Le soleil était levé depuis un petit moment sur la Grande cité du sud ouest. Il y avait une grande agitation du au départ imminent de la confrérie. Les soldats étaient entrain de terminer le chargement des bateaux. Et les derniers membres encore présent au château se dirigèrent vers le port. Pendrago était alors a l'entrée et parlait avec Gyrn.

Gyrn : Puisse le sort t'être favorable.

Pendrago : Ne t'en fais pas il n'y aucune chance que je perde tu le sais pourtant. Je te confie le château pendant mon absence.

Mais avant qu'il ne puisse partir, il se fit abordé par les gardes célestes qui semblait paniqué.

Pendrago : Comment puis je vous aider ?

Lub : Nous cherchons son altesse Laïdane. Vous ne l'auriez pas vue ?

Pendrago : Il devait résider au château pour cette nuit mais je crois qu'il n'est jamais venue.

Pendrago s'en alla alors en direction du port laissant les gardes en pleine cogitations.

Orwa (paniqué) : Comment on a put le perdre, il n'est pourtant pas la personne passant le plus inaperçu.

Siéra : Ce n'est plus là peine. Il ne doit plus être à Brakmar depuis longtemps.

Orwa : Nous aurions dû le voir partir si cela avait été le cas.

Lub : En même temps avec lui tout est possible. Il a donc du bel et bien disparaître sans que nous nous en rendions compte.

Siéra : Eh bien dans ce cas Seigneur Orwa c'est ici que nous allons nous laisser. Une mission attend le seigneur Lub et moi même.

Orwa : Très bien dans ce cas je vais rentrer à Zéphyréa et je vous souhaite bon courage dans votre tâche.

Lub et Siéra se séparèrent donc de leur camarade pour partir de leur côté.

Siéra : Vous êtes prêt pour cette mission seigneur Lub ?

Lub : Bien sûr, mais vous êtes sûr pour notre cible ?

Siéra : Ça ne fait aucun doute, j'ai put rentrer en contact avec sa majesté et elle m'a dit qu'elle me faisait pleinement confiance. Nous allons donc rester derrière et observer et à la moindre occasion nous tenterons de la capturer sans nous faire remarquer.

Lub : N'avait vous pas peur que cela intrigue Borua ?

Siéra : Non, son oiseau a été confier à Orwa et maintenant qu'il n'est plus avec nous, il n'a aucun moyen de nous observer. De plus tout à déjà été prévue nous allons prétendre avoir aidé le roi de Brakmar pour un problème urgent.

Lub : Bien alors si tout est prévue nous devons y aller nous aussi.

Du côté du groupe ils finissaient eux aussi les dernier préparatifs avant le grand départ. Astor et N6 préparer la machinerie du bateau. Luci et Dante s'occuper de l'état du pont. Pendant que Hadram, Crône et Skadia étaient entrain d'embarquer des stocks de nourriture. C'est alors que Dante remarqua que sa petite sœur portait maintenant des pistolets.

Dante : Qu'est ce que tu fais avec ses armes sur toi ? Et où les à tu trouvé d'abord ?

Skadia (amusé) : Je les ai piqué dans une armurie de la confrérie. Je trouvais ça cool.

Luci (d'un ton autoritaire) : C'est pas bien tu n'aurais pas du faire ça.

Skadia (triste) : Mais, je voulais trop en utiliser.

Le grand ouginiak arrivant en déposant la dernière caisse de ravitaillement.

Crône : Tant que tu ne tire pas sur l'un d'entre nous ça devrait aller.

Luci : Bravo l'éducation. C'est encore une enfant je rappelle et vous la laissez joué avec des pistolets.

Dante : Tu sais elle en pas réellement besoin étant donné qu'elle maîtrise le stasis.

De son côté Astor qui était à la barre constata que les autres bateau de la confrérie commençait à quitter les quais et à se dirigeaient vers la sortit du port.

Astor (fort) : Ça commence à bouger du côté des autres. Alors on ferait mieux de commencer à bouger nous aussi.

Hadram décrocha le bateau du quai et ils purent se diriger eux aussi vers la sortit du port.

Dante : Et encore une prochaine île. Au moins on perd pas le rythme.

Luci : Moi qui appréciait me retrouver un peu plus longtemps que d'habitude sur le continent.

Hadram : Moi ça me manquait un peu l'air de la haute mer.

Dante : Cette fois ça devrait être une promenade de santé en comparaison à toute les autres îles.

Astor : Arrête de dire ça tu va nous porter la poisse.

L'Empereur des mers se dirigea tranquillement vers la où stationnaient tout les autres bateaux de la confrérie.

N6 : Ils ne sont toujours pas partis ?

Hadram : Ils attendent quoi pour y aller ?

Soudain ils entendirent des acclamations venant du port. Ils y virent un immense attroupement de gens venue voir leurs héros. Pendrago et sa section marchait vers leur bateau au milieu des acclamations de la foule.

Habitant (fort) : Montrer à ces démons de quoi les mortels sont vraiment capable !

Habitant : Venger tout les morts que ses monstres ont fait !

Habitant : C'est vous le plus fort Seigneurs Pendrago !

Habitant : Ils n'ont aucune chance face à vous !

Le groupe était ébahi par une telle manifestation de soutien.

Dante : On peut dire qu'il a plus que la côte.

Luci : En discutant avec Cohort j'ai appris que Arthur Pendrago était avant même de crée la confrérie une célébrité local, réputé pour sa force exceptionnelle. Et pourtant personne ne semble avoir déjà vue son visage.

Crône (jaloux) : Et pourquoi nous on c'est pas fait acclamer comme ça ?

Skadia : Je suis sûr qu'un jour ça sera le cas !

Pendrago embarqua avec sa section sur le navire amiral de la confrérie des éxaltés, le Conquérant. C'était un bateau bien plus gros que tout les autres, d'incroyablement bonne facture. Il avait une forme très rectangulaire et possédait 4 grandes voiles rouge. Elles arboraient fièrement le symbole de la confrérie. Le navire se dirigea lui aussi vers la sortit du port et les autres lui laissèrent la place de passer en tête. Mais à la surprise général il ne continua pas directement sur sa lancé et s'arrêta.

Percedal : Qu'est ce qu'il fait ?

Morgause (d'un ton moqueur) : Il veux plus y aller où quoi ?

Norgane : Ne me dites pas qu'il a peur ?

Léodargent : Le patron ce dégonfle ?

C'est alors qu'ils aperçurent Pendrago sur le pont de son bateau faisant face à tout le reste de la confrérie.

Pendrago (fort) : Compagnon écoutez moi ! La dernière fois notre expédition avait été un franc succès et je vous félicites de nouveau pour cela.

Tout les soldats se mirent à crier pour manifester leur joie et détermination.

Pendrago (fort) : Mais je ne vais pas vous mentir en vous disant qu'elle a été partiellement inutile.

Les soldats furent intriguer et déstabilisé par ce qu'il venait de dire.

Pendrago : À l'heure qu'il est les démon ont déjà du investir de nouveau l'île des wabbits.

Le moral retomba soudainement a l'evoquation de cette triste vérité.

Pendrago : Vous vous demandez sûrement pourquoi je vous raconte cela. Eh bien c'est très simple. Considérer que cette première expédition n'était qu'un teste destiné à évaluer en application la force de la confrérie. Et tout cela dans un seul but. Aller plus loin la fois d'après. Si la dernière fois notre cible était simplement une île remplie de beaucoup de démon, aujourd'hui c'est différent. Notre cible est un démon très spécial, un duc.

Les simple soldats ne connaissant pas ces démons ne comprenaient pas trop où ils voulaient en venir.

Pendrago : Ce sont les seuls démons capable de transformer les êtres vivant en possédé. Et ils sont peu nombreux. Si nous nous débarrassons de tout les ducs plus personnes dans ce monde ne pourra jamais vivre l'enfer de devenir un démon. Cette mission à donc un réelle bute qui va bien au-delà de tout. Nous devons la réussir pour montrer à ses démons que cette fois nous ne resterons plus les bras croisés. Alors qui est avec moi !!!

Tout les soldats se mirent à crier encore plus fort provoquant une véritable tempête de détermination. Et au même moment Pendrago leva le poing en l'air tout en déployant deux lames sur les côté de ses mains à partirent de ses gantelets.

Pendrago : Bien maintenant allons marcher sur Otomaï !!! Et ne laissons pas un seul démons s'en sortirent vivant !!!

Les bateaux se mirent alors tous en route vers le nord ouest en direction de l'île abandonné de l'ancien grand alchimiste. Les effectif de la confrérie étaient donc 700 soldats répartis sur 25 bateaux, avec à leurs tête 8 capitaines parmis les meilleurs guerrierdu monde, 4 commandants le top absolue des meilleurs combattant et le général en chef, Arthur Pendrago, l'homme que seul les divinités peuvent battre en combat singulier.

À Brakamr toute la population voyait les bateaux s'éloigner et dans la foule se trouvait Hulucina qui observait plus particulièrement le bateau de son fils.

Hulucina (dans sa tête) : Tu penses vraiment pouvoir marcher aux côtés des plus grand. Tu finiras par t'en mordre les doigts.