~Voici les "codes" propres aux xReader:

(T/P)= Ton prénom.
(T/N)= Ton nom
(C/C)= Couleur de cheveux
(C/Y)= Couleur des yeux
(T/V)= Ta ville

Je préviendrais s'il y a d'autres "codes". Bonne lecture ^^

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Je les regardes, le regard brumeux. Ils s'amusaient à me tuer à petit feu. Comme tous les jours. C'était devenu habituel. Je me laissais faire depuis longtemps déjà. Mais aujourd'hui a été... Différent...

-Ha! Regarde moi cette petite (T/P) toute ensanglantée!

-Elle est presque mignonne comme ça!

-Je pense... Qu'elle a assez souffert...

Je reconnais la voix de ce salopard de "Randy". Le chef de mes tueurs. Il ne venait jamais pour rien. La dernière fois qu'il est venu, il m'a violée. Je commence à pleurer en entendant sa voix.

-Elle me reconnais, c'est mignon.

-Mais, chef Randy... On ne lui a presque rien fait aujourd'hui...

-On va en finir, justement. C'est la dernière fois que (T/P) (T/N) verra les délinquants de (T/V).

Il éclate d'un rire presque psychotique. Je n'arrive plus à retenir mes larmes. Je pleure devant lui, montrant ma faiblesse qu'il a toujours su exploiter. Il continue de rire, me donnant la chair de poule. De toutes façons, si ce n'était pas lui qui mettait fin à ma vie, Je l'aurais fait moi même...

-Allez! Balancez la dans le broyeur du jardin...!

-C'est tellement cruel...

Oui, c'est cruel. Vous êtes cruels. Le monde est cruel. Comme je le dis souvent, "La vie est une maladie douloureuse, dont on ne peut pas guérir à part en mourant."...
Je sens Randy me prendre par les cheveux et me jeter dans un endroit très petit et avec des lames au fond. Je l'entend refermer le couvercle de la "boite" où il m'avait mise. Je me recroqueville sur moi même. Ça va être très douloureux. Mais ça sera une libération. Finalement, Randy est clément. Il m'a offert la liberté dont j'ai toujours rêvé. Il m'aide. Hahaha... Hahahaha... HAHAHAHAHAHAHA, HAHAHAHAHAHAHA!!!!!!

-Elle est devenue cinglée. Elle est finie.

-Ouaip. Attention, Je met la machine en route.

Moi- MERCI!!!!

Mon esprit me souffle que je serais enfin libre et mon corps s'affole devant la mort. Mon corps. Ce traitre qui m'inflige toutes ces douleurs. Je hais mon corps. Randy. Dépêche toi de me tuer. J'en ai besoin. Je sens enfin les lames sous mon dos bouger et déchirer mon corps en des milliers de morceaux de chair sanguinolente. La douleur, la souffrance et...... Le vide... Enfin... Je ne ressens plus rien... Je suis morte... (T/P) (T/N) est morte...

-You've mate with A terrible fate. Haven't You?

Ces quelques mots s'affichent en vert fluo dans le noir devant moi dans une police que je connaissais très bien:
C'était la police des textes de The Legend Of Zelda, Majora's Mask.