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Bonus n°1 || Retrouvons-nous||

// Erick //

Je n'arrive pas à croire que ça fait déjà six mois que nous sommes séparés. Mon cœur se meurtrit chaque fois que je pense à Aly. J'ai été tellement idiot de la laisser filer. Elle ne fait plus partie du staff du groupe, à mon grand désespoir.

Après notre séparation, elle a préféré retourner à sa vie à Buenos Aires. Notre histoire n'aura duré que six petits mois.

Bordel, elle me manque tellement !

Nous fêtons l'anniversaire de Chris ce soir. Luna a préparé une fête surprise après leur concert. Je sais que je vais la revoir. Aly sera là et je ne sais pas quelle sera ma réaction quand je l'aurai en face de moi. Ce n'est pas l'envie qui me manque d'aller lui parler et de lui dire tout ce que je ressens. Je ne sais même pas si elle m'a pardonné. Finalement, je me demande encore pourquoi nous nous sommes séparés !

Tu le sais, idiot ! Tu étais trop possessif avec elle.

La peur de la perdre était tellement immense, que j'avais peur dès qu'elle parlait un peu trop à un membre du staff. Je suis devenu fou à l'idée qu'elle puisse en avoir marre du petit chanteur que je suis. Ma peur a pris le dessus sur mon amour et je le regrette amèrement.

Me voilà devant la porte d'entrée de chez Luna. Mon anxiété s'accroit de secondes en secondes. Je sais que c'est Aly qui finit l'installation de la soirée. Les garçons sont avec moi, pour autant, je ne prononce pas un seul mot. Une main s'abat sur mon épaule, me faisant sursauter par la même occasion.

— Ça va, Erick ? me demande Joël.

J'acquiesce de la tête et regarde cette porte fermée. Zabdiel frappe et nous attendons patiemment. Quand la porte s'ouvre, Aly se présente, le sourire aux lèvres. Elle m'a encore plus manqué que ce que je ne l'aurais cru. Elle saute dans les bras de Zabdiel, puis fait de même avec Richard et Joël. Quand ils sont tous entrés dans l'appartement, je m'avance à pas de loup et plante mes yeux dans les siens.

— Erick... dit-elle, les yeux grands ouverts.

— Aly, réponds-je de la même manière.

— Je suis contente de te voir, entre, dit-elle en se déplaçant pour me laisser entrer.

Je ne réponds pas et me dirige instantanément vers le bar. Il me faut un verre. Joël s'approche de moi et me dit doucement :

— Tu es sûr que tu vas bien ? Ça va aller avec Aly ? Vous vous êtes parlés depuis ? me questionne-t-il.

— Non, pas depuis un moment, réponds-je lascivement.

— Allez, mon pote, tout va bien se passer.

Mon ami me tapote l'épaule et retourne avec les autres. Chris ne devrait plus tarder à arriver. Mon regard se porte sur cette magnifique femme à qui appartient mon cœur. J'ai beau dire ou faire, je n'aime qu'elle. Il faut à tout prix que je rectifie la situation. En essayant de m'approcher d'elle, je la vois quitter la pièce sans me voir. En recommençant cinq minutes plus tard, elle quitte à nouveau la pièce, ses yeux ne me regardent pas, ou alors elle évite de trop le faire. Je n'arrive pas à l'approcher.

La soirée suit son court, Chris est arrivé, la surprise lui a fait tellement plaisir que ses yeux brillaient d'émotions. Depuis que Luna est dans sa vie, mon meilleur ami a retrouvé la joie de vivre, et c'est un bonheur de partager mon quotidien avec lui.

Pendant toute la soirée, je n'ai pas arrêté de la regarder. Voir chacun de ses gestes, l'observer parler avec les garçons, mais dès que je suis dans le coin, elle s'évapore.

Chris et moi sommes assis sur le canapé, regardant les allées et venues de nos amis dans l'appartement. Luna et Aly discutent près de la cuisine.

— Arrête de la regarder comme ça ! On dirait que tu vas la bouffer ! rigole Chris, à mes côtés.

— Pourquoi tu me dis ça ? demandé-je.

— Tu la regardes comme si tu avais peur qu'elle disparaisse. Si tu allais lui parler au lieu de rester dans ton coin à la regarder comme le ferait un psychopathe.

— Je ne sais pas quoi attendre de nous deux. L'autre soir, nous avons discuté pendant des heures, nous avons mis les choses à plat, mais depuis que je suis arrivé, elle m'évite, me regarde à peine.

— Et si, tout simplement, elle attendait que tu fasses le premier pas vers elle. Après tout, c'est toi qui as rompu et pour une raison stupide.

— Ça, je sais, pas la peine d'enfoncer le clou ! réponds-je dans ma barbe. Bon Dieu qu'est-ce qu'elle me manque !

— Bah arrête de faire le con et file la voir ! Dis-lui qu'elle te manque, que tu l'aimes et crois-moi, elle te tombera dans les bras. J'ai vu les regards qu'elle te lance. Elle n'attend que ça.

— Merci, mon pote ! dis-je en me levant.

— À ton service ! me répond-il. *

Je me dirige directement vers elle. De dos, elle ne me voit pas arriver. Je pose une main sur son épaule, la prenant par surprise. Elle se tourne vers moi et un sourire apparaît sur ses lèvres.

— Erick ? demande-t-elle en fronçant les sourcils.

— Je peux te parler ? demandé-je timidement.

— Bien sûr, viens, on va aller chez moi.

Aly se retourne vers Luna, dépose un baiser sur sa joue et prend la direction de la porte d'entrée. Je la suis dans le couloir. Nous passons le seuil d'entrée. Son appartement n'a pas changé d'un pouce. Toujours cette odeur qui la définit tant. Qu'est-ce que ça a pu me manquer !

— Tu voulais me dire quoi ? demande-t-elle en se tournant vers moi.

— Je... dis-je en cherchant mes mots.

— Je t'ai connu plus loquace que ça, dit-elle en souriant.

— Écoute, Aly. J'ai tellement de choses à te dire, mais je ne sais pas par quoi commencer, commencé-je en faisant les cents pas dans le salon.

— On s'est tout dit, Erick, il n'y a rien à ajouter, dit-elle en baissant la voix.

— Non ! Justement, il y a encore à dire. Je suis un con !

— Pardon ? dit-elle en braquant son regard sur moi.

Mon Dieu ! Je n'avais pas réalisé à quel point elle paraissait si fatiguée !

— Je suis un lamentable con ! Je n'aurais jamais dû te laisser partir.

Aly ferme les yeux, baisse la tête et reprend son souffle avant de me regarder à nouveau.

— Nous en avons déjà discuté. Tu te rappelles au téléphone ?

— Je sais, je sais ce que je t'ai dit, mais ce que je n'ai pas eu le courage de te dire ce soir-là, c'est que je t'aime ! Bordel, Aly, tu me manques.

— Erick... S'il te plaît... dit-elle, les yeux larmoyants.

Je m'approche d'elle, pose ma paume sur sa joue. Au même moment, ses yeux se ferment et quelques larmes coulent le long de sa joue.

— Ne pleure pas, Aly. Pardonne-moi.

— C'est trop facile. J'ai eu mal, tu m'as brisé le cœur !

— Je suis désolé. Tout ce que je t'ai dit au téléphone était vrai. Je n'ai jamais voulu te faire de mal. Si j'ai rompu, c'est parce que je ne supportais plus de me voir devenir jaloux et possessif. Je ne suis pas comme ça.

— Je t'ai promis qu'il ne s'était rien passé avec ce mec du staff. Tu ne m'as pas cru ! dit-elle en s'éloignant de moi.

Ne me fuis pas, Aly...

— Je t'ai donné mon cœur, je pensais que tu en prendrais soin.

— J'avais tellement peur de te perdre. Pourquoi tu serais resté avec moi ? Je ne suis jamais au même endroit. Je passe ma vie dans les avions, sur les scènes de toutes les villes du pays... Je t'aurais perdu à un moment ou à un autre.

— Je t'ai dit des millions de fois que ta célébrité m'était égale ! Ce n'est pas pour cette raison que j'étais avec toi ! Tu n'as aucune confiance en toi, Erick ! Comment voulais-tu qu'on avance ?

— Tu as vu les difficultés de Luna et Chris. Tu as vu la vie que mène Luna. Je ne supporterai pas qu'il t'arrive la même chose. Je vis déjà mal le fait que tu ne sois pas avec moi constamment.

— Comment ça ?

— Je te veux, avec moi, tous les jours. J'ai besoin de voir ton sourire, de t'entendre rire et surtout de me réveiller à tes côtés chaque jour. Tu me manques, Aly...

— Ça veut dire quoi tout ça ? me demande-t-elle.

— Je te veux, toi !

— Tu crois que c'est facile ? Tu crois que j'ai oublié la manière dont tu m'as éjecté de ta vie ? Tu m'as brisé le cœur en mille morceaux. Je suis partie comme un fantôme de cette tournée. Je me suis retrouvée sans emploi, à regarder ma meilleure amie parcourir le monde. Être avec vous du matin au soir, pendant des mois. Je suis restée ici, à me lamenter sur mon sort, parce que l'homme que j'aime m'a lâchement abandonné. Tu n'avais aucune raison de me quitter, si ce n'est ta jalousie maladive.

— Tu es exceptionnelle ! Comment tu ne veux pas que je puisse avoir peur que quelqu'un t'arrache à moi ? Un mec qui a un bon boulot, ici, et qui te mériterait sans fois plus que moi.

— STOP ! Arrête, je ne veux plus rien entendre, dit-elle en s'éloignant dans sa chambre.

Je la suis sans réfléchir. Je ne veux plus perdre une minute, elle doit m'écouter.

— Aly ! Je n'ai pas fini.

— Oh, si, tu as fini. Je ne veux rien entendre de ce genre, dit-elle avec hargne. Je t'aime, bordel ! Tu le comprends ça ? J'ai attendu pendant des jours que tu m'appelles. J'aurais sauté dans le premier avion pour te rejoindre. Il n'y a que toi ! crie-t-elle en tapant sur ma poitrine. Il n'y a toujours eu que toi !

— Chut... dis-je en la prenant dans mes bras. Pardonne-moi, Aly. Je te promets d'arrêter mes bêtises. Reviens-moi.

— Je ne veux plus souffrir. Ça fait trop mal de te voir partir.

— Je te promets de ne jamais partir sans toi.

Aly relève la tête vers moi et pose ses lèvres, pleine de larmes, sur les miennes. Son baiser a le goût salé de ses larmes. Je pose mes mains sur ses joues et approfondis notre baiser.


|| Alyana ||

— C'est une mauvaise idée, Erick... dis-je en le regardant dans les yeux.

Chaque fois que mon regard croise le sien, je n'ai envie que d'une seule chose, lui sauter dessus et tout oublier. Malheureusement, ses yeux me rappellent aussi notre rupture, son regard haineux quand il m'a dit que tout était fini. Ses raisons stupides qui l'ont poussé à me quitter sans aucune preuve. Erick était devenu tellement jaloux qu'il était impossible de lui parler correctement.

Erick fait remonter ma tête dans sa direction, moi, toujours dans ses bras, je profite de ce moment qui m'a tant manqué. J'ai pleuré pendant des semaines suite à notre rupture. J'ai quitté le groupe, sans dire au revoir à personne. Seule Luna m'a accompagné à l'aéroport. Heureusement que j'avais eu l'idée de garder mon appartement.

Seule, dans ma chambre, j'ai pensé et repensé à toute cette histoire. Mangeant des tonnes de glace, ne dormant que quelques heures par nuit. Essuyant mes larmes devant des films à l'eau de rose. Tomber sur des clips du groupe me faisait mal au cœur. Notamment, voir celui de Bonita, me coupait le souffle. Je m'imaginais encore dans les bras d'Erick, savourant ce qui me manquait depuis longtemps. Il m'a manqué chaque jour de ces six derniers mois et le soir où il m'a appelé, j'ai cru devenir folle. Je ne savais même pas quoi lui répondre...

Il m'a parlé encore et encore de ce qui l'avait poussé à rompre. Aucune excuse n'a été valable. Je ne comprends pas sa décision.

— Aly ? m'appelle Erick, une main sur ma joue.

Je m'éloigne de lui et tourne le dos. Essuyant mes larmes, reprenant un peu le sens des réalités dans mon esprit. Je lui fais face à nouveau, il a mis les mains dans les poches de son jean, ses yeux bleus me transpercent. Je me force à ne pas le regarder dans les yeux.

— Je ne veux plus de ça...

— De moi ? Il est trop tard alors ? me demande-t-il.

— Pourquoi as-tu tardé pour revenir ?

— Parce que j'étais persuadé que tu ne voudrais plus de moi. J'ai été horrible avec toi. Si tu savais comme je regrette...

— Tu m'avais promis de ne pas me faire de mal... ajouté-je en baissant la tête.

Erick arrive rapidement devant moi, il se met à genou, posant les mains sur mes hanches et son front, collé à mon ventre.

— Je ne suis qu'un idiot, de la pire espère ! Je n'ai pas vu la chance magnifique que j'avais de t'avoir à mes côtés. Tu es une femme exceptionnelle. Pardonne-moi, je me rattraperai. J'arrêterai la musique si tu le veux. Je trouverai un boulot, n'importe lequel. Tout ce que je veux, c'est toi, dit-il rapidement.

Je m'assois sur mon lit, décalant ses mains et sa tête, par la même occasion. Je pose mes mains en coupe autour de son visage et plonge mes yeux dans les siens. Ses yeux sont brillants, une larme coule même le long de sa joue.

— Ne pleure pas... Je pense que nous n'avons pas mesuré la difficulté d'une relation à distance. J'ai toujours était une femme indépendante. Il n'y a que depuis que Luna est dans ma vie, que je ressens le besoin d'avoir quelqu'un dans ma vie. Il n'y a toujours eu que nous deux, enfin depuis longtemps. J'étais amoureuse de toi bien avant de te connaître.

— Tu étais amoureuse du chanteur, pas de moi...

— Peut-être, mais c'est toi que j'ai appris à connaître, et aujourd'hui, un an plus tard, c'est de toi que je suis amoureuse. De toi, Erick, pas du membre des CNCO.

— Ça veut dire que tu me pardonnes.

— Si tu me promets de me faire confiance.

— Toujours. Je t'aime, Aly, me dit-il en déposant ses lèvres sur les miennes.

Passant mes mains dans ses cheveux, je tire légèrement dessus pour l'approcher encore plus de moi. Erick passe au-dessus de moi, se retrouvant entre mes jambes. Il m'a manqué, lui, ses yeux, son corps, même ses cheveux, qu'il veut coiffer, mais qui restent indomptables. J'aime aventurer ma main dans sa chevelure brune, et encore plus passer mes mains sur ses joues rugueuses. Il a décidé de garder une petite barbe de quelques jours et j'en suis fan. Je pourrai passer ma vie à le regarder, juste comme ça...

Erick embrasse mon cou, descendant sur l'encolure de ma robe. Sa main passe l'ourlet de ma robe pour la faire remonter, et se glisser sur mon ventre.

— Ta peau m'avait manqué... me dit-il dans l'oreille.

Pour simple réponse, mon corps se cambre à son contact. Je me laisse aller à son toucher, savourant chaque seconde de ce moment parfait. La robe sur la taille, mes jambes viennent s'ancrer à ses hanches, le poussant à venir à ma rencontre. Je peux sentir poindre son excitation. Tant bien que mal, son pull est enlevé, me laissant voir sa peau bronzée par des mois passés au soleil. Je caresse son torse, embrasse son cou. J'arrive à le retourner, dos sur le matelas, prenant appui sur ses cuisses, ma robe se défait comme par miracle. Elle finit au sol, me laissant en sous-vêtements, devant l'homme que j'aime.

— Tu es parfaite, dit-il en passant son doigt le long de ma taille. Viens là...

Sa main passe dans mon dos, me collant à lui, mon intimité n'appelle que lui. Nos corps bougent, se chevauchent, s'entremêlent. Nos langues ne savent plus où aller tellement le corps de l'autre nous a manqué. Je profite pour caresser chaque parcelle de sa peau, descendant son jean par la même occasion. Ma main se faufile sous son boxer, le faisant râler de plaisir. N'y tenant plus, j'embrasse son membre et approfondit mon geste jusqu'à ce qu'Erick me relève par les bras pour me jeter sur le matelas. Il enlève mes sous-vêtements et se place entre mes jambes.

— Ça fait six mois, Aly... Tu veux ma peau ou quoi ? dit-il en souriant.

— Juste toi... réponds-je simplement.

Sans plus attendre, Erick s'immisce en moi, me remplissant pleinement. Son corps bouge au rythme du mien. Son cœur qui bat sur la même fréquence que le mien. Nos corps et nos âmes se retrouvent. C'est à ce moment-là que je me rends compte à quel point nous avons été idiots de laisse passer autant de temps. La célébrité n'y est pour rien, je suis juste amoureuse d'un homme...

***

Cela fait maintenant deux jours que nous sommes chez moi. Personne n'a cherché à nous joindre, et pour ce qu'on en sait, nous n'en avons rien à faire. Je profite de ces petits moments. Prendre une douche avec Erick, faire à manger et ne plus sortir de chez moi jusqu'à ce qu'il doive repartir travailler.

Je termine de faire couler nos cafés, quand ses mains passent sur mon ventre. Il est encore torse nu et se colle à mon dos, uniquement vêtu d'un petit débardeur et d'un short. La chaleur de son corps me donne encore plus chaud.

« Bonita hoy te veo a las tres

No te imaginas lo que siento

Voy a tenerte más cerca

Quédate, baby, quiero verte

¿Por qué no te quedas hasta mañana?

Si cuando te vas queda encendida la llama

Quédate, baby, quiero verte »

Ils murmurent ces quelques phrases à l'oreille, me faisant dresser les poils sur les bras. Il sait à quel point j'aime cette chanson. Il me suffit d'entendre sa voix me chanter n'importe quoi, murmurant à peine et je pourrai prendre mon pied, ici, même. Erick caresse mon ventre du bout des doigts. Je me retourne et glisse mes bras autour de son cou.

— Tu sais que j'adore cette chanson, dis-je en souriant.

— Je le sais, c'est pour ça que je la chante, répond-il en rigolant. Tu auras ma perte, Princesa.

Je dépose un baiser sur ses lèvres et ris à son oreille. Il me suit dans mon fou rire et nous finissons assis par terre au milieu de la cuisine. Dans les bras l'un de l'autre et mort de rire. C'est ce qui m'avait le plus manqué, rire avec lui, le voir sourire et la lumière dans ses yeux quand il me regarde. Je suis folle de cet homme. 

Re coucou mes loulous 💖😍

On dit merci à KakoLyne pour ce bonus Alyana/Erick, dans lequel nous en apprenons un peu plus sur leur rupture.

Alors ça vous a plu ? 😏😍💖

Dans le prochain chapitre, Luna retrouvera un ami. À qui pensez-vous ? 

Besitos 😘😘😘

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