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ᴘʀᴏʟᴏɢᴜᴇ

ᴠᴀʟᴋʏʀɪᴇ ᴘʀᴀʏᴇʀ. ━ *

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Où suis je ?

Autour de moi tout est noir. Noir comme le vide, sans couleur, sans réalité, sans souffle ou vie. Un vide lourd et infini qui fait étrangement pression sur mes épaules, comme si il m'interdisait de bouger, de me débattre.

Même si mes yeux étaient ouvert, je ne distinguais aucun horizon, aucune fin, aucun début. Comme si cet endroit n'existait pas, comme si il s'agissait d'une sphère extérieur à la réalité, un intervalle tenu hors du temps, où rien ne s'écoule, rien ne vit.

Mon corps est en même temps lourd et léger, je ne ressens rien pas même mes muscles ou mes articulations, essayer de les faire bouger est peine perdu. Pas de cage thoracique qui se soulève et se baisse pendant que je respire. Juste une coquille vide de forces et d'efforts.
Il semblait ne me restait que ma raison dans cet endroit infiniment sombre et abandonné. Il n'y a juste plus que moi et mes pensées, se répondant l'un à l'autre pour se tenir encore éveillé.

Suis je morte ?

Qu'est ce qui a bien pu arriver ? Soudainement.

Étrangement je ne me rappelle de rien par apport aux événements antérieurs, pourtant je le sais, j'ai vécu des choses. C'est comme si mon esprit avait été mis au silence de force et lorsque je le force à se remémorer les derniers souvenirs pour me les montrait, il n'y arrive pas. La seule chose que je reçois est une douleur me piquant la tête comme un énorme clou que l'on m'enfoncerait dans le crâne à l'aide d'un marteau.
Mes souvenirs semblent s'être évaporé tel un brouillard. Mon crâne n'est qu'une boîte que l'on a forcé pour en voler le contenu, la rendant vide d'image, vide comme ces lieux.



Et puis, Est ce la réalité ? Ou la salle d'attente entre la vie et la mort ?

Ce n'est pas encore fini. 》

Une soudaine voix résonne de l'ombre des lieux, tournant tout autour de moi avant d'atteindre mes oreilles. Elle semble venir de partout, peut être derrière moi, peut être devant moi, et en même temps de nul part, comme un simple message du ciel ou inventer par mon imagination.

Pourtant la voix est douce même apaisante. Comme une once de lumière au milieu des ténèbres, l'ange envoyé par le ciel pour venir chercher celui perdu dans les enfers, une once d'espoir pour ceux qui ont déjà tout laisser tomber.

Est ce une voix de femme ou d'homme, je n'arrive pas à le dire, c'est comme si elle chuchotait.
Mais tout en calmant ma peur à ses murmures, elle emplit mon esprit de courage, d'espoir et de lumière.

《 Il faut que tu bouges. 》

Bouger ? Mon corps ?

J'essaye.
J'essaye de forcer sur mes muscles, d'abord mon bras droit, appelant toutes ma concentrations dans un seul lieu de mon corps dans l'espoir de le ressentir pour savoir qu'il est bien là avec moi, lui aussi. Que je peux le bouger, que je peux vivre encore.

Mes doigts répondent à l'appel et gigotent légèrement de bas en haut. Je les regarde comme si c'était un spectacle exceptionnel, quelque chose que je n'avais jamais vu. Ce simple petit mouvement que tout le monde fait devient soudainement la chose la plus fascinante qui m'est épris d'admirer après avoir été interdite de tous gestes.
Ce simple mouvement était comme un signal pour le reste de mon corps, ayant soudainement l'impression de retrouver tous mes sens, toutes les sensations qui m'avaient été enlevé.
Je ressens enfin toutes les parties de ma dépouille, de ma tête jusqu'à mes pieds ce qui emplit mon cœur de soulagement. Je ne suis donc pas morte, j'ai encore de l'espoir pour m'échapper de cet étrange rêve.

Puis pendant que je retrouve chacun de mes sens un par un, de nouvelles sensations viennent de rajouter avant que mes yeux ne se referment complètement alors qu'un air chaud viennent s'écraser sur mon visage. Un air chaud apaisant, au même parfum que la voix précédente.

Je suis donc bel et bien encore en un morceau.
Une sensation de gouttes froides s'écrasant sans arrêt sur moi apparaît. Elle est désagréable, m'obligeant a froncé les sourcils.
Puis je sens aussi quelque chose dans mon dos, c'est dure et froide obligeant le passage d'un frisson tout le long de mon abdomen.

Après quelques instants dans les vapes, cherchant à comprendre chaque ressenties, je finis par finalement ouvrir mes paupières. Sauf que le les referme immédiatement. Des gouttes sont malencontreusement tombées à l'intérieur de mes mirettes, alors je frotte mes yeux qui n'apprécient pas l'entrée surprise du liquide.
Autour de moi Il semble pleuvoir averse sans vouloir s'arrêter.


Je réouvre une nouvelle fois les yeux pour découvrir un ciel sombre et nuageux juste devant moi, enfin plutôt au dessus de moi. Le gris décor toute la surface habituellement bleu sans même laisser un petit échappatoire pour la lumière, un chemin pour atteindre la terre.
La soirée semble en plus être entrain de tomber calmement.

Lentement je relève le haut de mon corps tout en me retenant à l'aide de mes bras et regarde tout autour de moi.
Je tourne la tête doucement de chaque côtés, admirant tous les détails du paysage qui m'entoure, cherchant un indice sur ma position.

Je suis au milieu d'une route faite d'énormes pierres, bien différentes des routes de béton habituelles.
Les maisons sont petites et composé de pierre et de bois.

Ce n'est en aucun cas la ville où je vis.
Rien ne ressemble à ce que je peux connaître. Où sont donc passé les buildings qui touchent de leurs doigts le ciel ? Les routes à 4 voies toujours bouchonneuses aux heures de pointes ? Les travailleurs en tenues strictes qui courent sur le trottoir pour ne pas arriver en retard ?

Cet endroit.. C'est comme ci il y avait plusieurs siècles d'écart. Pas d'écran de pub lumineux, pas de lampadaires brillant à tout moment, pas de véhicules garés au bord de la route.
Rien n'est similaire..

Des bruits réguliers, comme des claquements sur les pierres, résonnent tout en avançant dans ma direction.
Mes muscles se tendent. Il y a quelqu'un.

Lentement, je me retourne pour découvrir sous mes gros yeux l'énorme museau d'un cheval juste à quelques centimètres de moi.
Surprise, je m'écarte rapidement, toujours assise sur la route.

En soulèvent le regard, je peux admirer la calèche que tire cet énorme cheval de trait.
Celle ci est entièrement faite de bois, des roues au banc du conducteur. Seule la bâche noir qui protège sûrement la marchandise n'est pas d'une couleur similaire.


L'homme assis sur le banc en bois tient les reines entre ses mains fatiguées.
I

l est habillé d'une cape noir à capuche lui cachant entièrement le visage. L'eau s'égoutte sur le haut du tissu alors qu'il ne bouge pas, avachi et la tête basse derrière son cheval.

Si un éclair aurai éclaté avec ce spectacle, j'aurai pu croire à l'arrivée de la mort en personne.
Ce conducteur ressemble à une faucheuse tirant le chariot des punies pour le monde des morts.

Où suis je tombé bon sang... suis je réellement morte ?

《 Freyja t'as béni, Sif. 》

10.0919
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05.0220

Excusez moi si il reste des fautes, bien que j'ai relu et réécris même quelques morceaux le correcteur ne s'est pas laissé faire et à pu changer plusieurs mots lorsque j'avais les yeux ailleurs, concentrer sur la suite de la phrase.

N'hésitez pas à laisser des commentaires, pour le bonheur et la détermination de l'auteur.
(Les commentaires sont une vrai source de détermination et d'envie pour écrire la suite.)

━ ᴇᴠɪʟ Qᴜᴇᴇɴ ᴄʀᴇᴀᴛɪᴏɴ

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