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Chapitre 10 : Esprit tortueux torturé

Ça semblait durer des heures, il ne pouvait rien faire, pas bouger, pas réagir, pas parler, pas supplier. Rien. il devait écouter en boucle les même reproches. Encore et encore... impossible de réagir, impossible de l'arrêter. C'était si douloureux... comme si son âme était prit et fracassé avant d'être réparé pour recommencer. Encore. 

Encore.

C'était sans fin.
Tellement de souffrance, trop pour son corps, pour son esprit d'enfant. Pourquoi ça lui faisait tellement de mal ? Ce n'était qu'un abrutit, il le détestait, il n'en avait rien à faire de son avis ! Pourquoi devait-il l'écouter ? Pourquoi était-il dans la « peau » de Fallacy ? Pourquoi ne faisait-il rien ? Il admirait à ce point son père ? Etait-il si stupide ? Pourquoi croire en lui ? Porter le moindre intérêt à cette être si abject ?

C'est alors que, entre toutes ses questions, il se souvint du souvenir raconté par son frère. Fallacy ne voulait que l'amour, l'approbation, comme tout les enfants, peu importe de qui cette affection venait. Et sa mère ? C'est à ce moment la que tout devint flou, Malef disparut, Tout changea, finit l'environnement noir, finit les mots dures. Plus que le silence, le calme.
Toujours paralysé.

Cette fois, allongé, gigotant pourtant les bras et les jambes, comme s'il avait pleins d'énergie. Une délicieuse sensation en lui, comme une grande bouffée de joie inégalable. Tout autour de lui était d'une nuance d'orange se voulant chaude, très chaude. Songe sentait son âme battre doucement, heureuse de quitter la froideur et d'arriver enfin dans plus doux. C'est alors que tout devint terne, gelé, l'orange prit alors une couleur terne, vide, froide, passant même au bleu glace. C'est alors qu'une silhouette sans couleur, sans réelle forme, juste une silhouette... pourtant, aux pupilles du jeune vampire, c'était la chose la plus importante au monde. Il n'avait jamais vue aussi belle chose, son âme accéléra, ne souhaitant qu'une chose, que cette femme, car oui, c'était une femme, la prenne dans ses bras. Avec toute la force qui animait ses os noir, Fallacy tendit les bras le plus droit possible. Mais Songe comprit tout de suite en voyant la grimace, se l'imaginant plutôt, sur le « visage » de la silhouette. c'est alors qu'une voix fantomatique s'éleva.

« -Assure toi que ton père t'aime. Moi, je ne ferais que te détester... » un soupir avant de reprendre la parole.

« -Je pensais que jamais, jamais je ne pourrais détester mon fils... mais tu n'es pas mon fils. Tu es le parasite né du viol... de mon viol par ton père. Je te déteste encore plus que lui. Je te déteste encore plus que je déteste Malef... et sache le, ne l'oublie jamais. L'inverse de l'amour n'est pas l'indifférence, c'est la haine. L'indifférence est une des punition qu'inflige la haine. Toi, je vais te punir comme ça sale parasite. Jamais, plus jamais je ne te parlerais. Plus jamais je ne me fatiguerais à poser mes pupilles sur toi. Et, pour finir, le seul acte de bonté que j'aurais pour toi est de souhaiter ta mort. » elle lui mit alors une pichenette, le faisant pleurer.

« -Faible et fragile chose imbécile... que t'as vie soit courte, dure et emplit de souffrance. Paye la souffrance que tu m'as imposé. » et elle disparut...

A jamais.

Quel horreur ! Comment pouvait-elle perte une mère ? Songe en avait les larmes aux orbites, des larmes de colère. Sa mère, Méléna, se sacrifiait chaque jours depuis la naissance des jumeaux pour eux. Jamais au grand jamais elle n'aurait pensée à la moitié des monstruosité dites à ce tout jeune bébé...

Pas étonnant que Fallacy cherchait un peu de gentillesse... même chez le roi tyran. Il était le seul « parent » qui lui parlait, même si ce n'était que pour l'insulter, le faire souffrir, le torturer... le frapper.

Il n'avait pas de famille...

C'est alors que l'environnement changea encore.

Blanc.
Tout était blanc.

Parfaitement blanc, vide... Fallacy était debout, un jeune enfant, tenant à peine sur ses jambes. Il était contre le mur, essayant de se tenir. Ce n'était pas par maladresse, pas par inexpérience ou manque d'équilibre qu'il faisait cela. La fatigue le dévorait. Une femme arriva alors, grande... plutôt charmante, son visage était bien gravé dans la mémoire du petit immortel. Ce n'était donc pas la première fois qu'il la vit, il se redressa, se tenant droit. Elle était noblement vêtue, simplement pourtant. Elle l'attrapa par le col et le jeta à genou.

« -Devant votre roi, vous devez toujours vous mettre à genoux.

-Mais... » un coup de pied en pleine cage thoracique.

« -Comment osez vous protester ! Ce chemin est celui qui mène au bureau de votre roi ! Si vous vous y trouvez, c'est un honneur ! Il est donc important que vous vous prosterner ! Que votre front touche le sol ! »
Le jeune vampire resta au sol, se mettant bien en position.

« -P... pardon.. je le ferais toujours. Je vous le jure. Vous n'aurez pas à dire que vous ne m'avez pas bien élever. »

C'était donc sa « nourrisse »... une femme visiblement dure, sévère, sans tendresse... à l'image de la vie du jeune enfant. Mais, pour une fois, un peu de gentillesse. Elle l'aida à se relever.

« -Répondez correctement. Si vous le faite, je vous donnerez ce que vous voudrez à manger.

-M... même autre chose que du sang ?

-Non, pas question. Vous ne devez vous nourrir que comme un vrai vampire.

-Mais...

-Comment osez vous ? Vous recommencez à répondre ? » en colère.

« -N... non... pardonnez moi, je voulais dire que je ferais de mon mieux pour répondre.

-Votre mieux ne suffit pas ! Répondez correctement ou subissez votre punition.

-O... oui... »

Elle soupira.

« -Quel doit être le seul objectif de votre vie ?

-Servir mon roi et essayer de le satisfaire du mieux que je peux.

-Bien. Quoi d'autre ?

-Je... je dois lui obéir aveuglement ?

-C'est une question ou une affirmation ? » en colère.

« -Une... affirmation.
-Bien quoi d'autre ? Et que je n'ai plus à poser cette question !

-Je dois être un bon guerrier, me montrer le plus fort et... exceller en magie, dans les armes, il est important que jamais je ne fasse honte à mon... à mon roi. » rien.

Elle tourna les talons, allant vers la cuisine.

« -Qu'attendez vous ? Suivez moi. Pour avoir dit, certe très lentement, mais de façon correcte votre maxine, vous aurez droit à du sang mélangé à un peu de chocolat. »

Des étoiles dans les orbites, un élan de joie s'emparât de son corps, il l'a suivit.

« -Et, n'oubliez pas, si vous la respectait au mot près, vous aurez d'autres récompenses, peut être même l'amour de notre roi. » en entendant cela, Fallacy se jura de tout faire pour plaire à son père...

Quitte à devenir un être abjecte et, même, prêt à tuer celui qui lui volait la vedette : Macabre.
La colère de Songe monta en entendant cela même s'il ne pouvait s'empêcher de compatir à ce pauvre petit enfant, corrompus par la pire des éducations. Maintenant qu'il avait comprit comment faire pour se diriger dans la mémoire de son « hôte », il pensa à son frère.
C'est alors que tout devint rouge. Fallacy était adulte, en train de massacrer Macabre... pas un souvenir, un fantasme. Songe activa alors sa magie, l'invoquant pour être précis. C'est alors que tout changea, il n'était plus Fallacy mais dans son dos, le squelette aux os noirs allait porter le coup de grâce à Macabre quand l'aura du doré changea cela. Ce n'était plus Fallacy entier qui attaquait mais l'être gris possédant les traits du « prince »... qui allait tuer, massacrer, détruire son autre lui, l'enfant emplit de couleur toujours en pleure. Il s'arrêta.

« -Non... non, jamais je ne ferais cela. » le monde changea alors encore...

Pas complètement cette fois. Malef apparut, empalant l'être gris, poussant son corps meurtrie.

« -Faible... minable... traitre... » il allait tuer l'autre.

« -Non ! » Songe l'arrêta alors.

« -Pourquoi la, maintenant, tu veux l'arrêter ?

-Je ne peux pas le laisser faire ça ! » en se levant, allant attraper par les poignets l'intrus.

« -Pourtant, c'est ce que tu fais tout les jours. Tu le laisse tuer cette part de bon en toi, tu laisse tout ceux qui t'entour le tuer. et, les rares qui ne sont pas de mèche pour te faire souffrir, tu les repousse. » il se libéra facilement.

Malef disparut...

Macabre le remplaça.

« -Ca va Fallacy ? tu t'es bien battue ! » Amicalement, sincèrement.

« -Je... » que devait-il dire ?

« -Il m'a battu.. » dit le grand à Songe.

« -Il m'a battu et m'humilie... encore.

-C'est ce que tu pense ? Ou se que Malef veut que tu pense ? » le doré lui tendit alors la main.

Comme la version enfant de son jumeau offrait une aide amicale à l'enfant.

« -Ne croit plus qu'il pourrait t'aimer. Il ne le veux pas, il ne veut que le pouvoir... ne soit plus son instrument. »

Un silence...

Tout s'emplit de couleur bougeant de façon étrange. Rien n'était immobile, tout se mélangeait, plus rien n'était stable.

« -Fallacy... s'il te plait...

-Je... je dois lui obéir.

-Bien sur que non. Tu n'ai pas son objet, tu es son fils... même si lui ne se comporte pas en père. Je t'en prit... »

De l'autre main, il montra les enfants, la seule chose qui ne bougeait pas.

« -Tu ne peux pas le sauver maintenant et le laisser mourir de la main de ton père... tu ne peux pas te laisser mourrir. »

Les deux fallacy fixait les mains tendu vers lui...

Que faire ?

La prendre et... peut-être être libre ? Mais qu'est-ce que la liberté ?

Ou refuser et... peut-être enfin satisfaire son père ?

« -Tu as tout ton temps... je serais toujours la. » regardant les enfants.

« -Il a toujours été la pour toi... même si tu as finit par te faire détesté. Il a toujours voulue être ton ami, moi aussi. Laisse nous enfin l'être.

-Trahir mon père ?

-Regarde ton toi enfant... regarde ses larmes. Est-ce qu'un père ferais tout ce qu'il t'as fait ? Ce qui provoque ces larmes ? »

Dans le vrai monde, Songe recula... et Fallacy se réveilla.

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