Chapitre 35
⚠⚠ Ce chapitre est exclusivement un lemon. Pour les personnes qui ne sont pas à l'aise avec cela, je vous conseille de ne pas lire ce chapitre. Merci ⚠⚠
On devait avoir une pause d'une journée dans la tournée le douze Mai mais le problème c'est qu'on n'a pas pu. Le groupe de mon père était en interview toute la journée et nous, on avait une rencontre avec les fans, des interviews et un shooting photo. Une journée bien chargée. C'est pourquoi, en ce vingt-cinq Mai, on est en pause. On a pu faire en sorte d'être en pause aujourd'hui donc pas de concert ce soir. De toute façon, il n'y avait rien de prévu. On est à Copenhague. J'ai déjà visité la ville plusieurs fois et on y est allé ce matin avec l'autre couple car ils voulaient voir comment était cette ville. Cette après-midi, Simon et Tania vont au cinéma et passent l'après-midi rien que tous les deux. Quant à nous, j'ai une petite idée. J'ai déjà tout prévu et mon copain ne sera pas contre, bien au contraire.
– Vous allez faire quoi ? Me demande mon père.
– Surement visiter des trucs. Réponds-je simplement.
– Vous mangez en ville ? Questionne Mark.
– Nous, oui. Réplique Simon.
– Je ne sais pas encore. On se décidera sur le moment je pense. Ajouté-je.
– Ok mais tu me préviens si vous mangez en ville. M'ordonne mon père.
– Oui, ne t'en fais pas.
Je souris à mon père avant que je ne sorte du bus accompagné de mon groupe. On fait un bout de chemin ensemble car on va dans la même direction. On s'arrête et Tania regarde autour d'elle. Elle fronce les sourcils avant de déclarer.
– Vous faites quoi ? Il n'y a rien ici sauf si vous retournez sur vos pas. Et j'en conclus que vous n'allez pas dans notre direction.
– Je viens de comprendre ! S'écrie Simon. Regarde autour de toi.
Ma meilleure amie fronce encore plus les sourcils avant de regarder ce qui se passe autour d'elle. Elle ne comprend pas directement avant de rire et de nous lancer un clin d'œil ainsi qu'un sourire en coin. Gaby ne comprend pas puisque je ne lui ai pas dit où on allait.
– Bande de petits coquins. Déclare Tania avec, encore, son sourire.
– Quoi ? Demande mon copain en fronçant les sourcils.
– Je vois que tu n'es pas au courant des attentions de Charlie mais à mon avis, ça va bien te plaire. Bon, on vous laisse.
Tania nous fait un clin d'œil avant de partir avec son copain. Le mien me regarde et je lui souris avant de lui prendre la main et de nous diriger vers l'hôtel qui se trouve derrière nous. Là, Gaby comprend et devient rouge en repensant à ce qui vient de se passer avec sa sœur. On arrive à l'accueil et je dis que j'ai réservé. On a une chambre de quatorze heures à dix-huit heures. On a le temps de bien profiter. Je prends les clefs qu'on me tend et on prend l'ascenseur pour monter au quatrième étage. J'ouvre la porte et on entre. Je n'ai pas réservé dans un hôtel miteux. C'est un quatre étoiles et on a une super belle chambre.
– Tu es complètement taré. Rit mon brun.
– Je n'allais pas payer une chambre miteuse quand même. Il faut un bon lit pour l'activité que j'ai prévue. Lui réponds-je avec un sourire en coin.
– J'attends que tu me montres cette fameuse activité.
Je ne réponds rien et pose, avec fougue, mes lèvres sur les siennes avant que le plaquer contre un mur. C'est la première fois que je fais ça et ça a l'air de lui plaire d'être coincé entre le mur et moi. Faut dire aussi que je le colle et qu'il n'y a aucun espace. Je descends mes baisers dans son cou et il penche la tête sur la droite pour me laisser libre accès. Je faufile mes mains sous son t-shirt et caresse ses flancs. Il laisse échapper un gémissement quand je lui mords le cou. Ses mains caressent mon torse et la chaleur monte d'un cran. Je tire Gabriel vers moi et nous dirige sur le lit où je le pousse doucement. Il se positionne bien sur le dos et je m'approche de lui. Je me retrouve à califourchon sur lui et je l'embrasse avec fougue et amour. Je frotte mon bassin au sien et nos gémissements se font entendre.
Mon copain entreprend de m'enlever mon t-shirt. Je fais de-même avec le sien et le fais voler dans la chambre. On n'a même pas pris le temps de la regarder. On est bien trop en manque pour ça. Les mains de mon copain descendent vers ma ceinture. Il la déboucle et abaisse mon jeans. Il ne perd pas de temps mais c'est normal quand ça fait plusieurs semaines que vous regardez la personne que vous aimez sans pouvoir la toucher comme bon vous semble.
J'enlève, également, le jeans de mon copain et on se retrouve en boxer. Mes baisers humides descendent le long de son corps brûlant. Je l'entends gémir et il agrippe mes cheveux. J'arrive à son boxer et remonte pour l'embrasser avec fougue. Je profite de ce moment pour passer ma main dans son boxer et saisir son sexe dur. Je fais quelques mouvements de poignet avant de retirer son dernier vêtement. Je descends mes baisers et une fois arrivé à son membre, je le prends en bouche et entreprends de faire des va-et-vient.
Gaby gémit sans se retenir alors j'accélère mes mouvements et quand je sens qu'il est près de la jouissance, je m'arrête. Il est frustré alors je l'embrasse avec amour. J'enlève mon boxer et frotte nos érections ensemble. Gaby me tire vers lui et me colle à son corps. Je stoppe mes mouvements et prends le flacon de lubrifiant. Je reprends son membre en bouche le temps de le prépare. Cette fois, je ne me retire pas avant qu'il ne vienne. J'avale et quand je sens qu'il est assez près, je me positionne à son entrée. Je plaque mes lèvres sur celles de mon brun et entre délicatement en lui. Il gémit instantanément et moi aussi.
Je ne bouge pas pendant un moment. Quand Gaby gigote, je décide de commencer mes va-et-vient. Nos gémissements se mélangent et on ne se retient pas. On s'en fout de faire du bruit. J'accélère mes mouvements et mon copain m'agrippe le dos et plante ses ongles. On se regarde dans les yeux et le moment est simplement magique. C'est tellement magnifique de le voir en sueur et gémir mon prénom. Je ne me laisserai pas de cette vue. Après plusieurs minutes, je me déverse en lui et Gaby vient entre nous. On gémit une dernière fois et je me retire de lui. Je vais chercher un gant de toilette pour nettoyer nos torses. Je le laisse sur l'une des tables de chevets et on reste sur le dos à fixer le plafond. On reprend lentement nos respirations.
– Bah putain ! Je ne pensais pas que ça allait être aussi intense. M'informe-t-il.
– Je suis d'accord. L'abstinence a du bon.
– Oui mais ne t'avise pas à faire exprès de vouloir t'abstenir. C'était grandiose mais il ne faut pas abuser.
Je ris avant de me redresser et de l'embrasser tendrement. Je lui dis que je ne compte plus m'abstenir et il a l'air ravi.
– Tu es d'attaque pour un deuxième round ? Demande-t-il.
– Oui pourquoi ?
– J'aimerais tester un truc.
– Quoi donc ? Questionné-je.
– Prends-moi sauvagement face à miroir. Déclare-t-il.
– Gaby, je ne veux pas te faire de mal.
– Tu ne me feras pas mal puisque qu'on vient de faire l'amour. Allez, on se bouge.
Il dit cette phrase en me tapant dans la jambe. Il se redresse, se met dos à moi, face au miroir et à quatre pattes. J'avoue que la vue est géniale. Je me redresse et avance vers lui. Putain rien quand le voyant comme ça, je bande.
– Rentre directement. D'un coup brusque enfin je veux que ce soit sauvage sans pour autant que ce soit trop brutal. Il faut que ce soit quand même passionné. M'informe-t-il.
– Je vois où tu veux en venir.
Sans le prévenir, je m'approche de lui et entre d'un coup sec en butant sur sa prostate. Il gémit et attrape les draps dans ses mains. Je commence mes coups de bassins brusques mais passionnés. J'agrippe ses hanches et je nous regarde dans le miroir. Mon membre grossit encore plus. Ça m'excite comme pas possible. Gaby gémit comme un malade. Je ne suis pas mieux. Putain c'est tellement bon. Je caresse son dos. Quand je sens que je vais bientôt venir, je me penche sur lui pour attraper son membre. Je fais, également, des mouvements brusques avec ma main autour de son membre. On gémit encore plus. Je donne un dernier coup de bassin et je me libère en lui. Gaby sur les draps et dans ma main. On est essoufflés comme si on avait couru un marathon. Je me retire et je nettoie ma main. Pauvres draps souillés. Tant pis. On s'allonge sur le dos tout en reprenant nos esprits.
– On devrait faire ça plus souvent. Avoue mon copain.
– Je suis bien d'accord. Gaby ?
– Hum ?
– Je suis prêt. Annoncé-je.
– À faire quoi ?
– À être passif. Lui dis-je en le regardant dans les yeux.
Il me regarde en souriant avant de venir m'embrasser et se positionner à califourchon sur moi. Il me souffle dans l'oreille qu'il est plus que ravi avant de saisir le lubrifiant. Il m'embrasse avec passion et je sens quelque chose de froid près de mon entrée. Il me prévient que ça risque de me faire un peu mal au début mais que ça ira ensuite. Il descend ses baisers vers mon membre et entre un doigt en moi en même temps qu'il prend mon membre en bouche. C'est bizarre d'avoir un doigt en soi. Il accélère tous ses mouvements. Il ajoute un puis deux doigts. J'ai eu un peu mal mais ça va maintenant. Je gémis et m'agrippe aux épaules de mon copain. Une fois qu'il juge que je suis assez prêt, il retire ses doigts, met du lubrifiant sur son membre. Il me demande la permission à l'aide d'un regard et je le lui autorise.
Il approche son membre de mon entrée et pousse à l'intérieur de moi. Une grimace se forme sur mon visage et Gaby ne bouge plus. Il me demande si ça va et je lui réponds que oui. Il entre un peu plus en moi, me décrochant une autre grimace. Une fois qu'il est entièrement entré, il ne bouge pas et vient m'embrasser. Je lui fais comprendre qu'il peut bouger et il le fait. Ses coups sont doux. Je gémis tellement c'est bon. Je ne pensais pas autant aimer. Je bouge pour qu'il accélère ses mouvements et donne de plus grands coups de bassins ce qui me fait hurler de plaisir et c'est pire quand il bute contre ma prostate. Qu'est-ce que c'est bon.
Mon copain donne des coups de bassin de plus en plus brutaux mais c'est un pur plaisir. Mes mains sont agrippées à ses épaules. Quand il sent qu'il va venir, il prend mon membre en main et effectue des va-et-vient rapides. Mon plaisir double. Je sens que je vais venir et c'est ce qu'il se passe. Gaby donne un dernier coup de bassin et se libère en moi. J'avoue que c'est étrange de sentir sa semence entre mes chairs mais ce n'est pas désagréable. Mon copain se retire et nous nettoie avant de s'allonger à côté de moi.
– Merci. Déclaré-je. C'était un pur bonheur. Je me sens tellement bien. C'était parfait.
– Je suis du même avis. Putain que c'était bon.
– Je suis bien d'accord.
On se regarde avant de rire et de nous embrasser. On va bientôt devoir quitter cette chambre qui a très bien servie. Je crois que je vais prendre goût à être passif même si j'adore être actif. Je suis heureux d'avoir passé ce cap avec lui. Je suis tellement amoureux qu'il n'y a qu'avec lui que je veux être passif. Il est juste parfait.
Hey ! Voici le chapitre trente-cinq de mon histoire ^^ J'espère que ça vous a plu et n'hésitez pas à voter et commenter ^^
- Que pensez-vous du chapitre ?
- La journée de repos des amoureux ?
- Charlie qui est passif ?
La fin approche ! Plus qu'un chapitre et l'épilogue !
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