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CHAPITRE 38 + concours

CHAPITRE 38 :

07 :00 indiquait le tableau de bord de ma voiture. Cela faisait dix minutes que j'étais arrivée et je ne trouvais pas le courage de sortir de la voiture. Le bâtiment face à moi m'effrayait ainsi que le troupeau de personnes venant passer l'entretien d'embauche. Ils étaient tous en ligne, attendant l'arrivée d'un représentant haut placé. 30 minutes à l'avance et déjà au garde à vous.

Je laissais ma tête choir sur le repose tête de mon siège.

Je faisais ça pour lui, pas pour moi. Pour le voir lui. Pour avoir cette chance. Pour avoir cette opportunité. Je ne venais pas pour m'engager mais seulement pour me donner cette occasion. Seulement pour voir James.

J'étais stressée, le corps prêt à exploser et tendu à l'extrême. Et pourtant je n'avais pas envie de fuir. J'étais là et j'y resterais tant que je ne le verrais pas.

Je n'avais pas dit au revoir à mes parents ce matin pour m'assurer de ne pas changer d'avis. Je leur avais demandé la veille au soir de rester au lit et de ne pas venir me voir. Parce que je savais une chose. Je ne pourrais pas changer d'avis en n'ayant pas fait mes adieux à mes parents. Je ne pourrais pas choisir de m'engager si je n'avais pas dit au revoir à mes parents.

Connor, lui, ne m'avait pas écouté. Il était venu se mettre dans mon lit, la seconde après que mon réveil ait sonné. Il m'avait alors confié qu'il n'avait pas dormi de la nuit, de peur de me rater.

Il avait passé l'heure avant mon départ avec moi.

La surprise du matin avait été Grayson, attendant assis sur le capot de ma voiture, alors qu'il était à peine 4 heures du matin. Son sourire m'avait accueilli tandis que son odeur m'avait enveloppée.

-Tu es sacrément fou, ma parole, l'avais-je grondé.

Il m'avait souri, en répondant la même chose qu'il m'avait sorti la vieille dans mon jardin.

J'étais alors venue me blottir dans ses bras et lui avais murmuré que je n'étais pas prête mais que je tenais énormément à lui, bien plus que je ne me l'avais imaginé.

Et ça lui avait suffi. Parce que Grayson était amoureux de moi et qu'il était prêt à tout pour rester à mes côtés. Il m'avait quitté durant la soirée, lorsque je m'étais endormie dans ses bras dans ma chambre, pour finalement revenir me voir à la lueur du matin. Et tout ça même si je n'avais trouvé qu'une excuse bidon pour ne pas lui dire.

Après tout je ne croyais pas en l'amour. Mais mes sentiments pour lui étaient bien réels. Ils existaient, évoluaient et m'arrachaient des grimaces de dégoût à chaque fois qu'ils étaient comparés à de l'amour.

Non. Ce n'était pas de l'amour. Comment cela aurait-il pu en être, étant donné que cela n'existait pas. Que c'était un mot banal, utilisé comme une poubelle. Recevant de toutes parts des morceaux de mélange, de cœur brisé, de confiance détruite.

Comment laissez les gens croire à cet univers pervers qui ne menait qu'à la destruction et à la douleur. Certes l'Homme restait un animal légèrement masochiste mais était-ce réellement une raison pour qu'il se laisse avoir avec autant de facilité. Etait-ce une raison pour se lancer dans une aventure qui nous apporterait plus de problèmes que de solutions ?

La symphonie de notre vie ne se résumait pas à une alliance de fausses notes et belles notes, sinon elle risquait de devenir plus repoussante qu'attrayante.

L'amour enfin ce qui était considéré comme tel, était une faiblesse du cerveau, une idiotie, une simple idée abstraite dont le but était de détruire. On associait souvent l'amour au cœur. Mais pourtant lorsque l'on était soi-disant amoureux, cette notion, cette idée, cette sensation venait du cerveau et non du cœur. Alors il faudrait arrêter de dire que vous êtes amoureux tout simplement parce que votre cœur bat ! Il bat tous les jours, à différentes vitesses, mais ce n'est pas et cela ne voudra jamais dire que c'est parce que vous êtes amoureux.

Je revis Grayson me murmurer à l'oreille.

-Sois prudente Alison. Ne fais rien que tu pourrais regretter et surtout bats toi pour obtenir ce que tu veux tant. Tu en as la possibilité, la force et surtout je crois en toi...

Je me redressais en voyant passer une troupe de militaires, faisant leur sport du matin. Mes yeux parcoururent chacun des visages exténués qui composaient la troupe, sans voir le visage de Shawn ou bien même de James. Ils avaient dû leur faire quitter la base, le temps de ce week-end, ou... Ils étaient déjà en mission à l'autre bout du monde en train de mettre leur vie en péril.

A cette pensée, je sortis de ma voiture, décidant de vérifier par moi-même s'ils étaient véritablement absents.

*Omniscient*

Le Général Hoodin s'arrêta devant sa porte de bureau. Ce week-end allait être long, dur et très stressant. Il allait enfin savoir si son impression à l'égard d'Alison Reynolds allait s'avérer juste. Il avait toujours ressenti cet attrait envers cette famille. Allant même jusqu'à se déplacer pour aller rencontrer l'aîné de la famille et essayer de le convaincre alors que son âge ne lui permettait pas. Il avait rencontré James durant l'année de ses 15 ans durant un salon d'orientation. Il avait guetté cette famille durant des années pour finalement réussir à l'aborder sans qu'il ne s'en rende compte. Leur rencontre, leur discussion, tout avait été planifiée. Il avait tout fait pour mettre le garçon de son côté, pour le convaincre de ne pas en parler. Il avait même récité son discours devant un miroir avant de le faire au garçon et finalement il avait réussi. James était devenu l'un de ses meilleurs agents en si peu de temps.

Il avait fait de même avec Shawn, l'attirant dans ses filets, avec pour simple appât la volonté de protéger les Hommes.

Il avait essayé de faire de même avec Connor, qui, par un malheureux hasard, ne s'était même pas intéressé à la filière militaire. Il avait dérogé à tous ses plans.

Mais Alison était arrivée et elle avait toujours été celle qui l'intéressait le plus.

Son caractère, ses désirs, sa volonté de s'éloigner de l'étude... Et il avait trouvé désormais le moyen pour la faire intégrer ses troupes. Il avait enfin trouvé l'argument qui allait la faire changer d'avis. Il n'avait pas eu besoin d'utiliser James ou Shawn à nouveau.

Elle aurait son entretien avec eux, ça c'était sûr, il s'y était engagé. Mais cela deviendrait peut-être, et il l'espérait, une habitude. Car il avait changé son plan d'accroche. Il avait changé son appât et il avait trouvé comment la faire intégrer son régiment sans grand problème.

Elle détestait deux choses dans sa vie. Et il avait été simple de les trouver en fouillant un petit peu dans son dossier. L'étude et l'armée étaient imprégnées de dégoût dans son caractère.

Et autant utiliser l'un de ses ennemies pour la faire intégrer l'autre ennemie.

Il avait tout pensé. Il avait interrogé Shawn et James sans qu'ils ne s'en rendent compte. Il avait tout planifié. Et il s'attendait déjà à ouvrir la bouteille de champagne dans son mini frigo pour concrétiser sa victoire. Mais d'abord il devait analyser ses résultats...

Alison était sa proie, Alison était son but. Alison allait faiblir et il allait l'achever et la trainer de force dans son régiment.

Il était le général, il était un chasseur, il était un génie. Il était un Hoodin et il allait avoir à nouveau un Reynolds.

C'est sur cette victoire à moitié gagnée dans son esprit qu'il s'élança accueillir les recrues d'un week-end. Les examens avaient été préparés à l'avance, tout était prêt, prêt à découvrir de nouveaux potentiels.

Il envoya ses hommes faire entrer les recrues, tandis qu'il se dirigeait vers la secrétaire pour s'assurer que James et Shawn avait été envoyés en mission d'entraînement à l'autre bout du pays.

Ces missions étaient habituelles, elles consistaient à faire vivre une simulation de guerre, de conflit ou de catastrophe à l'ensemble du régiment pour les préparer à ces éventualités.

Après avoir vérifié qu'ils étaient bien partis, il se tourna vers la salle de conférence, dans laquelle les recrues avaient été acheminées.

Alison était bloquée entre une fille à l'allure de guerrière prête à en découdre avec le monde entier et un garçon à l'allure décontractée.

La salle de conférence était remplie et c'était sans surprendre Alison qui pensait que personne ne voulait faire partie de cette armée.

Le général apparut sur l'estrade et laissa son regard parcourir l'assemblée jusqu'au visage qui l'intéressait. Tournée vers son voisin de droite, elle était en pleine conversation.

Le général se racla la gorge, attirant l'attention des personnes présentes.

-En cette belle matinée, je vous souhaite la bienvenue dans cette armée le temps d'un week-end voire plus pour les plus chanceux. Je suis le général Hoodin. Comme vous vous en douter vous n'allez pas passer un week-end de tout repos. Les exercices et examens auront pour but de vous fatiguer et de vous pousser dans vos retranchements les plus profonds. Vous n'êtes pas venus ici par plaisir, mais par volonté. Ce n'est pas un centre de vacances, alors je demande, et très clairement, que tous ceux qui souhaitent partir dès maintenant, s'en aille. Car lorsque vous franchirez cette porte, annonça-t-il en désignant une porte reculée, vous ne pourrez plus retourner en arrière. Seule la mort ou une blessure grave vous en donnera l'occasion.

Personne ne se leva ce qui ravit le général qui d'un signe de tête ordonna à l'ensemble des recrues de se lever et de franchir la porte.

Alison tressaillit. Elle était au bout d'entrer dans le monde de son cousin et son frère, elle était au bout d'entrer dans un monde qui aurait pu être le sien, mais qui ne le sera jamais.

Elle passa la porte qui la mena dans une pièce aux allures de salle médicale improvisée. Son sang se glaça dans ses veines lorsqu'elle réalisa qu'elle allait devoir être soumise à une prise de sang.

Le général ferma la porte derrière lui faisant sursauter la jeune fille qui se retourna vers lui avec un regard meurtrier.

-Afin de réaliser certains examens médicaux, vous allez être soumis à une visite médicale.

Alison frissonna, les souvenirs de la dernière visite médicale qu'elle avait eue six jours plutôt l'effrayèrent. Malheureusement cette fois-ci, elle n'allait pas pouvoir échapper à la prise de sang. Et elle était seule...

Elle inspira et expira un bon coup sentant un étau s'installer dans sa gorge. Elle avait tellement peur de ça. Cela pouvait paraître ridicule mais c'était ainsi et cette peur installée dans son cerveau ne voulait pas la quitter. Ah ça non elle avait essayé plusieurs fois de la vaincre et elle avait toujours trouvé le moyen d'y échapper. Pourtant cette fois-ci, elle allait en avoir une et elle se devait de la faire. Elle y était obligée.

Elle commença à trembler discrètement, ce qui ne fit qu'augmenter sa peur, son étau se resserrait l'empêchant de respirer et de parler. Tous les scénarios se créaient dans son esprit, allant de la fuite, à la mort. Rien de positif que du négatif. Mais elle était incapable d'en faire autrement.

Certaines recrues s'étaient déjà installées prêtes à se faire piquer.

Alison tressaillit à nouveau et se détourna de ce spectacle. Elle avait envie de vomir, la bille au bord des lèvres et quelques vertiges.

Les aiguilles étaient l'une de ses plus grandes peurs. Et nom de dieu que c'était ridicule à ses yeux. Mais il ne fallait jamais oublier une chose la peur de quelque chose n'est jamais ridicule. L'homme est fait pour avoir peur et c'est ce qui le rend plus fort. Il se prépare à toutes les situations possibles quand il est sous l'emprise de la peur. Tandis qu'une personne trop certaine d'elle-même n'imagine que sa réussite. La peur est cet étau qui va nous faire perdre tous nos moyens et c'est seulement dans ce cas que nous devenons plus libres. Nous pouvons nous affranchir du monde entier et rester centrés sur nous.

Alison sentit les larmes couler sur sa joue. C'était nerveux, c'était effrayant mais elle n'avait en aucun cas envie de pleurer. Elle avait juste envie de monter dans une machine à avancer le temps pour se retrouver loin d'ici, dans une salle avec son frère, après avoir affronté l'aiguille et ce week-end.

Une boule de courage et de volonté apparut alors en elle, partant de ses entrailles et grimpant jusqu'à sa gorge qui se libéra de son étau. Elle était là pour voir son frère. Elle était là et elle devait affronter cette peur. Elle était là, dans cette salle médicale, et il était de son devoir de se faire piquer.

Elle avait autant peur de l'aiguille que de la douleur. Entrer un corps étranger dans sa peau, dans sa veine, au contact de son sang, ne l'attirait pas du tout. Mais il le fallait.

Alison essuya rageusement les larmes de son visage et calma sa respiration.

Elle ferma les yeux, écouta les battements de son cœur et se rappela que ce n'était pas avec une aiguille qu'il allait s'arrêter. Elle resterait en vie.

Elle laissa ses pensées se tourner vers Grayson et c'est sur le son de ses paroles qu'elle s'avança, prête, vers une infirmière.

Cette dernière lui attrapa le bras rechercha une veine au creux de ce dernier et passa une compresse imbibée d'alcool dessus.

Elle approcha l'aiguille de son bras.

Un éléphant, il s'agissait d'un éléphant. Si Grayson avait été là voilà ce qu'il lui aurait dit. L'éléphant ne lui ferait pas de mal. Il l'aiderait juste. Il viendrait juste se déshydrater en aspirant ce qui se trouvait dans son corps. Elle ne pouvait pas laisser un éléphant mourir de soif. Ils étaient bien trop mignons pour mourir.

L'aiguille- la trompe de l'éléphant- transperça sa peau, la faisant grimacer.

Elle détourna la tête et s'entreprit de fermer les yeux et de penser à autre chose. Elle en profita aussi pour ravaler ses larmes nerveuses.

-Vous êtes ? demanda l'infirmière à la recherche d'un papier.

-Alison Reynolds, répondit la jeune fille en train de se faire prendre son sang.

-Oh une Reynolds...

Alison ne réagit même pas... Après tout elle savait que son cousin et son frère étaient passés par là. Ils avaient même dû venir une fois ou plusieurs dans l'infirmerie et peut-être bien pour quelque chose de minime.

L'infirmière retira l'aiguille après avoir rempli huit flacons avec le sang de la patiente. Elle déposa une compresse sur sa peau et la scotcha.

-Au suivant, hurla-t-elle faisant partir Alison.

Elle avait réussi. Elle avait réussi...

Son cœur sautait dans sa cage thoracique tandis qu'elle se promettait d'embrasser Grayson à son retour pour le remercier lui et son éléphant.

Elle rabattit son bras contre son ventre. C'était douloureux. Elle avait légèrement la tête qui tournait et c'est pour ça qu'elle finit par s'asseoir contre un mur.

-Tiens bois ça, s'exclama la voix d'une fille qui apparut face à elle. J'ai vu que t'avais la tête qui tournait. Moi aussi donc, je comprends.

Elle lui tendit une brique de jus d'orange.

-Bois ça te fera du bien. Moi c'est Lyson.

-Merci Lyson. Alison, se présenta-t-elle en lui serrant la main qu'elle lui tendait.

-C'est pas de la tarte les piqures. J'ai horreur de ça ! s'écria-t-elle faisant voler ses cheveux frisés d'un soubresaut.

-On est deux.

-Mais bon j'adore l'armée, donc une peur face à une passion, c'est la passion qui gagne, s'exclama-t-elle en imitant un claque imaginaire.

Alison rigola, bientôt suivie par Lyson.

-T'es ici pour devenir militaire dans ce régiment ? demanda Ali.

-Comme tout le monde ici, non ? Acquiesça-t-elle. On est tous là pour ça.

Alison hocha seulement la tête. C'était beaucoup trop long de lui expliquer la véritable raison de sa venue ici.

Le général héla l'ensemble des recrues, qui se placèrent en ligne.

-Nous allons commencer les examens dans quelques instants, préparez-vous à vous retrouver face à vos plus grandes peurs, à vos plus grands cauchemars. Préparez-vous à vous pisser dessus. Parce que les amis, la guerre ce n'est pas tout rose. Vous risquez de voir vos amis se faire tuer, vos familles assassinées. Ces examens sont là pour vous préparer à tous ces cas de figures et à bien pire. Vous n'êtes pas là pour passer du bon temps. Nous ne sommes pas en guerre, toujours pas. Mais un jour cela viendra et il faudra que nous ayons les meilleurs soldats possibles. Alors accrochez-vous, car vous allez faire un tour direct en enfer. Et GRATUITEMENT, quoi de mieux ?

L'annonce laissa un froid dans l'assemblée. Des soldats arrivèrent de toutes parts et séparèrent les recrues en cinquante groupes de quatre.

-Vous allez partir à quatre et vous allez vous retrouver tout seul. Vous serez seuls face à l'inconnu et aux démons. Bon courage.

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A quelques nombreux kilomètres de la base militaire, Grayson et Connor assis dans la balancelle du jardin des Reynolds parlaient.

Tous les deux étaient incertains de l'issue de ce week-end. Allaient-ils récupérer une nouvelle Alison, ou leur Alison ?

Les questions les assaillaient et ils se les balançaient espérant que l'autre ait une réponse pour venir calmer le trouble de leurs interrogations. Pourtant ils savaient tous les deux, qu'Alison était imprévisible. Là où on l'attendait et que l'on était sûr de la trouver, elle était déjà partie. Elle avait cette facilité de filer entre les pattes des gens pour ne pas se faire avoir.

Grayson avait réussi à attraper dans sa paume de main un morceau frileux de son âme, qui n'attendait seulement qu'on lui trouve un cœur. Un cœur dans lequel il pourrait se réchauffer. Mais Alison était gelée. Elle ne laissait personne s'en approcher. Elle était sublime et tellement vide.

Pourtant aujourd'hui, ils sentaient tous les deux qu'elle ne fuyait pas. Qu'elle avait pris sa décision et qu'elle irait jusqu'au bout. Ils savaient aussi qu'elle reviendrait. Pour une durée déterminée ou indéterminée ? Seulement l'avenir le savait.

Grayson en avait cependant la certitude, plus jamais il ne la laisserait partir. Il avait froid sans elle, il était vide sans elle, il était fatigué sans elle. Et tout ça parce qu'il l'aimait comme un fou. Il voulait la protéger, l'aider et surtout la faire vivre mais c'était quasiment impossible tant qu'il ne règlait pas le cas Blake.

Il avait attendu six jours avant de prendre sa décision. Six longs jours où il s'était promis de rester tranquille. Il s'était promis de ne pas attaquer tant qu'Alison était là. Il ne voulait pas la mêler à ça. Il ne lui avait même pas dit.

Il ne s'était pas confié à elle sur sa journée à lui, celle du lundi. Il ne lui avait pas raconté ce que les policiers lui avaient dit. Ni ce que la dirigeante et le message de la présidente de l'étude lui avaient transmis.

Et il ne lui dirait probablement jamais.

Mais maintenant c'était à son tour de régler ses problèmes.

Alison était partie pour le week-end. Il avait un week-end à tuer, un week-end pour régler le cas Blake.

Un week-end pour le rayer de leur vie.

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Bonjour, Bonsoir ! Comment allez-vous?

J'espère que ce chapitre vous aura plu! Qu'en avez-vous pensé? Je sais il ne se passe pas grand chose... Mais le chapitre suivant va être un petit peu plus intéressant.

N'hésitez pas à voter et à commenter.

J'aurais besoin de votre aide. Je participe à un concours. Et c'est à mes lecteurs de voter pour mon histoire, s'ils le souhaitent.

C'est le premier concours auquel je participe. J'aimerais beaucoup vous y voir. C'est sur le compte de @leighxsa dans le bouquin Writing contest on wattpad à la partie 8, nommée #RomanD'Amour : War Is Love. Pour voter et donc me soutenir (s'il vous plait je vous aime beaucoup, ça serait adorable de votre part) il faut mettre en commentaire : "Je vote". Voter sur la partie ne sert à rien... C'est en COMMENTAIRES!

J'espère vous y voir. Ca serait juste incroyable et adorable de votre part.

Merci beaucoup à celles et ceux qui le feront.

Morgan.xx

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