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Chapitre 2

Je me dégagea vite de son emprise. Cet homme me rendait malade. Je lui lança un regard qui pourrait l'assassiner sur place mais il se contenta de rire et de me lancer un clin d'oeil joueur avant de s'éloigner sans se presser. Je vis alors qu'il avait lui aussi un code barre dans la nuque. Lui aussi avait le virus dans les veines. J'avais une légère satisfaction à savoir qu'il allait crever comme un chien ici. Quand il fut totalement hors de ma vue, mon regard se porta vers mes amis. Je revînt près d'eux pour les serrer contre moi.

- Il ne vous ont pas trop fait de mal ?

Alex secoua négativement de la tête ainsi que Stan.

- Je me suis pris une brique dans la gueule mais ça va ... ça pourrait être pire, me répondit mon frère.

Je caressa sa joue pour le réconforter du mieux que je pouvais.

- On devrait aller se chercher une chambre dans le bâtiment. Si vous n'aviez pas remarqué nous sommes dans un hôtel.

Mes mots étaient très doux malgré que mon palpitant avait décidé de faire des pompes dans mon abdomen sans s'arrêter. Guillaume me terrifiait. Je savais que mon esprit avait gravé sont visage angélique sans oublier d'ajouter dans ses yeux la flamme de la démence qui rayonnait encore là où il m'avait caresser la joue. Un profond frisson de dégoût me parcouru l'échine ce qui n'échappa à mes soutiens dans cette galère. Stan s'était redressé et nous tira légèrement pour nous aider à nous lever.

- A partir de maintenant, on ne se lâche pas d'une semelle... on reste unis... et on reste une famille...

Alex et moi ne pouvions qu'approuver ses dires. Nous étions toujours blottit tout les 3 ensemble. Stan caressait nos cheveux.

- Nous avons plusieurs objectifs: Trouver une chambre, trouver de l'eau et de la nourriture, trouver des armes pour nous défendre, formez une alliance pour pouvoir survivre un peu plus longtemps.

Nous l'écoutions avec énormément d'attention en essayant de mémoriser chaque point. Le brun n'avait aucune expérience en survie dans le monde réel mais il avait une certaine dextérité à dégommer les jeux de zombies. Et c'était exactement dans quoi nous étions. Un jeu perfide où les vivants ne peuvent survivre et où les morts sont des armes de destruction massive. Alex avait arrêté de pleurer. Sa petite voix nous avait démoli le morale un peu plus.

- Je ne veux pas mourir... je suis trop jeune...

J'ai embrassé sa joue même si je savais que ça ne chasserait pas ses idées noirs. Je le souviens avoir été interrompu par quelque chose qui avait tirer mon t-shirt. C'était le petit garçon de tout à l'heure qui avait encore les larmes aux yeux ne comprenant pas se qu'il se passait autour de lui. Sa petite voix était toute tremblante.

- Vous avez vu ma maman ?

Je m'imaginais déjà la mère de se garçon appeler la police pour faire des recherches qui n'aboutiront à rien.... Je voyais le visage de la pauvre femme apeurée du moindre bruit autour de la maison, apeurée de chaque personne qui lui paraisserait étrange... une vie de peur et de tristesse comme la notre.

Je lâcha mes amis pour prendre le petit bonhomme dans mes bras.

- Elle va bien ta maman. Ne t'en fais pas. Elle nous a demandé de te surveiller et de te protéger . Nous sommes tes amis, d'accord ?

Il s'était blottit tout contre moi. Je sentais son petit coeur battre aussi vite que le mien.

- Elle vous a vraiment dit ça, dit-il ?

Stan vint s'agenouiller devant lui pour caresser ses cheveux.

- Oui p'tit gars. Elle nous a dit qu'elle t'attendrait à la maison.

Le petit garçon hocha de la tête et resta tout contre nous. Alex n'avait rien dit perdue dans ses pensées. Après quelques instants, elle se remit à parler.

- On a à manger dans les sacs.... et de l'eau.

Stan la regarda comme si c'était la 8 ème merveille du monde et vînt lui embrasser la joue tendrement en souriant.

- Tu es une génie.... Maintenant, il faudrait savoir où sont les sacs.
Personnellement, ils m'ont enlevé le mien quand ils m'ont pris.

Ils... on ne savait toujours pas qui était "ils". On s'en moquait encore à ce moment là, même si cette question était gravée en rouge et entourée dans nos  cervelles. Alex répondit la même chose que notre ami.

- Je sais moi.... je les ai vu les monsieurs en noirs. Ils avaient pleins de sacs.

Tom. Voilà je me souviens. Lui c'était Tom. Mon adorable boutchou. Qu'est ce qu'il me manque....

-Ils sont partis par là bas!

Il nous montra une direction avec ses petites mains. Stan décida de le porter dans ses bras. Le petit était encore un peu sonné par les drogues qu'on lui avait fait inhaler. Notre groupe était alors partie en quête de nos affaires et peut être de ceux des inconnus. En temps normal, je n'aurais pas voler impunément des gens qui ne m'ont absolument rien fait... Mais je me disais que si ça nous faisait survivre un peu plus longtemps pour avoir une chance qu'un de nous aille le remède... ça valait le coup. On suivait donc les instructions du petit en essayant d'être discrets pour que personne n'ai l'idée de nous suivre et de nous attaquer par surprise. Nous étions à l'affût de tout. Alex était la plus effrayée de nous quatre. Elle n'avanceait presque pas, elle sanglotait quelques fois, bref niveau discrétion... c'était pas ça. J'ai dû la tenir dans mes bras pendant tout le longs du trajet. Nous traverssions des pièces toutes plus étranges les unes que les autres, avec des couleurs fanées ou moisies par le temps, ainsi que des couloirs interminables ayant la moquette imbibée d'eau. On se serait cru dans un marécage. Stan racontait des blagues à l'enfant pour essayer de lui faire oublier la dure réalité que nous vivions, mais de voir notre petit Tom rire aux éclats pour poser sa main sur sa bouche... cela nous suffisait à réchauffer notre coeur. J'avais eu le coup de foudre pour ce petit garçon.

Après quelques vingtaines de minutes à errer "discrètement" dans le bâtiment, nous étions arrivé à notre destination. Plusieurs sacs étaient posés dans un bureau qui étrangement semblait épargner par le temps. Il n'y avait personne, et juste ça , ça nous a rendu parano. On savait que nos agresseurs travaillaient là, alors il devait sûrement avoir des papiers importants ou des réponses à nos questions. Stan et moi nous sommes regardé. Ce regard qui signifie que nous étions en connexion Bluetooth. Vous savez ! Quand vous avez la même idée exactement en même temps. Et bah là, c'était ce regard. Il prit la parole en premier en déposant Tom par terre.

- Fais le garde avec Alex bonhomme, tu veux bien ?

Son ton était plus entraînant et plus sûr de lui. Je l'avais rarement vu comme ça. Aussi ordonné... ça me surprend encore. Stan était plus le genre de gars bordélique qui aimait être dans l'ombre et qui envoyait valser les choses urgentes avec désinvolture. C'était vraiment un mec simple... un mec parfait.

J'entra dans la salle et commença à fouiller partout autour de moi, dans les tiroirs, les étagères. Absolument partout ! Tom et Alex étaient dehors à vérifier que personne ne venait. Stan se dirigea lui vers les sacs en quêtes de ce qui nous intéressait, des vivres et peut être des armes potentiels ou des briquets et autres choses nécessaires pour la survie. Tout ce qu'il trouvait, il le mettait dans le plus grand sac qu'il avait trouvé. Quand il trouva le mien, il me le lança et je le mis directement sur mes épaules avant de reprendre ma recherche. Après quelques minutes, je trouva le saint-graal dans double fond sous le bureau. Un dossier étrange et assez épais ayant marqué dessus le nom d'une société qui m'étais inconnu... mais quelque chose d'autre attira mon attention. Trois lettres... trois simple lettres. A.N.T. Nous étions le projet fourmi.... J'ai parcouru le dossier rapidement en lisant en diagonale et ce que je lisais me faisais froid dans le dos... Mais je n'avais pas le temps de me remettre de ma lecture que nos deux gardes nous apprirent que des gens arriveraient. J'ai rapidement rangé le dossier là où était et je pris plusieurs sacs que me tendait Stan. Nous étions chargé comme des mules mais nous nous étions dit que c'était nécessaire. Quand nous fûmes prêt, nous sortîmes rapidement de la pièces en laissant derrière nous plusieurs sacs encore pleins ou à moitié rempli et nous nous sommes mis à courir dans les couloirs. Tom riait joyeusement. Il devait penser que nous étions en train de jouer à un jeu. S'il savait... Je n'osais pas les regarder.... Je ne voulais pas leurs dire... gâcher la joie en eux. Je voulais qu'ils restent innocents encore un peu. Alex avait elle aussi retrouver le sourire. Courir la défoulait du stress accumulé.

Tout fusait autour de nous. Les murs nous paraissait être des tableaux, les salles vides, des prisons... Nous étions tous dans un état second. Entre la crise de nerf et l'euphorie. Nous avons couru je ne sais pas combien de temps avant d'arriver dedans un grande porte à un étage, je ne sais plus le quel, ça devait sûrement être le 3 ème ou le 4 ème. Cette porte était ouverte, vide, avec 2 lits pas trop dégueus.
Et comme un seul homme, nous sommes tous entré dans cette chambre qui allait être notre maison. Et nous n'avions pas regretter. Nous avions une suite de luxe. Même si tout était un peu crade et démodé, nous avions toute la place qu'il nous fallait.

Je me souviendrai toujours de ce moment.... du moment où nous avion poser les sacs au sol. Nous nous étions regarder quelques instants, sans rien dire. Puis nous nous sommes tous sauté dessus pour nous prendre dans nos bras . Nous étions une véritable famille. Je ne sais toujours pas combien de temps nous sommes restés bloqués les uns contre les autres, mais en même temps je m'en fous... c'était parfait. Tom se détacha le premier pour aller s'allonger sur un lit et s'endormir tranquillement. Alex alla s'allonger près de lui en le serrant dans ses bras comme le ferait une mère protectrice. On l'avait tous adopté ce petit. Stan et moi étions toujours dans les bras l'un de l'autre.

Toute les personnes qui ne nous connaissaient pas et qui nous voyaient comme ça s'imaginait directement que nous étions en couple. Et comme je l'ai déjà dis, ce n'a été vrai que quelques mois. Lui et moi avions un lien particulier et puissant. Ce p'tit mec a bousculé ma vie le jour où je l'ai vu sauver un rouge-gorge d'une noyade mortel. Mon ami avait 3 ans. Nous ne nous sommes jamais quitté depuis. Nous avions été toujours très câlins l'un avec l'autre, à s'embrasser parfois sur les joues, parfois dans le cou et parfois sur les lèvres et sur d'autres parties du corps. Mais pour nous se n'était pas de l'amour... c'était plus que ça.... ensemble nous n'étions qu'un. Parfois nous n'avions pas besoin de parler pour se comprendre.... j'avais entendu parler d'âme soeur.... et que crois que j'avais trouvé la mienne.... j'étais avant ce jour, ce foutu jour, la fille la plus heureuse du monde.

J'étais tout contre l'homme de ma vie, mon visage dans son cou, sa main dans mes cheveux, l'autre autour de mes hanches. Il m'embrassait la joue tendrement. J'écoutais les battements de son coeur avec intérêt. J'essayais d'oublier ce que j'avais lu... ce que j'avais vu... et dans ses bras j'y arrivais un peu.

- Je t'aime...

Ce fût lui qui brisa le silence apaisant qu'il y avait entre nous, juste par un murmure à mon oreille comme on aimait le faire... j'ai un sourire con sur les lèvres. Et je lui avais répondu de la même manière que lui:

- Moi je t'aime encore plus Stanislas.

Et nous nous étions sourit. Un sourire qui voulait tout dire. Son front s'est posé sur le mien et nous n'avions plus bougé. Oui c'est niais, mignon , tout ce que vous voulez .... MAIS LAISSEZ MOI MES BONS SOUVENIRS BORDEL! JE L'AIMAIS! Je... je l'aime.... mais ça n'a plus d'importance maintenant.... plus rien n'a d'importance... plus rien... puisque tout est dans les ténèbres est dans le silence froid...

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