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Chapitre 31 - Ton prix

- C'est non.

Assise sur les genoux de Baji, sur la banquette d'un petit restaurant de quartier, Gaby écoutait ses amis discuter sans vraiment y porter d'attention. Cela faisait un moment que les capitaines de brigade et leurs vice-capitaines ne s'étaient pas réunis dans un simple instant de détente, elle voulait en profiter. Mais évidemment, un problème s'était imposé à elle sans qu'elle ne puisse rien y faire.

Hanagaki avait demandé à se joindre à eux pour discuter. Sanzu étant un éternel absent des réunions, et de ce genre de moment, Draken avait accepté. Malgré la réticence de Gaby. Comme toujours, quand il s'agissait du nouveau pote de Mikey, elle possédait un mauvais pressentiment dans les idées qu'il pouvait avoir à l'esprit. Et comme toujours, Draken se montrait beaucoup trop tolérant avec lui.

Elle soupira et laissa sa tête tomber sur l'épaule de son petit ami.

Mitsuya et Mikey ne se trouvaient pas présents ce soir. Le capitaine de la deuxième brigade ayant conclu un accord avec Taiju quelques heures auparavant, il avait voulu aller en parler à Yuzuha. Et évidemment, Hakkai, qui avait quitté le Toman suite à cet accord, n'était donc pas présent.

Elle écoutait Takemichi débiter ses conneries, avec à sa plus grande surprise, l'appui de Chifuyu. À quoi jouaient-ils encore, ces idiots ?

Elle jeta un regard à Baji, qui semblait aussi perplexe qu'elle. D'un coup d'œil à l'ensemble de ses amis, elle comprit qu'eux aussi n'arrivait pas à suivre ce qui passait par la tête d'Hanagaki.

- Donc... reprit-elle en se redressant légèrement. Si j'ai bien compris, Hakkai a dit qu'il voulait tuer Taiju ? Et alors ? Tu penses vraiment que c'est une raison suffisante pour se taper contre le Black dragon ?

- Bah...

- Moi aussi, je passe mon temps à dire ce genre de connerie, sourit Smiley, c'est pas pour autant que je le fais vraiment.

Gaby sourit légèrement à cette remarque. Il était vrai qu'elle aussi avait déjà dit vouloir tuer quelqu'un sous un coup de colère, seulement, elle, elle espérait vraiment le faire un jour. Mais ça, elle allait se garder de le dire maintenant.

- Si on agissait à chaque fois qu'on disait ça, il y aurait beaucoup moins de connards sur la Terre, remarqua Kazutora.

- On devrait peut-être le faire alors ! approuva Alex en riant.

Évidemment, ces deux-là n'étaient jamais sérieux. Ils faisaient bien la paire...

Gaby leva les yeux au ciel avant de reprendre :

- De toute façon, on ne peut pas faire ça. Mitsuya a passé un accord de paix avec Taiju. Il passerait pour un boloss, et nous avec.

- C'est peut-être l'objectif de Takemichou ? interrogea Peyan en fixant son regard sur lui.

L'intéressé déglutit et secoua la tête.

- Non. Bien sûr que non.

- Donc le problème est réglé, intervint Draken. Fin de la discussion.

Quelques minutes plus tard, tandis que les capitaines commençaient à rentrer, Takemichi n'avait plus prononcé un mot. Gaby ne le quittait pas des yeux. Elle comprenait sans peine qu'il se cachait autre chose derrière sa demande, mais elle n'arrivait pas à comprendre quoi.

Baji se leva et lui jeta un regard interrogateur. Elle lui sourit.

- Je te rejoins dehors, mon chat.

Il hocha la tête avant de sortir. Elle le regarda s'éloigner, et attendit en silence que tous ses amis soient partis. Une fois qu'elle fut seule avec Hanagaki et Chifuyu, qui n'avaient pas bougé, ayant bien compris qu'elle voulait leur parler, elle se leva et s'approcha d'Hanagaki.

Elle s'assit sur la table devant lui, et planta son regard dans ses iris gris.

- Je peux savoir ce que tu caches, encore ?

Il déglutit et jeta un coup d'œil à Chifuyu, qui sembla l'encourager d'un signe de tête.

- Bah... Je... Je...

- Je vais pas te buter, Hanagaki, sauf si tu continues à te taire. Donc parle.

Une nouvelle fois, il avala difficilement sa salive et baissa la tête.

- Je... Je sais pas comment expliquer... J'ai comme des pressentiments et des sensations de déjà vu... Au début, je pensais juste que je devenais fou... Mais tout s'est réalisé comme je le pensais, le Moebius, le Valhalla... Et maintenant, le Black dragon.

Gaby resta silencieuse de longues secondes, avant de soupirer.

- Je vois... Et d'après toi, il va se passer quoi avec le Black Dragon ?

Surpris, il releva les yeux.

- Tu... Tu me crois ?

Elle haussa les épaules et se leva.

- J'ai pas de raison de te croire ou pas. Toute information est toujours bonne à prendre. À moi de faire le tri après. Donc ?

- J'ai le pressentiment qu'Hakkai va tuer son frère... Et que le Black Dragon va mal tourner. Je sais que normalement, ça regarde pas le Toman, mais...

- Le Toman et le Black Dragon sont plus liés que tu le penses. Et Hakkai restera avant tout un membre du Toman.

Elle attrapa son sac et sa veste, et se tourna vers le vice-capitaine de la première brigade.

- Qu'est-ce que vous comptez faire ? Une guerre ouverte contre le Black Dragon est exclue.

- On doit empêcher Hakkai de tuer son frère. Mais le problème c'est que...

- Vous savez pas quand il passera à l'acte.

Chifuyu hocha la tête. Elle sortit une feuille et un stylo de son sac avant de noter quelques mots dessus.

- De ce que je sais, Taiju n'est quasiment jamais seul. Donc si Hakkai veut le tuer, il le fera forcément dans un de ses rares moments d'isolement.

Elle tendit le morceau de papier, ainsi qu'une enveloppe au vice-capitaine de la première brigade.

Celui-ci s'en saisit. Il lut rapidement le nom inscrit sur le papier avant d'ouvrir l'enveloppe, remplis de cent mille yens. Il écarquilla les yeux et leva un regard interrogateur vers Gaby.

Elle avait toujours une enveloppe de ce genre sur elle, c'était souvent utile pour récolter des informations en cas de besoin. Parfois, une simple discussion suffisait. Parfois, la force brute était nécessaire. Mais avec certains, il n'y avait que l'argent qui marchait. Surtout que cela garantissait une certaine discrétion. Rien de mieux qu'un gros billet pour acheter le silence de quelqu'un.

- C'est le nom d'une taupe du Black Dragon. Pour le contenu de cette enveloppe, il vous dira ce que vous voulez savoir.

- Tu... Tu veux bien nous aider ? demanda avec surprise Hanagaki.

- Je ne ferai rien de plus. Faites attention de pas vous faire prendre, Kokonoi et Inui ne sont pas des plus tendres avec les traîtres. S'ils vous surprennent, vous pourrez dire adieu à la vie. Ou alors... ça risque de vous coûter encore plus cher...

Elle rit devant leurs regards perdus et quelque peu effrayés.

- C'est une somme énorme, souffla Chifuyu en regardant de nouveau le contenu de l'enveloppe.

- Tout le monde à son prix, Chi', dit Gaby en haussant les épaules.

- Jamais je ne trahirai le Toman, même pour tout l'argent du monde ! affirma Hanagaki.

Gaby sourit en fixant ses pupilles sur lui.

- Alors, c'est que t'es un idiot, Takemichi. Ou alors, ton prix est ailleurs.

Surpris qu'elle l'appelle par son prénom, il s'agissait de la première fois qu'elle le faisait, il ouvrit de grands yeux en la regardant s'éloigner vers la sortie.

- Gaby ?

- Hum ?

- C'est quoi ton prix ?

Elle s'arrêta et l'observa par-dessus son épaule, avant de sourire légèrement. Encore une fois, Takemichi fut étonné. Elle ne lui avait jamais souri aussi sincèrement.

- Tu connais les valeurs du Toman ?

Il hocha la tête.

- C'est ça, mon prix. Je ferai n'importe quoi pour protéger mes amis.

Sur ses mots, elle ouvrit la porte. Avant de disparaitre, elle leur adressa un petit signe de la main.

- Bonne chance.

Déconcerté par cette discussion, Takemichi se tourna vers Chifuyu, qui souriait.

- Elle peut paraitre effrayante parfois, mais c'est la personne la plus fidèle que je connaisse. Surtout envers Mikey. Je sais pas si tu le savais, mais elle fait partie des membres fondateurs du Toman.

- Oui... Mikey me l'a dit quand il m'a demandé de ramener Baji...

- Je connais pas tout les détails de la création du gang, mais je sais qu'elle est la première à avoir jurer fidélité à Mikey.





***

En sortant du restaurant, Gaby resserra sa veste autour de ses épaules. L'air était frais, plus qu'elle ne le pensait. Elle leva les yeux en sentant quelque chose de froid se poser sur son nez. Elle sourit légèrement en remarquant qu'il neigeait. Cette année, il aurait le droit à un Noël blanc ! Cette idée l'enthousiasmait, elle adorait fêter Noël sous la neige.

Elle sourit en sentant les bras de Baji serrer sa taille et son souffle chaud s'écraser dans son cou.

- J'ai failli t'attendre...

Elle se tourna à demi entre ses bras, et caressa sa joue.

- Désolée, mon chat.

Il sourit, et l'embrassa tendrement, faisant exploser un million de décharges électriques dans le corps de Gaby. À cet instant, elle n'avait plus froid. Elle aurait pu rester encore des heures dehors, dans les bras de son petit ami.

- Ça te dit un tour à moto, avant de rentrer ?

Gaby jeta un rapide regard à son téléphone. Elle avait promis à ses parents d'être de retour avant minuit, comme toujours. Il lui restait donc encore deux bonnes heures.

Elle sourit et hocha la tête.

- Ouais ! On fait la course ?

Sans laisser la possibilité à Baji de réagir, elle courut vers sa Harley, garée non loin du restaurant, l'enfourcha, et démarra.

- C'est pas du jeu !

Elle n'écouta pas les protestations de Baji, et s'insinua habilement dans la circulation tokyoïte, encore importante malgré l'heure tardive.

Elle entendit rapidement derrière elle, le moteur de la GSX 250 E de Baji résonner. Il la dépassa en lui tirant la langue de manière moqueuse, mais Gaby ne comptait pas le laisser gagner si facilement. Elle avait simplement eu la gentillesse de l'attendre.

D'un geste, elle fit rugir le moteur de sa moto, et accéléra brusquement. Sans peine, elle la rattrapa et repassa devant lui. Elle l'entendit émettre son mécontentement, mais n'y porta pas d'attention et continua de gagner de la vitesse.

Elle aimait cette sensation. Elle aimait sentir l'adrénaline envahir ses veines. Le vent fouetter son visage et faire danser ses cheveux, la fraîcheur de l'hiver s'insinuant dans ses vêtements.

Ce soir, elle allait encore être bonne pour passer une heure à démêler sa chevelure rousse, mais elle s'en moquait. Rien ne valait cette sensation.

Arrivée sur le périphérique de Tokyo, elle s'apprêta à accélérer de nouveau, quand Baji apparut à ses côtés.

- Fais attention ! cria-t-il par-dessus le rugissement de leurs moteurs. Avec la neige, ça glisse.

Elle hocha la tête, mais accéléra tout de même, sous les rires, mélangés au reproche, de son petit ami.





***

Après quasiment une heure à se courser à travers les rues de Tokyo, le froid avait finit par l'emporter, ainsi que la quantité de neige qui se faisait de plus en plus importante. Ils avaient donc décidé de s'arrêter près d'un parc. Évidemment, à une heure aussi tardive, il se trouvait fermé, mais ce n'était pas cela qui allait arrêter les deux adolescents.

- Je te fais la courte échelle ?

Gaby jeta un regard à Baji, avant de secouer la tête en souriant. Même s'il lui manquait de la force dans les bras, avec un peu d'élan, elle se trouvait certaine de réussir seule.

Et de toute façon, sa fierté l'empêchait d'accepter l'aide de son petit ami.

Elle jaugea la hauteur du portail, sous le regard moqueur du jeune homme.

- Je te rattrapai.

Elle décida d'ignorer sa remarque et recula un peu pour prendre son élan. Après quelques mètres de course, elle sauta et se rattrapa à mi-hauteur. Sans plus réfléchir, elle élança souplement ses jambes, et dans une habile pirouette, se retrouva de l'autre côté.

Elle lança un regard moqueur à Baji, avant de commencer à marcher dans l'allée principale du parc, sans l'attendre.

Quelques secondes plus tard, elle entendit des pas résonner derrière elle, avant de sentir des bras musclés emprisonner son corps et la soulever du sol. Elle éclata de rire tandis qu'il la fit tourner dans les airs.

Quand il la reposa enfin au sol, prise de tournis, Gaby dû s'accrocher aux épaules de Baji pour être sûre de rester debout.

- Tu m'impressionneras toujours, ma belle.

Elle leva les yeux vers lui, toujours agacée, et voulu s'éloigner, mais elle avait parfaitement consciente que si elle le faisait, elle perdrait l'équilibre. Alors, elle ne bougea pas.

- Pourquoi tu pensais que j'y arriverai pas seule ? Parce que je suis une fille ?

Un peu interpellé, il ouvrit la bouche, avant de la refermer, sans répondre. Il caressa la joue de la jeune fille, comprenant l'origine de son agacement depuis plusieurs minutes.

- Pas du tout. C'est juste que c'était haut... Je t'ai jamais vu sauté aussi haut, et je sais que tes bras ne sont pas ta plus grande force.

- Ne me sous-estime plus jamais, Keisuke Baji.

- Plus jamais.

Elle prit son visage en coupe entre ses mains, et l'embrassa.

Quand ils durent s'éloigner pour reprendre leurs souffles, Gaby posa sa tête sur l'épaule de son petit ami et ferma les yeux, s'enivrant de cette odeur vanillé qu'elle aimait tant. Nulle part ailleurs elle se sentait aussi bien que dans les bras du jeune homme. Pour rien au monde, elle ne voulait perdre ça.

- Gaby... Tu sais de quoi j'ai envie ?

Un peu surprise, elle releva les yeux et le regarda. Elle secoua la tête, ne sachant pas ce qu'il avait à l'esprit.

Il sourit malicieusement, et ramena une mèche rousse derrière son oreille.

- J'ai envie qu'on aille tous les deux au restaurant à Noël, rien que tous les deux. Et que tu me laisses t'inviter.

Étonnée, elle ouvrit de grands yeux, avant d'éclater de rire. Elle piqua un baiser sur ses lèvres, s'amusant de voir l'impatience de sa réponse naître dans les yeux bruns de Baji.

Habituellement, les membres fondateurs avaient l'habitude de fêter Noël ensemble. Après avoir partagé un repas où chacun essayait de faire quelque chose, permettant aux autres d'avoir une bonne idée de tous les talents culinaire du groupe – les plus catastrophiques étant Baji et Mikey, qui à chaque fois, faisait brûler les plats, même les plus simples – ils traversaient la ville à motos jusqu'au petit jour. Une tradition qui existait depuis maintenant trois ans, pourtant, cette année, cela allait être différent.

Gaby se maudissait de ne pas y avoir pensé. Évidemment, au Japon, Noël était avant tout la fête des amoureux.

- Avec plaisir ! Mais tu choisis pas un restaurant très cher.

Baji la fixa, cherchant à savoir où se trouvait le piège. Elle acceptait bien trop facilement à son goût.

Voyant les doutes sur le visage de son petit ami, Gaby sourit malicieusement et fit courir ses doigts sur son torse.

- Par contre... je veux te voir habillé avec ta plus belle tenue...

Il grimaça. Évidemment. Il savait qu'il y aurait un piège.

- Si ta tenue me convient pas, c'est moi qui payerais.

- Marché conclu !

- Hâte de te voir sur ton trente-et-un !

Il rit et l'embrassa amoureusement.





***

- À dans une semaine !

Lui adressant son caractéristique signe de la main, alors qu'elle s'éloignait d'un pas sautillant vers l'entrée de l'ambassade, Baji la rattrapa par le poignet et l'attira contre lui.

- Tu me dis plus au revoir ?

Elle rit en se laissant faire et déposa un baiser à la commissure de ses lèvres.

- Désolée, mon esprit était trop occupé à t'imaginer avec une chemise parfaitement repassée...

Il grimaça, accentuant le rire de la jeune fille.

- T'as pas intérêt à te moquer. Sinon je ferais plus jamais d'effort, même pour notre mariage.

À ces mots, Gaby s'étouffa avec sa salive. Provoquant le rire de Baji, qui tapa doucement dans son dos.

- Eh, respire ! J'ai dit ça comme ça, je pense pas encore au mariage. On a encore le temps.

Réussissant à se calmer et à reprendre son souffle, la jeune fille rougit en se rendant compte de sa réaction.

- Excuse-moi, c'est juste que je m'y attendais pas...

Il déposa un rapide baiser sur ses lèvres, avant de se pencher à son oreille.

- C'est pas grave... Mais j'espère qu'après avoir volé ton cœur, et ton premier baiser, j'aurais aussi le droit de voler ta main...

Gaby se mordit la lèvre. Elle s'empourpra un peu plus, et détourna la tête.

Comment pouvait-il la mettre dans un état pareil avec seulement quelques mots ? Il l'avait vraiment envoûtée...

Elle décida d'ignorer sa remarque, et s'empara de ses lèvres, espérant ainsi cacher sa gêne.

Voyant aisément son malaise, Baji répondit au baiser et changea de sujet en s'éloignant d'elle.

- Tu verras, je serais si beau que tu pourras plus détacher ton regard de moi !

Gaby sourit, et caressa tendrement sa joue, avant de se pencher à son oreille.

- Mais je peux déjà plus détacher mon regard de toi, mon chat...

Sur ces mots, elle déposa une dernière fois ses lèvres sur les siennes et tourna les talons.

Il la regarda s'éloigner, un sourire idiot peint sur le visage. Comment était-il possible qu'elle le rende si heureux ? Il ne pouvait s'imaginer vivre sans elle, elle était sa raison de vivre, son oxygène et la force pour que son cœur batte.





* * 🏍️* *

Et voilà le chapitre 31 !

Vraiment désolée de ne pas avoir eut le temps de posté mercredi, ni depuis d'ailleurs... Je me débats avec mon emploi du temps pour trouver 5 minutes de libres ces derniers semaines... J'ai d'ailleurs prit pas mal de retard sur la rédaction dernièrement, donc même si ce n'est pas d'actualité pour le moment, je vais peut-être devoir passer à un chapitre par semaine pour garder un rythme à peu près régulier...

Bref, pour me faire pardonner pour ce retard, je poste un chapitre aujourd'hui, et un autre demain 😉

J'espère que ce petit moment tendre et mignon entre Gaby et Baji vous aura plus ! N'hésitez pas à me donner votre avis !

Voilà, voilà, Bisous 😘

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