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16. ⚠LEMON⚠

Mercredi 25 septembre, 18 h 15

Beom : tu m'excuseras, mais comme ce n'était pas prévu que tu viennes, je n'ai pas rangé.

Moi : je te l'ai dit hier soir.

Beom : oui, bah, je n'allais pas ranger à cette heure-là.

Je hoche les épaules et on arrive à la porte de son appartement. Il ouvre la porte et on rentre en se déchaussant.

Beom : tu veux boire un truc ?

Moi : toi.

Beom : ... Merci. Mais après. Du coup ?

Moi : tu as du jus ?

Beom : j'ai à l'abricot et ananas.

Moi : ananas.

Il hoche la tête de haut en bas et part chercher des verres. Pendant ce temps, je vais m'installer sur un tabouret en hauteur devant son bar qui délimite la cuisine du salon.

Moi : ton appart', c'est un studio pour 1 personne ?

Beom : oui. Enfin, d'après le proprio, c'est pour deux, mais la deuxième personne, je ne sais pas où il la met à part dans la et unique chambre.

Moi : hmm...

Beom : mais du coup, pourquoi tu viens dormir là ?

Moi : parce que Wooyoung et Yeosang sont déjà à deux dans leur appart', Kai, Taehyun et Bahiyyih sont colocataires maintenant, avec le chien en plus et le serpent de Taehyun et je n'aime pas les serpents. Et Soobin en a eu marre que je travaille jusqu'à tard.

Beom : ah. Il n'aime pas que tu rentres tard à cause de tes entraînements ?

Moi : non ça, il s'en fiche. C'est le fait que je bosse sur le projet jusqu'à tard, que j'ai de l'inspiration pour des chansons donc j'écris et autre. En même temps, il le sait que j'ai du mal à m'endormir.

Beom : je ne comprends pas. Avant, c'était pareil non ?

Moi : oui. Mais ça, c'est parce qu'avant, on couchait ensemble et après, je dormais. Là, depuis qu'il n'a plus envie de rien, je dois me branler seul, mais parfois, je n'en ai pas envie parce qu'il me saoule. ET, il le sait. Donc je lui ai dit que ce soir, j'allais dormir chez toi pour qu'il puisse dormir tranquillement et moi, je pourrai travailler sur le projet avec toi. Et autre.

Beom : hmm... Là, je comprends. Tiens ton verre.

Moi : merci.

Je le récupère et bois un coup. Il boit aussi.

Beom : dimanche j'étais quand même étonné que tu ne dures pas longtemps.

Je m'étouffe avec ma boisson et m'en mets sur mon jogging blanc. Comme par hasard. Je repose le verre et il me tend du Sopalin et d'une éponge. J'essuie mes conneries puis me lève avant de rincer l'éponge et de me nettoyer sous l'œil attentif à Beomgyu.

Beom : 1:1.

Moi : de quoi ?

Beom : samedi, tu m'as fait renverser mon cocktail et aujourd'hui, c'est moi qui t'ai fait renverser.

Moi : ah, parce que c'est un jeu pour toi ?

Beom : et bien si ça fini pareil... Oui.

Moi : ok. Enlève-moi mon jogging.

Beom : hein ?

Je hausse les sourcils de façon à dire : "Tu as peur ?". Il me regarde puis s'avance de moi. Il s'approche de mes lèvres, je ferme les yeux et approche mes lèvres des siennes, mais rien ne se passe. J'ouvre les yeux. Il s'est reculé au moment où j'allais l'embrasser. Je grogne, il rigole. Il descend mon pantalon. Je m'enlève de celui-ci.

Moi : à toi.

Il comprend ce que je lui dis de faire.

Beom : retire tes hauts.

Je souris. Il a vu mon t-shirt en dessous de mon sweat. Malin le lynx. Je les enlève laissant place à mes petits abdos et mes biceps. Tristesse pour moi, je n'ai presque pas de pectoraux. Il me mate. Je souris.

Moi : enlève ton pantalon.

Il le fit. Moi, il ne me reste que mon caleçon et chaussette. Je penche la tête sur le côté le découvrant de plus en plus, à chaque minute. Il a des cuisses tellement fines ! De la taille de mes bras presque. Je comprends maintenant pourquoi il a eu autant mal la dernière fois en cours.

Beom : enlève-moi mon t-shirt.

Je m'approche de lui. J'avance mes mains de son vêtement. Je le retire lentement le dévoilant de nouveau. Une fois enlevé, je l'approche de mon nez et ferme les yeux en inspirant sont doux et électrisant parfum. Je rouvre les yeux sur un Beomgyu à la bouche entre ouverte me regardant faire. Il respire vite. Je baisse le t-shirt et le laisse tomber au sol. Je me colle encore plus à lui. Je lui prends son menton de ma main gauche et ma main droite se place sur sa taille. Je le colle complètement à moi avant de le faire reculer en l'obligeant à me regarder. Il percute le bar nous collant encore plus que nous l'étions déjà. Nos respirations se mélangent. Je lui smack la bouche, la joue, la mâchoire, le cou. Un suçon. Deux suçons l'un à côté de l'autre. Je l'entends gémir. Je l'embrasse sur sa clavicule et remonte aux suçons et les lèche. Je remonte à son lobe. Je le lèche. Il frissonne. Je le mordille. Ses jambes vacillent. Je lâche mes prises et me décolle. Il me regarde comme pour me supplier de continuer. Il ouvre la bouche pour parler, mais il gémit à la place. Je souris. Je m'avance près de la porte et ferme à clé. Je reviens vers lui. Je me repositionne en mettant mes deux mains sur sa taille.

Moi : maintenant, on peut commencer.

Je glisse mes mains sur ses fesses et les remonte pour les redescendre 1 seconde après. Je les pince en les descendants, il gémit plus fort. Je laisse mes mains sur ses fesses et le porte. Il passe ses mains autour de mon cou. Il se réveille et me suce directement la peau de mon cou sans me prévenir. Je gémis. Je le sens sourire. J'arrive devant une porte et l'ouvre. Bingo. La chambre. Un lit 2 places. 2 murs sont des baies vitrées. Je souris. J'appuie sur un bouton et les volets se ferment. Je le jette sur le lit. Je le rejoins en me mettant à califourchon sur lui.

Moi : je t'ai déjà parlé de mon fantasme ?

Beom : fantasme de force, j'imagine ? Devine quoi ?

Moi : tu as le même, mais tu préfères être le bottom ?

Beom : bingo Daddy.

Je souris fièrement. Je ne sais pas dans quoi on rentre, mais on va y rentrer.

Moi : ok Baby. As-tu des menottes ou autres pour t'attacher ?

Il rigole en me montrant son placard avec tiroirs. Je me relève et ouvre le premier tiroir. Chaussettes et caleçons. Le deuxième, t-shirts. Le troisième, woh... Accessoires pas innocents. Je sors des menottes en caoutchouc pour les poignets. Je sors 2 cravates en plus. Je le rejoins et me remets à califourchon.

Moi : Baby est un coquin...

Beom : Daddy n'a pas l'air choqué que son Baby aime se faire plaisir...

Moi : ça l'existe plus qu'il ne le faudrait...

Beomgyu baisse son regard sur ma bite et sourit. Il me tend ses poignets et je lui accroche les deux paires de menottes à chaque poignet. Je l'accroche à la tait de lit et l'embrasse vite fait. Il me donne un coup de rein pas satisfait que je l'embrasse qu'à moitié.

Moi : attention Babby. Daddy peut s'énerver.

Beom : Daddy finit de m'attacher et après embrasse moi et suce ma bite !

Moi : quel vilain garçon.

Je passe ma main sur sa bosse et il se tortille de plaisir. Je souris. Je lui accroche les chevilles avec les cravates au lit pour qu'il ne puisse pas trop bouger. Je reviens sur lui.

Moi : hmm... J'ai oublié ce détail.

Beom : lequel Daddy ?

Moi : ça te dérange si je déchire ton caleçon ? Sinon il va me gêner.

Beom : je vais te le dire qu'une seule fois... Fais ce que tu veux de moi et de mes sous-vêtements. Pour le moment, je veux qu'on baise !

Je rigole face à son impatience. Il peut être sûr, que ce n'est pas rentré dans l'oreille d'un sourd ! Je l'embrasse pour de bons et il me répond sans hésiter. Je me tiens sur mes mains et balance mon bassin. Je caresse sa bosse avec la mienne. Il penche sa tête en arrière.

Moi : Baby, relève ta tête pour que je puisse mélanger ma langue à la tienne.

Il la relève directement. On se rembrasse et nos langues se rencontrent une nouvelle fois. On s'embrasse avec acharnement et sauvagement. On se sépare pour reprendre notre souffle. Je me mets à genoux entre ses jambes et suçote de partout son torse. Une fois arrivé à son caleçon, je prends un côté et le tire très fort. L'élastique pète sous tant d'étirement et réussi à le déchirer. Sa bite se dresse devant moi. Elle se dresse tellement qu'elle en tombe sur son ventre. Je grimace. Ma bite me fait atrocement, mal contre le tissu. Je me relève et l'enlève également.

Moi : Baby, un 69 arrive... J'espère que tu as la gorge assez profonde pour ma grande bite.

Il halète à ma phrase. Je me place et je sens mon gland à l'extrémité de sa bouche. Je descends de plus en plus jusqu'à sentir son souffle saccadé sur l'extrémité de mes fesses. Je place la sienne dans ma bouche et donne des coups de reins dans sa bouche. Il gémit. Je le suce. Plus il gémit, plus je le suce et plus il me suce, plus du sperme pré-éjaculatoire sort de ma bite et tombe directement dans sa gorge. On accélère et il donne de temps en temps des coups de bassins. Je passe une main sous ses fesses et les lui sers, il gémit et du coulant arrive un peu dans ma bouche également. Je me retire et me retourne. Je n'ai pas de capote sur moi donc je vais me retenir le plus longtemps possible. Je me place entre ses cuisses et les écarte encore plus qu'elles l'étaient déjà. Je lui suçote les intérieurs des cuisses sans lécher. Je le regarde en souriant. Il me supplie de continuer.

Moi : Baby. Tu n'as pas de maladie que je devrais savoir ?

Beom : non Daddy. Ça fait bien trop longtemps que je n'ai pas baisé.

Moi : très bien. Alors n'éjacule pas tout de suite. Compris ? Je veux qu'on éjacule en même temps.

Il acquiesce et je lui tends mes doigts pour qu'il puisse les mouiller pour m'en servir de lubrifiant. Je caresse ensuite son entrée et enfonce un doigt. Je tourne et le ressors avant d'en rentrer un deuxième et de faire la même procédure. Il gémit de plaisir ce qui me fait tellement bander que j'en souffrirai presque. Des bruits humides se font entendre mélanger à des bruits de métal contre métal. Une fois l'entrée plutôt bien agrandi, j'insère ma bite dans son anal et il hurle de plaisir. Je respire fortement. Cette sensation m'a tellement manqué. Je rentre le tout d'un seul coup et commence les vas et viens de plus en plus rapide et fort. Je me couche presque sur lui et l'embrasse sauvagement. Il tire sur les menottes, mais elles ne se détachent pas. Je grogne de plaisir. J'accélère. Sa tête tombe en arrière, je m'arrête d'un coup. Il la relève et j'y vais encore plus fort. Je m'agrippe à ses cheveux et l'embrasse tellement fort qu'il ne peut répondre. Nos respirations sont comme coupées par tant de plaisir commun. Je continue en me retenant, je le vois presque flancher alors je sors de son anus et me place sur sa bite. Je lui détache sa main droite et la pose sur ma bite toute collante.

Moi : pendant que je baise sur ta bite, tu me branles comme si ta vie en dépendait. Au moment venu, je te dirais de te lâcher et tu éjaculeras en moi. C'est compris Baby ?

Beom : yes Daddy...

Je souris et m'assieds avec difficulté sur sa bite. Je commence à me lever et à me rasseoir pour m'habituer à sa largeur. Je vais de plus en plus vite et Beomgyu me branle à la même vitesse. Plus j'accélère et y vais fort, plus il accélère en appuyant aléatoirement. Je balance ma tête en arrière en lâchant un "OH LALALALA MON BÉBÉ", ce qui le fait frissonner. Plus sa bite tape ma prostate plus je me sens venir. Je suis tellement proche.

Moi : Baby, vas-y. Lâche-toi.

Je le sens se détendre, mais en même temps se contracter. Plus je monte et descends en m'avançant et reculant plus je le sens venir. Il ne faut pas beaucoup de temps pour que mon tour arrive et un jet de sperme sorti de ma bite qui retomba sur le torse de Beomgyu. À cette vue, je le sens éjaculer. Il continue de me branler pour continuer l'orgasme et je fis de même. C'est tellement bon que j'oublie que mes cuisses souffrent à cause des claquements des vas et viens. Une fois que la douleur est vraiment insupportable, je m'en lève et du sperme coule de mon anus. Nos bites sont redescendues prouvant que notre orgasme était si puissant qu'il y aurait presque eu plus de sperme.

Je lui détache les chevilles et réalise que je n'ai pas la clé pour la deuxième menotte. Je me couche à ses côtés le sourire aux lèvres.

Beom : je ne comprends pas ton mec. Comment il peut ne pas aimer ça ? Et encore ce n'est qu'une partie du BDSM.

Moi : hmm. Sinon, je n'ai pas trouvé de clé pour la menotte.

Beom : ah. Bah dans le tiroir... Ou la clé avec laquelle tu m'as libéré la main droite.

Moi : oh, je n'y avais pas pensé.

Je me relève avec un peu de difficulté suite au passage du chevauchement et ramasse la clé. Je l'entre dans la serrure et la tourne. Un "clic" se fait entendre. Effectivement, c'était la bonne clé. Je me mets à rire tout seul et il rigole avec moi une fois compris la situation.

Il baisse son bras et se mets sur moi et m'embrasse passionnément avant de se coucher contre moi et de fermer les yeux. Je ferme mes bras autour de lui et lui embrasse la tête. Je pense qu'on va se reposer avant de se laver.

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