[En fait, ce serait plutôt un sujet un peu mature qui est abordé. Rien de choquant, mais faites attention tout de même, les enfants.]

Lancé à pleine vitesse pour finir avant la fin du mois ma romance campagnarde à la structure trop compliquée (alors que je l'ai récemment simplifiée à mort, à cause du manque de temps pour développer toutes les péripéties dont j'avais eu l'idée), je voulais écrire aujourd'hui le chapitre suivant des mésaventures d'Isidore.

À la place : j'ai produit un chapitre de Q bonus pour Mon joli papillon, impubliable avant plusieurs mois étant donné qu'il manque une bonne dizaine de chapitres avant ça. Vive les priorités ! Mais ça va. Mon chapitre est pas mal, avec un style un peu différent, que je trouvais adapté pour la situation. J'ai un souci avec les chapitres érotiques. Je ne vois pas l'intérêt tant qu'ils ne développent pas ou ne donnent pas une vision différente des événements. Pendant que mes personnages se déshabillent, ils mettent aussi à nu leurs sentiments. C'est une thématique qui devrait être assez répandue. Contrairement à l'histoire d'Ashley, dans la saga de Maewon, les personnages se mentent très rarement, les chapitres érotiques sont donc dispensables. C'est pour ça que ce sont des bonus, non des vrais chapitres, qui sont séparés pour protéger les lecteurs immatures.

Sans vouloir avouer que j'ai été influencé par certaines demandes de certaines personnes concernant la présence de lemon dans mes livres, j'admets tout de même qu'à certains moments, dans toutes mes histoires, l'aspect romance nécessite quelques paragraphes plus "physiques". Parce qu'aucun de mes personnage n'est asexuel. Sauf Léna peut-être, si on extrapole. Et encore, je n'ai pas vraiment déterminé son orientation. La romance ou les relations physiques ne sont clairement pas sa priorité pendant ses études, mais ça ne veut pas forcément dire que ça ne l'intéressera pas du tout, pendant toute sa vie.

Cet aspect m'est assez étranger. Si vous avez des témoignages, n'hésitez pas à passer m'en parler en MP, ça m'intéresse ! J'aime toujours voir les témoignages différents, ça m'aide à caractériser les personnages, à les diversifier. Et puis, personnellement, ça m'intéresse, d'avoir d'autres opinions, d'autres expériences. Je n'arrive pas à assimiler ça personnellement, alors j'aimerais beaucoup qu'on m'explique comment on peut apprécier des shoots d'adrénaline, de sérotonine ou d'endorphine provenant d'autres sources que le sexe, et ne pas être intéressé par cette source-là. Ne pas vouloir perdre du temps ou de l'énergie dans des interactions amoureuses, je peux concevoir. Mais le sexe, on peut le prendre simplement comme une mécanique et une source d'hormones, et rien d'autre. Non ? Tant qu'on se protège raisonnablement des inconvénients liés, non ? Ou je suis trop pragmatique ? Je pense pourtant être assez romantique. Dans mon genre. 🤨
(Smiley indispensable)