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Sulybaran

Des sept, seuls quatre étaient des vrais héros. Sulybaran des déserts hurlant était l’un d’eux. Une montagne de calme et de sagesse qui maniait une impressionnante épée recourbée. Une fois lancé dans la bataille, rien ne pouvait l’empêcher d’avancer vers son objectif. Son chemin était pavé de corps sans têtes et de membres encore chauds. Et pourtant, c’était le plus agréable des compagnons de voyage. Sa voix basse et douce apaisait toutes les tensions et il connaissait les paroles qui dissipent la peur et rendent courage.
Il croyait vraiment dans la prophétie, il était le guerrier des sables cité dans les textes. A sa naissance, un sage de son clan l’avait reconnu comme celui qui combatrait les armées du Chaos et libérerait les terres de dunes des démons. Dès lors son destin était tracé. Il serait élevé pour se battre, pour être le plus farouche, une machine de guerre impitoyable. Et il fut fait ainsi.
Des années durant, Sulybaran s’entraîna au combat, apprenant le maniement des armes et le corps à corps. A quinze ans, il surpassait les guerriers les plus aguerris de son clan et des clans voisins, à vingt il était présenté au grand Halmann, Sidar Kobah qui fit de lui un Khàa, un guerrier du premier ordre.
Lorsque les monstres du chaos envahirent la terre des sables, il mena la bataille, obtenant des victoires là où toutes les autres armées avaient été vaincu. Stratège, meneur, guerrier sans pitié, servir sous ses ordres était un honneur reconnu par tous. Il libéra ses terres des hordes noires et rejoint les sept au soir de la dernière bataille.
Malgré tout cela, l’âme de Sulybaran avait toujours été celle d’un instruit. Il aurait volontiers troqué les armes et les tentes de campagnes pour la solitude et les alcôves de la bibliothèque halmannique. Il aimait lire, apprendre, découvrir d’autres cultures. Cette dualité faisait de lui un être d’une douceur sans pareil ainsi que le pire fléau que les armées noires ait jamais croisées. Je l’appelait le défricheur de chemin et il aurait pu vaincre le seigneur du Chaos seul si un poignard planté dans le dos ne l’avait stoppé.

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