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Je peux avoir un autographe ?

Jour 2 : Vendredi 23 Novembre.

J’ai passé une nuit horrible ! J’ai eu un mal fou à trouver le sommeil, alors que j’étais complètement épuisée en fin de soirée. J’ai jamais été très à l’aise avec le fait de dormir ailleurs que chez moi, mais alors là ! Je ne sais pas trop pourquoi, mais j’avais tout le temps peur qu’un Hippogriffe surgisse de sous mon lit, ou qu’un Troll frappe à ma porte. En plus, les bruits incessants dans les couloirs ne m’ont pas aidé à rejoindre Morphée. Ils ne dorment jamais dans cette école ? Il n’est pas censé y avoir un couvre-feu ou un truc du genre ? Quoi qu’il en soit, j’ai mis des heures à plonger dans le monde des songes, du coup, j’ai la tête dans le c... Je suis dans le coaltar.

Ni mon déjeuner, ni mon long passage sous une douche magique (qui fut fa-bu-leuse) n’y ont fait quoi que ce soit, j’ai les yeux aussi rouges que ceux de Miss Teigne. Je crois que je ne me ferais jamais aux apparitions de l’elfe de maison dans ma chambre. Je soupçonne ce dernier de prendre un malin plaisir à me faire sursauter. Encore ce matin, quand il est apparu dans un "pop" digne d’un cartoon pour me demander ce que je désirais manger, j’ai dû prendre deux minutes pour calmer les battements de mon pauvre cœur malmené, avant de lui répondre. Il est reparti aussi vite qu’il est apparu et je suis restée là, les bras ballants, à regarder la porte de ma salle de bain. Quand finalement, j’ai repris un peu de dignité et regardé l’heure, il était encore assez tôt, j’ai donc décidé de me doucher sans attendre. Alors que j’allais entrer dans la pièce attenante à ma chambre, pour m’y déshabiller, ce fichu elfe est réapparu avec un plateau garni de pancakes et d’œufs brouillés. Il me regardait tranquillement, les oreilles frétillantes, tandis que j’agrippai ma poitrine à deux doigts de l’infarctus. Après quelques secondes, en voyant que je le regardais avec un certain agacement, il a fait léviter mon futur repas vers le bureau, et est reparti dans un claquement de doigts. Frimeur.

Après avoir enfilé ma tenue d’écolière, non sans un certain dégoût pour mes chaussures vernies, et dévoré mon repas, j’ai attendu sur mon lit. Quoi ? Aucune idée, peut-être la venue de Dumbledore, ou bien que mon rêve me dise quel chemin prendre, mais rien n’est venu.

C’est pour cette raison que je gagne du temps à écrire ces quelques lignes, avant de me lancer dans les couloirs à la recherche de quelque chose à faire.

                                                                                                                         -O-

Bon, je ne sais pas trop quoi penser de mon excursion dans l’école. Je suis mitigée entre le scepticisme, l’amusement, l’émerveillement et j’en passe. Je ne devrais pourtant pas, je sais dans quel monde j’ai atterri, mais je ne pouvais pas faire autrement et rayonnais telle une enfant quand je faisais face à quelque chose de magique.

Quand j’ai enfin pris mon courage à deux mains, et suis sortie de ma chambre, j’ai eu un temps de réflexion face à la carte. Où voulais-je aller ? Me rappelant de mon monologue intérieur de la veille, j’ai pris l’initiative de trouver le directeur pour éclaircir certains points. Je me suis trouvée idiote de parler à un bout de parchemin, j’avais l’air d’une folle à vérifier que personne ne se trouvait dans les parages. Quand, enfin, il m’a montré le chemin à emprunter, j’ai enclenché la conduite automatique pour me lancer dans un labyrinthe de couloirs. Comme la veille, les tableaux me saluèrent, je n’osais pas leur répondre, complètement tétanisée par la gêne. D’ailleurs, certains l’ont mal pris et m’ont copieusement traitée de malpolie. Moi qui croyais être guidée vers son bureau, me suis retrouvée à descendre des volées d’escaliers, qui heureusement n’ont pas bougé. Je croisais par moments des élèves trop obnubilés par leur discussion ou leurs amis pour faire attention à moi.

Mes pas m’ont finalement menée à la grande salle, qui était, à mon grand soulagement, pratiquement vide. La grande horloge dans la pièce indiquait dix heures, c’était donc logique que les élèves soient absents. Dumbledore était assis à sa place attitrée à la grande table centrale, celle-là même qui faisait face à tous les bancs et aux drapeaux des quatre maisons de l’école. Il écrivait Merlin sait quoi sur un long parchemin, je voyais le haut de sa longue plume lui chatouiller le nez de là où j’étais. Un rapide coup d’œil circulaire ne me permit pas de reconnaître des personnes "connues" parmi les gens présents, aussi, avec un certain trac, je rejoignis le directeur.

Après quelques secondes, il m’accorda son attention. Je lui expliquai le plus précisément possible mes craintes de la veille. Il sembla peser le pour et le contre avant de se lever de sa chaise, et de faire les cent pas. J’avais l’air idiote à rester là, devant cette longue table, à attendre sans savoir quoi faire, ni quoi regarder. Alors que je commençais à retirer des saletés sous mes ongles, sa voix résonna à mes côtés.

Il me demanda quelle matière j’aurais aimé suivre si j’avais été une sorcière. Je méditai sa question avec sérieux, à dire vrai, tous les cours ici étaient intéressants, mais un revint sans arrêt en haut de ma liste.

Il hocha la tête et m’intima à le suivre, j’obéis. Nous reprîmes le chemin que j’avais quelques minutes plus tôt emprunté, et je compris rapidement que nous nous dirigions vers son bureau.

Arrivé à destination, il enfila sa longue cape de velours d’un rouge sombre et alluma, d’un coup de baguette, un feu dans la cheminée. Les flammes d’un vert criard ne me donnaient pas franchement envie de le suivre dans le petit habitacle, mais son regard rassurant me donna le courage de le faire. D’une voix forte, il prononça le nom de l’endroit où nous allions et jeta de la poudre de cheminette à nos pieds. Tout se passa très vite, je sentis qu’on m’attirait par l’arrière et que mes membres se disloquaient sans que cela ne soit douloureux, je me ratatinai sur moi-même, je tournoyai dans les airs, et l’instant d’après, dans un amas de poussière, nous étions arrivés au chemin de traverse.

Une nausée me prit, mais je réussis à garder mon repas dans mon estomac.

Ce fut comme lors de mes nombreux visionnages des différents films de la saga, l’endroit était identique, bien que moins fréquenté. Les différents magasins se succédaient au fil de notre avancée dans la rue commerçante. Des personnes saluaient respectueusement mon partenaire de voyage, d’autres se ruaient dans les maisons pour faire leurs achats de dernière minute. Je vis une chauve-souris battre des ailes et reculai de dégoût. Quel genre de personne pouvait bien vouloir de cet animal comme compagnon ?

Je sautillais presque de joie quand nous entrâmes dans le magasin de Monsieur Ollivander. Je saluai avec entrain le marchand de baguettes sous le regard amusé du directeur.

Ce dernier, lui expliqua sa démarche peu habituelle. Au fil des explications du vieil homme, le vendeur le plus réputé du chemin de traverse, devenait de plus en plus perplexe. Il devait vendre une baguette magique à une élève sans pouvoirs magiques, logique. Bizarrement, il ne s’étonna pas plus que ça de cette demande peu orthodoxe, et partit dans ses rayonnages à la recherche de mon futur jouet. Dumbledore faisait-il si souvent des demandes étranges ?

Il revint vers nous avec un long bout de bois gracieusement travaillé. Il expliqua les différents matériaux dont il était composé, je ne compris rien à son explication. Ma baguette aurait été faite d’un aileron de dauphin et deux pincées de poivre de Cayenne, cela aurait été pareil.

Je la pris en main, m’attendant au même phénomène que dans les films, à savoir les cheveux qui volent, la musique qui retentit mystérieusement, le tout dans un ralenti de circonstance, mais rien, un flop total. Je fis la moue, déçue. Il repartit dans l’arrière-boutique, une fois, deux fois, dix fois. Je commençai sérieusement à en avoir ras le bol d’attendre devant le comptoir qu’on me vende une foutue baguette. Le directeur, lui, s’était assis sur une chaise et feuilletait un magasine sorcier. Je haussai les sourcils, me demandant où il l’avait trouvé, avant de me retourner vers Ollivander qui, une fois de plus, revenait les bras chargés de baguettes.

Je dus attendre plus d’une heure avant que, finalement, l’on m’en trouve une qui réagit à mon contact. Rien d’exceptionnel, elle vibra entre mes doigts et des volutes de fumée blanches émanèrent de son sommet. Ce fut, selon l’expert en la matière, la preuve que ma nouvelle alliée me reconnut en tant que partenaire. Il m’expliqua que la peau de Manticore qui recouvrait la base du bout de bois avait des vertus de protection, et que l’intérieur était composé d’une plume de Focifère et de poils de Demiguise qui, eux, permettaient à certains sorciers expérimentés d’utiliser ses facultés d’invisibilité. Alors ça, c’était génial ! Même si je doutais sérieusement d’y arriver.

Alors que je me demandai comment il était possible pour moi, simple Moldue, d’avoir la possibilité de maîtriser une baguette magique, je me dis que finalement, dans les rêves, rien n’était totalement logique et rationnel. Dumbledore, qui n’en était pas du tout étonné, vint payer le marchand. Nous repartîmes dans la rue.

Il me donna quelques Gallions, avant de m’attendre sur le pas de la porte de notre arrêt suivant. J’entrai sans la moindre hésitation dans le magasin de Madame Guipure et entrepris de m’acheter des chemises et jupes "normales", pouvant me servir en dehors des cours. Le rayon de lingerie attira mon attention, et c’est avec un léger rouge aux joues, que j’achetai des culottes, soutiens-gorges et chaussettes, sur le compte du directeur. Le tout emballé sous le regard bienheureux de la vendeuse, je sortis rejoindre mon portefeuille mobile.

Ensuite, nous sommes allés acheter les fournitures dont j’avais besoin pour le seul cours que je suivrais à partir de demain. Les différents livres qui étaient en rapport avec cette matière furent, eux aussi, ajoutés à la liste des achats. Ainsi que des réserves d’encres, une plume de rechange et des kilomètres de parchemins. Le directeur me proposa d’acheter un balai, au cas où, mais je refusai poliment. J’ai un vertige affreux et il est hors de question que je monte là-dessus ! C’est donc, les bras chargés, que je le suivis vers la cheminée qui nous avait amenés dans cette rue, et nous repartîmes vers Poudlard.

Il me raccompagna à ma chambre. Alors qu’il allait partir, il me chuchota qu’il allait installer une table plus petite, pour moi, aux côtés de celle où il mangeait dans la grande salle, et qu’à partir de ce soir, je devrais m’y rendre pour mes différents repas. Super ... Il ajouta, qu’il ferait une annonce à mon propos ce soir, lorsque tous les élèves seraient présents. OUTCH !

Enfin seule, je te retrouve mon Cher journal, tu n’imagines même pas à quel point je suis nerveuse....

                                                                                                                           -O-

Quelle journée !

Il n’était qu’à peine treize heures quand j’ai décidé de retenter une sortie furtive de mes appartements. Avec une voix toujours aussi peu convaincue, j’annonçai au GPS magique de me conduire à la bibliothèque. Dans les couloirs, il n’y avait pas un chat, les élèves étant en cours, je pouvais allègrement me promener sans craindre de tomber sur l’un d’eux. Pourtant, je crus en discerner quelques uns, cachés derrière de belles tapisseries. Ma curiosité ne me poussa pas à regarder ce qu’ils y faisaient, mais mon imagination travailla fébrilement à cette tâche. 

Avec amusement, j’entrevis le professeur Chourave. Fidèle à elle-même, elle arborait une tignasse toute en boucles, ses vêtements amples, choisis avec goût, faisaient ressortir avec grâce ses courbes généreuses. Sous son grand chapeau, elle dévoilait un large sourire enjoué, renforçant la rondeur de son doux visage. Elle eu un temps d’arrêt quand elle me vit, cherchant sans doute dans sa mémoire, dans quelle maison j’étais. Je ne lui laissai pas le temps d’approfondir son introspection et me faufilai dans l’immense bibliothèque. Après avoir salué Madame Pince, qui ne daigna m’accorder qu’un bref hochement de tête, je m’installai à un bureau vide pour commencer ma lecture, soigneusement choisie.

Environ deux heures plus tard, j’avais les yeux trop fatigués pour continuer à m’instruire, je décidai donc de sortir de l’antre de la bibliothécaire pour partir à la découverte de l’école. Je ne me servis pas de la carte et me laissai guider par le destin. Et qu’il fut cruel !

Alors que je m’enfonçais dans les profondeurs de l’école, je croisai le Baron Sanglant avec horreur. Je connaissais ce fantôme, pour l’avoir découvert dans les livres, mais quelle ne fut pas ma surprise de le voir en chair et en os, enfin façon de parler. Il me menaça de ses chaînes, qu’habituellement, il faisait traîner au sol, et fonça sur moi dans un semblant de nuage de fumée ectoplasmique. Il passa à travers moi et disparu dans le mur le plus proche avec un rire à faire dresser les cheveux sur la tête. Je frissonnai de dégoût d’avoir été en contact avec cette chose, je vérifiai qu’aucune tâche, du sang qu’il traînait sur ses vêtements d’aristocrate depuis des lustres, n’avait souillé ma tenue toute neuve, quand j’entendis une voix familière. Je me redressai lentement, sous le choc et euphorique à la fois, avant de me retourner vers le nouvel arrivant.

Un large sourire se dessina sur mon visage, j’avais les larmes aux yeux tellement j’étais émue de le voir, lui, mon personnage et acteur préféré d’Harry Potter. Lui qui m’avait tant troublée, étonnée, énervée aussi, était là, devant moi. Une partie de mon cerveau, qui avait complètement disjoncté depuis son arrivée, me poussait avec force à aller lui demander un autographe. Une autre, plus raisonnable, si j’ose dire, se demandait si je devais lui demander ce dernier, au nom de Severus Rogue, ou d’Alan Rickman ... Finalement, je n’eus pas le temps de faire un choix, car il accourut vers moi le regard brillant de colère.

- Qui êtes-vous ? Qu’est-ce que vous faites ici ? Venez ! Mais arrêtez de courir sombre idiote !

Je ne sais toujours pas ce qui m’a pri, de le fuir ainsi. Sans doute son regard perçant, sa voix et ses menaces lourdes de répercussion, mais je l’ai fait. J’ai évité, Merlin sait comment, les sorts qu’il me lançait pour me stopper dans ma course, j’ai bousculé plusieurs élèves sur ma route, sans me retourner pour m’excuser, et j’ai foncé vers l’inconnu. Quand j’y repense, c’est sûrement grâce à l’endurance propre à ma jeunesse que j’ai pu réussir à le distancer et le semer. Après tout, je n’ai que vingt et un an et lui doit en avoir vingt de plus, voir trente. Quoi qu’il en soit, je redoute notre prochaine rencontre, il semblait furieux. Je dois être masochiste, car quand je repense à notre course-poursuite, je suis morte de rire. 

Il ne restait qu’une heure avant le dîner, aussi, je suis allée (avec beaucoup de lenteur et énormément de vérifications sur qui se trouvait dans les parages) vers le parc de l’école. Je me suis assise sur un banc et j’ai réfléchi. Beaucoup réfléchi. Les mêmes questions revenaient sans arrêt. Que faisais-je ici ? Quand allais-je me réveiller ? Même si pour l’instant, je n’en ai aucune envie. À quel moment de l’histoire avais-je atterris ? Jusqu’à présent, je n’avais rien vu qui ne sorte de l’ordinaire, et rien ne me donnait d’indices pour réussir à me situer dans la trame de l’histoire. C’en était hyper frustrant. Je soupirai en regardant les environs. Le ciel était nuageux et gris, pourtant, je n’avais pas froid. Quelques élèves se baladaient ou se couraient après, d’autres s’entraînaient à lancer des sorts, j’étais verte de jalousie.

Je sortis ma baguette, par curiosité. Elle était plutôt jolie. La base était douce au toucher, la peau de cet animal était agréable à sentir sous mes doigts, même si dans le fond, c’était assez dégoutant de penser que je serrais une petite partie d’une créature, morte depuis bel lurette. Par-dessus, et en cercle, s’enroulait une fine branche dépourvue de feuille, ce qui me permettait de mieux avoir la baguette en main, et ce, sans craindre qu’elle ne m’échappe des doigts. La plus grande partie, celle du dessus, était lisse, mais trouée par intermittence. Les trous diminuaient de taille au fur et à mesure qu’ils se rapprochaient du sommet. J’étais fière de ma nouvelle amie, qui je l’espérais profondément, me permettrait un jour de lancer un sort. L’espoir fait vivre.
Je la rangeai, non sans un pincement au cœur, et rentrai rejoindre la chaleur du vieux château.

J’arrivai à l’heure dans la grande salle, le directeur ne m’avait pas oubliée, et avait fais apparaître une table à la droite de la sienne. Installée de profil par rapport aux autres élèves, je soufflai d’appréhension. Ils arrivèrent, affamés. Les tables se remplirent avec une rapidité effarante, et le calme qui régnait jusque-là, se transforma en un brouhaha pas possible. Ah, je ne regrettai pas l’école... Les différents enseignants aussi firent leur entrée, tous plus élégants les uns que les autres, ils s’installèrent à leur place et discutèrent entre eux, le temps que le directeur fasse apparaître les plats, comme à l’accoutumée. Mais cette fois-ci, il ne le fit pas tout de suite à leur grand étonnement. Il se leva, alla se positionner au centre de la petite estrade, et attira l’attention de toutes les personnes présentes. Je me fis toute petite.

Je ne me souviens plus de tout ce qu’il a dit, j’étais trop occupée à m’enfoncer sur ma chaise alors que tous les regards étaient braqués sur moi. Mais je me souviens du principal. Il m’a présentée comme étant une élève venant de loin, venue pour suivre au sein de Poudlard, un cursus de potions avancé auprès du professeur Rogue. Je ne te dis pas la tête de ce dernier quand il a entendu la nouvelle, et qu’il a fait le rapprochement en me fixant de ses yeux noirs de rancœur. Les quelques mètres qui nous séparaient, ne me mirent pas plus à l’aise. Le directeur a ensuite précis, que je ne suivrai pas les autres cours, étant donné que j’avais obtenu, depuis plusieurs années, mes ASPICS. Ah et que je ne participais pas au tournoi des trois sorciers par souci d’équité. 

Nous en étions donc à la quatrième année d’études d’Harry. Le repas se déroula ensuite normalement. Morte de faim, étant donné que j’avais sauté celui de midi, j’ai englouti tout ce qui me tombait sous la main, j’eus même le plaisir de goûter, pour la première fois, au jus de citrouille.

Complètement crevée, je suis retournée dans ma chambre avec les recommandations du directeur en mémoire. Demain, à vingt heures, j’ai cours de potions avec Sevy .... J’ai hâte ...

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