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Chapitre 127 :...

Alors que Dante, ses compagnons et leurs amis capitaines étaient tranquillement entrain de discuter, ils virent entrer les trois gardes accompagné de quelqu'un. Toute les personnes présente dans la salle, que ce soit les soldats les capitaines, les commandants et même Pendrago, toujours en haut de son balcon, se retournèrent vers eux intriguer par cette personne.

Siéra (fort) : Votre attention à tous, j'ai l'immense honneur et plaisir de vous annoncer la venue de son éminence, le seigneur Laïdane, enfants de sa majesté Zéphyr.

En entendant ça tout le monde furent sous le choque, n'en revenant pas. Seulement une petite poignée de personnes semblait être au courant de son existence. De nombreuses conversations se firent entendre parlant de leur surprise quant à cette annonce.

Astor (choqué) : Je rêves ils viennent bien de dire l'enfant de la reine Zéphyr ?!

Crône : C'est qui ça Zéphyr ?

Hadram : Je te l'expliquerais plus tard.

N6 : Et alors ça peut faire quoi, c'est juste un morveux ?

Skadia : Ah oui la reine Zéphyr, c'est la déesse qui veille sur le monde non ?

Dante : Elle a un enfant ?

Mais celle qui semblait être la plus choqué était Luci qui n'arrivait pas à croire ce qu'elle venait d'entendre.

Les gardes s'avançèrent alors avec à leur côté Laïdane. Tout le monde reculèrent à leurs approche. L'enfant de la déesse se retrouva en dessous de la où se trouvait Pendrago, devant donc lever les yeux vers lui.

Siéra : Mécréants, descendez immédiatement de là où vous êtes pour saluer son éminence.

Pendrago et Gyrn se depêchèrent de descendre pour venir s'incliner devant lui.

Siéra : Je trouve cela tout de même assez léger, n'est ce pas Pendrago ?

Le général en chef fit alors signe à tout le monde de se prosterner et les capitaines et les commandants venirent eux aussi s'incliner devant lui. Les seuls qui ne le firent pas furent Dante et les autres qui se contentèrent d'observer. Siéra les regarda d'un mauvais œil et s'apprêta à parler mais Laïdane leva la main pour qu'il ne le face pas.

Siéra : Pardonnez moi votre éminence.

Pendrago : C'est un immense honneur de vous voir ici. Je ne sais pas quoi dire, cela est si soudain.

Laïdane avait une apparence très jeune. Il semblait n'avoir que 10 ans. Il était donc assez petit ne dépassant pas les 1 mètre 40. Il affichait une expression neutre sans non plus être froide, semblant juste attentif à son environnement. Il avait une peau a tendance très pâle. Il possédait de long cheveux d'un bleu extrêmement pâle eux aussi, se rapprochant du blanc. Les iris de ses yeux avait une couleur similaire donnant un peu l'impression qu'il était aveugle. Il arborait également une petite tresse pendant sur le côté droit de sa tête, ainsi qu'un serre tête maillé en argent incrusté de diamant. Il portait une sorte d'armure elle aussi en argent assez légère sur laquelle était disposé des morceaux de tissu blanc qui pendait donnant l'impression qu'il était vétu d'une toge par dessus son armure. Il possédait également une cape marquée d'aucun motif, de la même couleur que ses cheveux.

Ses mains et toute la parti de ses jambes en dessous de ses genoux étaient des prothèses. Elles étaient similaire aux pièces d'une armure en argent. Il ne possédait donc pas vraiment de mains et de pieds. Mais deux détails prêtait à confusion. En effet il possédait une paire de corne à la manière des osamodas, mais les siennes étaient faites d'énergie et plus précisément d'une bleu lavande. Et l'autre chose était que si on regardait bien son physique, il semblait posséder une légère poitrine et son visage avait autant les traits de celui d'une fille que d'un garçon.

Laïdane : Ne t'en fais pas mon chère Arthur Pendrago je ne compte en aucun cas interrompre toute cette petite fête. J'ai simplement à cœur de voir tout cela de mes yeux.

Sa voix portait dans toute la pièce, sonnant comme surnaturel à tout celles et ceux se trouvant autour de lui. Mais ils y avaient quelques choses d'encore plus étrange, malgré son statut divin, il n'émanait rien. Pas une once de wakfu où tout autre énergie. Les éxaltés de la pièce furent même complètement déboussolé. Leur pouvoirs venant pourtant d'un dieu ils ne sentaient rien chez Laïdane. Mais encore une fois la personne la plus affecté par cela fut Luci qui était paniqué en le voyant. En relevant la tête elle le vit même entrain de regarder un instant dans sa direction.

Laïdane : Levez vous mes braves, je ne veux pas vous dérangez plus longtemps.

Pendrago (en s'inclinant) : Je vous remercie votre éminence.

Il fit signe à tout le monde de se lever et ces derniers s'éxécutèrent.

Laïdane : Maintenant retourner vaquer à vos occupation en faisant comme si je n'était pas là.

Laïdane commença alors à se balader un peu partout dans la salle accompagné de ses trois gardes et de Pendrago. Dante le fixait de loin intriguer par cette être sortant de l'ordinaire.

Dante : Il est étrange. Il a des pouvoirs ?

Uther : En temps que demi dieux, je vois mal comment ça ne pourrais pas être le cas.

Cohort : Mais malgré qu'il ne dégage pas d'énergie, il a une aura vraiment particulière.

Laïdane semblait amusé par tout ce monde, n'ayant pas vraiment l'habitude de voir autant de gens. Les gens n'osait pas trop l'approcher mais ne semblait pas non plus effrayé par sa présence. Un groupe de jeune femme le trouva même mignon et il le remarqua. Il leur sourit donc en les saluant de la main pour leur faire plaisir

Laïdane : Dit moi Siéra ?

Siéra : Oui votre éminence ?

Laïdane : Comment pense tu que les gens me perçoivent ?

Siéra : Je pense que tout les personnes présente ne peuvent s'empêcher d'être émerveillé en voyant un être telle que vous.

Soudain un des soldats de la confrérie se précipita avec un couteau vers le jeune être.

Soldat (enragé) : Je vais te faire payer pour ce qui c'est passé à Del !!!

Laïdane : Tu te trompe Siéra, ce n'est pas le cas de tout le monde.

Les gardes célestes se mirent entre le soldat et le prince mais ce dernier leur fit signe de s'écarter et ils s'éxécutèrent. Le soldat s'apprêta à le planter mais le jeune être sans même bouger, le figea sur place sans qu'il ne puisse rien faire. Tout le monde fut sous le choque ne comprenant pas comment cela avait put arriver.

Laïdane (d'un air curieux) : Dit moi petit être ? Pourquoi m'attaque tu donc ?

Soldat (enragé) : Tu as tué ma famille qui habitait à Del !

Laïdane : Une famille ? Tu veux dire comme celle que j'ai ? Mais pourquoi vouloir me tuer ?

Soldat : Pour me venger !

Laïdane : Mais si moi j'avais de bonnes raisons de faire ce que j'ai fait pourquoi donc m'en vouloir ?

Le Soldat ne parla pas et essaya désespérément de bouger.

Laïdane : Ton esprit semble être confus et je n'arrive pas a le comprendre.

Soldat : La ferme tu n'es qu'un monstre qui se cache derrière son statut de descendant de la déesse pour tuer. Je vous maudit tout les deu...

À l'instant où c'est mots furent prononcé le soldat disparu d'un seul coup dans un flash lumineux sans que personnes ne comprennent pourquoi. Tout ce qui assisstèrent à la scène furent effrayé par ce qu'il venait d'arriver. Mais étonnement celui qui fut le plus impacté fut Laïdane. Il versa une larme qui contre toute logique décolla vers le plafond, comme si il était attristé par la situation.

Lub : Vous allez bien votre éminence ?

Laïdane : Oui, je vais bien. Si cette homme a encore de la famille, envoyez leur mes excuses les plus sincères. Car c'est bien ce genre de chose qui peut apaiser les cœurs ?

Siéra : Oui votre majesté, et ce sera fait ne vous inquiétez pas.

Le groupe qui avaient vue ça de loin n'en revenait pas.

Dante : Il vient de faire disparaître un mec ?!

Uther : Et en plus il n'a dégager pas la moindre once d'énergie.

N6 : C'est bien un demi dieu alors, ça ne fait aucun doute.

Malgré ce petit incident la soirée continua. Laïdane parla avec Pendrago pendant que les gardes céleste l'observait de loin en discutant entre eux, assez éloigné de la foule pour ne pas qu'on les entendent.

Siéra : Tu n'as pas besoin de parler moins fort. Sache que le prince entend les conversations de toutes les personnes présente dans cette pièce.

Orwa : Excusez moi seigneur Sièra mais c'est la première fois que je rencontre le seigneur Laïdane. J'en avais bien sûr entendu parler mais c'est bien la première fois que je le vois de mes propres yeux.

Siéra : Eh bien il faut que tu sache plusieurs chose à son sujet. Déjà sache que je l'ais rencontré au moment de sa "naissance" il y a 25 ans de cela.

Orwa : Il est si vieux que ça ? J'ai l'impression qu'il est au moins deux fois moins âgé.

Siéra : Et encore il peut être encore plus vieux que ça. On ne connaît pas son âge exact.

Orwa fut intriguer par sa déclaration.

Lub : Comme tu le sais, il y a certaines informations que peu de gens connaissent. Par exemple la vrai nature du corps actuel de sa majesté Zéphyr son connu des rois du monde, de nous et de sa famille. Qui sont réellement les ducs sont connu de nous et de la famille de sa majesté Zéphyr. Mais Laïdane est encore autre chose seul sa mère et sa famille savent ce qu'il est réellement. Je ne connais donc pas grand chose de lui. Par exemple nous ne savons pas qui est son père.

À ce moment là Orwa remarqua que Laïdane regarda dans leurs direction et le garde céleste commença à stresser.

Sièra : Je te l'ais dit il peut écouter nos conversations. Ne fais pas attention. Il n'est pas hostile, enfin en grande partie.

Lub : Mais le seigneur Laïdane est sûrement l'être le plus étrange de l'univers, pour plusieurs raison. Il est un hybride comme ça mère. Il est un hybride entre éliatrop et osamodas. De plus tu as du le remarquer à son physique, il n'est n'y un garçon n'y une fille. Il est les deux à la fois, ce qu'on appelle un hermaphrodite. Et enfin son corps est des plus particuler.

Au même moment Laïdane passa à côté de Dante. Il les regarda d'un air neutre les balayant simplement du regard. Mais l'huppermage remarqua quelque chose d'étrange. Le prince ne semblait pas respirer, ne produisant aucun bruit du à la respiration. De plus Crône et Hadram remarquèrent qu'il n'emanait aucune odeur seulement celle de ses habits.

Sièra : Et enfin Orwa, il y a trois dernière chose que tu dois savoir.

Orwa : Quoi donc ?

Lub : Premièrement ne parle jamais en mal de Zéphyr devant lui ou même a proximité de lui.

Orwa : Mais enfin je ne ferais jamais une chose pareil !

Siéra : Nous préférons te prévenir. Il est d'un naturel très calme mais ne supporte pas qu'on dise du mal de sa majesté. De plus ne touche jamais à la tresse qui pend à droite de sa tête. Elle a été faite par sa mère et il y tient plus que tout. Si par malheur tu la defaisait il se mettrait dans "une profonde colère"

Lub : Et enfin son vrai nom n'est pas Laïdane.

Orwa : Comment ça ?

Sièra : Nous ne savons pas qu'elle est son vrai nom. Laïdane est simplement celui qu'il a choisi pour que les gens puissent le nommer. Son vrai nom n'est prenonçable par personne d'autre que sa mère.

Lub : Méfie toi Lub, le prince Laïdane est l'être le plus incompréhensible du krosmoz, n'ayant aucun égal.

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