Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Chapitre 2: Contamination.

(Chapitre réécrit et corrigé)

« - Où es tu allée hier soir ? m'interroge ma petite sœur tout en tartinant son pain grillé de fromage fondu, comme à sa fâcheuse habitude.

- Nulle part, je réplique sèchement. »

Il semble que ma froideur a calmé toute once de curiosité se dégageant d'elle. Ou pas, mais elle ne me pose plus aucune question jusqu'à la fin du petit déjeuner, et c'est l'essentiel.

Une fois prête, j'attrape de ma main valide les clés de notre modeste maison, l'autre étant occupée à enfiler mon sac de cours sur mon épaule gauche. Comme à chaque fois, je lance un bref «bonne journée» à ma fratrie, avant de m'en aller en claquant la porte d'entrée.

Une odeur infâme agresse mes narines de plein fouet. Je relève mes yeux de mes chaussures et les plantes dans cette masse de fumée grisâtre qui, je suppose, est la cause de cette mauvaise odeur inhabituelle. Ça pue le mort, au sens premier du terme. Je remonte le revers de mon col roulé à mon nez, pour tenter d'atténuer l'ampleur de l'aura qui m'entoure. Je décide de me rendre à mon lycée public à pied, jugeant que l'addition brouillard et chauffeur du bus à moitié aveugle normalement ne peut présager rien de bon.

En me rapprochant de plus en plus de la rue principale qui longe mon lycée, je m'aperçois que bon nombre de civils semblent pris de toux intense. Puis, je me joins bien vite à cette vague de toussotements, sentant ma gorge me bruler comme jamais elle ne l'avait fait auparavant. Une fois devant l'enceinte de mon lycée, je me dépêche de renter à l'intérieur de ce dernier mais deux femme toute vêtues de blancs aux visages recouverts de masques transparents m'interrompent.

« - Vous ne pouvez pas rentrer, c'est interdit, me signale une d'elles. »

Je lève les yeux au ciel, lassée.

« - C'est absurde. Bien sûr que si je peux, je suis inscrite à ce lycée depuis trois ans.

- On vous dit que non, persiste la deuxième. Pas avant d'être passée par le sas de désintoxication.

- C'est quoi encore ce bordel ?

- La bombe d'hier a contaminé l'air de toute la ville dans un rayon de cent kilomètres. Vous avez respiré cet air, vous ne ferez donc pas exception à la règle. »

Je regarde tout autour de moi, étonnée. Une longue file d'attente attire mon attention. Ne me dites pas que je vais devoir attendre pendant tout ce temps, tout ça pour être décontaminée ? Au vu du regard plein d'impatience que me lance la rousse aux lunettes jouant à la garde du corps, si.

« - Vous croyez vraiment que je vais attendre pendant une heure mon tour pour un détail d'air contaminé ?

- Mademoiselle, me reprend la rousse, il me semble que vous n'analysez pas bien la gravité de la situation. On ne parle ici guère d'un détail. Comme l'a dit ma collègue tout à l'heure, respirer cet air est dangereux pour notre santé. Nous faisons donc notre possible pour nous assurer que l'air toxique ne pénètre pas à l'intérieur des établissements publics de cette ville.

- Du coup je ne peux vraiment pas renter ? Même si j'ai une envie pressante d'aller aux toilettes? je tente avec un demi sourire qui se veut rempli de pitié.

- Non. »

Finalement, après de longues minutes de négociation, je me dirige vers la file d'attente comme me l'ont répété une bonne dizaine de fois les deux gardes, vaincue. Naturellement, je double discrètement une bonne moitié de la dite file, mimant un lacet défait. Je joue à la sourde lorsque j'entends quelques râlements dans mon dos, et suis la marée humaine qui avance petit à petit, en adoptant un faciès angélique. Alors que je critique intérieurement les cheveux gras de la personne devant moi, la voix familière de ma meilleure amie m'interpelle:

« - Stelly, je t'ai cherchée partout ! s'exclame Stéphanie à bout de souffle.

- Hey, du calme, je suis pas encore morte.

- Non mais tu l'aurais pu ! Je t'ai vu ce matin à la télé, et tu étais sur place hier soir ! Qu'est-ce que tu foutais là-bas, sérieusement ? »

D'autres grognements me parviennent, alors que ma meilleure amie s'est elle aussi incrustée dans la file avec moi, qui maintenant touche bientôt à son but.

« - Comment ça tu m'as vu à la télé ce matin ? je m'étonne.

- Ils ont passé aux informations Nationales les images catastrophique de la veille, et je t'ai reconnu au même moment que ce garçon te sauvait de la vague de pétrole.

- Ils ont parlé d'autres choses ?

- Pas vraiment, le gouvernement tente de rassurer les civils effrayés en disant qu'ils vont prendre les mesures nécessaires pour que tout ça s'arrête. Ils parlent peut-être de l'information secrète que nous savons, tu penses pas ?

- C'est possible, ton père t'as rappelé ? »

Elle s'apprête à me répondre, quand une autre dame recouverte d'un masque nous interromp. Apparemment, nous sommes arrivées au centre de désintoxication, puisque nous sommes maintenant sous une tente en toile blanche.

« - Bonjour mes demoiselles, retirez le maximum de vos vêtements et veuillez les laisser dans les paniers à droite de vos cabines respectives, nous vous les redonnerons à la sortie du sas, nous sourit gentiment la trentenaire.

- D'accord, merci. »

Je suis Stéphanie jusqu'aux cabines en ferraille par lesquelles nous devons passer. Arrivée à l'intérieur de cette dernière, je quitte mon pull rouge et mon jogging noir, pour me retrouver seulement vêtue de mes sous-vêtements comme nous l'avait ordonné la femme de l'accueil. J'enfile le peignoir qui m'est destiné, et lâche salement le tas de mes vêtements dans une des nombreuses panières en osier blanche.

A la sortie de la cabine, je remarque que Fanny m'attends. Nous reprenons notre conversation comme si le temps ne s'était pas écoulé depuis le moment où nous sommes entrés dans ces étranges cabines bleu nuit..

« - Pas vraiment, elle grimace. Il m'a seulement envoyé un message ce matin. Il me dit que là bas tout le monde se doute de quelque chose. La Nation Red a pris le dessus sur la nôtre, et ça depuis un moment déjà contrairement à ce que l'empereur Ritch nous fait croire.

- Plus clairement: on est bientôt dans une sacrée merde. Et on ne peut rien faire contre ça, puisqu'on n'est même pas sûr de ce qu'ils vont faire exactement. On n'a plus qu'à attendre qu'ils nous tombent dessus et qu'ils nous disent la vérité.

- C'est à peu près ça, ouais, elle soupire. »

Nous clôturons le sujet sur des dizaines de questions en tête, et nous suivons une nouvelle assistante toujours habillée en blanc. A croire qu'elle se sont toutes fait passer le mot de se vêtir de la même manière!

En fait ce doit être ça, j'imagine. Elles veulent sûrement paraître plus organisées ou quelque chose comme ça.

Je déteste le blanc. La seule fois où je me suis habillée d'un haut de cette horrible couleur, c'était pour le mariage de ma tante et c'est mon père qui m'y avait obligé. Du coup, pour éviter d'avoir à remettre un jour ce haut si moche, je m'étais volontairement tachée de sauce à la tomate. Par contre, j'aime le bleu. Ca tombe bien puisque c'est aussi la couleur qui représente ma Nation, bien qu'elle soit un brin plus foncée que celui que j'aime.

La voix de la femme en blanc m'interromp alors que je dérive déjà dans mes pensées, comme pour me rappeler à l'ordre.

« - Vous allez passer dans un sas fermé de tous les côtés. Alors si vous êtes claustrophobe, c'est bien dommage pour vous. Vous verrez de vous même, c'est très à l'étroit à l'intérieur. Enfin bref, vous n'avez évidemment pas le choix. Ce sas vous permettra..

-... d'isoler et de détruire toute particule dangereuse et contagieuse, du style éclaboussure de produit chimique ou poussière nucléaire, je la coupe. Oui, on est au courant. »

Ses deux sourcils broussailleux se froncent pour n'en former plus qu'un. Elle est de loin une des personne des plus désagréable que je connaisse, bien que je viens à peine de la rencontrer. Et pourtant, la concurrence est rude !

« - Bien, si vous êtes si pressée que ça d'en finir, vous ne verrez donc aucun inconvénient à passer la première, elle continue.

- Euh..

- Allez, un peu de courage voyons, elle me nargue avant même que j'ai pu répliquer que non, je ne souhaitais pas passer d'abord ».

Elle me pousse, avec toute la brutalité qu'on peut avoir, à l'intérieur d'une pièce carré aux vitres teintées de bleu marine.

Du courage ? On voit que ce n'est pas elle qui est à ma place !

Soudainement je ne sais plus quoi faire de mes mains, je commence même à avoir un petit peu la frousse. Déjà que l'objet en lui même est tout sauf rassurant, il aura fallu que cette vieille peau m'effraie...

S'ajoute à ça un compte à rebours de cinq secondes qui me semblent durer cinq minutes. Quand le zéro est prononcé par la voix robotique diffusée à l'intérieur de l'engin, je suis abstergée de ce que je suppose être une solution neutralisante. Au final, le rinçage ne dure guère beaucoup de temps, mais j'en ressors écœuré. Leur produit sent affreusement mauvais, il me rappelle l'odeur du shampoing à poux que j'avais fait à Tommy il y a de cela deux ans. Et cette odeur est ancrée dans les pores de ma peau.

Quand je ressors du sas de décontamination, la femme désagréable de tout à l'heure me tend mes vêtements eux aussi décrassés de poussière nucléaire, et un masque semblable à ceux que portais les dames de l'accueil mais qui ne recouvre en revanche que mon nez, et ma bouche. J'enfile le tout et m'en vais par le couloir que je reconnais mène à la salle de mathématiques. Je n'attends pas mon amie, puisque nous n'avons pas les mêmes emplois du temps. Je ne réponds pas au "bonne journée" exagéré que me lance la même femme, puisqu'elles viennent de me gâcher une bonne partie de ma matinée.

Avant de me diriger vers mon cours habituel, je descends à mon casier, pour récupérer mes affaires de cours. Je me place bien en face de ce dernier, afin qu'il puisse reconnaître mon visage. La porte bascule vers ma droite, et comme après chaque ouverture, diverses images défilent sur l'écran qui la recouvre. Je m'attarde quelque peu sur les photos que nous avons prises, Steph' et moi, l'été dernier. La netteté des photos est d'une qualité sans faille et les couleurs me semblent plus réelles que jamais.

Après quelques courtes minutes passées à contempler cette succession de souvenirs plus géniaux les uns que les autres, je referme brusquement mon casier; un doux sourire est dessiné sur mes lèvres...

Je m'avance ensuite d'un pas déterminé vers l'un des très nombreux tuyaux en verre, afin de me rendre à ma salle de classe. Il y a une petite foule autour de celui vers lequel je me trouve, mais bien moins que celle qui doit avoir autour des centraux. C'est qu'au milieu de ma deuxième année d'école secondaire que j'ai découvert qu'il y avait une dizaine d'ascenseurs qui ne peuvent être empruntés que par les élèves de dernière année, puisque leurs emplois du temps sont beaucoup plus chargés que ceux des premières et deuxièmes années. Du coup, pendant toute cette première semaine de cours je n'ai fait que profiter de mon privilège.

Je dépasse quelques élèves d'une discrétion que j'ai appris à travailler, et me retrouve de façon encore plus rapide en tête de file. Une rouquine juste devant moi se place dans le tube de verre, et s'élève aussitôt dans les airs. J'attends quelques secondes qu'une plateforme grise apparaisse sur le sol, et me lance de façon mécanique vers celle-ci. Le bracelet autours de mon poignet gauche contient toutes mes informations personnelles telles que mon nom, ma nationalité, ma classe, ou, dans ce cas précis, mon emploi du temps. Ainsi l'ascenseur peut me conduire directement à la salle où se déroule mon premier cours. De cette manière également, la sécurité peut se rendre compte quand un individu de la nation Red se trouve à l'intérieur de l'établissement et très vite le localiser.

C'est déjà arrivé il y a deux ans qu'une fille ait été envoyée ici pour placer une bombe à l'intérieur d'un des quatre bâtiments dans le but de l'anéantir. Et bien heureusement, elle s'est fait coincée avant que la catastrophe ne se produise.

Des sécurités viennent m'attacher mes chevilles et mes poignets et je me sens presque directement envoyé dans les airs. A travers les vitres transparentes de l'appareil, je peux voir tous les tubes en verre se dresser devant moi, se croisant à certains endroits pour échanger une plateforme de voix si nécessaire. Je n'arrive pas à reconnaître les multitudes de personnes qui défilent à vitesse grand V tout autour de moi, mais à un certain moment il me semble croiser la rouquine.

A un moment donné, mon tube sors du bâtiment dans lequel j'étais pour rejoindre le gymnase. Le peu de temps que dure cette transaction, je me retrouve donc dans les airs, à environ 50 mètres du sol. Je n'ose même pas m'imaginer ce que doivent ressentir toutes ces personnes qui ont le vertige, lorsqu'ils passent par cette voie. Ce ne doit vraiment pas être agréable. En tout cas moi, je ne l'ai pas. Et bien au contraire, cette sensation de voler me donne une montée d'adrénaline que j'aime ressentir. Je suis même déçue quand je me retrouve de nouveau à l'intérieur, et d'autant plus lorsque ma plateforme redescend avec plus de douceur sur la terre ferme.

L'ascenseur m'a directement conduit à ma salle de cours, soit le gymnase. Je me dirige vers les vestiaires des filles, et lorsque je rentre dans ma cabine le casier situé au fond de la paroi s'ouvre de lui même et des vêtement de sport sentant encore la lessive en sortent. Je les attrape à la volée, et les enfile tout en prenant soin de bien ranger mes anciennes affaires dans le fameux casier.

En sortant des vestiaires, je remarque que notre groupe d'élèves est au complet et que seul le professeur manque à l'appel. Je vais m'assoir dans les gradins avec les autres et patiente sagement avec eux.

Finalement, notre enseignant ne se fait pas longtemps désier puisque quelques minutes plus tard il nous rejoint et nous annonce directement le déroulement de l'entraînement. D'après ses dires, nous allons aujourd'hui nous orienter sur les différents types de combats singuliers.

Nous avons l'ordre de faire une vingtaine de tours de la salle pour nous échauffer, alors je préfère me concentrer sur l'apparence de chaque élève pour faire passer le temps. J'aime beaucoup observer les personnes, leurs gestes trahissent beaucoup de choses. Par exemple, cette petite brune à la tête baissée me laisse penser qu'elle n'a pas forcément beaucoup de confiance en elle contrairement au blondinet devant moi qui tente de contracter les muscles de son corps tout en courant. Lui, il doit faire partie de cette mince pincée de gens qui ne souffrent pas de la famine de la guerre puisque en fait, quand on l'observe de plus près, on remarque qu'il est plus fournis en graisse qu'en biceps.

C'est triste mais oui, encore à notre époque, les classes sociales existent toujours. Et d'après mon professeur d'Histoire, ça fait bien longtemps que ça dure. Mais enfin, ce n'est pas en me plaignant que ça va changer quelque chose...

Un coup de sifflet retentit dans toute l'immensité de la salle et notre coach nous demande de nous mettre par groupe de deux, en position de combat.

Je m'installe sur un des rings qui se détachent du sol, attendant mon adversaire. C'est finalement le garçon aux cheveux blond de blé qui se place en face de moi, un sourire narquois placé sur ses lèvres.

Attends que le combat commence, crois moi tu riras moins.

***

J'ai rejoins Stéphanie à la cafétéria du bâtiment deux, vu que c'est bien souvent celle où il y a moins de monde. Et puis de toute façon, nous avons maintenant pris l'habitude de manger ici.

Stéphanie s'esclaffe sans aucune discrétion tandis qu'elle me redemande pour la quatrième fois de lui raconter une dernière fois la scène où mon adversaire s'est retrouvé à terre devant tout les élèves du gymnases.

« - Ca ne faisait que deux minutes à peine que le combat avait commencé, je ris sournoisement. Lorsque je lui ai tendu ma main pour l'aider à se relever il m'a ignoré et est sorti du gymnase sous les mauvais rires des autres élèves. En plus, je crois bien que je lui ai fais mal à la cuisse. »

C'en est trop pour Steph qui part dans un fou rire sans fin. Je n'aime pas spécialement me moquer des gens, mais rien que pour entendre le rire communicatif de mon amie, je préfère faire une exception pour cette fois là. De plus, il s'agissait d'un de ces riches privilégiés, alors j'ai une double excuse. Je me joins donc sans tarder au rire de Stéphanie, et bientôt les larmes me montent aux yeux.

Lorsque je suis enfin calmée, je remarque que bon nombre de personnes nous regardent d'un air loufoque. Ils doivent sûrement penser que nous sommes folles à lier. Mais je m'en moque.

L'avis des gens ne m'a jamais importé, seul celui de mes proches compte. Et sur ce point là, Stéphanie est encore bien au dessus de moi. Je pourrai parier qu'elle pourrait sortir en pyjama dans la rue que ça ne la dérangerait pas. La seule raison pour laquelle ne le fait pas, c'est qu'elle aurait bien trop peur de le salir. Car en plus d'être complètement dans sa bulle, elle a la manie de vouloir toujours tout garder propre, en passant de sa salle de bain jusqu'au lacet de ses baskets de sport.

Pourtant, même si on est très différentes sur certains points -et surtout sur ce dernier, nous nous complétons comme de deux jumelles le font.

La masse de mauvais regards n'a pas cessée puisque Stéphanie est toujours dans son fou rire. Je dirais même qu'elle rit maintenant encore plus fort à mon plus grand bonheur. Tant mieux si nous les gênons en faisant trop de bruit, qu'ils aillent se faire voir!

Je leurs souris à tous hypocritement un par un, ce qui fait baisser là tête aux plus timides ou hausser un sourcil à ceux dont l'assurance empeste jusqu'au bout de la pièce.

Seul un n'a aucune de ces deux réactions, il reste impassible ce qui m'étonne. Ses yeux verts me rappellent quelque chose qui m'échappe. Et quand la mémoire me reviens, je m'élance vers lui à toute vitesse: c'est le garçon de la nuit dernière, celui qui m'a sauvé de l'attaque.

Il remarque rapidement que c'est vers lui que je me dirige, et s'en va avant que j'ai pu l'atteindre. Je tente de la rattraper, mais en vain.

Pourquoi seulement ne me laisse-t-il pas le remercier?

-

Et voilà pour ce chapitre deux qui a tant tardé!

C'est grâce à une lectrice que j'ai eu la motivation d'écrire la fin de ce chapitre, et plus spécifiquement à son gentil commentaire.

Vous ne pouvez pas vous imaginer à quel point ça fait plaisir de recevoir un commentaire qui complimente votre travail, encore plus j'imagine quand comme moi on a pas beaucoup de lecteurs !
Après, je me mets aussi à la place du lecteur qui va lire votre chapitre, bien l'aimer (ou pas), et pas forcément penser à mettre un commentaire ou savoir quoi dire, puisque moi aussi ça m'arrive.
Mais en ce moment j'essaie de plus en plus de prendre le temps de commenter certains chapitre, pour montrer mon soutiens envers l'auteur(e)...

Enfin voilà, petite parenthèse terminé, tu peux maintenant à ton tour voter pour mon chapitre s'il t'as plus ou/et laisser un petit commentaire ;)

À très bientôt,
Lisa.

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro