Qu'est-ce que le monde des O ? Et non des bas !
C'est un précis infini, taille universelle
D'un tout enclos... Et Dieu créa la samba...
Sabat ou sabbat ? (Mon écriture a fourché,
Mille blasphèmes, jeux de mots innaturels.)
Et Dieu créa la femme... pour tous nous faucher !

Au fond des fonds de ma misogynie nietzschéenne
(Voyez-vous je peux être philosophe parfois !)
Les disgracier, car par-dessus l'amour, la haine :
"Vivre, c'est essentiellement mugir, se murger
Pour oublier ceux qu'on a aimés avec foi".

Ce complexe de la mère (temps) retrouvée
Nous, gamins renaissant dans ce cordon forgé
Dans le type même de la femme larvée
Par l'horreur de l'homme ravageur, ravagé.

Tous nos rires sont d'une lourdeur, d'un salace,
L'idéal du rictus nous complexant dans la nasse
De nos frustrations (femmes) à l'aube tenace,
Reflux survivant, vague lasse, vaguelasse.

(Du monologue sans fin en veux-tu, en voilà !)
La pingre, la prude et la femme aux camélias,
Toutes sont là, même les roses, les lilas
Des fleurs énumérées restent les acacias.

Succédant à Sade, justice à Histoire d'O !
Bien que préférant une épaule à un sein
(Et du Bachelet à du rap), ô le beau dessin
De Justine qui vous rendrait presque nympho !

Nostalgique des corps perdus pour le décor,
Qui ne se touchent pas, se surveillent en permanence,
Et aux valses de Vienne comme à la chasse à courre,
En continue, le voyeur (social) en latence.

(Perfectionniste sans trop), vague tintamarre
De ce vacarme des pirouettes oratoires
De politiques en vadrouilles dînatoires
D'un livre encore, une thèse qu'ici démarre :