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Chapitre 37

Penda Diallo.

Enfin... Enfin... Enfin... Elles sont parties, je prie Dieu qu'elles ne reviennent plus jamais ici.

J'ai entendu toute leur dispute, c'était vraiment houleux.
Quand j'ai entendu Bogal dire à sa mère et sa soeur de quitter l'appartement je suis entrée dans la chambre, en mettant de la musique à fond.

J'aime cette situation et je ferai tout pour que ça soit plus compliqué.

Bogal aussi commence vraiment à m'énerver, il ne me satisfait pas sexuellement, je suis une femme frustrée au lit.

Monsieur est toujours trop fatigué, une réunion très tôt, ou s'arrête au deuxième round prétextant d'être trop essoufflé pour continuer.

Et moi dans tout ça ?

Il ne pense pas à moi...c'est de sa faute si j'ai repris les mauvaises habitudes.

Depuis deux semaines je commence à aller retrouver certains hommes avec qui je couchais avant.

Au moins eux ils arrivent à me satisfaire... J'ai tout le temps besoin de sexe et je sais que mon mari n'est pas capable de m'en offrir autant.

Les seuls hommes que je n'ai pas contacté c'est les deux cons Bachir et Hamidou, qui ont voulu me démasquer lors de ma lune de miel.

Mon mariage couvre mes arrières, personne ne se doutera de mes activités extra-mariage.

J'ai envie de changer, j'ai voulu changer mais je n'y arrive pas.
Je crois que je suis condamnée à jamais.

Maudit soit le jour où cet homme m'a violé.

Tout ce qui m'arrive c'est à cause de lui.

Je suis lâche de me dédouaner comme ça pour justifier mon comportement, mais c'est comme ça, ma vie est ainsi faite.

Dji vient de partir, on dirait que cette fille l'a ensorcelé.

Je ne l'ai jamais vu aussi déprimé, il était sur le point de péter un câble.

Quand j'y repense, ces deux femmes ne m'ont jamais rien fait, elles ont toujours supporté mes moindres caprices....Mais bon ce n'est pas l'heure des regrets, j'ai eu ce que je voulais, donc pas de retour en arrière.























Zahra Fall.

Comme la vie est injuste, mon propre frère nous a jeté dehors à cause de sa femme.

Je n'y comprends rien... Peut être même que je n'arriverais jamais à comprendre un tel acharnement du destin sur nous.

Hier quand on est sorti de l'appartement, je ne savais même pas où aller et de surcroît avec ma mère.

J'ai trouvé une solution à l'immédiat c'est à dire aller demander de l'aide à Astou.

Je ne peux pas aller chez Nana, parceque je ne veux pas qu'elle éprouve de la pitié pour nous, ni qu'elle se sente dans l'obligation de nous aider, quant à Dji je ne veux en aucun cas qu'il soit mêler à cette histoire.

Quand nous sommes arrivées devant la maison où travaille Astou, j'ai demandé au gardien qu'il nous l'appele...chose qu'il fait à la minute qui suit.

Flash back:

- bonsoir Astou excuse moi de te déranger...

- Zahra qu'est ce que tu fais là avec ta valise ? Tu es avec ta mère ?... Bonsoir Tata Aïcha.

- bonsoir lui dit maman avec une voix brisée par ses sanglots, qu'elle n'a pas arrêté depuis que Bogal lui a dit ces méchancetés.

Astou reprend avec un air qui traduisaisait toute son incompréhension :

- qu'est ce qui se passe.

- Astou, ma mère et moi voudrions passer la nuit ici jusqu'à demain... Je sais que ce que je te demande n'est pas chose facile parceque tu travailles seulement ici, mais tu es notre seule issue.

- d'accord il n'y a pas de problème, heureusement que les patrons sont allés en voyages, ils doivent revenir dans 3jours.

- merci beaucoup Astou, tu nous sauves vraiment la vie... On passera seulement la nuit et demain on cherchera un endroit où loger.

- y'a pas de problème, attendez moi quelques secondes je dois dire deux mots à Habib(le gardien).

Après quelques secondes, elle revient en nous dirigeant vers l'intérieur.

De toute façon, la maison est tellement grande, et la partie où loge les domestiques est un peu isolée...Du coup on peut y vivre une éternité sans que les patrons ne s'en aperçoivent....

Mais on ne compte pas vivre ici, une seule nuit nous suffit, demain on ira ailleurs.

Fin du flash back.

Je n'ai même pas envie de parler de l'attitude de mon frère envers nous qui sommes sa seule famille, c'est un homme faible qui se laisse mener par le bout du nez.

Il a osé nous jeter dehors comme des malpropres....Je laisse tout entre les mains de Dieu, peut être qu'un jour il ouvrira les yeux, j'espère avec conviction qu'il ne sera pas trop tard pour lui.

Toute la nuit je n'ai pas fermé l'oeil, nous voilà une troisième fois dans la rue.

Voir ma mère verser ces larmes me fend le coeur:

- maman stp arrête de pleurer comme ça, Bogal n'en vaut pas la peine.

-.........

- ne t'en fais pas je vais nous sortir de cette situation... Tu as toujours été très pieuse donc dis toi tout simplement que ce qui est entrain de nous arriver est encore une des mille épreuves qui nous attendent dans la vie... On va s'en sortir inchallah....



Actuellement nous sommes dans une maison abandonnée à Mariste....c'est la maman de Astou qui nous a dit de venir ici, car la chambre qu'on occupait avant est prise par une autre famille.

Elle a été très compréhensive quand on lui a expliqué en bref notre situation sans trop entrer dans les détails.

On a vraiment pas le choix, même si cette maison n'est pas belle à voir, nous y resterons.

Au fait, je ne sais pas si on peut appeler ça maison, pas d'eau, pas d'électricité, pas de portes pour les chambres.

Il y'a une seule porte c'est celle de la principale, on ne peut même pas dire que c'est une porte, ce n'est qu'un t'as de ferraille qu'on a mis pour camoufler l'intérieur de la maison.

On a pas de matelas,il n'y a que le sol, la maison n'est pas carrelée.
Je prend un de mes pagnes que j'etale à même le sol, j'invite ma mère à venir s'asseoir...ce qu'elle fait avec un air las.

Elle souffre en ce moment, je ne l'ai jamais vu comme ça...elle a été déçue par son fils.

Je n'ai jamais vu ma mère verser une seule larme malgré touts les mauvaix traitements dont elle a fait face.

J'ai toujours honoré sa bravoure et son courage, mais là maintenant je la vois baisser les armes, et cela me fait énormémement mal.

Dans cette maison où nous sommes, il y'a une autre femme qui y habite.
Elle est une malade mentale, elle dort dans la pièce qui nous fait face.

En la regardant j'oublie toutes mes peines, elle n'a rien demandé pour perdre la raison.

J'ai vraiment pitié d'elle, que Dieu la protège.




Voilà un mois, jours pour jours je vis avec ma mère dans cette maison.
Je n'ose même raconter à quelqu'un toutes la souffrances qu'on vit...On ne mange pas, on dort  sur deux cartons qu'on a transformé en natte.

Au début on se réveillais avec des courbatures mais maintenant notre organisme commence à s'adapter....

J'ai failli verser des larmes, le jour où Djenaba la femme malade mentale est venue nous apporter le bol que des voisins lui avaient donné en aumône.

Depuis ce jour, on partage les repas avec elle.

Il arrive des moments où elle perd complètement sa lucidité....ma mère essaie toujours de la calmer pour la faire dormir.

À nous trois on forme une famille, mais un mois sans rien faire n'arrange pas la situation, maintenant que j'ai deux personnes qui comptent sur moi, je dois vraiment me trouver un travail et plus tard chercher un autre local plus descend.

Ma mère a perdu beaucoup de poids, elle se réfugie derrière la prière mais c'est peine perdue parce que je me rends compte que Dieu nous a oublié.
On a beau prié, mais rien, qu'est qu'on a fait pour mériter tout ça, je suis à bout de souffle.

Je regarde ma mère finir ses interminables prières et j'entame la discussion :

- maman tu penses que les prières servent à quelque chose ?

- que je ne t'entende plus parler comme ça.

- c'est la vérité maman, regarde tout ce qui nous arrive... Pourtant on a jamais rien fait de mal à personne.

- un croyant n'arrête jamais ses prières parce que  Dieu ne les a pas exaucés.... On prie pour rendre grâce à Dieu.... On prie parceque c'est une obligation, on prie aussi pour lui être reconnaissant.
Tu vois Djeynaba est ce qu'elle mérite ce qui lui arrive ?
Tu me diras non, donc dis alhamdoulillah et continue à prier, Dieu est grand.

Je l'écoute séduite par ses paroles:

- c'est vrai tout ce que tu as dis mais le problème c'est que la situation a beaucoup perduré.

- soit patiente et surtout persévérante.

- OK je ferai de mon mieux, dis moi maman tu as mal quelque part ?

- pourquoi tu dis ça... Je vais bien alhamdoulillah.

- je t'entends souvent la nuit gémir de douleur, et tu maigris de jours en jours.

- non tu rêves sûrement, mais ta maman se porte à merveille (en souriant).

- ha puisque tu le dis...mais je ne suis pas totalement convaincue.

Elle me lança un regard pleins de menaces....

- excuse moi maman c'est que je te trouve trop changer, en plus tu ne me dis jamais rien... Ta santé est très importante pour moi... Donc si tu as mal quelque part tu me le dis.

- je te répète que je vais bien,je rends grâce à Dieu.

- d'accord je m'en tiens à ça.... Mais je voudrais aussi discuter avec toi d'autres choses, je vais me chercher du travail, cette fois-ci tu ne vas rien dire parce que tu sais que c'est la seule issue pour nous de sortir de cette situation, au moins trouver un logement et avoir de quoi manger....

- d'accord ma fille tu peux aller chercher du travail.

- mon seul problème c'est que je ne veux pas te laisser seule ici... Si je pouvais t'amener avec moi...

- je ne suis pas seule, Djeynaba est là.

- maman tu sais que parfois elle n'est pas totalement elle... tu comprends ?

- je comprends mais ta mère est une grande fille, elle se débrouillera(en me faisant un large sourire).

Peut être que je me trompe, mais j'ai l'impression que ma mère essaie seulement de me rassurer..

- c'est bien alors, je vais sortir un peu pour faire le tour du quartier.

Mon esprit m'amène encore les images de Dji, il me manque tellement, mais je n'ai plus aucuns moyens pour le contacter.

C'est égoïste de ma part je le sais, je devais tout faire pour le prévenir, mais je crois que c'est mieux ainsi.

Peut être même qu'il a tourné la page Zahra.

Je n'ai pas envie qu'il soit au courant de mon histoire, il voudra peut être s'en mêler, ce que je ne souhaite pas.

J'ai eu une idée c'est à dire d'aller chez le boutiquier pour lui dire que s'il voit quelqu'un qui veut une domestique, qu'il me fasse signe.

Je veux lui faire la demande parce-que je sais que presque tout le quartier vient à sa boutique, donc il pourra peut être m'aider.

Je sors et me dirige chez Ibrahim le boutiquier,je ne sais pas comment aborder la question avec lui mais j'improviserai.

Je trouve le quartier très calme, toutes les maisons qui nous entourent sont d'une beauté insolente.

Que de belles maisons et de belles voitures, des rues désertes et peu fréquentées sont le décor que nous offre ce quartier pleins de nantis.

Arrivée devant la boutique, je vois qu'il y'a beaucoup de monde qui y entrent et y sortent.

Comment procéder ?

Que dois-je lui dire ?

J'attends presque 10minutes devant la porte sans y entrer.

Je me décide enfin d'attaquer:

-  bonjour Diallo.

- bonjour halé bou rafete (jolie fille).

Il m'appelle comme ça depuis le premier jour que je suis venue dans sa boutique.

-hahaha le nom que tu me donnes me fait rire.

- en tout cas tu es très belle.

- merci... Au fait je suis venue te parler de quelque chose, je ne connais pas bien le quartier je voudrais que tu m'aides un peu.

- en quoi puis-je t'aider je le ferai avec un grand plaisir.

- d'accord c'est que je voudrais travailler comme domestique mais je ne voudrais pas trop m'éloigner, ma mère ne se sent pas trop bien et je ne peux pas la laisser seule pendant un bon moment.

- OK je comprends mais tu as de la chance on dirait, tu n'as pas vu un gars sortir de la boutique, c'est celui avec la voiture noire.

- non je ne l'ai pas remarqué.

- c'est pas grave... Bon je disais que ce Monsieur cherche une domestique, il vient de m'en parler... Il habite juste à côté, il vit seul, sa femme est partie en France pour quelque temps.

- tu dis qu'il vit seul ?

- oui il a un frère qui a ton âge, qui ne vient que les week-ends.

- je vois....

- il voudrait de quelqu'un pour nettoyer et cuisiner.

- bon je ne sais pas... Mais j'ai confiance en toi...tu peux lui dire que je viendrais travailler chez lui.

- il m'avait donné son numéro attend je l'appelle.

Il sort un vieux téléphone et compose le numéro:

- allô monsieur Ba, c'est Diallo le boutiquier, oui ça va, tu m'as dit tout à l'heure que tu avais besoin d'une bonne, oui c'est vrai.... J'ai quelqu'un qui dit être prête pour ce travail...elle est là devant moi.... Haaa d'accord... Merci beaucoup.

Il raccroche son téléphone et me regarde en souriant:

- il m'a dit de t'amener chez lui pour discuter des modalités.

- ha tout de suite.

- oui bien sûr pourquoi attendre.

- d'accord allons-y.

Je le vois sortir de la boutique en donnant des directives à un homme qui était assis un peu à l'écart :

- suis moi belle dame.

Je souris en le suivant, il est vraiment gentille avec moi, pourtant je ne fais même pas partie de ses clients qui dépensent beaucoup dans son commerce.

Après quelques 5 minutes de marche, il se retourne vers et me dit sur un ton des plus rassurants:

- ne t'en fait pas, tu verras que le monsieur est très gentil.

-  merci pour tout.

- ne me remercies pas je te considère comme ma nièce, c'est la fille de ma grande soeur, elle est en Guinée Conakry.

Après quelques pas,il me dirige vers une maison recouverte de fleurs.

J'aime déjà la devanture.

Diallo sonne et attend quelques secondes avant qu'un monsieur de teint un peu clair ne nous ouvre la porte.

Il nous dit en souriant :

- bonsoir Diallo.... Mademoiselle ça va... Venez entrez, mon gardien est parti au super marché... Allez installez vous au salon.

Il est vraiment chaleureux cet homme,on est assis dans le salon, il nous amène de l'eau et des amuses gueule....

Il me regarda un instant avant de me lancer:

- c'est d'elle dont tu me parlais tout à l'heure.

- oui c'est elle, c'est une fille très gentille et très douce, elle vit avec sa mère.

- d'accord en tout cas j'ai confiance en toi, à elle maintenant de me dire combien elle veut pour ce travail.

Moi non pas moi, qu'est ce que je suis censée lui dire, je ne sais même pas comment on négocie ces choses.

C'est Diallo qui me sauve encore en disant:

- tu sais, c'est une fille trop timide, elle est presque ma nièce, donc je peux négocier pour elle.

- d'accord...donc négocions ( en souriant gentillement).

Ils finissent leur négociation, ils ont conclu à 80000f.

Mon Dieu 80milles c'est extraordinaire pour moi, je ne pouvais pas rêver mieux.

Je remercie Diallo du fond du coeur et trace vers chez moi.

J'ai très hâte de donner la nouvelle à ma maman.
Je sais qu'elle sera très heureuse, moi aussi je le suis encore plus, car je ne serais pas loin d'elle, et le salaire est très abordable.

Je commencerai demain inchallah, merci mon Dieu de m'avoir donné une nouvelle chance.














































Djibril Ndiaye.

Je dois me rendre à l'évidence, Zahra m'a quitté pour toujours.

Depuis ce jour aucune nouvelle d'elle, je suis repassé plusieurs fois chez elle, mais Penda me sert toujours la même réponse.

Je sens un vide total dans mon coeur, malgré tous ces problèmes, elle pouvait au moins me faire signe.

J'aurai été auprès d'elle pour la soutenir, mais elle a préféré m'effacer totalement de sa vie.

Je trouve qu'elle est très égoïste en me faisant ça, et pourtant je continue de l'aimer comme au premier jour.

Je ne peux pas encore me faire à l'idée que cette fois-ci elle m'a quitté pour toujours.

M'aimait t-elle sincèrement ?

En tout cas son attitude me montre totalement le contraire, je suis déçu par son comportement.

C'est Taph qui me sort de mes pensées en me disant sur un ton inquiet :

- qu'est ce qui se passe ? Je te parle depuis 10minutes mais on dirait que tu ne m'ecoutes pas.

- excuse moi, tu disais quoi ?

- dis moi ce qui te rend dans cet état ?

- Zahra.

- Zahra quoi ?

- elle m'a quitté.

- qu'est ce que tu lui a encore fait.

- rien mec, je te jure cette fois-ci je ne lui ai rien fait, je ne sais pas pourquoi elle a disparu comme ça.

- est ce qu'elle t'aimait vraiment ?

- bah je crois que oui( en me levant de ma chaise).

- dis toi qu'elle a peut être des problèmes.

- mais elle devait m'appeler, ce qui m'énerve encore plus c'est que son numéro est injoignable.

- je ne sais pas quoi te dire.

-.........

- demande à Nana, elles sont très proches l'une de l'autre.

- tu crois qu'elle sait où elle se trouve ? ( avec une lueur d'espoir dans mes yeux).

- oui je pense qu'elle le sait.

- merci mon pote.

- tu aimes vraiment cette fille hein ?

- oui plus que tu ne peux l'imaginer.

- bonne chance alors.

- merci.







À l'heure de la descente, je dis à Taph que je voudrais m'entretenir avec sa femme. Il me tapaute l'épaule comme pour m'encourager.

Arrivés chez lui, on voit Nana au salon qui allaitait mon homonyme.

On se salue et je me lance dans la discussion avec elle.

- j'espère que mon petit champion ne te fatigue pas trop.

- il est terrible il ne me laisse pas dormir la nuit, il veut me tuer je crois.

Je plains mon ami, un vrai pervers, donc il ne va plus fatiguer sa femme,son bébé prend le relève.

- massa c'est difficile parfois avec les enfants.

- je te jure.

Je fais tout ce détour pour trouver une astuce sur comment entamer la vraie discussion.

- on a eu peur l'autre jour hein quand  bébé pleurait toute la journée.

- oui ce jour Kay si ce n'était pas Zahra, depuis ce jour il ne pleure plus comme ça.

- c'est bien alors.

- Zahra est un ange.

- tu ne l'as plus revu depuis ?

Elle semblait un peu étonnée par ma question, mais cela ne lui empêche pas de répondre :

- ha Zahra dé je ne sais pas ce qui arrive à son portable, mais je n'arrive pas à la joindre, j'ai tout tenté mais rien.

- tu ne sais pas où elle habite.

- à  vrai dire je ne suis jamais allée chez elle,mais elle m'avait dit qu'elle habitait à Camberene 2.

- elle ne t'a jamais parlé d'un déménagement.

- déménagement non, elle m'en a jamais parlé.... Pourquoi tu dis ça, elle a déménagé ?

- non elle m'en a pas parlé, c'est une question bête, je suis parfois un peu fou.

Elle sourit face à cette blague.

À présent je suis sûr que Nana ne sait pas grand chose sur le déménagement  de Zahra et de sa mère.

Une inquiétude sans nom me traverse, Zahra s'est volatilisée dans la nature.

Où la retrouver ?

Zahra où es-tu ?







































Coucou mes cocos, une nouvelle partie assez longue pour vous.

Donnez vos impressions.

Le couple Zahra-Dji est fini hein.

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Excusez les fautes, écrire n'est pas facile dé.

À très bientôt.

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