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_chapitre 7_

Je ne sais pas si le fais que Amandine ce colle à moi m'énerve ou me laisse totalement indifférent. A cause du comportement de ma mère tout le week-end j'en suis venue à détesté les femmes et surtout : la féménitée. Quand on rejoins un groupe de filles qui papote, je n'ai jamais autant regretter d'être amis avec autant de filles. Amandine s'écarte un peu de moi, sans pour autant me lâcher, et je peux souffler. Par contre, elle ce racroche presque immédiatement en voyant Lauren s'avancer vers nous.

-Coucou, dit-elle.

Il ce passe alors une chose typiquement féminin ; toute les filles qui sont super amie avec Amandine ce rapproche d'elle et regarde Lauren comme un moustique indésirable, tandis que les autres, neutre, ce délecte de cette scène. Je ne sais pas dans quelle groupe me situer, puisque j'ai coucher avec son copain, et même si je suis presque fière d'avoir coucher avec le copain de la pire ennemie de ma meilleur amie, depuis que c'est fais j'éprouve comme un pincement au coeur et un goût amer dans la bouche à chaque fois que j'y pense. Et même si j'ai du mal à l'avouer, je sais pourquoi :  J'ai l'impression d'avoir tromper Gabriel. Ce qui est totalement stupide puisque nous ne sortons pas ensemble (même si j'en crève d'envie, c'est vraie).

Quand est-ce que je suis devenue si accroc à lui? Il n'y a même pas un mois j'ignorais jusqu'à son existence !

-Lauren, pourquoi tu viens nous parlez? demande amèrement Amandine, et en cette instant même la diable ce serait enfuis, mais pas Lauren.

-Je suis juste venue passer un peu de temps avec vous, et parler, entre bon camarades et amis, répond-t-elle en me fixant.

Manque de peau, je ne suis vraiment pas d'humeur à me faire draguer. Je prétexte un envie urgente pour laisser les fauves ce battres. Je reste planquer dans les toilettes jusqu'à la sonnerie en essayant de me sortire le visage de Gabriel de la tête, mais ça semble être mission impossible. Et en plus j'ai math, à croire que la terre entière cherche à me faire culpabiliser. A peine ais-je poser mes fesses sur la chaise, que je le sens s'installer à côter de moi. Je remonte mon jean d'un geste nerveux, puis me rappelle son derniers message.

-Tu as ma veste? lui chuchotais-je.

Il me regarde surpris, et devient nerveux. Je me demande si j'ai l'air aussi nerveux, moi aussi.

-Désoler, je l'ai oublier.

-C'est rien, répondis-je en me retournant vers le tableau.

-Tu peux venir la chercher chez moi ce soir.

Je me retourne immédiatement vers lui, mais il à déjà tourner la tête. Il triture nerveusement ses doigts et une idées folle s'immice dans mon esprit : j'ai ma chance. En soit ça ne veut rien dire, il pourrait très bien m'invité en ami, mais je ne sais pas, quelque chose me dis que peut être... Peut être. Un immense sourire ce plaque sur mon visage.

-OK.

Il hoche la tête en fixant le tableau devant lui, et nous n'échangeons plus aucune paroles durant le reste du cour. Au début je suis heureux, puis le remords me ronge encore plus. Je me fais alors une promesse, et je le jure : plus jamais je ne coucherais avec John, et n'irais voir ailleurs.

Contrairement à moi, Gabriel vis dans une maison, un grande maison. Dès que j'entre, je sens une délicieuse odeur de cookie. Gabriel prend mon manteau et le pose sur un cintre avant de la ranger dans un placard. Je le regarde faire, pendant que lui évite mon regard, ce qui me fais sourire intérieurement, parce qu'il est nerveux et il est vraiment mignon quand il est nerveux. Sa mère sort de ce qui semble être la cuisine et nous souris.

-Salut m'man, t'es rentrer tôt.

-Coucou, dit-elle en venant l'embrasser. Je ne suis pas aller travailler, j'avais un rendez-vous chez le medecin et en rentrant j'en ai profiter pour faire des cookies. Mais tu ne me présente pas ton ami?

-Maman, Damien. Damien, maman.

Sa mère me fais la bise et sourie tellement qu'elle me fait penser au chat dans alice au pays des merveilles, en plus chaleureux et conviviale. C'est incroyable comment la maison de Gab est différente de la mienne. Tout est ranger (sauf quelques trucs qui trainne), tout est propre, décorer avec goût et il y flotte de délicieuse odeurs de patisseries et de fleurs. Alors que mon apparte est un bordel total (c'est même moi qui suis obliger de ranger parfois), il n'y pas de décos particulière, tout est mis n'importe comment et ça sent la pizza. Il y a mieu comme ambiance familliale... Surtout qu'on peux surprendre ma mère en train de s'épiler ou ce raser à n'importe quel moment. Génial.

-On monte dans ma chambre, j't'appelle si j'ai besoin de quelque chose.

-Ne glandez pas trop quand même, d'accords?

Je suis Gabriel à l'étage, en lui disant à quelle point j'adore sa mère. Elle est brune et petite avec des yeux noisette, elle à quelques rides et des cheveux blanc, mais elle est adorable et super attachante. Comparer à elle ma mère c'est Godzilla s'abille en prada. La chambre de Gabriel est une chambre typique d'ados. Quelques posters de groupe de rock, des porspectus de pizzaria, un bureau où il y a de tout sauf des affaires d'école, une télé qui fait face à un lit simple avec les draps en bouchons et un sol avec pas mal de vêtements abondonné. Il ce penche pour en ramasser quelques uns qu'il balance dans son armoir.

-Désoler, ça fait longtemps que j'ai pas passer le ménage, dit-il.

-C'est rien, c'est pareil pour ma chambre... Et tout l'apparte de mes parents en faîte, il ce tourne vers moi avec un sourire en coin.

-Ouais, j'ai vus ça.

Je lui retourne le sourire en m'affalant sur son lit. Ca fait très bizarre d'être sur le lit de quelqu'un d'autre. Je ferme les yeux et me retiens de sourire en me disant qu'il dort ici toute les nuits... Lorsque j'ouvre les yeux, il me fixe, mais tourne presque immédiatement la tête.

-Ta veste, dit-il en me la tendant.

Je le remercie en la prennant, et un blanc s'installe. Je remarque la lettre pour le spectalce et le regarde avec un sourire taquin.

-Tu vas participé au spectacle toi?

-Même pas en rêve, et toi? Répond-t-il en s'affalant sur sa chaise de bureau.

-Ouais. Ma mère m'y force chaque années, et pas la peine de me le demander je ne te dirais pas ce que je vais faire.

-Allez, dis !

-Ce seras une surpise.

Il soupire, ce qui me fais sourire. De toute façon j'aurais jamais pus lui dire que je vais faire du pole Dance. C'est très embarrassant, parce ce que je vais me retrouver à moitier nu devant toute l'école, et si je me plante ce seras la honte internationnal. Personne sauf Amandine ne sait que j'en ai fais, personne.

-Ben aussi va partaciper, dit-il en faisant tournée la chaise sur elle même. Il va faire du violon.

-Sérieux? m'écriais-je, sur le point d'exploser de rire.

Benjamin, la brute, sait jouer du violon? Et demain les cochons voleront? Je n'arrive simplement pas à imaginer Ben en transe en jouant d'un si belle instrument, et Gabriel non plus. Nous plaisantons quelques minutes avant qu'un blanc ne revienne. Il prend une manette wii, et avec un grand sourire me la tends.

-Une partie?

J'acquiece et lui fais une place à coter de moi en prennant une manette. Il n'a pas beaucoup de jeux, mais on fais au plus simple : Mario Bros.

-Non, Non, NON ! hurlais-je en appuyant sur tout les boutons en esperant je ne sais quoi.

Acoter de moi, Gabriel saute et hurle de joie, sans ce retenir. Et comme je suis très mauvais perdant, je me jette sur lui et le plaque sur le lit pour ne plus qu'il bouge. Grave erreur. Après quelques minutes de gagare amical, je me retrouve accroupi sur lui, en plein sur son bassin. Nos deux fou rire ce calme doucement, et le temps semble ralentire, l'air devient lourd et électrique. Nous nous regardons, guettant la réaction de l'autre. Je pose une main sur son torse, et sa respiration ce fais plus profonde, plus sourde, comme la mienne. Je peux à présent sentire les battements de son coeur, lent mais fort. Quand je me penche vers lui, ses battements accélère, ce que me pousse à continuer, jusqu'à ce que nos lèvres ce frôlent.

-Dégage.

Ses seul paroles brise tout autour de moi. C'était comme me prendre une poutre en pleine tête. Je m'immobilise, paralysé par je ne sais quoi. Je ne comprend pas. Il fin par me pousser et j'attéris au sol. Je me relève difficilement, et le regarde,confus et horrifier.

-Dégage, répète-il plus fermemant.

Je ne prend même pas le temps de réflèchire. Mes yeux commences à devenir humides. Je sors précipitament, prend le chemin inverse sans jeter un coup d'oeil à sa mère qui m'interroge du regard. J'arrache presque mon menteau du cintre et sors le plus vite possible. Une fois dehors, je cour le plus vite possible et m'éloigne le plus possible de cette maison. Je m'arrête. Je m'appuis contre un mur. Ma vue est bien trop floue pour que je contnue de courire. Les larmes coulent à flot sur mes joue que j'essuie frénétiquement. Le front appuyer contre le béton froid, je tente d'oublier ce qui vient de ce passer.

Je me suis fais rejeter.

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