N'empêche papa et toi je vous admire de rester aussi proches alors que vous n'êtes plus ensemble. Votre façon de co-parenter me surprendra toujours.

Maman : Quand il s'agit d'enfants, crois-moi les parents peuvent faire n'importe quoi pour que tout soit parfait. Tu comprendras quand ce sera ton tour.

Moi : Ewww. Non merci. Je ne veux pas d'enfant, crachais-je.

Elle fronçait les sourcils.

Maman : Ewww ? Et comment ça non merci ?

Moi : Je n'aime pas ça, je n'en veux pas, ça ne m'intéresse pas.

Maman : Mais pourtant avant tu en voulais, tu n'arrêtais pas de dire à quel point tu avais hâte de pouvoir faire des petites gardes robes à tes enfants quand tu serais maman.

Moi : J'ai changé d'avis entretemps maman, signalais-je. Et puis ce n'est pas si grave. Tu as Nadeem, Amani et Amir pour te faire des tas de petits-enfants. Encore plus si on compte Majesty. Tu vas être gâtée dans quelques années mamie Robyn. Mais pas par moi, ça c'est sûre. J'ai même pensé à me faire ligaturer les trompes si tu veux tout savoir...

Je ne sais pas pourquoi,
Mais j'avais l'impression que ma réponse l'avait déçu.
Elle avait l'air triste de m'entendre parler comme ça,
Sauf qu'après tout c'est mon choix.
Je ne veux pas de gosse.
Hell no.

Maman : Tu te rend compte de ce que tu dis Jamilla ?

Moi : Oui maman, confirmais-je. Je ne veux pas d'enfants, ce n'est pas la fin du monde. On peut changer de sujet maintenant ?

Elle me dévisageait.

Moi : Quoi ? Ne fais pas cette tête ! Les enfants ça ne fait pas tout dans la vie. Au contraire...

Maman : Si je n'avais pas eu d'enfant et que j'avais pensé comme toi, vous ne seriez pas là aujourd'hui.

Moi : Oui mais ça c'était ta décision maman, indiquais-je. Tu en voulais et tu en as eu. J'en voulais, mais je n'en veux plus alors je n'en aurais pas. That's it.

Je pris une bouchée de salt fish cakes.
C'est trop bon ces beignets,
Je vous les recommande fortement.
Un vrai délice !

Maman : Je n'aime pas ta façon de voir les choses.

Moi : Je comprend, mais c'est ma vie maman. Allez changeons de sujet maintenant. Rakim et toi à quand le mariage ? Je pourrais dessiner ta robe de mariée tu sais ?

Maman : Pas si vite. Du calme. Ça fait à peine un an qu'on est ensemble, on n'est pas prêt de se marier.

Moi : Mais tu le connais depuis toujours. Ce n'est pas pareil.

Maman : Oui mais non. On prend notre temps...

Moi : Et après c'est moi qui ai la phobie de l'engagement ? Riais-je.

Maman : Je n'ai pas la phobie de l'engagement mais du mariage. Ça me stresse.

Moi : C'est la même chose. Par contre moi j'aimerais bien un grand et beau mariage comme dans mes rêves ! Le mariage idéal et le mariage de l'année bien sûre.

Maman : Donc tu te vois marié mais pas avec des enfants ?

Moi : Exactement.

Maman : Et ton mari doit obligatoirement être d'accord avec toi ?

Moi : Oui ! Sinon à quoi ça sert d'être marié si on n'est pas sur la même longueur d'onde ?

Elle soupirait bruyamment.

Maman : Vas y j'abandonne.

Roh.
Il était temps mdr,
Parce que ma décision est irrévocable...

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