CHAPITRE 31
There used to be an empty space
Il y avait un espace vide
A photograph without a face
Une photographie sans visage
But with your presence, and your grace
Mais avec ta présence et ta grâce
Everything falls into place
Tout se met en place
Just please don't say you love me
S'il te plait ne dis pas que tu m'aimes
'Cause I might not say it back
Parce que je pourrais ne pas le dire en retour
Doesn't mean my heart stops skipping when you look at me like that
Ça ne veut pas dire que mon coeur s'arrête de sauter quand tu me regardes comme ça
There's no need to worry when you see just where we're at
Il n'y a pas besoin de s'inquiéter lorsque tu vois où nous en sommes
Just please don't say you love me
S'il te plait ne dis pas que tu m'aimes
'Cause I might not say it back
Parce que je pourrais ne pas le dire en retour
Heavy words are hard to take
Les mots pesants sont difficiles à prendre
Under pressure precious things can break
Sous la pression les choses précieuses peuvent se briser
And how we feel is hard to fake
Et ce qu'on ressent est difficile à feindre
So let's not give the game away
Alors ne dévoilons pas le jeu
Please don't say you love me, de Gabrielle Aplin.
CHAPITRE 31 :
Un rayon d'or aux reflets orange s'insinua timidement sous mes paupières, me tirant doucement loin de mon sommeil, loin de mes rêves, loin de ma léthargie. Un apport d'énergie se déversa dans mes veines, cherchant à redonner un peu de vie à mon corps. D'un mouvement de tête, j'enfonçais ma tête entre mes oreillers pour me protéger du rayon et espérer sombrer dans le délicieux précipice du sommeil.
Mais mon corps en avait décidé autrement, laissant chacun de mes organes s'éveiller avec intérêt. J'inspirais un bon coup... Un bon coup de parfum ? J'ouvris les yeux, surprise. La faible lumière du soleil couchant me permit de remarquer que j'avais confondu le creux entre mes deux oreillers avec le creux du cou de...
J'inspirais un bon coup pour déchiffrer le nom du parfum et ainsi l'associer à une personne. Armani Code Profumo... Donc GRAYSON ?!
Je rejetais ma tête en arrière pour vérifier mon analyse. Ses paupières fermées, son visage décontracté, j'avais devant moi un Grayson endormi. Son visage exprimait un mélange d'apaisement et de caractère. Cette alliance n'avait que pour simple effet de le rendre incroyablement sexy.
Je me relevais brusquement, m'éloignant de cette attraction, de cette tension têtue qui refusait de s'en aller. La chambre était vide, le lit abandonné par les autres. Nous étions que tous les deux.
-Bon sang, Ali... grogna Grayson en soupirant.
Je reportais mon attention vers lui et arquais un sourcil :
-Quoi ?
-Tu m'as réveillé !
-T'avais qu'à pas m'avoir dans tes bras, me défendis-je.
Il baissa son regard, vers ses bras écartés pour aucune raison et vers moi. D'un geste rapide, il me plaqua contre son torse et me ramena contre lui.
-Mais dégage, m'écriais-je en tentant de me sortir de son étreinte.
-Arrête de bouger !
- Lâche-moi alors ! Lâche-moi Grayson !
Il hocha négativement la tête et son corps bascula au-dessus de moi. Ses jambes se placèrent de part et d'autre des miennes me maintenant contre le lit. Sa tête alla se poser sur ma clavicule, tandis que son torse venait épouser ma poitrine et mon ventre. Un hoquet de surprise se bloqua au travers de ma gorge, le faisant rigoler.
-Maintenant ne bouge plus, et laisse-moi dormir.
-Grayson, je te jure que si tu ne me lâches pas tout de suite, tu vas recevoir mon genou dans tes bijoux de famille.
-Joyaux...
-Pardon ?
-Ce ne sont pas des bijoux mais des joyaux. Tu verras quand tu auras eu l'admirable chance de les toucher, voir et ressentir...
Je soupirais et me préparais à arquer mon genou qu'il stoppa d'une de ses mains, le plaquant contre le matelas. Il planta son regard dans le mien, me prévenant que si je m'abandonnais à une autre tentative il me punirait.
Avant même que mon autre genou se soulève, Grayson plaqua ses lèvres contre les miennes, déclenchant des frissons sur la totalité de ma peau. Le baiser s'intensifia lorsque j'attrapais sa lèvre inférieure entre mes dents et qu'un râle de satisfaction s'y échappa.
Ses mains s'aventurèrent dans mes cheveux, tandis qu'il liait nos langues avec habilité. Mes mains s'agrippèrent à son dos, y laissant probablement des traces.
La tension se déliait autour de nous, s'étendant sur nos corps, s'insinuant dans chaque mouvement, chaque sensation éprouvée grâce à l'autre. L'attraction, quant à elle, n'attendait qu'un geste, qu'une parole, qu'un gémissement pour se déployer et atteindre son apothéose. Délicieuse tentation, sombre désir, envie désespérée, perdition d'un commun accord, l'agitation de nos corps atteint son paroxysme.
-Toi, moi, allongés dans un lit, pas loin du paradis ? me demanda-t-il en rompant notre baiser pour reprendre nos respirations.
-Arrête ça, Gray... Faut pas que cela devienne une habitude, le réprimandais-je.
-Tu en meurs autant d'envie que moi, Ali.
-Ce n'est pas une raison.
-Oh que si ! Pourquoi refuser ce que je te propose ? Pourquoi repousser ce que tu ressens ?
-Parce que.
- Demande-toi Alison. Demande-toi ce qui aurait pu se passer, si je n'avais pas rompu notre baiser ?
-A quoi ça sert ? Tu l'as rompu. Cela ne sert donc à rien de s'interroger sur ça.
-Ne dis pas ça, tu es la première à vivre dans le passé ! Tu te poses toujours ce genre de question. Mais quand, moi, j'ose le faire pour obtenir une réaction de ta part, tu trouves ça ridicule. Ta peur de l'avenir, de l'inconnu va te jouer des tours Alison. Et je te jure que j'y prendrais un malin plaisir !
-Et toi ton optimisme pour un avenir impossible te pousse à croire en certaines choses qui n'auront jamais lieu d'être.
-Tais-toi, grogna-t-il me fusillant du regard. Tu n'appelles qu'à ça, Alison. Tu le veux autant que moi.
J'hochais négativement ma tête sans interruption jusqu'à ce que ses doigts attrapent ma mâchoire et m'arrêtent.
-Tu mériterais tellement que je t'emmène au paradis sur ce lit, bordel !
-Au paradis ? ricanais-je. Rien que ça !
-Mes coups de reins sont absolument fantastiques, me sourit-il avec envie.
-Mes mains sont des écraseuses de couille de première, lui souris-je en retour.
Il rigola et enfouit son visage dans mon cou. Ses lèvres s'approchèrent de mon lobe d'oreille avant de me murmurer :
-On succombera un jour, Ali... Et tes mains ou même mes coups de reins ne seront rien comparés à cette douce sensation d'abandon.
Ses lèvres caressèrent ma nuque, descendant avec douceur jusqu'à ma clavicule que mon chemisier laissait apercevoir. Sa bouche aspira ma peau, qui se couvrit de frissons tandis que mes mains agrippèrent le bas de son dos, l'attirant vers moi.
-Grayson... soupirais-je tentant malgré moi de ne pas succomber à cette faiblesse. Arrête ça tout de suite...
Ses mains enlacèrent ma taille, me collant avec férocité contre son torse. Il s'arrêta quelques secondes plus tard, me laissant légèrement déstabilisée.
-Ne touche jamais plus à cette partie de moi... me ressaisis-je.
-Et pourquoi ?
-Sensible. Elle est sensible, avouais-je en le repoussant de moi, ce qui le fit tomber sur le matelas à mes côtés.
-J'ai vu ça, limite t'allais jouir, je te rappelle que tu ne connais pas encore mon joyau, rigola-t-il.
-Mais arrête ! Bon dieu ! m'écriais-je en lui frappant le torse. Arrête de dire des choses comme ça ! C'est malsain.
-Dit-elle, se moqua-t-il.
-Et alors ? Et en plus on est dans la chambre de mon frère.
-On décale dans ta chambre si tu veux !
-Tu n'as pas encore compris le message, Gray.
D'une main, je lui pinçais le téton. Un cri aigu s'échappa de sa bouche qui quelques minutes, secondes auparavant occupaient ma clavicule.
Je me relevais en vitesse et sortais de la chambre, ne souhaitant pas avoir affaire à des représailles. Je descendis les escaliers et allais m'asseoir dans la cuisine, là où Hugo, Nelly et Connor étaient en train de discuter.
-Mais que s'est-il passé dans vos petites têtes pour que vous me laissiez avec Grayson ? hurlais-je en arrivant.
Nelly sursauta avant de m'indiquer du doigt mon frère comme coupable.
-Vous avez intérêt à m'avoir fait à manger, sinon je me venge.
Connor se rattrapa en m'indiquant une assiette de crêpe au centre du plan de travail. Je m'avançais vers lui et déposais un bisou sur sa joue.
-Ils sont passés où les cousins ? demandais-je en m'asseyant et attirant l'assiette face à moi.
-Rentrés avec les parents, qui vont rester manger chez papi et mamie ce soir, m'annonça Connor. Hugo, vu que demain on n'a pas cours tu viens à la maison ?
Pas cours ? Pas cours ? Attendez j'ai pas école demain ?
-Pas cours ? On n'a pas cours ? m'écriais-je la joie venant faire vibrer ma voix.
-Oui pas cours, mais tu dois aller au bahut quand même, toi, ricana Hugo en me tirant la langue. Toutes les personnes du bahut faisant partie de l'étude A=AS doivent y aller.
-Toi aussi tu fais partie de l'étude !
-Ouais mais je sèche, dans tous les cas, vu que je ne suis plus là après les vacances de Noël, je ne trouverai pas l'amour de ma vie, avoua-t-il en arborant un sourire jaune.
-On trouvera un moyen pour que tu restes, tenta Nelly.
-Ça sert à rien d'espérer.
Un silence gêné s'abattit sur nous, nous prenant de cours.
-ALISON REYNOLDS JE TE JURE QUE JE VAIS TE...
Grayson apparut dans l'encadrement de la porte et se tut en découvrant que je n'étais pas seule.
-Tu vas ? demanda Connor les sourcils froncés.
-La prendre dans mes bras, mentit Grayson en s'approchant de moi.
Ses bras s'enroulèrent autour de mes épaules, tandis que son nez se nicha dans mon cou.
-Dégage, grommelais-je.
Ses dents me répondirent en venant mordiller cette zone érogène. Il s'écarta de moi, quelques secondes plus tard, comme si de rien n'était alors que je n'avais qu'une envie...
-Je ne vais pas à l'école demain non plus, annonçais-je pour faire taire mes pensées.
-T'es folle tu ne me laisses pas seul avec Barbie ! me prévint Grayson en m'arrachant des mains ma crêpe.
-Pourquoi Blake sera là ? demandais-je surprise.
-Il vient parce qu'on est deux ici, ça nous évite d'aller dans son bahut de con, m'apprit Grayson en engloutissant mon bien.
-Pourquoi je ne suis jamais au courant de rien ? m'écriais-je en levant les bras au ciel.
-Parce que maman ne voulait pas t'attrister encore plus... Et elle n'était pas sûre de... de... Enfin elle ne savait pas si tu irais à l'école le lendemain à cause de Shawn...
-Oh...
-OH OH OH ! s'écria Grayson en ricanant.
Nous levâmes les yeux au ciel, exaspérés.
-Bon je vais y aller moi, nous annonça Nelly en se frottant les joues.
-Grayson tu dois nous ramener, ajouta alors Hugo.
Gray hocha la tête et se tourna vers moi. Nelly et Hugo me firent la bise et allèrent enfiler leurs chaussures.
-Tu attends quoi, toi encore ? demandais-je à Grayson qui me fixait les bras croisés.
-Un bisou, peut-être.
-Va te faire foutre !
-Quand tu... commença-t-il avant de se faire taper l'arrière de la tête par mon frère.
-Attention à tes paroles ! C'est ma sœur.
-Et c'était ton lit... ricana Grayson en offrant un sourire pervers à Connor.
-Quoi ? Quoi ? GRAYSON ? ALISON ? s'écria-t-il finalement demandant des explications.
-Laisse tomber ton pote invente de la merde, comme si j'allais coucher avec un con pareil.
-T'as bien couché avec Nick...
Je fusillais du regard mon frère, le priant de se taire. Grayson s'éloigna, enfila ses chaussures et sortit en coup de vent de la maison. Je soupirais, puis je me levais et allais jusqu'à la porte d'entrée. J'attendais sur le perron et les observais grimper dans la voiture de Grayson. Ce dernier alluma son moteur et croisa mon regard en relevant la tête. Nos yeux s'accrochèrent n'offrant aucune séparation possible. Sa main posée sur le volant se déporta sur la portière qu'il ouvrit. Sans rompre le contact de la voiture et de nos yeux, il descendit de son siège et courra jusqu'à moi.
-Tu n'as tout de même pas cru que j'allais m'en aller sans te faire un bisou ? souffla-t-il en prenant mes joues en coupe.
-Grayson ne t'avise pas de m'embrasser.
-Parce que l'on n'est pas seul ? C'est ça ? me sourit-il.
-Non parce qu'on n'est pas en couple.
-J'en ai rien à foutre.
Il plaqua ses lèvres contre les miennes une dizaine de seconde, puis il s'écarta de moi. Je le frappais et lui pinçais le téton sans que cela ne le gêne.
-Demain tu as intérêt à mettre un haut qui montre tes épaules. J'aimerai bien pouvoir contempler mon œuvre d'art, me taquina-t-il avant de courir jusqu'à sa voiture.
Les mains sur les hanches je le fusillais du regard et reçus pour seule réponse un sourire de fierté.
-Depuis quand ? me demanda une voix dans mon dos.
Je me retournais et observais mon frère assis sur les marches de l'escalier de l'entrée. Je rentra à l'intérieur et allais m'asseoir à côté de lui.
-Depuis quand quoi ?
-Depuis quand vous vous embrassez ?
-Oh doucement ! C'est lui qui m'embrasse.
-Ce n'est pas comme si tu le repoussais.
-Faux ! Faux et archi faux !
-Ali... me gronda mon frère en fronçant les sourcils.
-Quoi ?
-Tu éprouves autant de plaisir que lui dans cette histoire.
-Depuis samedi, soupirais-je. Mais ce n'était censé qu'être une fois. Un dérapage, une erreur mais j'ai plus l'impression qu'il cherche à en faire une habitude.
-Et toi tu n'en veux pas ?
J'hochais négativement la tête et posais ma tête sur l'épaule de mon frère.
-Je suis sûr que tu le veux comme habitude.
-Non...
-Pourquoi ?
-Je ne veux pas m'enliser dans une routine, dans une habitude.
-Et pourquoi ? répéta-t-il.
-Je...
-Tu ?
-Je ne veux pas, point.
-Alison ! Bon dieu je te connais par cœur et je suis certain de savoir même la raison de ton recul par rapport à lui.
-Bah si tu me connais si bien que cela, vas-y dis-moi tout !
-Tu as peur Ali...
-Je n'ai pas peur !
-Tu as peur de te lancer et qu'il t'abandonne comme l'ont fait James et Shawn.
-Ce n'est pas la même chose.
-Oh que si, Alison ! Il est à la fois ton pote et bien plus encore.
-Non. Tu compares des personnes de ma famille à un gars que je ne reverrai peut-être pas dans deux ans.
-Alors de quoi as-tu peur dans ce cas ?
-D'apprécier, soupirais-je finalement.
Le bras de mon frère entoura mon épaule se voulant réconfortant, pourtant cela ne me calma pas.
-Je crève de peur. Je n'ai pas envie de me lancer dans une relation, de me sentir bien avec lui, oublier toutes les fois où on s'engueulait et les remplacer par des moments de tendresse ou quoi. Non ce n'est pas possible. Je n'ai pas envie de leur faire face, de faire face à ses putains de sentiments qui grandissent et qui sont au bout d'éclore. Je n'ai pas envie que notre attirance explose et qu'elle se transforme en besoin. Je ne veux pas être dépendante de lui et... Je ne veux pas choisir... Je ne veux pas donner raison à cette étude de merde ! Je ne veux pas devoir dire aux gens que je sors avec lui alors que je ne crois pas en l'amour. Je ne veux pas...
-Doucement Alison... Tu n'as pas besoin d'avoir peur de tout ça...
-Je ne veux pas devoir choisir entre Blake et lui. Je n'ai pas envie de leur briser le cœur, ni de leur faire du mal. Moi je veux juste vivre mon adolescence, arrêter de me prendre la tête et profiter.
Dobrynya sortit du salon en trottinant et se dirigea vers nous la queue fouettant l'air. Diesel arriva quelques secondes plus tard, courant comme un dératé et finit par sauter sur Connor en pleine course.
-Ça me tue de le repousser, Connor. Je l'apprécie vraiment. J'adore son insolence et sa volonté. Je raffole de sa manière de ne jamais abandonner. Il est juste effronté et sûr de lui et c'est hyper excitant. Mais je ne peux pas. Je ne peux pas être en couple avec lui.
-Tu ne peux pas ou tu ne veux pas ?
-Je ne peux pas.
-On peut toujours Alison. Je t'assure que tu peux le faire. Je suis sûr que tu peux essayer. La peur ne doit pas te glacer les veines, ni même arrêter de te donner envie de te battre. Il faut que tu prennes le ballon de ta vie en main, il faut que tu fasses quelques dribbles avec, et même supporter de le voir frapper le sol, parce qu'il y a toujours des moments où l'on tombe et ça fait mal, mais on rebondit, on rebondit et tu rebondiras parce que tu sais très bien t'y prendre avec une balle de basket. Alors un jour tu te mettras à courir, à dribbler en essuyant tous les affronts, acceptant même les blessures, les rencontres avec le sol... Et tu t'élanceras, le bras tendu vers le ciel, tel un affront à toutes les personnes qui t'auront déçue et tu lanceras la balle... Qui chutera sans problème dans l'arceau. La joie inondera ton corps, ton cœur et enfin tu comprendras que même si la vie est dure, que tu as souvent chuté, il y a toujours un moyen de se relever et de remporter le match... Le match de ta vie. Alors laisse-lui une chance, parce que tu joueras probablement ta plus belle partie à ses côtés.
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Bonjour, Bonsoir! Comment allez-vous?😄
BONNE ANNÉE! Je vous souhaite une merveilleuse année, du bonheur, de la réussite, la santé, les amis, la famille, tout ce qui pourra vous satisfaire! 😀
2016 a fermé ses portes, nous ouvrant celles de 2017, croisons les doigts pour en faire une super année, pour que les démons de 2016 disparaissent derrière les anges de 2017. 😇
Je m'excuse pour ce chapitre assez court comparé aux précédents mais je ne voyais pas quoi ajouter de plus. Surtout que j'avais prévu une toute autre partie normalement (lemon)😏😅. Mais j'ai eu peur d'en gêner certaine donc... 🙄🤐
Je vous avoue aussi que les bisous de Gray et Ali me gênent un peu en fait... J'aime pas trop cette relation...😒 Je n'en dirais pas plus. Mais à la fin de l'histoire je vous expliquerais pourquoi.
D'ailleurs les amis... La fin approche à grands pas... Une dizaine de chapitres encore je pense et après pfiou... Plus de War Is Love! Plus de Morgan chiante qui vous embêtera avec ses notes...🤗😂
Bref bref bref.... N'hésitez pas à voter et à commenter si le chapitre vous a plu.
Je vous souhaite une bonne année (encore), une bonne journée, nuit, soirée!
Morgan.xx
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