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Stromboli

                                                                   ⋅◈⋅ MASSIMO ⋅◈⋅

Nous sommes encore dans l'appartement de l'ancien mec de Saphyr. Il est en train de se vider de son sang pendant que ma baby girl s'est effondrée dans mes bras. Je la regarde et la porte dans mes bras.

- Andiamo. Lasciamo che quel cane muoia in pace. (Allez. Laissons ce fils de chien mourir en paix.)

Marco et nos hommes sortent en premier de l'appartement pour voir s'il n'y a personne dans la rue. Il fait nuit et nous avons la chance d'être dans un quartier où les gens se mêlent de leur cul. Je rentre dans la voiture avec le corps de Saphyr, nous partons pour le jet qui nous attend dans un aéroport privé. Pendant le trajet, je drogue Saphyr, je ne veux pas qu'elle se réveille durant le trajet et pour le moment elle ne doit pas savoir qui je suis.

Nous arrivons au jet, je la mets sur mon lit, quand je la pose sa robe légère remonte sur ces cuisses et j'ai envie de poser mes mains dessus. Au moment où j'allais le faire, j'entends tousser derrière moi, Marco me regarde avec un regard noir et je sais à quoi il pense mais il ne dit rien.

- Don, stiamo per decollare. ( Don, nous sommes sur le point de décoller.)

- Sto arrivando. Puoi concedermi un minuto con lei. (J'arrive. Tu peux me donner une minute avec elle.)

- Non è una buona idea, Massimo. (Ce n'est pas une bonne idée, Massimo.)

Je me mets à le regarder de travers et il part.

                                                                                          ◈

"C'est bon, je sais ce que je fais et je vois bien que toi qui est derrière ton écran tu as peur que je la touche pendant son sommeil. Mais je ne suis pas...et puis pourquoi je me justifie envers des personnes comme vous. Je ne vous doit rien du tout et mêlez vous de votre cul." 

                                                                                        ⋅◈⋅

Je me suis obligé à suivre Marco et de laisser Saphyr tranquille. Elle va dormir jusqu'à notre arrivée à Stromboli, l'une des îles proches de la Sicile. Pour le moment je vais l'installer dans l'une des villa que ma famille possède, elle sera bien là-bas avec mes hommes.

 Durant le vol, je tourne en rond dans le jet, je veux la posséder toute de suite mais je sais que je dois faire preuve de patience. Je vois une des filles de l'équipage, je l'attrape par le bras et je vais me soulager avec elle. Pendant que la fille s'occupe de moi...

                                                                                           ◈

 "Je ne vais pas vous faire un dessin tout de même car je pense que vous n'êtes pas si con quoique je sais que vous n'êtes pas les Saint jacques les plus doré de la poêle."

...je regarde vers le lit où dort ma baby girl et je prends mon pied en pensant que très bientôt ça sera la bouche de Saphyr qui sera autour de mon membre et que ça sera elle qui me donnera du plaisir.

                                                                                         ⋅◈⋅

Après deux heures de vol, je vois enfin ma terre natale apparaître sous mes yeux. La Sicile est toujours aussi magnifique et ici, je suis le roi, le maître du jeu et tout le monde se plie devant moi.

Le jet se pose et une voiture nous attend devant. Je vais prendre ma baby girl et la conduit chez moi. Le temps que l'on s'enfonce dans les terres, je vois qu'elle ne va pas tarder à se réveiller. Le chauffeur va plus vite et on arrive à la villa. Marco a fait venir des hommes de main et de confiance et ce sont eux qui vont veiller sur elle, le temps que je m'occupe de mes affaires à Catane.

Je rentre et je vais dans la chambre avec elle dans mes bras, les siens sont autour de mon cou.

Elle murmure des mots dans son sommeil mais je ne la comprends pas, je vais devoir apprendre un peu le français pour savoir ce qu'elle me dira pendant que nous jouerons tous les deux. 

Je finis par la déposer sur le lit, je place la couverture sur elle puis je me recule avant de vouloir prendre ses lèvres.

-   Ci vediamo molto presto, mia Baby girl. (On se revoit très vite, ma Baby girl.)

Je sors de la chambre pour me rendre dans le salon. Marco et les hommes m'attendent de pied ferme.

- Luca, tu resteras ici et tu seras mes yeux et mes oreilles. Je ne veux pas qu'elle sorte d'ici sans toi, tu es son ombre et tu ne la lâches pas d'une semelle tant qu'elle n'est pas auprès de moi. je suis persuadé qu'elle va essayer de se barrer alors je compte sur toi pour que cela n'arrive pas. Il en va de ta vie ! Tout le monde m'a bien compris ?

- J'ai compris, patron.

Tous mes hommes font oui, je leur donne mes dernières instructions puis je repars pour le jet et aller à Cartane.

                                                                        ⋅◈⋅ SAPHYR ⋅◈⋅

Depuis que je me suis prise un coup dans la nuque, je me sens lourde et épuisée. Je ne sais pas ce qu'il se passe autour de moi, j'ai cru entendre des voix pas loin de moi puis j'ai senti que l'on me portait pour enfin me poser sur une sorte de lit mais je suis tellement dans les vapes que je n'arrive pas à ouvrir les yeux.

Je ne sais pas au bout de combien de temps je me réveille, j'ouvre les yeux alors qu'une faible lumière me vient depuis une fenêtre. Je m'assoie péniblement, j'ai les jambes en coton et la bouche pâteuse. Une porte s'ouvre sur une femme assez âgée, elle vient vers moi et je cherche de quoi me défendre au cas où.

- Mademoiselle Garnier, vous êtes enfin réveillée.

Cette femme parle avec un fort accent Italien et elle porte un plateau dans ces mains.

- Où je suis ? Qui êtes-vous ? Où suisj-e ?

- Mademoiselle, je ne peux pas vous répondre. Je vous ai amené de quoi manger, vous devez reprendre des forces.

- Je ne veux pas de votre nourriture, je veux des réponses !

Elle pose le plateau puis repart par la grande porte qui est sur le côté, j'essaye de me lever pour la suivre mais j'entends que l'on ferme ma porte à double tour. Mais c'est quoi ce délire ! 

Pour le moment je reste sur le lit et je regarde ce qu'il y a sur ce plateau. Je vois principalement de la nourriture française, ce qui me fait dire que je dois être encore dans mon pays. Par contre, je décide de n pas manger même si je meurs de faim. 

J'attends de reprendre des forces pour ensuite me lever, je vais à la fenêtre et je ne peux voir que la mer à perte de vue. J'essaye de l'ouvrir mais elle a l'air seller. Putain, je suis enfermé de tout les côtés.                                                                                                                                                  

Je fais le tour de la chambre qui est meublée avec goût, c'est le grand luxe ici. Un lit énorme, deux commodes avec des lampes qui coûtent plusieurs salaires, une douche à l'italienne pour au moins 6 personnes mais qui a eu l'idée de faire des douches aussi grandes. Je fais le tour de la pièce, je me dirige vers une porte, celle-ci n'est pas fermée et je rentre dans un dressing qui est aussi grand que ma chambre à Paris. Je regarde ce qui se trouve ici, il y a des robes de grands créateurs et pour la plupart Italien. J'ouvre une autre penderie et là, c'est mes vêtements qui sont devant moi.

- Mais c'est quoi ce délire !

- Monsieur a pensé que cela serait mieux pour vous de les avoir ici.

Je sursaute en poussant un cri puis je me retourne en lançant la paire de talons que je venais de prendre. Le jeune homme l'évite facilement. Je le détaille, il n'est pas plus vieux que moi, brun avec des yeux vert perçant et habillé d'un costume sombre.

- Beau lancée, mademoiselle Garnier.

- Mais putain, tout le monde sait mon nom ici ! Et que me voulez-vous à la fin ?

- Oui, tout le monde sait qui vous êtes mademoiselle. Vous saurez très bientôt pourquoi vous êtes parmi nous. Je vois que vous n'avez rien mangé, pourquoi ?

- Vous pensez vraiment que je vais manger de la nourriture apportée par une inconnu, chez des inconnus. Je ne suis pas folle, je ne veux pas mourir empoissonnée.

- Comme vous voulez ! Demain matin, nous prendrons le petit déjeuner tous les deux et vous verrez que vous n'avez aucun souci à vous faire tant que vous êtes calme.

- C'est bien mal me connaître.

- Monsieur m'a prévenu que vous risquez d'être difficile mais cela ne me fait pas peur.

- Vous direz à Monsieur l'inconnu ou plutôt Monsieur le trou du cul, que je l'emmerde.

- Il sera ravi d'apprendre que vous le traitez de trou du cul. 

Le mec se rapproche de moi et c'est à ce moment là que je vois qu'il porte une arme à sa ceinture.

- J'ai juste un conseil à vous donner mademoiselle Garnier, ne jouez pas à la forte tête quand vous serez auprès de Monsieur.

- Pourquoi ça ?

- Parce que vous serez très vite perdante avec lui. Il n'est pas du genre tendre avec les demoiselles qui lui résiste.

Il a bien fait de me dire ça car je vais faire tout le contraire de ce que voudra ce mec et hors de question de me soumettre à qui que ce soit.

-Vous pensez vraiment que je vais me laisser faire par un mec qui n'a même pas les couilles de venir me voir lui même.

Je n'ai pas le temps de voir venir la baffe que je me prends, je passe ma main sur ma joue et le mec me tire hors du dressing par le bras. Il me ramène dans la chambre et me jette sur le lit en criant en italien.

- Farai quello che ti verrà detto, punto. Piccola stronza. Qui siete in Sicilia e non più in Francia. Non ordini, obbedisci. (Vous ferez ce qu'on vous dit, point final. Petite salope. Ici vous êtes en Sicile et non plus en France. Vous n'ordonnez pas, vous obéissez.)

Les seuls mots que je comprends sont petite salope, Sicile et France. Je le regarde avec des yeux ronds et je recule sur le lit pour être loin de ce mec.

- Maintenant tu te tiens bien et je reviens te chercher demain matin pour le petit déjeuner. Si tu me les brises demain, tu peux me croire quand je te dis que tu vas très vite changer de chambre pour avoir une très belle cellule avec des barreaux de par en par.

Je vois bien qu'il ne plaise pas et je ne dis plus rien. Il sort de ma chambre et referme la porte à clé derrière lui. Je me retrouve de nouveau seule dans cette grande chambre avec ma joue qui me fait mal. Ce mec a oublié qu'il ne faut pas frapper les femmes.

J'attends un moment sans bouger puis je me relève pour aller voir dans mes affaires. Je fouille dans tout et je ne trouve pas mon portable.

                                                                                     ◈ 

"Oh, je sais. Toi, le lecteur. Tu dis 'Elle est conne ou quoi, elle ne voit pas qu'elle est prisonnière'. Merci bien mais je le vois bien par moi même mais tu ferais quoi toi à ma place. Je suis sûre que tu serais en train de chialer en boule dans un coin alors lâche moi."   

                                                                                    ⋅◈⋅

Au bout d'une heure de fouille, je décide de me rendre dans le lit et de dormir un peu. Demain, j'aurais besoin de toutes mes forces pour trouver une solution et me barrer d'ici. 

Je me suis endormie comme une masse et je crois que j'ai beaucoup trop dormi. Bon, je dis ça mais je ne sais pas quelle heure il peut être, à part le soleil qui est levé pour me dire qu'il fait jour, je n'ai rien d'autre. 

Je me lève du lit pour aller prendre ma douche en espérant que personne ne va rentrer ici car les vitres de la douche sont transparentes et on peut tout voir à travers. Je me glisse sous l'eau et c'est quand je suis nue que je pense qu'il peut y avoir des caméras. Je me lave le plus rapidement, je passe une serviette autour de ma taille puis je cherche les éventuelles caméras mais je n'en vois pas. Je dois m'inquiéter pour rien. 

Je passe une tenue classique, top en dentelle de couleur bleu et un jean troué. Dans la coiffeuse, je trouve de quoi me maquiller. Je regarde les produits et heureusement tout ce qui se trouve ici ne sont pas des produits tester sur des animaux. 

                                                                                        ◈

"Et voilà, je vois vos yeux se lever et j'entends très bien ce que tu te dis. Non, je ne suis pas une extrémiste ni une végane. Je refuse juste tout ce qui est tester sur des pauvres animaux et tout ce qui est fait à partir de ces pauvres bêtes, donc pas de fourrures ni de sac en peau pour moi. Toi, tu peux faire ce que tu veux. C'est entre toi et ta conscience."

                                                                                        ◈

J'ai juste le temps de finir de me préparer que la porte de la chambre s'ouvre. Je vois le type d'hier soir.

- Je vois que tu as l'air bien reposer maintenant il est temps d'aller manger. Suis moi !

Au son de sa voix, je sens bien que je n'ai pas intérêt à lui dire non. Je viens me mettre auprès de lui.

- On va aller prendre le petit déjeuner sur la terrasse et après si tu es sage, tu auras le droit à une visite de la villa.

Je ne dis rien et je le suis. On sort de la chambre et on prend un long couloir où différents tableaux sont accrochés, la plupart sont des paysages. Je les regarde en marchant. Le mec ne dit pas un mot puis j'entends son portable sonner, il décroche tout de suite.

-  Sì, lei è con me... non avevo scelta, Don... sì... non lo rifarei... beh, ho capito. (Oui, elle est avec moi... Je n'avais pas le choix, Don... oui... je ne recommencerais pas... eh bien, je comprends.)

 Je ne sais pas avec qui il parle mais cela n'a pas l'air de lui plaire. Je vois qu'il est concentré sur sa conversation, je vois de la lumière non loin de nous et je profite qu'il ne me regarde pas pour partir en courant.

Je l'entends jurer en Italien derrière moi mais je m'en fiche, je cours vite à travers les couloirs même si je sais pas où je vais. J'arrive enfin à une sortie, je m'engouffre dedans. Putain, je suis sur une terrasse, je regarde tout autour de moi pour voir s'il y a une sortie mais non. Soit je fais demi-tour ou bien je vois si je peux sauter de cette terrasse. Je m'approche et je suis horrifié de voir où je suis.

Devant moi se trouve la mer à perte de vue et en dessous de moi des rochers. Impossible de partir par ici. Je reste figé devant tout ça !

- Mademoiselle Garnier, bienvenue à Stromboli !

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