lolita et les aquarelles de nul part
parce que t'étais magnifique loli,
avec tes cheveux d'opaline et tes grand yeux bleus
alors dans mon atelier il n'y a que toi,
lo-li-ta
quand les lumières s'éteignent et que l'orage rugit
je sors mes aquarelles, celles que tu trouves si jolies
et je peins ton aura diaphane, tes grandes mains qui caressent et détruisent tout si lacivement
lolita, lola
le téléphone sonne et je décroche
alors ta voix claire me fredonne des sonnets à la Francis Cabrel
parce que c'est toi
et que dehors c'est trop terrifiant.
L'art, c'est toi
lolita
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