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Chapitre 21

Le vent vibra sur le passage de la flèche et je pouvais presque le voir s'écarter de sa trajectoire. Elle semblait dotée d'une volonté propre, et à vrai dire, c'en était réellement effrayant. C'était comme si on lâchait sur vous un rhinocéros, en plus véloce et en moins grand. Il n'avait aucune pitié et ne cherchait qu'une chose : vous perforer et vous écraser.

Rapide. Trop rapide pour qu'un homme ordinaire puisse l'esquiver. Problème : cette flèche me fonçait dessus à une vitesse impressionnante. Solution : depuis le début de la semaine, on me disait que je n'étais pas un homme ordinaire. À ce moment-là, j'espérais que mon Alter ne m'abandonnerait pas. Je devais échapper à la trajectoire de l'arme. Sinon, j'étais mort.

Et je ne pouvais pas non plus compter sur Lucas, mon meilleur ami, qui, comme moi, était totalement pétrifié par le spectacle qui s'offrait à nous. Le blond, d'un air surpris, regarda l'arme me foncer dessus, sans pouvoir ne serait-ce qu'effectuer un seul mouvement. Son aide ne me serait d'aucune utilité...

Sur ce magnifique tableau, il était clair que je ne pouvais compter que sur ma propre force pour me tirer de ce mauvais pas. Je ne connaissais pas suffisamment Constantin pour déterminer si oui ou non nous serions de bons alliés, mais une chose m'étonnait : je ne comprenais pas pourquoi il voudrait nous éliminer. Parce que j'en étais sûr : Lucas serait le prochain. Et j'étais aussi certain que la puissance mise dans son attaque était visible.

La flèche n'était désormais plus qu'à un petit mètre de moi. Un mètre. Quand on parle d'un tir si véloce, un trait dans le ciel qui vous tombe dessus à une vitesse surréaliste, cette distance est ridiculement courte. Cette distance semblait être le temps qu'il me restait à vivre. Je l'avais compris. Si je ne faisais rien, dans un mètre, j'étais mort. Mort. Sans avoir sauvé le monde, sans avoir réalisé mes rêves. N'était-ce pas triste ? Certaines personnes diraient que c'était tout simplement mon destin, et que dans les faits, il est impossible de changer le destin. D'autres pleureront mon sort, quelques uns encore diront peut-être même que j'étais un grand homme, comme s'ils me connaissaient vraiment, comme s'ils savaient l'essence même de ce que je suis, de ce que j'étais et de ce que j'aurais pu être.

J'aurais pu, comme beaucoup de personnes, avoir un flash, contempler le film de ma vie qui défile devant mes yeux, un flashback sur fond de violon qui te remémore à quel point l'existence est courte et intense, et à quel point tu as plus ou moins bien vécu selon ta situation. Je trouve ça complètement cliché, peut-être même un peu stupide. S'il y avait bien une mort que je n'aimerais pas, c'est celle-là. Pourquoi ? Ne me demandez pas, c'est ainsi. Je sais que ça m'énerverait.

Malheureusement, quand la mort vous apparaît sous les traits d'une flèche qui n'a plus qu'un simple mètre pour percer vos organes, elle vous apparaît aussi à la fois longue et courte, paradoxalement. Oui, le coup était rapide, il ne me resterait plus qu'une demi seconde à vivre si vraiment je ne faisais rien. Mais le temps, à l'approche de la mort, semble se suspendre. Il devient de plus en plus élastique. Il se tord. La flèche ralentit. Tout devient plus net. Et derrière...

- Saute !

La voix de Revenge. J'ai entendu la voix de Revenge. Ou peut-être était-ce Lucas. Je ne me souviens plus trop. J'ai concentré mon pouvoir magique, et des éclairs dansèrent un court instant. Le sol quitta mes pieds, mes pieds quittèrent le sol. La flèche toucha presque mon bras. Je dus me tordre pour l'éviter. Elle ne fit que me frôler. Comme un coup d'estoc qui pourfendit l'air, l'arme se perdit contre terre.

Le temps reprit son cours. Le sol revint se coller à mes pieds si fort que j'en perdis l'équilibre. Mais tandis que le ciel et la terre s'inversaient pour moi, l'arc de Constantin cracha une seconde fois, cette fois-ci en direction de mon ami. Le sabreur, toujours ahuri, eut à peine le temps de réagir. Il fit une roulade sur le côté, mais comble de malchance, l'arme le toucha quand même. Il roula sur la gauche, mais avec beaucoup moins de grâce qu'il ne le voulut probablement.

Nous étions encore une fois dans une mauvaise posture. J'espérais vraiment que ça ne deviendrait pas une habitude. Je passai alors ma main sur mon épaule. Mon bras était tâché de rouge... Du sang ? En regardant de plus près, une forte odeur prit mes narines. Je... Non, je ne saignais pas ! C'était de la peinture !

Un coup d'oeil sur le corps de mon ami me permit de confirmer ma théorie. Ce n'était pas du sang, mais bien de la peinture ! Constantin n'avait pas vraiment tiré. Il avait juste utilisé de la peinture. Une voix poussa un rugissement contrarié. Notre entraîneur nous toisa d'une troisième flèche :

- Deux flèches ! Il m'a fallu deux flèches pour vous mettre à terre ! Regardez-vous. Heureusement que ce n'était que de la peinture. Sinon, vous étiez morts. J'aurais pu très bien vous tirer ensuite dessus très facilement. Ne vous surestimez pas, parce que si avec seulement deux flèches j'arrive à vous battre, cela veut dire qu'il y a un gros problème.
- Mais tu tires... commença Lucas.
- Et ça n'a strictement rien à voir avec le fait que je sois un excellent archer ! Vous croyez sérieusement que vos ennemis vous feront des cadeaux ? Vous croyez sérieusement que des archers de ma trempe n'existent pas dans leurs rangs ? Si c'est le cas, le monde est vraiment mal avec vous deux pour le défendre.

Comme il nous l'avait presque ordonné, on finit par se relever. Constantin arma son arc une nouvelle fois. Il avait raison. Comment avais-je pu perdre en un seul coup ? Il aurait pu me tuer, s'il l'avait voulu. Je n'avais pas été prudent. J'avais baissé ma garde. Nous avions baissé notre garde. Je m'en voulais terriblement. C'était une erreur de débutant qui nous aurait coûté cher en combat réel...

- Tu vas continuer ? Demandé-je, un peu sonné par ses paroles et par l'attaque.
- Bien sûr. L'exercice est pourtant simple : évitez mes flèches si vous ne voulez pas vous retrouver couvert de bleus et de bleu. Êtes-vous prêts ? Ah, c'est vrai : je m'en moque totalement.

La corde se rapprocha de sa joue, puis se détendit avec force. Un projectile me visa. Clairement, je vis sa trajectoire. Une aura de foudre m'entoura. Je fis un bond sur le côté, assez rapide cette fois-ci pour l'esquiver entièrement, sans risquer d'être touché. Je frappai le sol de deux coups de pieds rapides avant de me décaler sur le côté pour éviter deux autres tirs. Le sol se barbouilla de bleu, un bleu qui reproduisait artificiellement la couleur d'un ciel d'été. Ses armes, comme des doigts accusateurs, pointaient le ciel et criaient muettement leur rage.

Constantin tira deux coups, le premier sur Lucas, qui l'esquiva d'un pas sur le côté, et le deuxième sur moi, précisément sur mon chemin. Son action avait été si rapide que je n'eus pas le temps d'achever mon mouvement. La flèche arrivait. Elle était toujours aussi rapide. C'était vraiment compliqué de l'éviter, et je dus avoir beaucoup de chance pour le faire. Elle me passa au-dessus de la tête et se planta quelques mètres plus loin.

Lorsque je relevai la tête vers l'arbre, Constantin n'était plus perché dessus. Où était-il passé ? Le son d'un tir, dans un angle à soixante-dix degrés au nord-est m'indiqua qu'il venait de sauter sur ma droite, là où ni Lucas ni moi ne pouvions nous échapper. La flèche, trop rapide et lui trop près, me toucha dans le dos. Je vis mon meilleur ami tomber également sous l'attaque. Une substance gluante nous recouvrit.

- Morts une fois ! Morts deux fois ! Et vous comptez riposter quand ?

La voix venait d'un peu loin. J'hallucinai : les genoux repliés près de son visage, Constantin était perché sur le grillage. Comment faisait-il... ? Je me demandai à ce moment s'il n'était pas un ninja. En mirant du coin de l'oeil mon camarade, j'observai son attitude. Je voyais bien qu'il était admiratif devant une telle aisance de mouvements. Le tireur avait vraiment un grand talent pour les sauts incroyables. Il banda son arc, ferma un œil pour mieux se concentrer.

- Lucas, baisse-toi !

L'attaque verte passa comme une vague au-dessus de mon ami qui s'était jeté à terre dans un mouvement de désespoir et de lucidité. L'archer fit un sourire et sortit un autre de ses projectiles. Une goutte de sueur perla sur mon front, et ce n'était pas à cause des presque-trente degrés et de la couronne solaire qui trônaient au-dessus de tout. Non. Notre adversaire du moment avait changé de flèche. C'était cette fois-ci une vraie ! Il ne plaisantait plus. Comptait-il vraiment s'en servir ?

Son air déterminé me signala qu'il comptait vraiment le faire. Il était parfaitement sérieux. Son premier tir avait été dévastateur. Je craignais que ce tir ne soit encore plus puissant, plus acéré et plus compliqué à esquiver ou à contrer que les précédents. C'était peut-être le test ultime, pour nous achever. La riposte ne serait pas évidente. La corde de l'arc se mit à vibrer sous la pression que l'on exerçait dessus.

Soudainement, l'attaque partit comme un train lancé à pleine vitesse. Et elle visait... Lucas ! Incapable de bouger à temps, l'épéiste aux yeux d'émeraude tenta d'invoquer son arme. Cette dernière apparut dans sa main, grande, majestueuse. La flèche arrivait à toute vitesse. Elle allait le frapper. Il ne pourrait pas l'esquiver, c'était certain. Mais allait-il réussir à la contrer ? Un frisson parcourut mon dos en pensant qu'il ne pourrait pas. Je l'espérais. Mais dès à présent, le temps n'était plus aux espérances. La collision était maintenant proche... Trop proche...

- Impossible... !

J'écarquillai des yeux. Derrière Lucas, deux morceaux de flèche étaient plantés dans le sol. Notre jeune sabreur, quant à lui, se tenait un genou à terre, l'arme au clair et tendue face à Constantin dans un air de défi. Un monde de surprise me tomba dessus. J'avais vu l'action qui n'avait duré qu'une petite seconde, mais je l'avais vue clairement : d'un coup vertical, l'épée avait rencontré la flèche. Et la flèche avait échoué. Et maintenant, elle était échouée, là, à terre.

Je m'autorisai un petit sourire vainqueur. L'archer, de retour sur son arbre, afficha une petite mine surprise. Il s'arrêta quelques secondes pour nous observer tranquillement, l'arc à la main. Il était plutôt calme, ce qui ne présageait rien de bon. Sa poitrine se soulevait dans un rythme régulier. Pourquoi était-ce inquiétant ? Parce que je savais que cette accalmie cachait une réflexion mûrement menée. Constantin ne semblait pas être du genre à agir inutilement. Il était fort probable qu'il calculait à l'avance toutes ses actions avant même d'esquisser un seul mouvement. Et c'était aussi ce qui nous permettrait de gagner. Je savais à présent ce que je devais faire. C'était assez simple. Évident, même. Nous devions le devancer. Nous devions riposter avant qu'il ne prévoie ce que nous allions faire. Avant qu'il ne puisse être en mesure de contre-attaquer.

Plusieurs minutes passèrent, durant lesquelles on se contenta d'esquiver, de sauter comme des boucs, et de se couvrir de peinture lorsque les assauts étaient trop difficiles à éviter. Il ne nous laissait aucun temps mort, chacune de ses attaques était prévue de telle sorte à nous faire bouger constamment. Mais le plus étrange venait du fait qu'il n'avait vraiment aucune faille. C'en était presque rageant.

- Attention, Thomas !

Je relevai la tête, juste à temps pour observer une flèche filer vers moi et pour être en mesure de l'esquiver. Je doublai la roulade que je venais d'esquiver, puis je dus la tripler. Visiblement, Constantin n'avait pas apprécié mes petites remarques sur sa façon de tirer, lors d'une de mes esquives. Je lui avais balancé un bon « t'es aveugle ? » en souriant crânement avant de tenter une riposte, riposte à laquelle il répondit immédiatement de cinq flèches, tirées en même temps qu'un grondement rageur.

- Il n'est pas que réfléchi, il est très arrogant. Voyons qui atteint la première place dans ce domaine, Archer, murmurai-je.

D'un pas effreiné, je me mis à courir en direction de l'arbre. Lucas me regarda d'un air surpris. D'habitude, ce n'était pas moi qui fonçais tête baissée dans les pièges, mais lui. Un face à face ? Cette idée sembla plaire, ou du moins intéresser complètement Constantin, qui se tourna entièrement face à moi. Il décocha juste un tir en direction du blond pour l'empêcher d'intervenir.

- Pas très malin, ça me laisse le temps de venir !

L'ombre de mon Alter recouvrit mon corps d'une foudre éclatante, foudre qui me permit de me projeter dans les airs. Un œil sur Constantin, l'autre fermé, je bondis... sous l'arbre. Notre entraîneur avait quant à lui armé son tir. Il me regarda passer en-dessous de la branche, sans comprendre. Lorsque j'entrai dans son périmètre d'action et dans son champ de vision, il passa à l'attaque. Mais il était trop tard.

- Dixième éclair, lancer de foudre !

J'armai mon bras. L'orage se mit à gronder autour de ce dernier, puis vinrent les éclairs. Je percutai de mon poing le projectile, qui explosa en un amas bleu comme la peinture qu'il utilisait. La lance de foudre continua son chemin vers la branche sur laquelle il était positionné. Cette dernière se brisa et explosa. L'éclair fila vers le ciel, laissant derrière lui un petit nuage noir, dissipé bien rapidement.

Quant à Constantin, il avait réussi à éviter l'attaque. Non. Pas exactement : la flèche avait eu assez de puissance pour dévier mon attaque de quelques centimètres, ce qui avait laissé le temps à notre instructeur pour bondir sur un arbre situé à une dizaine de mètres. Il fit un arc de cercle dans le ciel, tête en bas, droit comme un piquet, pour atterrir debout sur un arbre. Pourtant, lorsqu'il se réceptionna, son corps eut une faiblesse un court instant ; je sus alors que mon attaque l'avait quand même ébranlé. Il se prépara à contre-attaquer, mais, bien heureux de ma presque-réussite, j'étais déjà sur lui pour l'achever une bonne fois pour toute.

Quelques mètres seulement nous séparaient. Il ne restait plus beaucoup de temps avant de sonner la fin de l'exercice. Je jetai un coup d'oeil à Lucas. Il avait compris. Il ne bougea pas et se contenta d'être prêt à agir. Cependant, quand je reportai mon attention vers le perchoir de mon adversaire, ce dernier était vide. Il n'était plus occupé. Parce que son occupant se trouvait ... face à moi.

Tout se passa très vite. Je tendis mon bras. Il leva son arc. Décocha un trait. Je sentis quelque chose me frapper dans l'estomac, la distance entre lui et moi s'agrandit d'un seul coup. Je tentai de lancer un éclair puis fis un signe à Lucas. Constantin balaya ma magie en agitant son arc devant lui, comme s'il chassait une vulgaire mouche. Comme je tombai, je pus voir l'archer arriver au sol, déjà prêt pour son dernier coup de maître.

Coup sur coup, il lança deux attaques très rapides. La corde se tendit, se détendit, se tendit et se détendit une dernière fois. Lucas sortit son sabre. Il frappa la première flèche. Son sabre ricocha sur cette dernière. Une forme droite sortit de l'ombre. Le choc entre l'épée et la flèche n'eut pas lieu. Parce que le projectile toucha directement mon camarade. En plein cœur. Il s'effondra. Une tâche bleu recouvrit son vêtement. Du sang azuré s'étendit en cercles dessus. Constantin se contenta d'esquiver le sort tranchant que lui avait lancé le blondinet, perdant au passage une mèche de cheveux. Il ne fit que froncer des yeux, comme s'il n'avait pas été perturbé une seule seconde.

Le silence retomba en même temps que son arc. Un cri animal déchira le ciel. Un faucon cacha le soleil une courte seconde et disparut à l'horizon. L'ombre des arbres se mit à danser grâce au vent frais. Les chuchotements des feuilles étaient les seules choses qu'on entendit durant une longue minute. Un regard glacial qui contrastait avec la chaleur écrasante nous toisa quelques secondes. Enfin, il se mit à bouger. Il rangea son arc. Un soupir franchit ses lèvres. Il croisa enfin les bras.

- L'exercice est terminé. Regardez-vous. Je vous ai touchés plus de cinq fois chacun. Trois fois à des endroits mortels. C'est plutôt un bon score pour des débutants, mais vous restez faibles. Cinq erreurs fatales, et une bonne dizaine dont je n'ai pas profité, volontairement. Si on résumait, en combat réel, vous seriez morts. Vous avez un peu de force, mais ce n'est pas suffisant. Vous avez réussi à me toucher, c'est déjà une grande victoire pour vous. On va en rester là pour votre test.

Toujours à terre, la réalité était frappante. Nous avions échoué. Je ne voyais pas d'autre mot pour décrire ce que nous venions de vivre. Dans ma tête dansaient les mots échec et faiblesse. Ma mâchoire et mes poings se contractaient si forts qu'ils en étaient presque douloureux. Ce n'était pas tant la douleur physique qui me dérangeait, mais mon ego qui venait de se prendre un coup fatal de la part du tireur. Même Lucas, qui était d'habitude agité, restait immobile, le regard dans le vide.

Il fallait dire la vérité. Nous étions faibles, à ce moment-là. Même nous étions deux, nous avions été vaincus par l'archer, un archer qui n'était pas plus vieux que nous. Au moment de nous relever, je me rendis compte que je tremblais. Peut-être à cause de l'adrénaline, peut-être à cause de la colère intérieure qui boullait en moi comme un volcan. Peut-être aussi à cause de la déception. Je haissais la défaite. Et nous venions de subir une cuisante défaite.

Je repensai aux paroles du Boss : « Vas-y doucement », avait-il dit à notre entraîneur. Bien sûr qu'il n'y avait pas été à fond. L'espace d'un instant, j'eus l'espoir d'être à la hauteur. Mais la réalité était comme des racines dans lesquelles on se prenait aisément les pieds. Constantin avait lui-même dit qu'il avait volontairement raté des occasions de tirer. Ce qui ne signifiait qu'une seule chose : il s'était retenu. Il n'avait pas donné son maximum. Plus encore : il nous avait sous-estimés. J'enrageais, mais la réalité était bien là, bien douloureuse. Nous avions perdu.

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NDA : Salut à tous et à toutes ! Comment allez-vous ? Bien j'espère ! J'espère également que vous avez passé un bon moment en lisant ce chapitre 21, un chapitre très porté sur l'action. Nos amis se rendent compte qu'ils ne sont pas les rois du monde... Et on a un aperçu du talent de Constantin. D'ailleurs, qu'en pensez-vous ?

N'hésitez pas à me faire part de vos impressions en commentaire. Et nous, on se retrouve pour un nouveau chapitre bientôt ! :D

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