Ecco, so che mi vuoi Baby girl.
⋅◈⋅ SAPHYR ⋅◈⋅
Les jours qui ont suivis le meurtre de l'un des hommes de Luca, je ne suis pas sortie de ma chambre, je ne mangeais qu'ici et ne voyais la lumière du jours que par la fenêtre de ma chambre. Luca a cru que j'étais malade et il a même fait venir un médecin mais celui-ci lui a dit que je vais très bien sur le plan physique mais que mon moral commence à baisser. Ma mère me manque, mes amies me manquent et même la France me manque. Je ne supporte plus de rester ici et je dois me bouger le cul.
⋅◈⋅ MASSIMO ⋅◈⋅
Avoir fait tuer ce mec devant les yeux de Saphyr a eu de très bon résultat même un peu trop car selon luca, elle ne sort plus de sa chambre, mange très peu et reste dans le noir tout le temps. je n'ai pas besoin d'une baby girl qui se laisse mourir, j'ai besoin d'elle vivante pour que mon plan marche.
Ce matin, je mets mes affaires en ordre pour pouvoir partir quelques jours à Stromboli. Je dois voir ce qu'il se passe là-bas par moi-même. Le soir venu, je prends mon jet et réfléchis à la suite de mon plan. Pour le moment, il est trop tôt pour qu'elle soit auprès de moi.
Il fait nuit noir quand j'arrive à ma villa de Stromboli. Luca m'accueille devant la porte.
- Bienvenue chez vous, Don Castilllio.
- Où est-elle ?
Je n'ai pas de temps à perdre et je dois la voir tout de suite.
- Elle dort dans votre chambre, elle n'en est pas encore sortie aujourd'hui.
Je m'avance vers ma chambre. Je rentre dedans sans faire de bruit et je m'approche de mon lit. Elle dort à poing fermé et je ne résiste pas à l'envie de me mettre auprès d'elle. J'ai retiré mon haut.
◈
" Tout doux, les nuls ! Je ne vais rien lui faire, je ne suis pas un violeur de femme qui dorme, ni un violeur tout court. J'ai juste envie d'être un peu auprès d'un corps d'une femme qui ne soit pas une pute. De plus, tu veux faire quoi, toi petit lecteur. Même si je la prenais de force sous tes yeux, tu n'aurais aucun pouvoir. D'ailleurs, tu n'en a jamais eu dans ta vie de minable."
◈
Je m'allonge sur le ventre sans qu'elle ne se réveille, elle a le sommeil lourd ou bien elle doit être épuisée.
Je reste un bon moment dans cette position, je l'admire. Elle n'est pas si mal pour une Carreras, de beaux cheveux bruns longs comme je les aime, un peau un peu hâlé, elle manque juste un peu de couleur et c'est dommage.
Saphyr finit par bouger, je suis prêt à partir très vite au cas où elle se réveille mais ce n'est pas le cas. Elle se tourne et vient se coller à moi. Saphyr pose sa tête contre mon torse et enroule un bras autour de moi, je ne bouge pas d'un poil même si j'ai envie de passer ma main dans ses cheveux, de tirer dessus pour qu'elle se réveille. Je m'imagine en train de le faire, de lui dévorer ses lèvres, de sentir son corps nue sur le mien. Putain, je dois dégagé de ce lit si je ne veux pas mettre mon plan en péril.
Je la détache de moi assez rapidement, elle grogne pendant son sommeil.
- Non è per ora, bella. (Ce n'est pas pour maintenant, bella.)
Je sors de ma chambre torse nue, j'ai repris mes affaires et dans le couloir, je croise Marco. Il me regarde de travers.
- Pas un mot !
Je me dirige vers une chambre et je vais venir Cathy pour me soulager. Je dois me vider dans n'importe qui pour ne pas craquer.
⋅◈⋅ SAPHYR ⋅◈⋅
Je me réveille de bonne heure et pour une fois de bonne humeur. Cette nuit, j'ai fait un drôle de rêve. J'avais un homme auprès de moi, je le serrais dans mes bras, je respirais une odeur épicée, j'embrassais un torse musclé, je sentais son envie qui pointer le bout de son nez et je peux vous dire que c'était du gros calibre.
Ce rêve me décide à me bouger un peu, je me lève enfin de ce lit pour prendre une douche bien chaude puis j'en sors nue pour ouvrir la fenêtre. Le soleil est déjà bien haut dans le ciel et pour un mois de septembre, il fait encore chaud alors je me cherche une robe légère puis une fois que je l'ai mise, je sors de ma chambre.
Je marche dans les couloirs pour aller manger sur la terrasse, je passe devant un bureau où la discussion à l'air animée. Je fais ma curieuse et je mets mon oreille sur la porte pour tout entendre. Merde, c'est en italien.
- Ma sei completamente pazzo a fare una cosa del genere. Immagina che si sia svegliata. (Mais tu es complètement fou de faire quelque chose comme ça. Imagine qu'elle se soit réveillée.)
- Marco, sono il tuo Don. Sono libero di fare quello che voglio. (Marco, je suis ton Don. Je suis libre de faire ce que je veux.)
Putain, j'ai entendu le mot Don donc il est là ! J'essaye d'ouvrir la porte, je veux voir qui il est et comment il est.
- Open that fucking door for me, I know you're there, you cowardly Don. (Ouvre-moi cette putain de porte, je sais que tu es là, espèce de lâche Don.)
⋅◈⋅ MASSIMO ⋅◈⋅
Marco et moi, nous sommes en pleine discussion quand on voit que quelqu'un essaye d'ouvrir la porte et la voix de ma Baby girl résonne derrière la porte. Elle me traite de lâche et quand je suis sûr le point de lui prouver le contraire, Marco m'attrape par le bras.
- No, non è ancora il momento. (Non, ce n'est pas encore l'heure.)
Je sais qu'il a raison mais je ne supporte pas qu'elle me traite de lâche. Elle continue de parler derrière la porte.
- So we have more balls to kidnap a woman than to show her his face. I always knew that Italians had nothing in their pants. (On a donc plus de couilles pour kidnapper une femme que pour lui montrer son visage. J'ai toujours su que les Italiens n'avaient rien dans leur pantalon.)
Je fixe Marco.
- Vai a calmarla prima che gli faccio vedere se gli italiani non hanno niente nei pantaloni. ( Va la calmer avant que je lui montre si les italiens n'ont rien dans le pantalon.)
Je me recule dans le bureau et laisse Marco lui ouvrir la porte. Je vois sa belle robe et surtout son air furieux. Elle vient tout de suite se mettre en face de Marco.
- How weird, your Gift is hiding. He's afraid of a little French girl. ( Comme c'est bizarre, ton Don se cache. Il a peur d'une petite française.)
- You calm down immediately! You don't talk about our Gift that way, especially if you don't want to go back to your basement. ( Vous vous calmez immédiatement ! Vous ne parlez pas de notre Don de cette façon, surtout si vous ne voulez pas retourner dans votre sous-sol.)
- I'm scared to death. All you can do is cellar it. Although your rats probably have more balls than your Don. ( Je suis mort de peur. Tout ce que vous pouvez faire est de le mettre en cave. Bien que vos rats aient probablement plus de couilles que votre Don.)
Là, c'en est trop pour moi. Je profite que Marco lui parle pour me glisser derrière elle, je passe une main sur son ventre, le plaque contre moi de façon qu'elle ne puisse pas me voir. Elle pousse un cri de surprise.
- Baby girl, don't worry about my balls. ( Baby girl, ne t'inquiète pas pour mes couilles.)
Elle est tellement plaquée à moi qu'elle peut sentir à quel point je bande contre son dos. Cette femme me fait autant rager que bander.
- There, if I want, I will prove to you to what extent the Italians have it in their pants. Your dress is so short, baby girl. ( Là, si je veux, je te prouve à quel point les Italiens en ont dans le pantalon. Ta robe est si courte, baby girl.)
- This short dress and this body will never be yours! No matter how hard you get, I would never want you. ( Cette robe courte et ce corps ne vous appartiendront jamais ! Peu importe à quel point tu es dur, je ne voudrais jamais de toi.)
Je passe ma langue dans son cou, je sens que son corps se raidit et frémit un peu.
- Saphyr, one day you will beg me to take you. I'm going to fuck you so hard you'll beg for more and more. Your body already wants me. ( Saphyr, un jour tu me supplieras de te prendre. Je vais te baiser si fort que tu en demanderas de plus en plus. Ton corps me veut déjà.)
J'adore installer cette tension sexuelle entre elle et moi. Elle ne dit plus un mot et se contente de faire non de la tête. Je caresse son ventre du bout de mes doigts.
- Yes my baby girl. You scream with pleasure from the blows. You will feel my cock inside you because you will have wanted it for a long time, your body will be mine. ( Si, ma baby girl. Tu crieras sous mes coups de reins. Tu sentiras ma bite en toi car tu l'auras voulu depuis longtemps, ton corps est à moi.)
Je continue de lécher son cou, je sens son corps se détendre peu à peu puis je la lâche. Je me dirige vers la sortie de mon bureau, elle ne cherche même pas à se retourner. Je la sais folle de désire pour moi et je souris avant de lui parler.
- Ecco, so che mi vuoi. ( Maintenant, je sais que tu me veux.)
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