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11.

Le repas est passé très vite parce que les 2es années voulaient qu'on regroupe toutes les recherches trouvées. J'étais un peu déçu et Wooyoung aussi. On marche dans les couloirs à la recherche de la bibliothèque. Ils nous ont donné rendez-vous là-bas. Étant donné qu'on prend à 15 h et qu'il est 13 h, on a suffisamment de temps (dans tous les cas, on en a.) on pourra faire de nouvelles recherche pour tout avoir.

Moi : on aurait quand même pu se rejoindre demain ! Ah non, je danse et je bosse... Dimanche ? Personne ne fait rien le dimanche.

Beom : moi, je vois de la famille le dimanche.

Moi : ah. Bah le soir ! Le vendredi soir.

Beom : et que tu rates tes heures de gloire au skatepark ?

Moi : bah après.

Beom : après, tu n'es pas censé être dans les bras de ton chéri ?

Moi : "mon chéri" ? ... Ah euh... Si. Bon. Un autre jour, j'en sais rien moi. Tu n'es pas d'accord avec moi ?

Beom : ...

Moi : tu m'écoutes ? Beom... BEOMGyu... Pourquoi tu t'es arrêté ?

Je marchais et vu qu'il ne me répondait pas, j'ai cru qu'il ne m'écoutait plus. Donc je me suis retourné et en fait, il est à 5 mètres de moi au moins. Je me retourne complètement pour être en face de lui. Il me regarde bizarrement. Je me rapproche de lui. Plus je me rapproche, plus je vois qu'il est déstabilisé. Il doit rester moins d'1 mètre. Il recule donc j'avance, il recule jusqu'à se prendre un casier dans le dos. On dirait une scène d'un drame romantique. Je souris et je le vois regarder en bas. Je suis à 20 cm (?) de lui. Je penche ma tête sur le côté ne comprenant pas ses pensées. On dirait que je suis un vampire à parler comme ça ! Mdr.

Moi : qu'est-ce qu'il t'arrive Beom ?

Je parle doucement pour ne pas attirer les mauvais regards. Je n'ai pas envie qu'on nous entende parler de son peut-être problème. ... C'est affreux, aujourd'hui, je ne parle pas coréen !

Il lève ses yeux pour rencontrer les miens. Il est inquiet.

Beom : pourquoi tu es comme ça aujourd'hui ?

Moi : comment ? Taquin ?

Beom : oui. Enfin non. Tu es... Comme si... Tu flirtais avec moi.

Flirter ? Moi ? Non. Peut-être...

Moi : et tu n'aimerais pas ? Si c'était le cas.

Beom : ce n'est pas la question. La question est pourquoi tu me mets dans une position aussi étroite avec Soobin.

Moi : oh...

Je me recule. Je vois comme de la déception dans son regard. Je pose ma main sur sa joue avant de la descendre sur son épaule. Il me regarde avec la même émotion que ce matin. L'incompréhension.

Moi : Wooyoung est au courant. Peut-être Yeosang. Je ne sais pas... En gros... Soobin, je l'aime ça, c'est sûr. Mais il me manque quelque chose. De la taquinerie en plus des câlins, des délires en plus des discussions sérieuses et pouvoir réalisé mes fantasmes et non que les siens...

Beom : pourquoi tu me dis tout ça Yeonjun...

Moi : parce que tu m'apportes ce qu'il me manque dans mon couple. Alors, oui, je sais, c'est dégueulasse ce que je fais, mais si on le fait en secret, derrière son dos, je serais vraiment moi ! Et je serais moins fatigué.

Beom : tu délires Hyung...

Moi : non mais sérieusement. Autant finir ce que j'ai commencé...

Deom : de quoi tu parles ?

Moi : putain Beomgyu ce n'est pas compliqué à déchiffré. Tu me plais ! Tu es ce qu'il me manque. Dès que je t'ai vu à cette table au self, j'ai comme eu le coup de foudre. Ta façon de passer à autre chose dans les moments gênants comme celui du skatepark où je suis tombé sur toi, est fascinante. Ta façon de parler, de rouler, de rire, est... Je ne sais pas comment le dire, mais woh... Tu me plais vraiment. J'aime nos taquineries. Et le jour où j'ai dit que j'avais oublié la présence des autres, c'est vrai aussi. Tu me fais perdre la notion du temps lorsque je suis avec toi. Alors peut-être que tu es comme ça avec tout le monde et que je vais me prendre un râteau, mais... Il fallait que ça sorte. Il fallait que tu saches que, putain, je te kiffe.

Je vois flou. Je frotte mes yeux et comprends que je pleure. Je ne le vois plus très bien. Pourquoi ? Pourquoi je pleure maintenant ? Devant lui ? Hein ?! Je baisse la tête, honteux. La honte de pleurer devant quelqu'un. Devant lui. Devant Beomgyu. Le maître de mes fantasmes.

Je le sens s'approcher. Je ne relève pas ma tête. Je veux savoir ce qu'il va faire. Il me fait relever la tête. Je détourne le regard. Il m'essuie mes joues et le dessous de mes yeux, à l'aide de ses pouces. Est-ce un rêve ? Ça expliquerait pourquoi le temps passe vite. Très vite. Il se rapproche encore plus. Il me fait un câlin. Il enfouit sa tête dans mon cou. Il pleure ?

Moi : ne me dis pas que tu pleures aussi ?

Beom : d'accord, je ne te dis pas que je pleure aussi.

Je pouffe. Il sourit contre mon cou. Je l'éloigne de moi. Mes larmes ayant cessé de couler. Cette fois-ci, c'est à moi de le regarder avec incompréhension.

Beom : j'ai essayé de m'éloigner de toi cette semaine. Mais je suis attiré comme un aimant vers toi. Je ne peux pas m'empêcher de te regarder et d'être à tes côtés. Je ne suis pas une mauvaise personne de base. Je ne veux pas briser votre couple, mais tu m... Tu me plais également.

Juste après il se remet à pleurer. Dans un élan (pas l'animal) je prends son visage en coupe avec mes mains et l'embrasse. Il est surpris et moi, je ferme mes yeux pour en profiter un maximum avant de me réveiller si c'est un rêve. Il me répond un moment après. On s'embrasse. Je soupire de soulagement par le nez. Oh mon Dieu ! Il embrasse tellement bien. Je l'ai... Dore. Adore. Je l'adore.

On se sépare pour reprendre notre souffle. On se regarde dans les yeux. On sourit.

Beom : tu sais qu'on rentre dans un jeu dangereux ?

Moi : je sais. Mais on en a besoin tous les deux. Et puis, tu es plus ami avec moi qu'avec Soobin. Donc t'inquiètes.

Beom : donc... on est quoi ?

Moi : hmm... Plan fantasme ?

Il se met à rire avant d'acquiescer et de me ré-embrasser. Je lui réponds direct en déplaçant mes bras autour de ses hanches et de le coller encore plus à moi. Lui, passe ses bras autour de mon cou et me tire sur mes cheveux. Oh yes... J'aime cette sensation. Il s'écarte de moi et regarde en bas avant de rougir. Je fais de même et réalise que je bande. Bon. Ça, c'est fait...

Moi : ouais... On fera cette partie un autre jour si ça te va ?

Beom : ça me va. Va t'en occuper. Je vais rejoindre les autres.

Il commence à partir, mais je le retiens et le tire vers moi. Je le ré-embrasse une dernière fois avant de le lâcher et de le pousser.

Moi : là, tu peux y aller.

Il rigole et part. Je cherche les toilettes et les trouve. J'aurais jamais pensé que je me branlerais ici. Je rigole et m'y mets tant qu'il n'y a personne.

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