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Amani POV
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Mon frère et moi avons rejoins le bureau de mon père où se trouvaient nos parents.
Ils étaient assis sur les fauteuils du petit salon de la pièce,
Alors par précaution moi je me suis assise aux côtés de mon père car avec maman on ne sait jamais, surtout que je me suis prise une claque quand je lui ai raconté ce que j'avais fait, sans oublier le fait qu'elle m'ait puni alors que j'ai 19 piges wesh.

Moi : Vous vouliez nous parler, nous voilà...

Ça ne peut être que deux choses.
Soit c'est à propos de l'histoire avec Kulture qui a pris de l'ampleur,
Soit par rapport à Jamilla qui s'avère être la mère biologique du fils de Saint.
C'est fou quand même.

Je n'en reviens toujours pas cela dit,
Mais à présent je comprend mieux le comportement suspect de Chicago dernièrement.
Je sentais bien que celle-ci m e cachait quelque chose et à présent,
On sait ce que c'était.

Maman : Comme vous le savez Eden West est aussi un Fenty...

Hassan : Fenty-Jameel, Rih.

Maman : C'est ce que je voulais dire.

Moi : On est d'accord que c'est une dinguerie cette histoire non ? Pauvre Jam...

Papa : Nous n'avons pas besoin de vous préciser que vous ne devez en parler à personne, n'est-ce pas ? Ça doit rester entre les Kardashian, les West, les Fenty et les Jameel. C'est tout.

Nadeem : Ne t'inquiète pas pour ça papa, on le sait déjà.

Moi : Mais du coup il va se passer quoi ? Parce qu'on sait tous que Jamilla a la phobie des enfants depuis toute cette histoire... en plus si j'ai bonne mémoire ce malade avait mentionné deux autres bébés non ?

Maman : La seule chose à retenir dans cette histoire est que Eden est de la famille.

Nadeem : Jamilla le prend comment ?

Maman : Très mal.

Moi : Mal c'est peu dire. Elle est enfermée chez elle, refuse toute visite et ne veut parler à personne. Franchement je la comprend. Si j'étais à sa place j'aurais flippé aussi.

En vrai je me sens super mal pour ma soeur,
D'autant plus qu'elle s'était un peu fâchée contre moi pour avoir agit sans prévenir.

Maman : Tu as intérêt à flipper, miss "je fais tabasser les enfants des gens".

Moi : Elles m'ont agressé en premier maman, rappelais-je. J'ai été blessée à cause d'elle. Même si vous n'aimez pas ma façon de faire je devais me défendre et je ne regrette en aucun cas mon acte. J'ai fais ce qu'il fallait. On frappe ta fille, je me défends, et toi t'es en colère contre moi et tu m'as même giflé. Normalement tu dois être de mon côté !

Je n'ai aucun remord.
Pas même un petit chouya.

Maman : Quand tu fais des conneries je ne suis pas de ton côté, point barre. Tu aurais du venir me le dire !

Moi : Tu étais occupée et en plus je pouvais gérer ça toute seule !

Maman : Bah voilà le résultat ! Tu as tout empiré ! Belle façon de gérer les choses ma fille. Bravo.

Moi : Tu as dis que t'allais régler ça, pourtant à l'anniversaire de Saint elles ont quand même voulu agresser Jam et ça a finit en bagarre avec Olympia et Rumi s'est pris un coup. Vos discussions n'ont mené à rien, mother !

Maman : Parce que vous les enfants d'aujourd'hui vous êtes trop têtus ! On vous dit de ne rien faire et vous n'en fait qu'à votre tête ! Bref je m'en fiche de tout ça ! Tu ne t'en mêles plus ! Je ne veux plus entendre que tu as des problèmes avec qui que ce soit ! Compris ?

Moi : Je te promet d'essayer, soufflais-je. Mais seulement tant qu'on ne me provoque pas.

Maman : Tu as intérêt à te tenir maintenant que l'histoire à escalader aux Carter et à Serena et sa famille. Ignorez-vous !

Moi : C'est Hollywood ici maman, soir réaliste. Même si on essaye de s'ignorer on a le même cercle d'amis.

Nadeem : Bah change de cercle d'amis alors...

Moi : De quoi je me mêle ? Rétorquais-je. Qu'est-ce que tu sais de l'amitié toi ? T'as que deux amis en tout frère et l'un d'eux est ton cousin.

Nadeem : Deux amis ou pas, au moins ils sont plus loyaux que les tiens ça c'est sûr. Mieux vaut être seul que mal accompagné. Et toi ton entourage ce n'est pas trop ça.

Je levais les yeux au plafond.

Moi : Niques ta race Nadeem.

Papa : Amani, ton langage !

Maman : Tu vois ? C'est ce que je dis ! Ta fille me pousse à bout. Si je ne l'aimais pas autant je l'aurais abandonné sur une aire d'autoroute il y'a bien longtemps.

Mdr je m'en fou.
Mamie dit la même d'elle tout le temps.
On dit souvent qu'aucune femme ne sait à quel point elle est chiante avant d'avoir une fille qui lui fasse ce qu'elle a fait à sa mère.
C'est le karma !

N'empêche j'espère que j'aurais que des garçons,
Parce que si j'ai une fille comme moi on va se pousser à bout toute notre vie mdr.

Nadeem : Tu aurais dû.

Moi : Nadeem je t'ai déjà dis que Dieu t'avait juste envoyé sur terre pour me tenir compagnie. Crois pas t'es plus important que moi ici. Je suis leur enfant préféré.

Maman : Qui t'as menti, chérie ?

Moi : Tu m'adores, affirmais-je en riant. Papa aussi. Tout le monde m'adore.

Papa : Oui je t'adore, mais je souhaiterais que tu te comportes mieux.

Maman : Tout ça c'est long. Amani tu te tiens à carreaux. Si j'apprend que tu m'as désobéi ma fille... Dieu seul sera témoin de ce que je vais te faire.

Je ne prend pas les menaces de ma mère à la légère,
Car elle est plus tarée que moi.

Moi : Tant qu'on ne me cherche pas je reste tranquille, marmonnais-je.

Hassan : Nadeem, surveilles ta soeur s'il te plait mon fils. On a déjà bien trop de choses à gérer pour qu'elle fasse des siennes.

Moi : Eww non, m'écriais-je. J'ai pas besoin d'une baby-sitter, et encore moins lui.

Hassan : De toute façon Amani c'est que Guantanamo qui peut la gérer. Votre fille elle est pas toute seule dans sa tête et on ne sait jamais ce qu'elle prépare. Je préfère rester en dehors de ça.

Moi : Sage décision frangin.

Maman : Bon on a finit. Je dois y aller.

Moi : Dis maman, je peux sortir faire un tour vite fais ?

Maman : Non.

Moi : Mais vas y je suis punie depuis des jours... à mon âge c'est pas normal.

Maman : À ton âge on réfléchit avant d'agir.

Nadeem : Réfléchir et Amani ça fait mille.

Lui je vais régler son cas après.

Moi : Je te promet que je vais rien faire de grave.

Papa : Rih, laisse là y aller. Je me porte garant pour elle.

Je souriais de toutes mes dents.

Moi : Merci papounet ! Je t'adore.

Maman : Faîtes comme vous voulez. On se voit se soir ! Bisou ! Je vous aime !

Moi : Mdr sauf toi papa. Non je rigoles.

Papa : Tu veux rester à la maison toi finalement ?

Moi : Ehh papa depuis quand ? Mdr ça te va pas du tout les menaces. Essayes encore et tu deviendra peut-être crédible, ajoutais-je en l'embrassant sur la joue.

Nadeem : On peut toujours la faire enlever et dire à maman qu'elle a fugué.

Moi : Je vais demander à toute la Barbabe de faire du vaudou sur toi et de te transformer en fourmis pour que tout le monde puisse t'écraser à chaque fois que tu passes quelque part. Continues de me chercher, avertis-je.

Il écarquillait les yeux,
Tandis que je les laissais pour rejoindre ma chambre et me changer,
Puis quitter la maison avec un chauffeur et mon garde du corps.

J'ai décidé d'aller voir Kylian pour lui dire que j'avais réfléchit,
Et qu'il est mieux pour nous de rompre définitivement.
Entre nous ce n'est plus trop ça et j'ai besoin de me concentrer sur moi,
D'autant plus que j'ai une mini tournée de prévu bientôt.

Quand je suis arrivée j'ai sonné.
C'est lui même qui a ouvert,
Mais il semblait surpris et nerveux ce qui m'alertait.
Je suis entrée dans la maison.

Kylian : Mani ? Je savais pas qu'on devait se voir.

Moi : Il fallait que je te parle et c'était mieux en face, expliquais-je.

Kylian : Ça ne peut pas attendre un autre moment ? Je suis plutôt occupé là...

Moi : Je ne serais pas longue.

... : Kylou ? Qui c'est ?

Mais je connais cette voix.
Je me suis dirigée dans le séjour,
Où j'ai vu Kulture qui souriait et me narguait du regard.

Moi : Qu'est-ce qu'elle fiche là ? Crachais-je en riant nerveusement.

Kylian : Elle est juste venue discuter avec moi.

Je sais qu'ils sont amis,
Mais ça n'explique pas ce qu'elle fout là.
Ils ne sont pas si proches.
Quoique je n'ai pas besoin d'un dessin.
Je sais qu'elle le fait exprès pour m'énerver.

Kulture : Pourquoi tu panique Kylou ? On s'en fiche d'elle.

Kylian : Qui on ? Meuf t'es juste venue discuter hein, j'ai rien à voir dans vos problèmes.

Kulture : Pourquoi tu mens ?

Moi : Oh vous deux ! Evitez votre cinéma, j'en ai rien à foutre. Ça ne me fait ni chaud ni froid, signalais-je. Je venais dire à Kylian qu'entre nous c'était définitivement terminé, rien de plus. J'ai toujours su que tu m'enviais mais de là à te jeter sur mes restes... t'es tombée bien bas mdr. Je vous laisse. Amusez vous bien bande de looser.

J'ai tourné les talons,
Et je suis partie.

Elle veut jouer à ça ? Ok.
Qu'elle sache juste que moi je joues pour gagner,
Elle en l'occurence elle va perdre.

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Saint West POV
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Je suis complètement désemparé par tout ce qui se passe.
Jamilla n'était pas censée l'apprendre comme ça,
Du coup sa réaction m'a brisé le coeur car je sais que j'ai merdé.

Je n'aurais pas dû l'embrasser comme ça ce soir là,
Mais c'était plus fort que moi.
Les mots sont sortis tout seuls et je n'ai pas réfléchis avant de parler et d'agir.
Maintenant je regrette tout ça et c'est trop tard.
Je sais qu'elle m'en veut beaucoup et que ça peut jouer contre Eden.

Le fait qu'elle ait affirmé qu'elle ne voulait pas de lui sans même chercher à comprendre...
Je ne sais pas si je vais m'en remettre un jour.
Elle a dit qu'elle n'en avait rien à faire de mon fils,
Et qu'en aucun cas elle ne voulait être mêlée à quoi que ce soit qui le concerne,
Oui qui me concerne.

Je sais qu'elle aurait réagit autrement si j'avais pu faire les choses comme je souhaitait.
C'est trop tard désormais.
Le mal est fait et voilà le résultat.

Eden : Cou...cou... papa !

Il arrivait vers moi en riant,
Et je le pris dans mes bras en essuyant rapidement les larmes sur mes yeux.

Encore cette histoire de baiser et de sentiments on s'en fou,
Mais Eden les gars...
Qu'est-ce que je fais ?
Comment je peux arranger ça ?

Moi : Coucou chéri, lançais-je en le prenant dans mes bras. Tu sens bon !

Eden : Kiki !

Il pointa du doigt ma mère et Kris qui arrivaient derrière lui.

Moi : Mamie Kiki t'a donné ton bain ? Oh je vois !

Il tapait dans ses mains,
Avant de s'adosser contre moi,
Tandis que ma mère m'apportait son biberon pour que je le lui donne.

Moi : Doucement Eden, chuchotais-je en riant. Ton biberon ne va pas fuir.

Maman : Un véritable petit gourmand ! Exactement comme toi.

Kris : Je confirme haha ! Dans cette famille les garçons ont toujours mangé plus que les filles.

Maman : Puisqu'on est là chéri, je voudrais qu'on discute.

Moi : Je t'écoute.

Maman : Depuis que j'ai entendu les propos de Jamilla, je ne te cache pas que je suis mitigée. En réalité je ne souhaites plus tant que ça qu'elle fasse parti de la vie de mon petit-fils. Elle est allée jusqu'à dire que c'était l'oeuvre du diable. Tu réalises ?

Moi : Elle ne le pensait pas maman, fis-je remarquer une énième fois. Hassan et Rihanna vous ont bien dit qu'elle souffrait d'un trouble post-traumatique et qu'à cause de ça, elle tenait des propos exagérés et dysfonctionnelle à l'égard des enfants.

Maman : Raison de plus pour ne pas s'engager dans une chose qu'on pourrait regretter. Tout ce que je veux c'est le bien d'Eden et pour moi il était et restera mieux sans elle, donc on devrait continuer comme ça.

J'haussais un sourcil.

Kris : Je suis d'accord, mais ce n'est pas si facile Kim. Hassan et Rihanna veulent faire parti de la vie du petit et on ne peut pas leur refuser ça.

Maman : Leur fille ne veut pas d'Eden. Elle l'a dit à mainte reprises. Elle parlait de lui comme un objet. Dieu seul sait comment j'ai fait pour garder mon calme en entendant ses propos. J'ai essayé de comprendre et de prendre sur moi mais elle est allée très loin.

Kris : Ce sont autant ses grand-parents que Kanye et toi. On ne peut pas les tenir à l'écart.

Maman : Mais Eden ne les connait pas. Nous si. Ils ont trop de problèmes dans leur famille et je ne veux pas que mon fils ou mon petit-fils soient en danger à cause d'eux. Qu'ils règlent d'abord tout ça avec la famille du père biologique de Jamilla et ensuite on verra.

Kris : Mais on a besoin d'eux pour signer le certificat de naissance d'Eden afin qu'ils ne puissent pas s'en prendre à lui en utilisant Alexis.

Maman : On s'occupe de la protection d'Eden. Il ne lui arrivera rien. C'est mieux qu'elle ne le signe pas. Eden a plein de figure maternelle dans sa vie, il n'a pas besoin d'elle et il est très bien comme ça.

Moi : Sans vous manquer de respect, commençais-je. Je vous signale qu'Eden est mon fils et que c'est à moi de décider de ce qui est bien ou pas pour lui.

Maman : Je n'en disconvient pas, mais quand il s'agit de la sécurité et du bien être de mon petit-fils... je suis prête à tout. Même à m'opposer à toi.

Moi : Jamilla a réagit comme ça à cause des circonstances, surtout qu'on s'était pris la tête plus tôt dans la soirée à mon anniversaire. Il lui faut du temps pour digérer la nouvelle. Je vais lui parler ensuite et ça va s'arranger.

Elle levait les yeux au plafond.

Moi : Et toi qui a dit tout à l'heure que sa famille causait trop de problème, laisse-moi te rappeler que la notre n'est pas parfaite non plus maman. Et elle ne m'a jamais jugé une seule fois pour ça. Elle n'est pas sa famille tout comme je ne suis pas la mienne. Elle n'a pas choisi de vivre tout ça.

Maman : Je n'ai jamais dis le contraire, Saint. Et je sais qu'on est pas parfaits, mais eux c'est autre chose. Mais enfin regardes tout ce qui se passe ! Tous les problèmes que ce Mehdi a causé... Je ne juge personne. Je dis juste la vérité.

Moi : Les Jameel et les Fenty ne sont pas ce Mehdi ! Tu n'as pas à les assimiler à ce qu'il a fait. Comment tu te sentirais si tout le monde t'assimilait à chaque pétage de plomb de papa hein?

Maman : Ce n'est pas la même chose, et de toute manière c'est déjà le cas. Dès qu'il fait quelque chose on me tient pour responsable.

Moi : Peu importe. Jamilla est la mère de mon fils, un point, un trait. Un homme qui s'avère être son géniteur l'a drogué, gavé de médicalement, torturé physiquement et volé des ovules pour les féconder un peu partout sans son consentement. Et puis elle et moi on a un passé compliqué. Comment réagiriez vous à sa place ? Vous auriez sauté de joie ? Non.

Kris : Il marque un point Kim.

Maman : Mais elle n'en a rien à faire Saint, tu ne comprend pas ça ? Elle a été claire.

Moi : Ça suffit maman, l'interrompis-je froidement. Tu n'as pas le droit de parler comme ça. Je vais régler ça je te dis. Tu me mets la pression et ça me fait faire des conneries.

Maman : Non Saint. Les conneries tu les fais tout seul. Depuis quand on t'a élevé pour embrasser une fille en couple d'abord ? Ne crois pas que je n'ai pas entendu ce qu'elle a dit à ton propos l'autre jour. Ce n'est pas parce que tu es amoureux d'elle que tu dois te mettre à agir bêtement ou espérer l'impossible. Soit réaliste. Elle est passée à autre chose.

Moi : Raison de plus pour que tu comprenne que tout ça l'a perturbé, ce qui a influencé sa réaction quand on était chez sa mère. Écoutez c'est bon. Je vais mettre Eden au lit, on en reparlera une autre fois.

Je me levais avec mon fils jusque'à sa chambre.
J'ai pas l'habitude de parler comme ça à ma mère,
Mais qu'elle se mette un peu à la place de tout le monde aussi.
Ce n'est facile pour aucun d'entre nous,
Et il va falloir du temps.

Je berçais mon fils en chantant,
Tandis qu'il me regardait dans les yeux en souriant.
La complicité qu'on a est juste le meilleur truc au monde.

Moi : Désolée petit ange, soufflais-je. Maman sait qui tu es pour elle à présent, mais elle l'a plutôt mal pris à cause de papa. Je suis désolé, mais je vais arranger ça. C'est promis chéri.

Eden : Oui ! Papa !

Je vous dit qu'il me comprend.

Moi : Je t'aime mon coeur, riais-je en l'embrassant sur le nez. Maintenant c'est l'heure de faire dodo.

Je le posais don son berceau,
Allumais la veilleuse,
Et mis en marche le mobile musical.

Moi : Bonne nuit mon bébé. Fais de beaux rêves.

Je quittais la pièce après l'avoir embrassé plusieurs fois.
Ma mère et Kris étaient parti entretemps.

J'ai de nouveau essayé d'appeler Jam,
Mais elle ne me répond pas.
C'est comme ça depuis des jours.
Savoir qu'elle me déteste me fait souffrir intérieurement.

Je ne sais plus quoi faire les gars.
J'ai besoin d'un miracle...