Chapitre 5 ; cette douleur immortelle
lorsque je me réveilla le lendemain , ce fut dans une cellule , attaché a une chaise pied et poing lié . . .
quelques brides de souvenirs me revinrent alors , un coup sur le crane , des cris , des pleurs . . . aie ma tête commençait a tourner . . . quand soudain je vis James entrer dans la cellules éclairer d'un seul néon verdâtre , et moi au centre . . .
James ; et bas alors ? pas trop la gueule de bois ?
moi ; ca dépend sur quelle point . . .
James ; à propos de poing ,
il me frappa alors au visage , je sentis le gout métallique du sang se rependre sur mes lèvres , mais je ne le laisserait pas gagner . . . je me redressa alors aussitôt , le vissage impassible , un léger sourire provocant. . .
moi ; déjà fatigué ?
James ; moins que tu ne le crois , fit il en souriant
et aussitôt , il m'en remit une , mais plus fort cette fois , je pus sentir sa bague en fer s'encrai dans ma joue , aie , cette fois si , ca fessait plus mal . . .
mais contre toute attente je me redressa a nouveau , la tête haute , le regard perçant . . . mais sans sourire . . .
James ; déjà fatigué ?
moi ; tu me plagie là . . .
et alors , je lui cracha a la figure , je vis avec satisfaction le sang que contenait ma salive se rependre sur son visage colérique . . . mais ce qui m'étonna ce fut qu'il tentai tant bien que mal de garder sa patience , malgré le fait que son visage se déformait , tellement sa haine grandissait pour moi a ce moment . . .
moi ; ca va pas ? t'as l'air déçu ? articulai je avec un sourire narquois
il m'empoigna alors par les cheveux et me tira la tête en arrière , et dans sa main je pus voir un couteau délicat a la lame longue et fine . . . . il l'approcha de ma gorge et je pus sentir alors son souffle dans ma nuque . . . il fit glisser le couteau le long de ma joue , visiblement amusé de la vie qu'il avit entre ses mains a ce moment la . . .
James ; as tu peur de la mort ? chuchota t'il
moi ; pas si elle est volontaire . . . et aussitôt dis , aussitôt fais je m'empara du couteau avec mes dents et le planta alors dans sa joue gauche
lui ; ah petite enfoiré !!
contre toute attente il l'enleva d'un coup et fis basculer la chaise sur laquelle j'était attaché . . . par une chance inouïe , me liens se défirent alors , suite a un nœud malencontreusement fait . . . mais je ne pus même pas me relever que je sentit les coups pleuvoir . . . je ressentit mes os se brisaient sous les coups de pieds innombrables de James , le sang coulait de mes lèvres et je pus aussi voir qu'un filet commença a couler le long de mon front , tout était flous , j'entendait les bruits des coups que m'administrais cet homme ... j'entendis aussi un gémissement de douleur le mien , puis le souffle commença a me manquer , puis un coup fatal m'envoya a l'opposé de la pièce miteuse et sombre , et ma colonne vertébrale vint se heurter au mur , et alors j'entendis les pas de James se dirigeaient vers moi , et son visage s'approcha lors du mien . . . son haleine puante se fit aussitôt ressentir , il me prit par le cou et me plaqua alors contre le mur ; mon souffle finit par se faire rare mais j'arriva quand même a lui parler . . .
moi ; c'est marrant que ta mère ne te voie pas a cet instant , que penserait elle ? Mon fils est un tueur ? non plutôt un monstre ! me mis je a rigoler
James hurla un cris de douleur a ces paroles amères
James ; tu vas mourir !!
moi ; si tu fais ça , tu sais aussi bien que moi que la culpabilité vas te ronger . . .
James ; ta gueule !!!!
moi ; si tu en était aussi sure , tu n'aurais pas besoin de crier
james prit d'une rage plus que folle brandit le couteau pour me poingnarder , mais je réussi à l'enlever à temps , et , prise d'une poussé d'adrénaline je lui trancha la joue droite . . .
il poussa un long cri , comme une bête blessée par la douleur parole et physique que je venais de lui infliger . . .
mais le souffle commence a me manquer , et si je n'agissais pas vite , l'asphyxie allait me tuer . . .
mais c'est james qui trancha . il retira le couteau de sa joue sanguinolente et me le planta en plein ventre . . . le souffle me manqua , toute la pièce tournait . . . j'entendais des pas puis je me souvins alors que james me lâcha sur le sol , me laissant pour morte au milieu d'une cave humide et petite ; puis il partit en me crachant dessus . . .
mais malgré mes idées embrouillé et mon mal fulgurant , une pensée me vint a l'esprit ; j'avais réussi , je lui avais infligeait la pire des tortures ; la culpabilité ;
cette douleur immortelle ...
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