Poignard et Pièce de Sang : Partie 1
"Bien que l'existence de toute les guildes de l'âge sombre est été prouver, celle des voleurs n'en reste pas moins l'une des plus énigmatiques et mystérieuse. Souvent reléguer au pouilleux qui dérobe les passants, les voleurs ont leurs propres codes, enseignement et technique de combat. Peut de Jilahad (ou siège souterrain des voleurs) on été mis à jour par nos chercheurs. Cependant celle de la capitale de Avezan, Silverview, à été entièrement découverte par nos nouvelles technologies de balayage. Les vestiges de cette époque révolu parfaitement conservé est un véritable voyage dans le temps. D'après des analyses ADN, le Voyageur aurait fait un séjour à l'intérieur de ce Jilahad, mais malheureusement nous ne pouvons situer chronologiquement sa venu. D'autres recherche sont encore à faire sur les restes des vestiges de la capitale[...]"
Extrait de Reste d'une civilisation : Calypso écrit par William Northon Martin, Avril 2156.
Cela faisait plus de deux semaines que Jalen n'avait pas combattu. Depuis qu'il s'était fait ouvert la tête par un Troll des cavernes sur la Grand Route, il avait reprit du poil de la bête. Le soin n'était pas un problème, mais reprendre des forces après une épreuves comme celle là était dur. Le chemin qu'il avait fait depuis sa dernière mission n'est pas très grand : le Griffon de Doreorr n'était plus qu'un mauvais souvenir dans la tête de Jalen, et une cicatrice de plus. Il avait maintenant quitté la bordure de Trarien pour se rendre en Avezan. La chemin était long, tortueuse et bien évidemment semé d'embûches. C'était le quotidien de tous Marches-Ombres.
Pour que la route sois moins éprouvante, une compagnie de nain du nom de "StoneOcean" accepta de voyager avec lui sur une charrette. Bien que le teint pâle et fantomatique, et les yeux noirs puissent faire peur aux gens normaux, les nains ne se fiait jamais à l'apparence et ils étaient très ouvert d'esprit.
C'était une compagnie de 10 nains, chacun ayant son propre rôle. Leur chef se nommait Davor et s'était une compagnie de chasseur de démons mineurs, des Dyyarazs. Davor en était le chef et c'était un guerrier nain depuis maintenant 200 ans. La compagnie était composée de Davor, Stather qui était armurier et ancien soldat de l'armée naine, Broggan qui, quant à lui était chaman. Ensuite il y avait Kaggan, il était le frère jumeau de Broggan et il était chasseur de prime. Tanni qui était Arbalétrière et soldat elle aussi, Kagir, lui, était un ancien gladiateur qui avait tuer ses propriétaires. Triress était cartographe et contrebandière, quant à Tikhar, il était voleur et tueur à gages. Miwenn, la dernière était magicienne des pierres. Jalen les avaient rencontrés sur une halte au milieu des Monts bleutés, dans une auberge qui ressemblait plus à une flamme vacillante dans l'obscurité qu'à un endroit de repos, peux de gens étaient présent à cause du froid gelant les membres.
Ils était partis du bas de la montagne depuis maintenant deux semaines. Le froid pétrifiait les membres et le vent lacérait le visage avec violence. Sa cape était tellement constellé de neige qu'elle en était presque entièrement blanche. Mais cela ne suffisait pas à décourager la troupe. Ils installèrent un campement à l'endroit du Pic de Verre, le point culminant des Monts Bleutés et surplombant la région Nord du Royaume d'Avezan. Pensant que le Pic de Verre serait trop élevé, et que personne ne viendrait en raison du froid intense, ils prirent le risque de faire un feu...
Il manquait plus que ça...
C'est ce que ce dit Jalen Cartwell en se réveillant au Pic de Verre, au sommet des Monts Bleutés, cette nuit là. Il faisait froid, un froid horrible qui s'alliait au vent qui secouait le tente de par en par. Avec le froid persistant, le vent glacial et la position géographique du Pic de Verre, il était impossible de voir la différence entre la journée et la nuit. De toute manière il n'avait plus sommeil et impossible de dormir avec le vacarme du vent. Seulement, en sortant, tout n'était pas exactement à la place qu'il devait être. Là où, la veille, les tentes étaient disposées en cercles autour du feu, ils ne restaient maintenant que des toiles déchirés et des traces de sang au sol.
L'idée que la Faucheuse avait tendu les bras à ses compagnons avait à peine atteint son esprit qu'il entendit à travers le hurlement du vent, un bruit. Du métal qui s'entrechoquait. Un combat. Jalen ne perdit pas une seconde, il sortit une de ses épées et ils fonça en amont du campement, à l'endroit d'où provenait le bruit. Courir alors que la neige vous arrive aux genoux n'est pas une tâche facile. Surtout que le vent glacé lui arrivait de face, lui empêchant de monter rapidement. Mais les crissements du métal s'entrechoquant et les voix de ses compagnons, elles, lui arrivaient bel et bien. Et il était hors de question de les laisser mourir dans le froid de la montagne, tués par de vulgaire pillards. Même le vent glaçant les membres et les flocons de neiges tombant comme de la pluie sur le Grand Lac ne suffisait pas à le faire reculer, pas après pas, il se rapprochait.
Et enfin, il atteint le sommet du Pic de Verre et des monts bleutés tout entiers. Perché sur un rocher haut d'environ 33 pieds, et de cette hauteur, il vit le combat qu'il entendait depuis toute à l'heure. Davor, Kagir, Stather et Tanni tenaient encore debout. Tous les quatres combattaient contre deux Siffleurs vêtu de longues tenues blanches indiscernables avec la tempête de neige qui faisait rage sur le Pic de Verre. Les Siffleurs étaient des combattants hors paires qui étaient sous les ordres du roi Mirage Santagar, roi du royaume du commerce, ils étaient souvent habillés dans des tenues passe-partout rapiécés équipées de capuches. Mais cette fois-ci, ils étaient équipés d'armures d'Estum, elles émettaient des reflets verdâtres qui annonçaient qu'elles avaient été forgés avec de la sève d'arbre Iwaka, les rendant des plus résistantes. Les tuer ne sera pas une tâche facile.
Il sauta sur les uns des deux Siffleurs et lui planta son épée dans sa nuque. Un bruit de cracha et un spasme secoua le Siffleur qui tomba à genoux. Jalen retira sa lame de la nuque du Siffleur et nettoya le sang qui était sur la lame. Dans un gargouillement de sang et de salive, le Siffleur dit une phrase avant de s'écrouler par terre :
-Vi lever, vi tjener og vi dør for Santagars, lenge leve King Mirage!
L'autre Siffleur sortit une dague en plus de son épée courte et se mis en position de combat. Et d'un bond, il se rua sur Jalen. Le Marche-Ombre fit alors un bond en arrière et sortit sa deuxième épée. Il courra vers le Siffleur, pris appuie sur un rocher qui dépassait du sol, et sauta en une vrille sur le Siffleur, devenant une véritable toupie meurtrière. Et il retomba au sol. Le Siffleur n'esquissa pas un seul mouvement puis d'un coup , il tourna sur lui même et frappa d'une force inoui Jalen qui repoussa l'attaque avec ses deux épées. La précédente attaque de Jalen avait été tellement rapide que ses effets se faisait de plus en plus attendre. Le Siffleur donna un coup de pied dans les côtes de Jalen qui poussa un cri de douleur et tomba à genoux devant le Siffleur, les bottes de l'ennemi était clouté. Le Siffleur profita de ce simple instant pour lever son épée au dessus de sa tête, prêt à trancher la tête du Marche-Ombre. Mais... Un filet de sang s'échappa des lèvres du Siffleur qui trembla d'un coup, son épée tomba de ses mains ainsi que ses bras qui tombèrent comme des poupées de chiffon. Lui aussi tomba à genoux, face à face avec Jalen. Et un instant, le temps s'arrêta. Jalen fixait le Siffleur dans les yeux et le Siffleur fixait Jalen.
-Quel est ton nom, Siffleur ? demanda t-il, le souffle coupé, la main compressant ses côtes blessés.
-Dantis Sawler, répondit-il, laconiquement.
-Pourquoi me dit tu ton prénom ? Les Siffleurs prêtent serment de...
-Ne jamais dévoiler leur véritable identité, termina Dantis d'une voix rauque et mauvaise. Je vais mourir, mon serment importe peu.
-Tu vas mourir en n'ayant pu réussir ta mission, Sawler. Quels sont tes derniers mots, que je les gravent sur ta pierre tombale, demanda Jalen en prenant le manche de son épée enfoui sous la neige.
Toute la mâchoire inférieur du Siffleur était maintenant teinté de sang. Ainsi que ses yeux. Ils était injectés de sang et d'une couleur noir semblable à de l'encre. C'était l'une des vertues des lames sombres des Marche-Ombres, ils infectaient d'une forme éclair du Sombre Sang quiconque ils blessaient. Les veines de Dantis commençaient à se gonfler de sang d'un noir d'encre. Et il dit alors :
-Bien que je n'ai pu te tuer et accomplir mes ordres, puisse tu crever la tête immoler dans de la merde de rat, cracha t-il.
Il y eu comme un sifflement puis un courant d'air métallique. Jalen ferma les yeux calmement, comme s'il méditait. Et une gerbe de sang noir aspergea son visage. Quand il les rouvrit, la tête de Dantis n'était plus à sa place. Son corps tomba au sol laissant apparaitre derrière Kagir armé d'une hache. C'était lui qui avait tranché la tête du Siffleur. Mais en faisant ça, il épuisa ses dernières forces, il tomba à son tour au sol. Il avait perdu trop de sang. Jalen se leva et s'approcha de la tête du Siffleur, s'il ne se débarrassait pas rapidement de celle-ci, elle ce réanimerait et deviendrait un monstre de fumée. Il prit la dague de Dantis et la planta dans la tempe du Siffleur, et laissa la dague au sol. Puis il s'approcha de Kagis.
-Où est t'a blessure ? demanda Jalen qui sortit une fiole de soin.
Kagis pris le col de son plastron et tira dessus, dévoilant un longue et large coupure sur son cou. Jalen regarda la blessure puis sa fiole, et il comprit vite que celle-ci ne suffirait pas à le soigner.
-Les autres sont vivants ? demanda Jalen à Kagir.
Kagir secoua la tête en signe de négation.
-Davor, Stather et Tanni ont perdu la vie alors que tu combattait, ils avaient perdu trop de sang. Broggan et Kaggan ce sont fait broyer le crâne sur un des rochers en aval, Miwenn ma flamme c'est fait réduire au sommeil éternel alors qu'elle dormait. Triress n'a jamais aussi bien combattu mais malheureusement elle c'est fait percer la gorge avec la dague de Dantis. Tikhar c'est fait jeter de la falaise au début de l'attaque. Si tu ne t'es aperçu de l'attaque que bien après son commencement c'est que celle-ci t'était destiné. Nous avons deviés autant que possible les Siffleurs pour te préserver de la mort..., termina Kagir en toussant.
-Tu as vaillamment combattu mon ami, rassura Jalen.
-Je suis heureux que mon heure vienne en de si belle compagnie, souffla fébrilement Kagir.
-Kagir, tu mérite un respect que peu d'homme ont pu profiter en de bonne grâce, ton heure n'est pas venu gladiateur, apaisa Jalen d'une voix douce.
-Comment compte tu me soigner alors que tu ne possède aucune compétence médical ? demanda t-il avec une voix de plus en plus faible.
-Un jour, une amie ma confier ceci en me faisant la promesse de venir quoi qu'il arrive s'il advenait que je l'ouvre, expliqua Jalen en sortant une fiole de Tuiioyol de sa sacoche de voyage.
-Je connais le pouvoir de cette fiole, quiconque libère la flamme emprisonné appelle un esprit aidant. J'espère pour toi que cette personne à les compétences requises...
-Miyirianna m'a soigné d'une blessure causé par un guerrier maudit de sombre sang, assura Jalen.
Ainsi, il desserra la cordelette qui tenait le bouchon de la fiole qu'il jeta à terre, d'une main il tira sur le bouchon et dans un courant d'air glacial, la flammèche s'échappa des mains de Jalen et s'éloigna de lui par-delà les flocons de neiges et le vent. Dans sa brève envolé, la flamme dispersa quelques étincelles qui se mêlèrent vite à la tempête.
Du temps, du temps il en passa avant que quelque chose ne se produise. On aurait presque pu croire qu'il s'était arrêté dans une fresque blanche teinté de rouge. Une brèche dans le ciel c'était ouverte, faisant passer une douce chaleur inespéré depuis des jours. Kagir leva la tête pour voir le filet de lumière, et une lumière d'espoir s'alluma dans ses yeux. La scène était pitoyable et pourtant une magie inexplicable s'en dégageait. Au bord d'une falaise, un nain était allongé sur un rocher pendant qu'il regardait le ciel, un Marche-Ombres souriait devant le soleil levant, et la neige était taché de sang, constellé de corps sans vie, le spectacle était autant mélancolique que beau.
Une éternité semblait s'être passé, pourtant quelques minutes seulement c'était écoulé et ainsi... Apparut de nulle part une femme aux longs cheveux roux. Elle portait une tenue marron clair reconnaissable entre mille, les dorures sur les coutures, la besace et la cape brune qui la protégeait de la neige. C'était l'uniforme de l'académie de l'Eclipse. Mais cette jeune femme semblait inconnu. Elle s'approchait pourtant de Jalen d'une manière familière.
-J'ai appelé Miyirianna me semble t'il, souffla Jalen à la jeune femme.
-C'est moi sombre crétin, je ne t'ai pas oublié au moins, estime toi heureux, répondit-elle d'un ton sarcastique.
-Ai un peu de respect pour tes aînés, je ne t'appel pas souvent quand même, expliqua t-il. Je ne t'avais juste pas reconnu, les humains change tellement rapidement.
-Oui capitaine, fit elle levant les yeux au ciel. Tu devrais m'appeler plus souvent d'ailleurs ... C'était il y a plus trois ans qu'on ne c'est pas vu.
-Si ça ne vous dérange pas, j'aimerais bien que vous veniez me soigner, grogna Kagir qui toussa comme un diable des gerbes de sang.
-C'est pour lui que tu m'appel ? J'aurais espérer que ce serait toi, mes soins te seront toujours un privilège, Marche-Ombre.
-Ce n'est pas demain la veille que tu me verras dans ton lit, disait Jalen en souriant. Le problème n'en reste pas moins important, est-ce que tu peux le sauver oui ou non ?
-C'est rare que tu veuille sauver des compagnons de route, il doit être cher à tes yeux pour vouloir le sauver, dit-elle en se penchant sur la plaie de Kagir.
-Ce n'est pas que la mort me fasse peur, jeune demoiselle. Si mon heure est venu, alors je l'accepte, soupira Kagir.
-Ton heure n'est pas venu, guerrier, dit elle en souriant. Je peux stabiliser son état mais il lui faut des soins plus important, je n'ai pas le matériel nécessaire, il faut le transférer jusqu'à la capitale.
-Alors stabilise-le, ma route me mène de toute manière à la capitale.
-Très bien.
° ° °
Quelques heures ont passés depuis la fin de l'affrontement, et la nuit était tombé. Jalen et Miyirianna avait planter les tentes en aval du Pic de verre. Le vent avait repris, plus violent encore, et plus froid. La force du vent ballotait les tentes et les flocons étaient aussi coupant que des pointes de flèches. Jalen était allongé dans sa tente regardait le seul éclat de lumière perceptible dans le noir de la nuit : la tente de Kagir qui se faisait soigner par Miyirianna. Elle était peut-être l'une des seuls personnes qu'il aimait vraiment. Tant de monde voulait sa mort, l'extermination de son espèce et de sa faction, mais elle, une simple humaine aux grandes ambitions, choisissait toujours de l'aider, même s'il elle devait mettre sa vie en danger.
Pour lui cela ne faisait que peut-être un an qu'il la connaissait, mais cela faisait déjà cinquante ans qu'ils c'était rencontrer. Physiquement elle n'avait pas beaucoup bouger, cela était dû aux effets bénéfique de la magie qu'elle pratiquait, âgée de plus de soixante-dix ans, elle avait l'air de n'avoir que vingt-cinq. Mais mentalement... Mentalement son évolution à été des plus incroyable. Elle était naïve, timide et encore enfant dans son esprit quand elle intégra l'Académie. La vie est dur là-bas, et elle en avait fait les frais. Ses pouvoirs ne s'éveillaient pas, tandis que ses camarades progressaient à grande vitesse. Alors comme mouton noir du groupe, elle se fit molester violemment, et dans l'ombre elle devait garder ce secret, ou ils recommenceraient. Pendant quatre ans elle garda le silence, et ainsi un jour, sous l'effet d'une coup de tonnerre, ses pouvoirs s'éveillèrent. Et d'une immense puissance ils étaient pourvus. Alors du silence elle sortit, la timidité partit, l'innocence s'enfuit et d'un éclat de voix résonnant, elle fit connaitre sa souffrance.
De cette histoire, des années elle refusa d'en parler à qui que ce soit. Mais d'un soir d'automne autour d'un feu, elle se livra alors sur ces années de souffrance au Marche-Ombre. A la fin de son récit, d'une voix il dit alors : "La souffrance existe sous bien des formes, tu as réussi à la combattre avec un courage peut commun, mais ainsi saches-tu... Tu n'es plus seul".
Cette histoire, il avait promis de ne jamais en parler à personne. Et cette promesse, sans que Miyirianna le sache, il avait fait un lien de sang avec... Si d'une quelconque façon il la brisait, alors sa vie s'en irait pour la seconde fois.
Il n'arrivait pas à dormir, son esprit ne cessait de vagabonder et pas moyen de le maintenir tranquille. Dans sa tête il forma alors une pensé qu'il se promis de garder pour lui à tous jamais : Nei du er ikke lenger alene nå Miyirianna, jeg elsker deg også.
Cette pensé il l'enferma dans le coffre de son esprit le plus solide, et d'un sourire apaisé, il s'enfonça dans les profondeurs du sommeil.
° ° °
Le vent c'était arrêter, la neige avait couvert le toit de la tente se qui rendait l'intérieur entièrement noir. Jalen sentait que le sommeil le quittait, et un souffle aussi, sur sa joue. Il ouvrit les yeux et regarda à sa droite, c'était Miyirianna qui dormait sur son épaule. Elle devait s'être endormis sur lui pour se tenir chaud pendant la nuit vu le froid glacial qu'il faisait. Jalen se leva et enfila sa cape et installa ses épées à ses côtés. Il s'appréta à ouvrir la toile de la tente pour sortir quand il sortit Miyirianna qui bougeait derrière lui, il se retourna vers elle qui venait à peine de se réveiller :
-Tu pars déjà ? Il est pas encore le matin pourtant ? fit Miyirianna d'un ton tendencieux.
Jalen sortit un poignard et entailla la toile de la tente d'où sortit la lumière vive du jour.
-Et alors ? On a encore tout le temps, qu'est-ce qui presse ? Viens rallonge-toi, murmura Miyirianna d'un ton tout doux.
-Désolé Miyirianna, mais non. Kagir ne peut pas attendre, expliqua t-il.
Jalen sortit de la tente et se dirigea vers celle de Kagir.
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