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CHAPITRE 18 : TROISIÈME PARTIE

-Non je te réserve quelque chose de beaucoup plus... mouillé, finit-il.

Hein ?

-Pardon ? m'écriais-je laissant mon cerveau s'imaginer tous les scénarios possibles.

Grayson sortit de la salle de jeu et tourna à droite, se dirigeant vers...

Vers la porte qui jouxtait la salle où je venais de lui foutre une raclée.

Il ouvrit la porte et me fit rentrer dans une salle de bain.

-Gray ! Bordel de merde ! Qu'est-ce que tu fais ?

-Je joue à un jeu, où je suis sûr de gagner ! rigola-t-il.

Il tira sur le rideau de douche, dévoilant la baignoire. Je sentis ses mains sur moi se déplacer. Puis je me retrouvais debout dans la baignoire, face à la paume de douche qu'il avait réussi à attraper en même temps qu'il me plaçait.

-Grayson ! Je ne sais pas à quoi tu joues mais poses tout de suite cette paume !

Il m'offrit un sourire charmeur avant de tourner le robinet de l'eau froide.

-Tu aimes l'eau non ?

Je me retrouvais aspergée d'eau froide, incapable de bouger. L'eau froide se propagea sur mon corps, me laissant dans un état déplorable. Les secondes de surprise passées, je réagis et tentais de dévier le jet d'eau à n'importe quel endroit qui n'était pas mon corps.

N'y arrivant pas, j'eus la merveilleuse idée d'attirer à moi, le détenteur de la paume. Je tendis ma main et attrapais son épaule et son tee-shirt en même temps. J'exerçais une pression qui outre passait ce dont je pensais être capable.

-Argh ! cria Grayson surpris.

Il tomba dans la baignoire, lâchant la paume de douche et se retrouva allongé de tout son long. J'agrippais l'arme fatidique et l'aspergeais sans m'arrêter. J'étais pourtant déçue du peu de résultats obtenus ce qui me poussa à m'asseoir sur Grayson, mes genoux de part et d'autre de son torse. La baignoire des Sky était immense. Je plaçais mon arme face à son visage, un sourire sadique sur le mien.

-Alors on fait moins le malin, Gray ! rigolais-je.

Avec ses mains il tentait de repousser la paume de douche. Je la retirais quelques secondes de son visage, le laissant respirer et avoir un petit temps de répit.

-Alors pas trop dégoûtée de perdre à la fois à la console et encore plus dans ton action de gamin ? le provoquais-je.

-Alison, je te jure que...

Je remis le jet d'eau sur sa tête et explosais de rire. Ses mains vinrent se poser sur ma taille m'attirant à lui. Je me retrouvais allongée sur son torse, la paume de douche posée dans un coin de façon à ce que je m'en prenne plein la tête, en même temps que Grayson.

-Tu vas me le payer ! m'écriais-je.

Je fus rapidement arrêtée par le grondement de mon ventre, qui râlait pour montrer qu'il avait faim.

-Tu sais Ali, si tu avais faim fallait me le dire ! Tu n'étais pas obligée de te jeter sur moi et de m'arroser pour me le faire comprendre ! rigola-t-il.

-Comment oses-tu ?! C'est toi qui m'as foutu dans cette baignoire !

-Je ne t'ai jamais demandé de me battre.

-T'es vert de rage ! me moquais-je.

-Actuellement je suis plus bleu de l'eau, tenta-t-il.

-Mais c'était nul ! m'écriais-je offusquée par sa blague de merde.

Il me tira la langue, ce qui me fit remarquer que mon visage était à quelques centimètres du sien, que j'étais toujours allongée sur lui, ma poitrine quasiment sous son nez, mes hanches au-dessus de ses hanches et dans une position très bizarre.

Je m'appuyais sur mes coudes, décollais mon bassin du sien et me relevais dans une position tout sauf glamour. Je finis par sortir hors de la baignoire et éteignis l'eau, puis je tendis ma main à Grayson qui me remercia en se relevant. Je l'observais, son tee-shirt noir le collait traçant chacun de ses abdominaux, ainsi que ses pectoraux, son jean bleu lui tombait sur les hanches. Il était lourd à cause de la quantité d'eau absorbée. Ses cheveux blonds en bataille lui donnaient un air sauvage. J'avais un petit lionceau sous les yeux je vous jure ! Mon regard croisa celui de Grayson qui venait de m'analyser comme je l'avais fait. Nous explosâmes de rire, totalement amusés par nos dégaines mutuelles.

-On va tremper ta salle de bain, réalisais-je alors m'arrêtant de rire.

-C'est un peu le but d'une salle de bain, se moqua-t-il. Mais bon... Je pense qu'il vaudrait mieux éviter que tu tombes malade. On va devoir se changer. Pour moi c'est tranquille mais pour toi, va falloir que je te passe des fringues. T'es plus grande que ma sœur, du coup tu ne rentreras pas dans ses affaires, réfléchit-il. Je ne vais pas te passer les fringues de ma mère, parce que je crois que mon regard sur toi va trop changer, rigola-t-il. Il ne reste plus que mes affaires !

-On pourrait passer chez moi aussi, proposais-je.

Il regarda sa montre.

-Bien que ta maison se trouve à une quinzaine de minutes de chez moi. Je te rappelle qu'il faut que tu te changes, sèches et qu'on mange pour retourner à l'école être à l'heure. Donc je ne pense pas que l'on aura le temps, finit-il.

-Mais il nous reste deux heures ! m'écriais-je. On a le temps de faire tout ça !

Il hocha négativement la tête et se pencha vers le meuble sous le lavabo et en sortit des serviettes. Il m'en tendit une et s'enroula dans une autre. Il se pencha vers le meuble à côté du précédent et en sortit une serviette plus petite qu'il enroula autour de mon cou, afin que je puisse m'essuyer mes cheveux avec.

-Tu veux juste me voir avec tes vêtements ! Je me trompe ?

Il hocha à nouveau la tête et m'offrit un sourire pervers.

-Je m'en fous j'ai des vêtements de rechange au lycée ! triomphais-je.

-Et alors ?

-Je n'aurais qu'à me changer en arrivant au lycée. Et pour l'instant je garde mes affaires sur moi.

-Alison ! Quoi que l'idée de te déshabiller de force ne me dérange pas le moins du monde, je n'ai pas envie que tu tombes malade. Donc, tu vas te foutre en sous-vêtements et enfiler les vêtements que je vais te passer. Tu n'auras qu'à te changer au bahut, mais tant que tu es chez moi, c'est moi qui décide, m'avoua-t-il avant de m'ébouriffer mes cheveux et de sortir de la salle de bain.

Je me retrouvais dans la salle de bain, seule, trempée jusqu'aux os et une tête horrible. Bon pour cela, ça ne changeait pas de d'habitude. Quoi qu'il en soit, je n'allais pas me déshabiller pour la simple raison qu'il me l'avait ordonné. Oui plus chieuse que moi, cela n'existait pas.

-Alison je te jure que si tu n'enlèves pas tes vêtements mouillés, je vais te séquestrer ! me menaça-t-il.

-Tu aurais trop peur de Connor, le provoquais-je.

-Oh non ! Il serait bien trop content que je le débarrasse de toi !

-Connard, gueulais-je ce qui le fit rire.

Je retirais mon tee-shirt, non pas parce que j'écoutais Grayson, mais parce que je sentais de longs frissons couvrir ma peau. Puis je laissais mon jeans glissé le long de mes jambes. Je remarquais que mes sous-vêtements étaient mouillés mais pas totalement trempés. J'allais m'enrouler dans la serviette lorsque je remarquais qu'elle était autant remplie d'eau qu'une éponge que l'on venait de passer sous l'eau.

-Mais t'es con Gray ! criais-je. La serviette est trempée ! Généralement on enlève les vêtements avant de se sécher Débila ! soupirais-je.

- Sers-toi dans le meuble et arrête de rouspéter ! souffla-t-il.

Je séchais d'abord mes cheveux avec la serviette autour de mon cou. Je décidais finalement de me faire une natte et posais les deux serviettes utilisées sur le bord de la baignoire puis je me penchais vers le meuble et en sortis une nouvelle, dans laquelle je m'emmitouflais.

Je sortis de la salle de bain et me dirigeais vers la chambre de Grayson, qui avait laissé la porte ouverte. Ce dernier s'était changé et était en train de fouiller dans son armoire à la recherche d'affaires à me passer.

Il se tourna vers moi à l'entente de mes pas et me sourit. Il finit par sortir un jogging noir, avec un sweat à capuche gris.

-Bon c'est des vêtements que je m'étais quand j'avais 14 ans donc, je pense qu'ils doivent être plus à ta taille que ceux que je mets maintenant, rigola-t-il.

-Merci...

-Montre un peu plus d'enthousiasme, Ali ! me pria-t-il.

-J'en montrerais si tu n'avais pas eu cette idée de merde ! m'énervais-je.

Il se releva et s'approcha de moi. Je resserrais la serviette autour de moi, ce qui le fit sourire. Il posa ses deux mains sur mes épaules et m'attira dans ses bras.

-Qu'est-ce que tu fais ? lui demandais-je surprise.

-Alors ça, Ali, ça s'appelle un câlin. Cela consiste à prendre une personne dans ses bras et à la serrer fort pour la consoler ou pour la calmer, m'avoua-t-il.

-Je sais ce qu'est un câlin, Gray !

-Peut-être mais tu ne sais pas ce que sont mes câlins, rigola-t-il.

Je levais les yeux au ciel, mais nichais ma tête dans le creux de son épaule. Je n'avais pas froid, mais la chaleur qu'il dégageait était extrêmement agréable. Son menton sur ma tête me rappela qu'il était vraiment, vraiment très grand. Il se détacha de moi et me sourit.

-Je te laisse te changer, je vais aller ranger la salle de bain et préparer à manger.

-Attends-moi je vais t'aider à ranger.

-Changes-toi, me conseilla-t-il avant de sortir de sa chambre.

Je m'approchais de ses vêtements et les enfilais. Le jogging était trop grand, mais en le resserrant au maximum et après avoir fait un triple nœud, il finit par tenir sur ma taille. Le sweat était grand mais agréable au toucher. Je pris la serviette avant de sortir et allais dans la salle de bain. Grayson n'y était pas mais il avait tout rangé. Les serviettes avaient disparu. Je sortis et descendis les escaliers pour aller le retrouver. J'entrais dans la cuisine et le trouvais derrière les fourneaux.

-Pose la serviette avec les autres, j'irais les mettre à la machine à la fin du repas, m'annonça-t-il. J'ai mis à étendre tes vêtements mais je doute qu'ils soient secs d'ici notre départ.

-Merci, répondis-je.

Il prit une cuillère qu'il plongea dans la sauce qu'il était en train de faire cuire et la porta à ses lèvres. Il hocha la tête pour lui-même et se tourna vers moi. Un sourire amusé étira ses lèvres.

-J'ai bien fait de me battre pour que tu portes mes vêtements, m'annonça-t-il fier de lui.

-Arrête je ressemble à rien !

-Ça change pas de d'habitude, non ? se moqua-t-il.

-Grayson !

-C'est bon je rigolais, ne sois pas autant susceptible, me taquina-t-il. Pour information, ils te vont mieux à toi, qu'à moi.

Il se tourna vers la casserole et se remit à touiller le contenu. J'en profitais pour regarder la cuisine, qui était une simple cuisine américaine, dans le même style que la mienne. Grayson avait disposé sur le plan de travail, qui servait aussi d'endroit pour manger à en croire la présence de deux chaises et du nécessaire pour que deux personnes mangent, des serviettes, des verres et des couverts. Il finit par servir dans les deux assiettes les spaghettis à la bolognaise qu'il avait préparé.

-Tout le monde aime les pâtes, non ? me questionna-t-il.

J'hochais la tête et allais m'installer à l'endroit que Gray' m'avait désigné. Il vint me rejoindre quelques instants plus tard et me souhaita un bon appétit.

J'attaquais sans me faire attendre mon assiette, ce qui le fit rire.

-J'avais faim, me justifiais-je après avoir avalé la bouchée.

-Ça te dit on refait la scène culte de la belle et le clochard ? me demanda-t-il un sourire en coin.

-La seule scène que l'on refera ça sera la bagarre dans les Astérix, tu sais entre le poissonnier et le forgeron.

-Mais quel glamour, Ali ! se plaignit le blond à côté de moi.

-Au moins tes pâtes à toi elles sont fraîches par comme le poisson de l'autre, rigolais-je.

Grayson soupira avant de me montrer du bout de sa fourchette.

-Comment ça il est pas frais mon poisson ?! s'écria-t-il en tentant d'imiter Ordralfabétix.

J'explosais de rire et plongeais mon nez dans mon assiette pour cacher mes éclats. Ce mec était vraiment désespérant mais dans le sens désespérant jusqu'à ce que cela en devienne mignon.

-Allez avoue je suis drôle !

-Alors là tu peux rêver ! Sinon ? La raison de ma présence ici ? Parce que techniquement, j'ai vraiment passé plus de temps dans la chambre d'une petite de six ans, dans une salle de jeux et dans une baignoire. Que suis-je censée avoir appris de toi, aujourd'hui ?

-Tu as visité le lieu dans lequel j'ai passé la plus belle enfance possible, tu as appris que je suis allé à un match de basket, que j'adore les photos, les médailles et que je sais jouer à la play. Tu as remarqué que tu m'appréciais bien et que tu pouvais me faire confiance, tu as d'ailleurs accepté mon dilemme. Alors quoi de mieux pour un début ?

-Non c'est pas mal du tout... acquiesçais-je remarquant seulement maintenant que j'avais pas mal rigolé avec lui durant ces trois heures.

-Ah et maintenant tu sais que je sais cuisiner !

-Faire des pâtes c'est à la portée de tout le monde, hein !

-Alors toi et moi, un de ces jours, on fera un concours de cuisine, okay ?

-Wow wow, calme-toi ! J'ai jamais dit que je savais cuisiner, m'écriais-je.

-Ton frère lui pourtant le pense, sauf quand tu te brûles les bras, se moqua-t-il.

-Arrête je me suis faite hyper mal, grimaçais-je.

-Heureusement que j'étais là pour te soigner, alors, fit-il en le lançant un clin d'œil.

-Tu as appris ça où d'ailleurs ?

-J'ai deux petites sœurs je te rappelle. Un accident est vite arrivé, surtout lorsqu'elles veuillent cuisiner avec moi.

J'hochais la tête compréhensive.

-Tu as appris que je lisais aussi. Enfin tu as été assez surprise, pourtant je l'avais dit au dîner avec tes parents, remarqua-t-il.

-Ouais je sais, mais je ne m'attendais pas à ce que tu lises trois de mes sagas préférées, lui avouais-je. D'ailleurs mon père, il t'a dit quoi avant que tu partes ?

Grayson posa son regard sur moi, laissant sa main jouer avec sa fourchette dans l'assiette. Il avala sa bouchée et répondit :

-Je ne vois pas de quoi tu parles ? Me parler à moi ? Non jamais.

-Allez Grayson !

-Alors là tu peux rêver ! m'imita-t-il en prenant une voix de fille.

-T'es nul !

-Ça dépend pour quoi...

Je soufflais exaspérée, ce qui le fit sourire. Après on me disait que j'avais les idées déplacées, mais pas autant que lui ! Enfin si un petit peu, peut-être.

Le reste du repas se déroula dans une atmosphère détendue dans laquelle on se chamaillait pour aucune raison. Après le dessert, j'aidais Grayson à débarrasser et à faire la vaisselle. Puis il prit les serviettes et sortit dans le couloir, il se dirigea dans l'entrée et ouvrit l'une des trois portes présentes. Cette dernière menait à la cave. Gray' alluma la lumière et descendit les marches, suivi de près par moi. La cave était propre, rangée. Quelques cartons trainaient dans un coin, tandis que le reste de l'espace était réquisitionné par des machines en tout genre.

Il fourra les serviettes dans la machine et ouvrit une porte qui menait à une chaufferie. Le linge y était étendu, ainsi que mes affaires. Je les décrochais et remarquais avec déception qu'elles étaient encore humides. Nous remontâmes jusqu'à l'entrée, récupérâmes nos affaires et partîmes pour le lycée. Il nous restait une quinzaine de minutes avant les cours et à en juger la conduite tout à fait lente de Grayson ce dernier ne souhaitait pas que j'ai le temps de me changer avant l'heure de mathématiques.

-Grayson, je te jure que si tu n'avances pas plus vite, je vais t'étriper.

Je n'eus que pour simple réponse un ricanement et un clin d'œil m'assurant qu'il n'avait pas peur.

-Je te jure que je te déteste ! jurais-je.

Son rire s'intensifia me mettant hors de moi. Il finit par se garer devant l'école, me laissant cinq minutes devant moi pour que je puisse aller chercher mes affaires de rechange dans mon casier, mes affaires pour le prochain cours et pour arriver en cours sans être en retard.

Je sortis de sa voiture, attirant tous les regards sur moi. Super, pensais-je. Grayson sortit à ce moment même. Les regards s'amusèrent à faire la navette entre lui et moi, ainsi que sur nos vêtements qui étaient pour moi, masculins et pour nous deux des vêtements différents du matin.

-Eh merde ! soupirais-je.

Grayson s'approcha de moi et nous nous élançâmes vers les escaliers menant à l'intérieur.

-Je ne pense pas que tu aies le temps de te changer et d'arriver à l'heure en cours, m'avoua-t-il avec un sourire fier de lui.

-Si tu ne décolles pas immédiatement ce sourire de ton visage, je te tue !

Il me regarda et tenta de faire disparaître son sourire en vain. La sonnerie annonça la pré-rentrée dans les classes retentit au moment où j'arrivais à mon casier. Il me restait le lycée à parcourir pour aller en classe, ce qui ne me laissait malheureusement pas le temps d'aller dans les toilettes me changer. Je fermais mon casier avec rage et me tournais vers Grayson, appuyé nonchalamment sur d'autres casiers, un sourire victorieux sur le visage. Il se releva lorsque je m'éloignais de lui, me pressant pour arriver à l'heure en classe. Il fallut même que nous courions pour finir par arriver avant la sonnerie. J'entrais dans la classe légèrement essoufflée. Nelly et Hugo se levèrent instantanément arrivant à notre rencontre.

-Alors comme ça vous nous abandonnez et... Mais attends Ali, c'est quoi ces affaires ? me questionna Hugo le regard perplexe.

Je soufflais découragée.

-C'est une longue histoire !

Nelly et Hugo se lancèrent un regard d'incompréhension comme la majorité de la classe qui s'était tue à notre arrivée et avait suivi notre échange. Oh oui... Une longue histoire, pensais-je intérieurement.

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Bonjour ou bonsoir! Comment allez-vous?😊

J'espère que cette partie qui clôture le chapitre 18 vous aura plus! 😁

N'hésitez pas à voter, commenter!

Bonne journée et bonne soirée...❤️ Et bon 14 juillet

Morgan.xx

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