Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Chapitre 3: Rencontre attendue.

Depuis une semaine, je n'ai toujours pas croisé le garçon au regard vert d'eau. Je vérifie toujours s'il est dans la salle où je me trouve avant chaque cours, quitte à passer pour une folle à regarder les élèves présents à tour de rôle. Mais apparemment nous n'en partageons aucuns.

Pourtant, je n'ai pas passé un jour à ne pas être attentive où que je sois, tout ça dans le but de pouvoir enfin le remercier. J'aimerais pouvoir le faire parce que, déjà que le fait de lui être redevable ne m'enchante absolument pas, me dire en plus de ça que je ne l'ai toujours pas fait me rends hors de moi.

C'est à en devenir complètement dingue, car c'est impossible que j'ai pu le louper, j'en suis sûre et certaine.

Stéphanie a remarqué que quelque chose me tracasse, comme toujours. Cependant, j'ignore pourquoi mais je n'ai pas envie de lui en parler. J'ai déjà assez honte comme ça de n'avoir pas su me débrouiller seule le soir de l'explosion, alors remettre le sujet sur le tapis ne me tente absolument pas; ma fierté en a déjà pris un sacré coup! Mais je crois qu'elle a compris d'elle même qu'il s'agit de ce garçon, puisqu'elle ne me connaît que trop bien. Je ne peux pas lui en vouloir de l'avoir deviné, car c'est de ma faute après tout. J'ai décidé de m'ouvrir à elle, de lui faire confiance, alors maintenant elle sait reconnaître d'elle même mes faiblesses. Bien sûr, je ne regrette en aucun cas d'être son amie, loin de moi cette idée! Non, ça me perturbe juste qu'elle me connaisse autant, du moins, qu'une personne sur Terre me connaisse tout court.

Le sac de boxe devant moi me revient, et dans un moment d'inattention, je me le prends en pleine poire, ce qui en plus de me faire tomber à la renverse, me coupe de mes pensées de la façon la plus brutale. Saperlipopette, ça fait un mal de chien!

« - Voilà qui t'apprendra à vouloir détruire mon matériel, me charrie Nicolas, le directeur de la salle. »

Je rigole nerveusement, devant l'exagération évidente de sa remarque.

« - Excuse moi, je réplique faussement désolée, pendant un instant j'ai bien cru que ce sac de boxe avait justement été placé là pour qu'on puisse se défouler dessus.

Il soupire lassement, comme si mon humour l'avait toujours exaspéré, ce qui me fait ricaner d'avantage telle une enfant.

- Se défouler, ouais. Mais frôler de l'arracher du plafond, ça non merci. Je m'éviterais bien quelques travaux supplémentaires ! »

Je lève mes yeux bleus au ciel. Nous savons très bien tout les deux qu'il aurait de toute façon assez d'argent pour refaire toute la salle si je venais à la détruire entièrement, alors pas besoin de chipoter pour une histoire de plafond potentiellement détérioré.

En fait Nicolas est aussi en plus d'être mon entraîneur personnel, l'ancien meilleur ami de mon père. Ce qui fait qu'en échange que je puisse venir à sa salle de sport luxueuse dès que je le souhaite et surtout gratuitement, je dois aider sa fille de sept ans, Maria, à faire ses devoirs tout les soirs. Mais je sais que parfois, elle préfère les finir pendant la récréation de quatre heure afin que j'ai plus de temps pour aller à la salle. Cette enfant est littéralement adorable.

« - Bon c'est pas que ta compagnie m'ennuie, mais je dois maintenant détruire le tapis de course. A plus tard monsieur le rasbat-joie !

- C'est ça, ! Vas y mollo quand même, il me crie tandis que je m'éloigne déjà. »

Une fois installée sur le tapis de course, je choisi un des différents décors que l'ont me propose puis enfile un casque 4D. J'attends quelques secondes que le processus se lance et bientôt des centaines d'arbres verdoyant se dresse devant moi, me plongeant ainsi dans une ambiance féérique que je n'ai jamais réellement connue. Au même moment le tapis de course s'enclenche et je me vois courir sur un chemin caillouteux, faisant ainsi défiler de nouveaux feuillus. Il me semble sentir d'ici le vent fouetter mon visage, le soleil matinal réchauffer chaque parcelle de ma peau, et la douce odeur de sapin flottant dans les airs taquiner mes narines. Pourtant, tout ça n'est que rêve. Un agréable rêve certes, mais avant tout le fruit d'une technologie qui elle aussi, en apparence, pourrait faire rêver.

Je précise bien en apparence puisque cette fameuse évolution technologique ne cause pas que du bien, au contraire. De nouvelles armes toujours plus impressionnantes ont elles aussi vu le jour ces dernières années compte tenu du contexte actuel.

Au bout d'une heure et demie de course intense dans une forêt dont on ne voit jamais le bout, je décide de m'arrêter puisqu'il commence à se faire tard. Je me rends aux vestiaires pour récupérer mes affaires de cours et sors après avoir saluer Nicolas d'un geste de main amical.

Avant de rentrer chez moi, je décide de faire un détour au Coffee's Jo, pour cette fois m'y retrouver seule. J'ai besoin de me détendre après cette séance de sport, idéalement devant un smoothie framboise bien que ce sera sûrement encore une fois un chocolat chaud.

La pancarte lumineuse qui se dresse au bout de la rue me réjouie de ma presque-arrivée, après quelques minutes de marche.

En entrant dans le café rétro, je me dirige vers une table vide, près de la fenêtre. Jo' arrive bientôt, un calepin noir entre les mains et une toque blanche recouvrant son début de calvitie que je lui connais, comme le faisaient les serveurs il y a bien longtemps.

« - Bien l'bonjour ma petite ! J'ai une excellente nouvelle pour toi aujourd'hui Stelly, et je te la révèle en première comme tu es de loin ma cliente préférée ! Il rigole, faisant secouer son épais corps de soubresauts.

- Quoi donc ? Tu as refais ton stock de framboises ?, je tente malgré que ça, ça relèverait plutôt du miracle.

- Non, désolé, tu sais que c'est compliqué en ce moment.., il commence à s'excuser. »

Il marque une courte pause pendant laquelle son regard devient soudainement empli de nostalgie, puis se reprend finalement, un sourire dévoilant une dentition légèrement négligée au vu de ses quelques carries:

« - Mais je te laisse une dernière chance pour deviner, et crois moi que ça va te faire tout autant plaisir !

- Tu as viré ton nouvel employé ? Je ris de nouveau.

- Ah ça non ! Il m'est bien trop indispensable pour ça ! Il râle, ses sourcils se fronçant d'une manière pourtant aimable.

- Pourtant je t'ai toujours vu travailler seul, et tu te débrouille comme un chef.

- Merci Stelly, mais bref, ce n'est pas le sujet.

- D'accord, je ne t'embête plus avec ça. Alors, quelle est cette bonne nouvelle qui me fera tant plaisir ? Je lui souris.

- Attends quelques minutes, tu vas voir par toi même. »

Et c'est ce que je fais. J'attends si patiemment mais à la fois pressement, parce que je n'ai tout simplement pas l'habitude d'avoir des surprises. Pourtant, je ne m'attends pas à quelque chose d'incroyable, je ne suis pas non plus dupe.

Finalement, il revient quelques instant plus tard, accompagné d'un chocolat chaud encore fumant.

« - Ca va bientôt commencer,  il m'indique, un sourire chaleureux aux lèvres. »

Il dit ça tout en se tournant face à moi, mais pourtant, ce n'est plus vers moi que son attention est tournée.

Soudain, je perçois un bruit du fond de la pièce. Je suis le regard de Jo', et me retourne pour finalement fixer le même point que lui.

Devant le très vieux piano qui appartenait autrefois à la mère défunte de mon ami cinquantenaire, un jeune homme se tient debout. Il semble installer sur ce dernier ce qui autrefois on appelait une partition, fait grincer le tabouret sur le sol, pour enfin s'assoir lourdement dessus.

Pourtant, lorsque que ses doigts se posent sur les touches du piano, la mélodie qui enchante soudainement la pièce est si douce qu'un silence parfait s'établit. J'en reste ébahie par l'agilité de ses mains effleurant l'instrument. Je ne reconnais pas le morceau joué, mais sur le moment, je m'en moque pas mal tant je suis fascinée par la beauté de cette musique. J'en suis certaine, jamais je n'ai entendu une chose pareille.

Au fil du temps, la musique a laissé sa place à des sons bien plus brutes, pourtant tout de même prenant, alors voir quelqu'un savoir encore jouer d'un quelconque instrument n'est plus très commun. Et je ne me cesse de me dire que tout ça n'est que du gâchis.

Je ne vois que son dos, et parfois ses mains lorsque il joue des notes plus graves, mais le charme qui se dégage de ce garçon m'en coupe le souffle. Je jurerai à une illusion tout  le long du morceau, et c'est que quand celui-ci se termine -à mon plus grand désarroi, que je sors brutalement de ma transe.

« - C'est magnifique, je souffle plus pour moi même qu'autre chose, cependant Jo' me répond tout de même.

- Je suis entièrement d'accord. Attends moi ici, je vais te présenter à notre artiste ! »

Alors qu'il repart déjà, je l'arrête, encore émue:

« - Merci Jo', je te suis très reconnaissante pour ce moment.

- Je me suis rappelé que tu adores le piano, c'est pourquoi j'ai fais venir Adam. »

Je lui souris avec tout le bonheur que je peux lui transmettre, touchée qu'il se soit rappelé de ce détail. Puis il s'en va, sans que je ne l'arrête cette fois, pour partir chercher le dit Adam. Je me retourne vers mon chocolat légèrement refroidi, en secouant la tête, toujours fascinée.

Les clients présents sont retournés  à leur  conversations, mais bon nombre d'entre eux ont maintenant un sourire indécrochable affiché sur leur visages. L'air me paraît plus doux, l'ambiance toujours plus merveilleuse. C'est comme si le piano nous offrait toujours sa chanson.

Dehors, comme pour former un parfait contraste, le ciel s'est assombri. Des boules lumineuses flottent au dessus de la rue pour l'éclairer. Le froid semble envelopper les passants, certains soufflent entre leurs mains pour les réchauffer. Et moi, j'ai maintenant trop chaud. Mon chocolat me semble finalement pas si froid que ça, et ma veste se retrouve très rapidement sur le dossier de la banquette sur laquelle je suis assise.

Je me remémore dans ma tête les batailles de boules de neiges que nous échangions, Fanny, les jumeaux et moi et m'imagine la rue couverte de neige. A cette heure-ci, il ferait nuit. Et moi, rien qu'à cette vue, je sourirais. Parce que j'aime l'hiver, et encore plus l'ambiance particulière que cette saison nous donne.

Je termine la dernière gorgée de mon chocolat chaud, des souvenirs pleins la tête. Au même moment, l'imposante silhouette de Jo' se place pile en face de moi, accompagné d'une deuxième qui elle, l'est beaucoup moins.

Je relève la tête vers Jo', qui comme à son habitude, me sourit gentiment.

« - Stelly, je te présente Adam, mon filleul mais aussi talentueux pianiste. Adam, je te présente ma cliente favorite, Stelly. Je suis persuadé que vous allez bien vous entendre. »

Je tourne la tête vers Adam, et nous semblons nous reconnaître en même temps. Cependant, à pars un léger mouvement de recul, sa réaction est bien moins flagrante que la mienne.

« - C'est..c'est bien toi qui m'a aidé l'autre fois? »

Il me sonde d'un regard légèrement lassé, et j'ai la sensation que rien qu'en me regardant, il semble pouvoir anticiper toutes mes réactions. C'en devient carrément perturbant.

« - Qui t'es sauvée, il souligne, mais ouais, je crois bien. »

Sa froideur m'accable. J'en viens même à me demander si c'est bien lui qui jouait du piano il y a quelques instants, tant la chaleur qu'il dégageait en jouant s'oppose à cette sensation désagréable qu'il me fait à présent ressentir.

Je cherche maintenant Jo' du regard, afin qu'il puisse me sortir de cette situation embarrassante mais celui-ci a disparu, et quand je scanne la pièce à sa recherche, je le trouve deux tables plus loin, en train de prendre commande. Génial, merci Jo'.

Adam me détaille toujours sans une once de discrétion, ses mains dans les poches de son jogging trop grand, mais qui sur lui, réussit à bien lui aller. Je me souviens alors qu'il attend une réponse. Ou peut-être pas, mais maintenant qu'il est devant moi je ne vais quand même pas me défiler.

« - Oui, voilà. Et je voulais te remercier pour ça d'ailleurs. C'est pour cette raison que je suis venue vers toi lundi midi. Mais tu m'as fuis.

Mon ton sonne comme un reproche, ce qui n'a pas l'air de lui plaire.

- J'avais des choses plus importante à faire, il réplique toujours aussi glacialement. Mais de toute façon je n'ai pas à me justifier, c'est encore en mon droit de ne pas vouloir parler à une inconnue tout ça pour qu'elle me remercie par pure politesse.

- Je ne te pas remercie par politesse je te signale, mais par principe.

- C'est la même chose. »

Je ne suis pas du tout d'accord avec lui, et je tente de lui faire comprendre par le regard noir que je lui lance. En quelques minutes seulement, il a réussi à me faire passer de la joie à la haine. Et ça m'enrage parce que, pour une fois que j'étais de bonne humeur, il vient de tout gâcher.

« - Bref, je voulais te remercier, maintenant c'est fait. Fin de la discussion.

Seulement, c'est comme si la fin de ma phrase n'avait jamais été dite puisqu'il n'en tient pas rigueur.

- Tu m'es redevable tu sais, alors je ne vais pas me contenter d'un simple mot insignifiant. Non, toi aussi à ton tour tu me dois quelque chose. »

Adam

A la façon dont elle me regarde, je discerne toute l'incompréhension qui passe dans son esprit. Cette fille n'est décidemment pas douée pour cacher ses émotions, je l'ai su dès lors qu'elle ma reconnue, lorsque mon oncle nous a présenté. Par contre, la manière dont elle ne lâche pas mon regard une seule seconde me démontre qu'elle a plus de cran que je ne l'aurais penser. Elle sait que j'essaie de la déchiffrer, et pourtant, cela ne la déstabilise même pas.

« - Qu'est-ce que tu veux en échange ? elle finit par articuler.

- C'est grâce à moi si tu es toujours de ce monde. Alors, tu vois où je veux en venir ?

Ses sourcils se fronce et son visage donne l'impression de s'être froissé tant tout ses traits sont prononcés désormais.

- Pas du tout, tu peux pas être plus clair sérieusement ? elle ronchonne presque immédiatement.

- C'est simple, si un jour tu peux à ton tour me sauver la vie, tu sauras ce qu'il te resteras à faire. »

A ce moment là, je ressens une réaction de sa part particulière, son avis semble être partagé.

« - Putain, si il savait.., je l'entends murmurer pour elle même alors que je commençais à détacher mon attention de sa personne. »

Pourtant, quand elle reprend la parole cette fois-ci à mon intention, pour la première fois depuis le début de notre échange, son regard devient fuyant.

« - Ouais, c'est d'accord, elle lâche, en fixant la vitrine et non mes yeux. »

Elle me cache quelque chose, il faudrait être stupide pour ne pas le deviner. Et cela ne manque pas d'attiser ma curiosité.

« - C'est quoi au juste que je devrais savoir ? »

Ses yeux s'arrondissent comme deux billes. Ca y est, elle vient de comprendre que je l'ai entendu. Tant mieux, autant qu'on aille droit au but.

« - R..Rien, elle bégaie légèrement.

- Bah qu'est-ce qu'il t'arrives? Tu pers tes moyens ou quoi ?

- Bien sûr que non ! elle s'exclame, absolument pas crédible.

Puis, lorsque j'hausse un sourcil, encore moins convaincu, je ressens sa panique de ma place.

- Qu'Est-ce que je pourrais savoir de plus que toi d'abord ? C'est n'importe quoi ! Et puis, comment l'aurais-je su, hein ? Une adolescente comme moi ne pourrait clairement pas savoir un si lourd secret ! Franchement, ton raisonnement est débile..

- Attends, stop. De quel secret tu parles ? »

J'ai touché une corde sensible, je le sens à la façon dont elle commence à perdre le contrôle. Ses iris gris deviennent à la limite du noir, et elle m'en veut de l'avoir démasquée si vite.

« - Hein ? elle feint l'innocence bien que ce masque ne lui va pas du tout. Pourquoi toi tu parles de secret ? Quel secret ?

- Arrête de nier, tu as dit clairement "une adolescente comme moi ne pourrait savoir un si lourd secret", je ne suis pas fou.

- Je ne veux surtout pas t'offenser, mais je crois bien que si. Je n'ai jamais parler de secret. Personne n'aurait la folie de m'en confier un, je ne sais pas les tenir. »

Cette fois-ci, elle accroche son regard au mien, ce qui fausserait sûrement la piste de son interlocuteur, si l'interlocuteur en question ne serait malheureusement pas moi. Elle semble avoir retrouvé sa confiance et c'est mieux dans un sens. Lui soutirer la vérité en devenait trop simple.  Et je préfère largement le défi à la facilité, c'est plus divertissant.

« Bref, je ne vais pas te forcer à me raconter ton secret. C'est dommage, j'adore les secrets.

Je marque une pause, puis je continue, jouant ma dernière carte.

- Mais bon, c'est pas bien grave, ce n'est pas moi qui serait allé à l'encontre de ma promesse... D'ailleurs, ce n'est pas toi qui me parlait pas plus tôt de principes ? Quelle ironie quand on y pense quand même! »

Outch. Vu la tête qu'elle tire à présent, ma pique ne lui a pas plu. Touchée, coulée.

Je m'éloigne alors, un sourire narquois aux coins des lèvres. Elle va m'interpeller, je le sais que trop.

« - Adam, attends !

Je me retourne lentement vers elle, satisfait. Ses pupilles grises brillent et je vois en elle un sentiment que je ne pourrais décrire. Une sorte de mélange entre culpabilité et hésitation.

- Oui ?Je répond tout naturellement. »

Sa réponse met du temps à arriver, beaucoup trop de temps. Je ne saurais pas dire pourquoi son secret m'intéresse autant, mais ce qui est sûr, c'est que maintenant que je connais son existence, je ne lâcherai pas l'affaire. Alors, quand sa bouche s'entrouvre lentement, trop lentement à mon goût, dans l'intention de tout me révéler, je me sens jubiler d'impatience. Seulement, ma déception est égale à la fierté que son sourire carnassier reflète quand elle prend enfin la parole:

« - Non, rien en faite. Je voulais juste te souhaiter une bonne soirée. »

-
Yeeaaah, et voilà pour ce nouveau chapitre !

Bon, vous aurez peut-être pas remarquer mais j'ai joué avec le titre. Genre, je pense que souvent on aurait tendance à dire un truc du style « rencontre inattendu », c'est plus habituel. Mais vu qu'ici, Stelly pense à Adam tout le début du chapitre, on peut dire que cette rencontre était franchement attendue.
Bref, maigre détail que je voulais préciser.

Aussi, j'ai changé la couverture de l'histoire hier, ainsi que le titre. Du coup, j'ai l'impression de ne plus écrire sur la même histoire, mais au fond, ce n'est pas plus mal.
Mais ne vous inquiétez pas, vous comprendrez bientôt pourquoi j'ai choisi « Year 1590 » comme titre du livre.

M'enfin, j'espère que ce chapitre t'as plu, et je t'encourage dors et déjà à laisser un petit commentaire ou/et un vote avant de quitter ce livre, haha !

À très bientôt,
Lisa.

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro