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Chapitre 42


Bogal Fall.

Je reçois depuis quelques jours des messages d'un numéro que je ne connais pas.
Dans ces messages on me dit que ma femme est une pute et de tas d'autres choses que je ne voudrais même pas sortir de ma bouche.

J'ai confiance en ma femme, mais ces trucs qu'on dit sur elle me font parfois douter.

Je sais que ma femme n'est pas capable de faire tout ce qu'on est entrain de dire sur elle.

Elle ne m'a jamais fait douter d'elle, mais n'empêche que depuis deux jours je la surveille comme de l'huile sur le feu.

Elle même se sent oppressée, mais je n'y peux rien, je l'appelle toutes les deux minutes, et rentre souvent à l'improviste.

Je deviens de plus en plus parano, j'essaie de lire ses messages sur son portable, mais impossible elle va partout avec son téléphone.

Ceci a le don de m'énerver encore plus, le mien je ne l'ai pas codé et je le laisse traîner partout.

Cette histoire semble vraiment louche.

Non je ne dois pas penser comme ça, je sais que si s'est vraiment avéré je serai capable de tuer Penda.

Elle est en face de moi mais j'avoue que j'ai la tête ailleurs:

- Bogal qu'est ce qu'il y'a ? Tu as l'air absent.

Le comble c'est qu'elle ne m'appelle jamais avec de petits noms c'est toujours mon prénom qu'elle utilise.

- Penda est ce que tu m'aimes ?

Elle adopte un air étonné.

- pourquoi cette question ?

- tu sais tu ne m'as jamais dit je t'aime, ni me donner de petits nom, c'est toujours moi qui te bombarde avec mes je t'aime.

- je t'aime, tu es satisfait.

- je veux que tu le sors de ton coeur, mais pas que tu le dises par obligation.

Elle ne dit rien et se concentre sur son portable, je le prends de ses mains.

- qu'est ce que tu fais donnes moi mon portable ?

- je veux que tu arrêtes de manipuler ton foutu portable quand je te cause.

- qu'est ce qui t'arrive ?

- il m'arrive que je veux que tu me montres que tu m'aimes, tu ne fais aucuns efforts, tu ne cuisines jamais pour moi, je crois que tu n'as besoin de moi que pour le lit. Et c'est temps ci tu n'en réclames plus.

- tu es trop exigeant en fin de compte, qu'est ce que tu veux hein, tu as eu ce que tu voulais c'est à dire te marier avec moi... Donc ne me fatigues pas...

- j'en ai marre de ton insolence, tu joues à quoi hein, tu penses que c'est comme ça qu'une bonne femme se comporte.

- si tu as envie d'avoir une esclave au lieu d'une femme tu me le dis.

Je la fixe un instant avant de lui dire:

- Penda est ce que tu me trompes ?

Elle a sursauté du lit en entendant cela :

- qui t'a dit ça ?

- personne, je veux que toi tu me dises la vérité.

- tu n'as plus confiance en moi c'est pourquoi tu me poses ce genre de question.

- ne fuies pas le débat.

- Bogal tu me fais très mal en me disant tout ça, je ne t'ai jamais trompé durant toute notre relation et là tu me poses cette question...

Elle commençait à essuyer ses larmes qui perlaient déjà, merde je n'aime pas la voir ainsi.

Je m'approche d'elle, et elle se lève pour quitter la chambre.

- Penda où tu vas ?

Elle ne me répond pas et se dirige au salon, bordel qu'est ce qui m'a pris de lui poser ce genre de questions ?

On ne parle jamais comme ça à une femme:

- bébé toi aussi viens dans la chambre(en lui tendant la main).

- non je préfère rester là.

- écoutes je te jure que c'est la dernière fois... Je ne te dirai plus de telles choses.

- tu m'as blessé.

- excuses moi, parfois je dis des choses sans trop y réfléchir...

- je n'aime pas que tu doutes de moi.

- plus jamais.

Elle se lève et me prend le bras, on va dans notre chambre, une nuit torride nous attend.

Penda Diallo.

Je suis entrain de faire l'amour avec mon mari, mais je repense à notre discussion de tout à l'heure.

Est ce qu'il est au courant de quelque chose, si mon plan marche comme je le veux je serais bientôt aux États-Unis, je me suis trouvé un tout nouveau monsieur, qui m'a promis de m'amener avec lui.

C'est un homme avec qui je couche depuis longtemps qui m'a mis en rapport avec lui. Il est entrain de remplir mon compte en banque de manière extraordinaire.

C'est vrai que je couche avec beaucoup d'hommes mais lui il est mon préféré, je ne l'aime pas loin de là mais je veux aller aux USA.

Il n'est pas trop exigeant tout ce qu'il veut c'est de la bonne compagnie.

Je n'ai maintenant plus besoin de supplier mon mari pour qu'il me fasse l'amour, les hommes avec qui je couche m'en donnent suffisamment.

Aujourd'hui je devais aller voir Idriss, mais cet imbécile de Bogal a tout gâché en débarquant à la maison.

Je dois vraiment faire attention avant qu'il ne soit au courant de tout.

Je compte bientôt le quitter, il ne me sert presque plus à rien, j'ai falsifié sa signature pour vider à moitié son compte bancaire.

Il n'en sait rien, mais je dois convaincre Idriss de faire vite... Je lui ai envoyé un message tout à l'heure pour lui dire que je ne pourrais plus venir, que je suis un peu souffrante.

Il m'a proposé de passer le week-end avec lui à Saly, cela me tente beaucoup mais je ne sais pas comment faire avec mon garde du corps de mari.

Mais je vais inventer quelque chose:

- Bog... Bébé je voudrais aller passer le week-end chez moi ?

- Pourquoi faire ?

- toi aussi depuis le mariage je n'ai pas vu ma famille, en plus de ça maman me réclame beaucoup,si tu veux viens avec moi on passe le week-end à la maison.

- de quoi est ce que tu parles ? Je ne ferais jamais une chose pareille.

- donc laisses moi aller voir ma mère, elle me manque tellement.

- OK tu peux y aller.

- merci mon ange.

Je le vois sourire de toutes ces dents.

Il est tellement facile à berner ce gros con, pfff.


















Djibril Ndiaye.

Je viens juste d'arriver de ma salle de musculation. Je me cache derrière le sport pour oublier Zahra, mais je n'y arrive pas.

Après ma discussion de l'autre jour avec Taph quand il me donnait ses nouvelles de la France, je me suis beaucoup ressaisis.

Comme il me l'a expliqué, je dois être plus mature que Zahra et essayer de sauver notre amour.

Il ne sert à rien de refouler ces sentiments qu'on éprouve l'un pour l'autre.

J'avais pris la ferme décision de tourner totalement le dos à Zahra et de refaire ma vie, même si je vais en souffrir. Mais mon ami m'a tenu un discours qui m'a changé les idées petit à petit.

Peut être qu'elle mérite une seconde chance.

Pourra t-elle la saisir.

J'étais dans mes pensées quand j'entends toquer.

Je ne sais pas qui s'est, je ne prends même pas le temps de porter un tee-shirt.

Quand j'ouvre la porte je tombe sur une Zahra complètement changée, elle ne ressemblait à rien du tout.

On dirait qu'elle est malade, ses yeux étaient rouges et enflés, elle avait maigri,trop même.

Mon amour pour elle ressurgit tout d'un coup, cette fois ci je ne vais pas la rejeter, je crois qu'elle a compris la leçon.

Je la fixe un long instant avant de la prendre dans mes bras, elle m'avait tellement manqué, je ne sais même pas comment j'ai pu tenir pendant tout ce temps.

- viens entre.

Elle a hésité un instant avant de me suivre à l'intérieur, elle avait les yeux baissés.

Je repars dans ma chambre pour porter quelque chose avant de revenir au salon.

Un silence très inconfortable s'installe dans la pièce.

Je décide de le briser:

- Zahra ?

-...........

Elle baisse toujours là tête mais je sens qu'elle pleure.

Je reprends:

- qu'est ce que tu as ? Tu as beaucoup maigri.

Elle lève les yeux qui étaient inondés par ses larmes:

- Dji pardon.

- pourquoi tu me demandes pardon ? Qu'est ce que tu as fait.

Je savais pourquoi elle me demande pardon, mais je voulais qu'elle essaie de vaincre cet orgueil qui la consume de l'intérieur.

- parles moi vas-y.

- je souffre beaucoup à cause de tout ce qui s'est passé, je sais que je n'ai pas été à la hauteur de tes attentes, je me rends compte aujourd'hui de combien je t'aime même si je sais que je t'ai perdu pour toujours... Je sais que tu es un homme bon, c'est toujours toi qui es venu vers moi... Je suis égoïste, pendant tout ce temps que j'ai disparu, je n'ai jamais cherché à te contacter, je suis restée dans mon coin à attendre encore que tu reviennes, je ne te mérite vraiment pas....

Elle n'a pas pu continuer son récit à cause de ses pleurs, je sais qu'elle regrette, mais je dois vraiment connaître jusqu'où elle est prête à s'engager avec moi.... Je ne veux plus d'une romance éclaire.

- pourquoi tu es là ?

Elle semble surprise par ma question, mais elle doit sortir ce qu'elle a dans le coeur.

- je veux que tu me pardonnes.

- et ?

- qu'on reprenne notre relation de là où on l'avait arrêté.

- pourquoi ?

- parceque je t'aime Dji... Je ne pense pas pouvoir vivre sans toi.

Je ne dis rien je ne fais que la regarder, elle me lance sur un ton las:

- tu ne veux plus de moi ?

- non.

Elle recommence ses pleurs, qu'elle est folle cette fille.

- je ne veux plus de toi, je veux ma Zahra, je ne veux pas de toi entrain de te morfondre comme ça, je veux te voir heureuse et je te le rendrais, c'est ma mission sur terre.

Elle se leva de là où elle était pour venir s'asseoir sur mes genoux:

- je t'aime tellement mon coeur.

- moi aussi plus que tout.

Je capture doucement ses lèvres salés à cause de ses larmes, c'était à la fois appétissantes et succulentes.

On se manque tous les deux, Zahra m'embrassait comme une vraie professionnelle, je la laisse mener le combat.

Elle faisait des vas et viens avec sa langue, qui menait une dance endiablée à l'intérieur.

Je commençais déjà à grossir en bas, Je vais essayer de le contrôler sinon il risque de faire une bêtise.

Je soulève ma petite fleur qui était assez légère et je l'amène dans ma chambre.

On a pas arrêté notre baiser tellement c'était exquis.

Zahra m'enlève le tee-shirt que j'avais mis, il ne me restait que mon short.
J'ai fais de même avec elle.

Notre baiser devenait plus chaud, parce que le petit Dji à l'intérieur ne voulait plus rester à sa place.

Zahra était comme possédée par mes caresses, je n'entendais que ses gémissements.

À un moment j'ai enlevé mon short et j'étais en caleçon, j'ai ôté Zahra de tout ses habits, elle n'avait que son slip.

Quel corps !

Tout est bien taillé aucun débordement.

Je commençais à frotter mon pénis sur le sexe de Zahra qui était protégé par ce petit bout de tissus.

Je n'en pouvais plus de ce supplice, je lui enlève doucement le slip et fait la même chose pour moi, on était tous les deux complètement nus.

Elle était mouillée comme pas possible, cela m'excitait au plus haut point.

Je fais naviguer la tête de mon sexe pour me frayer un chemin, c'est en ce moment que Zahra me poussa violemment et pris le drap pour se couvrir:

- Dji qu'est ce que tu voulais me faire(en tremblant).

- excuses moi d'aller si loin.

- tu as failli me faire la même chose que quand tu as voulu me violer.

- Zahra je suis un homme tu dois savoir cela et je t'aime on ne doit plus être aussi intime, c'est pas bien sinon on risque de faire ce qu'on était sur le point de faire.

- Dji je suis vierge.

- je le sais et je te demande pardon, je n'ai pas pu résister à ton corps.

- ramènes moi chez moi stp.

- avant que tu ne partes on doit d'abord discuter.

- couvres toi d'abord tu es nu(en baissant les yeux).

- d'accord Mme pudique(en tirant sur le drap qu'elle avait sur elle.

- Dji arrêtes, cherches toi autre chose.

- OK puisque tu ne veux pas partager ce drap avec moi, je vais prendre un bain.

Je me lève sans rien sur moi, elle détourne le regard et me sert un:

- tu n'as pas honte.

Je ne fais même attention à ce qu'elle me dit, j'entre dans la salle de bain et y ressors quelques minutes plutard....

Je la trouve habillée et toujours les yeux baissés, elle a toujours honte.

Je l'attire vers moi et lui prends encore les lèvres, elle fait semblant de m'arrêter, avant de suivre le rythme.

Après quelques minutes d'embrassades et de caresses Zahra se leva et me dit:

- Dji il se fait très tard.

- oui c'est vrai.

- donc ramènes moi stp.

- j'ai envie que tu restes ou bien même que tu passes la nuit ici, et demain je te ramène.

Elle ouvre gros les yeux, quelle peureuse !

- je blague petite peureuse.

- OK.

- bon je voudrais aussi parler avec ta mère...

- pourquoi ?

- Zahra tu as vu ce qui se passe quand nous sommes seuls, je ne veux pas te déshonorer,je veux faire de toi ma femme.

- Dji je ne sais pas...

- tu n'es plus une petite fille, moi aussi je ne suis plus un petit garçon, je n'ai plus le temps de jouer, donc je veux concrétiser les choses avec toi.

- tu veux que je te répondes maintenant ?

- prends ton temps, mais cela ne m'empêchera pas de parler avec ta mère, je veux qu'elle sache que j'ai de très bonnes intentions.

- Dji tu ne trouves pas que c'est un peu précipité, on devait peut être attendre un peu.

- attendre quoi dis moi ? On s'aime tous les deux, on est deux adultes et chacun sait ce qu'il veut, donc quel est le problème ?

- je veux seulement que tu me laisses le temps de réfléchir.

- tu as confiance en moi ?

- oui...

- c'est tout ce que je voulais savoir.

Je me lève et lui prends la main direction chez elle.

Elle était trop silencieuse à mon goût:

- Zahra qu'est ce qui se passe ?

- rien..

Un autre silence s'installe, je n'aime pas ça, j'arrête la voiture, je la gare et prends Zahra dans mes bras:

- n'aies pas peur tout va bien se passer, je t'aime..

- je t'aime aussi.

Elle me dit qu'elle habite aux Maristes. Arrivés devant une boutique elle me dit de la laisser là, qu'elle va marcher le reste du trajet:

- non bébé, je t'amenerai jusque chez toi.

- c'est pas très loin je peux marcher.

- arrêtes de faire ta tête de mule...

- c'est que la ruelle qui mène chez moi est trop etroite, la voiture ne pourra pas passer.

- donc descendons pour marcher ensemble.

- Dji stp....

- n'essaies même pas de me convaincre.

- d'accord.

Elle m'indique une ruelle et j'y vais avec la voiture, c'était étroit, mais Zahra m'a dit de m'arrêter devant un bâtiment en construction très sombre.

Je lui fais face en lui disant:

- pourquoi tu veux qu'on s'arrête là ?

- c'est ici que j'habite (avec une toute petite voix).

- ici ?

- oui dans ce bâtiment.

Je ne lui dis rien, je sentais qu'elle était mal à l'aise.

- OK descendons dis-je pour détendre l'atmosphère.

Elle me dirige vers cet endroit tellement sombre que moi même je commençais à flipper.

Arrivés à l'intérieur, je vois une lampe solaire qui éclairait le véranda.

Une silhouette assez imposante apparaît devant nous:

- Zahra tu as duré, ta mère ne se sentait pas bien.

- Djeynaba qu'est ce que tu es entrain de dire ?

- viens je lui ai donné de l'eau...

Zahra se précipite à l'intérieur et je la suis:

- maman qu'est ce que tu as ? Dit t-elle en pleurant.

Celle ci se relève difficilement avant de nous lancer :

- bonsoir les enfants( en souriant).

- bonsoir dis-je très poliment.

- c'est toi qui a fait pleurer ma fille durant tous ces jours.

- j'en suis désolé c'était pas dans mes intentions.

- je veux que tu prennes soin d'elle, protèges la et soit toujours à ses côtés.... Elle est parfois très immature mais tu dois essayer de la comprendre, elle t'aime plus que tout.

Je fixais du regard Zahra, qui versait de chaudes larmes.

- je te promets de bien la traiter, de l'aimer et de la comprendre.

- cela me rassure mon fils.

C'est Zahra qui met fin à notre discussion:

- maman, Djeynaba m'a dit que tu allais mal ?

- ça va j'étais seulement fatiguée.

Je vois Zahra qui lui touchait le front:

- hoo mon Dieu ton corps est brûlant.

Je m'approche aussi d'elle:

- je t'amène à l'hôpital dis je.

- non mon fils c'est pas la peine.

- si maman, allons à l'hôpital, Dji est venu avec sa voiture.

J'aide la maman à se lever et je les devance pour ouvrir la porte de derrière.

Zahra quant à elle n'arrêtait pas de pleurer. Sa mère était très calme.

Arrivés à l'hôpital, un homme en blouse blanche nous demande de le suivre.

Tata ne se sentait pas du tout bien, elle commençait à suffoquer...

Le médecin nous demande d'attendre:

- Zahra stp calmes toi.

- ........

- ta mère  va s'en sortir tu verra, elle sera même là pour voir nos petits enfants.

- je ne l'ai jamais vu comme ça... C'est comme si elle nous disait aurevoir.

- non ne penses pas comme ça, ta mère est une femme très forte, elle va s'en tirer.

- OK.....

Après plusieurs minutes d'attente, on revoit le médecin qui se dirige vers nous:

- c'est vous qui avez amené la dame ?

- oui.... (en coeur).

- je suis.....

























Bonsoir mes cocos, une partie très longue pour vous.

Qu'est qui est arrivé à la mère de Zahra ?

Donnez vos impressions.

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Excusez les fautes, écrire n'est pas facile dé.

À très bientôt.

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