Nous sommes en Janvier.

J'ai le seum.

Les bacs blancs arrivent.

J'ai encore plus le seum.

La fin d'année arrive.

J'ai pas trop le seum.

Mais mon entrée en université arrive.

Et là, j'ai grave le seum.

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(T/p), en paix.
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Je me pose dans la chambre avec Levi. Je le regarde réviser assis sur le lit. Je me mets derrière lui et lui fais un back hug. Je mets ma tête sur son épaule et révise avec lui. Jean arrive en courant.

- Y'a une baston dehors, annonce-t-il.

- Ok.

- Des 2842...

- Hm hm.

- Au couteau..

On part tous les trois. Je prépare déjà ma batte.

- Les autres sont où ? Demandé-je à Jean.

- Ils sont partis à Genève et reviennent pas avant 23 heures.

Levi serre les dents et claque la langue. Je souffle et prends les devants. On arrive vers un petit groupe en cercle autour de deux gens.

- Une batte ne servira pas, commente Levi.

Je le regarde.

- Tu vas pas prendre un revolver si ? Blagué-je.

- Bien sûr que si. Je l'ai déjà même.

Je le vois sortir un revolver de sa poche.

- C'est un tranquillisant si ça peut te rassurer. Tu peux faire s'éloigner les autres Jean ?

- Ouais.

- Cool. Et Chaton, tu pourras récupérer les couteaux quand j'aurais tiré. Ça peut planter les deux.

Je fronce les sourcils puis soupire. J'accepte. Ackerman se met en hauteur dans un arbre et observe ses cibles.

Les Secondes.

Jean éloigne les gens. Levi tire deux fois. Une fléchette dans chacun des gens. Je trace et récupère les armes blanches. Mon homme descend en rangeant le tranquillisant et prend les deux qui se battaient par l'arrière du col. Il les traine jusqu'au bureau du Major. Les autres Secondes ne bougent pas. Je les regarde.

- Quoi ? Commencé-je. Vous êtes inutiles, il faut bien que des gens fassent quelque chose pour sauver vos deux amis.

- Heureusement que j'étais là, continue Jean. Imaginez un des deux se retrouvait mort planté par l'autre ? Vous savez ce que ça aurait pu créer comme problèmes au Bataillon d'exploration et au Major ?!

Il leur fait la morale. Je le laisse faire tranquillement et attends Levi. Il revient peu de temps plus tard. On repart avec Jean. Les Secondes nous suivent.

- Ça n'est jamais arrivé un truc comme ça ? Demande l'un d'entre eux.

- Jamais aussi poussé. On n'allait pas se planter des couteaux dans le cul avec Levi. On savait qu'on aurait des problèmes graves, réponds-Je.

Levi les regarde.

- Si vous voulez vous entretuer, retenez-vous quand vous savez que vous terminerez au commissariat, conseille-t-il.

Les Secondes hochent la tête.

- Allez. Cassez-vous.

Ils partent. Jean va dans la 472, la maison de Marco. Je me retrouve seule avec Levi. On entre dans la 926 puis dans le salon.

- Tu t'es jamais retenu Levi.

- En même temps c'était contre toi. T'es pire que moi niveau nervosité. Si je m'étais retenu, j'aurais été en fauteuil roulant à l'heure qu'il est, justifie-t-il.

Je hausse un sourcil.

- T'es con le Nain.

- Mais tu m'aimes quand même la Chieuse.

Je souris en coin.

- C'est vrai.

Je me mets mieux dans le canapé. Il met sa tête sur moi.

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(T/p), en Février.
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Nous sommes en Février.

Fait gelé.

C'est bientôt la Saint Valentin.

Ça me réchauffe le cœur.

On vient tout juste de terminer nos bacs blancs.

J'ai peur.

On est en vacances.

On est chez Levi dans sa maison.

Farlan et Isabel se mettent bien avec un voyage en amoureux aux îles Canaries qu'ils ont gagnés au loto.

Et j'ai pas de cadeau pour Levi.

'Conscience : Assouvis tes fantasmes les plus fous...
Tu veux que je me soumettes à Levi le temps d'une partie de jambe en l'air ?
Conscience : Totalement.
Ok. Mais j'ai la flemme d'aller acheter le matos.
Conscience : ... Rajouter du dirty talk et des positions ?
Ok.'

Bon bah j'ai un cadeau.

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(T/p), toujours en Février.
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Je sors du supermarché ouvert tard le soir tard le soir avec du chocolat. Je soupire et pars vite à la maison. Je rejoins ensuite Levi dans la chambre quand je me suis totalement mise en conditions pour. Il dort déjà. Je me mets en sous-vêtements et me glisse sous la couverture. Je mets son bras sur moi et me blottis contre lui. Je ferme les yeux. Il me serre contre lui. Je le regarde et vois qu'il a ouvert les yeux. Il me regarde puis m'embrasse.

- Dors bien Chaton...

Je souris un peu.

- Toi aussi...Puppy...

Je ferme les yeux et me laisse sombrer vers le sommeil.

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(T/p), 14 février.
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Nous sommes le 14 Février.

La Saint Valentin.

J'ai un peu peur de ce que va faire Levi.

'Conscience : Il va te pilonner.
...'

J'ouvre les yeux. Levi dort toujours. Je sors doucement du lit, couvre son corps sujet aux jouissances de mon nez et mes yeux et pars me décrasser. Je fais tout tranquillement pépère sans souci. Je m'hydrate la peau comme d'habitude et pars en cuisine. Je prends un reste de pâtes comme déjeuner.

En même temps, il est midi.

Jugez pas.

Je savoure mes pâtes tranquillement en regardant Tiji. Je termine et fais ma vaisselle. Je sors ensuite me ressourcer en paix avec mon chakra. Je mets un bonbon dans ma bouche et regarde les montagnes enneigées. Je vois quelqu'un arriver à côté de moi. J'aime pas ça du tout.

- Salut, salue Lily.

- Salut, réponds-je. J'espère que tu te sens bien intégrée dans les Secondes maintenant.

- Ça va.

Je la regarde puis soupire saoulée.

- T'as pas froid comme ça ? Y'avait pas trop de gars qui venait te demander combien tu prenais ?

- Non non. Ça va.

Je reprends un autre bonbon.

- Je peux en avoir un ? Ose-t-elle quémander.

- C'était le dernier.

'Conscience : MYTHOOOOOOO.'

- Ah.

Je savoure mon bonbon et la déception sur le visage de l'autre dévergondée.

- C'est pas que j'ai honte d'être à côté de toi, enfin si, mais je me casse. Évite de crever de la grippe, souhaité-je gentiment.

Je pars en prenant un autre bonbon bien devant elle. Je vais acheter deux bubble teas miel citron chaud et rentre à la maison. J'ouvre la porte et pose les verres sur la table à côté. Je ferme la porte, retire mes chaussures, ma veste et mon écharpe puis entre dans le salon-salle à manger. Je vois Levi en caleçon et serviette en train de boire du lait et réfléchir au sens de sa vie, accoudé au bar.

Je me mords la lèvre et pose les verres sur le bar.

- Tu peux éviter de te balader à poil dans la maison ? J'ai envie de te sauter dessus maintenant, introduis-je à Levi.

- Ça va bien et toi ?

Je le regarde sans rien dire. Je le fixe dans les yeux et retire mon pull. Je lui fais un bisou.

- Bonjour mon petit Puppy, exagéré-je. Ça va ? Bien dormi ?

- Tch.

- Je sais Sexy man.

Je lui caresse les abdos et souris en coin. Il me regarde toujours et prends son bubble tea. Il me remercie et le boit tranquillement.

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(T/p), toujours le 14 février.
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On sort de notre sortie en amoureux. Levi m'a fait le magnifique cadeau de gâcher la journée des gens qu'on aimait pas au lycée. C'était juste magique de voir leur visage de célibataire en chien se décomposer quand ils nous voyaient nous embrasser. On a aussi croisé la vieille au bras de Eren. Il nous a fait comprendre que c'était pour se faire de la thune qu'il l'accompagnait critiquer les jeunes pour la journée.

'Conscience : Bien sûr.'

Je retire mes affaires tranquillement et regarde Levi. Il monte. Je le suis. Il va dans la salle de jeu. Je fronce les sourcils. Je reste derrière lui. Il regarde dans la commode et vérifie les piles. Je hausse les sourcils et le suis en train de sortir. On arrive dans la chambre.

- Chaton.

- Oui ?

- Pourquoi tu me suis comme mon ombre depuis 10 minutes ?

- J'en sais rien.

Il me regarde et avance vers moi.

- Peut-être que je te répondrai quand tu auras retiré tes vêtements et enfin satisfait tes envies sexuelles...

Il hausse un sourcil. Je recule contre le mur. Il me bloque.

- Tu veux vraiment que je satisfasse mes pulsions sur toi...? S'assure mon Puppy.

Je hoche la tête.

- Je veux que tu me montres tout ce dont tu es capable... Que tu arrêtes de retenir tes coups pour moi... Que tu laisses enfin tes ongles se planter dans ma peau tellement tu aimes... Que ton corps nu soit collé au mien que tu me pénètres sans douter... Je veux sentir tes caresses sur mon corps...

Je lui déboutonne sa chemise et continuant de parler.

- Tes lèvres sur mes tétons et ma partie intime... Tes mains sur mes fesses et ma poitrine... Et ton regard désireux dans le mien... Je veux pouvoir dire que "Levi Ackerman m'a tout donné" et te demander encore et encore... Je veux que tu m'arraches mes vêtements et me fasse l'amour comme jamais tu ne l'as fait a aucune fille...

Je le regarde pleine de désir, continuant de le faire céder à mes paroles.

- Je veux que tu me retires mes sous-vêtements et que tu me fasses des choses très peu catholiques... Je te veux nu face à moi... Ton membre dressé face à moi et ton regard sexy me scrutant... J'aimerai pouvoir te toucher encore et encore... Te soulager avec ma bouche, mes mains et mon intimité jusqu'à ce que tu n'en puisse plus... Je veux m'amuser avec ton corps si sexy...

Je mets mes mains dans son pantalon. Il se mord la lèvre quand je le touche. Je continue mon dirty talk.

- Je veux que tu sois aussi tendre que lors de ma première fois mais aussi violent que lors d'une soirée arrosée. Je veux te sentir en moi... Tes doigts, ta langue et même ton sexe en moi... Je veux ressentir l'extase encore et encore jusqu'à ce que je m'écroule de fatigue et de douleur...

Je le laisse me désaper.

- Viens Levi... Suis-moi jusqu'à l'extase extrême... Je te veux...

Et c'est sur ces mots qu'on passe la Saint Valentin la plus mouvementée de notre couple jusqu'à présent.

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(T/p), en Mars.
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Nous sommes en Mars.

Y'a rien.

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(T/p), en Avril.
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Avril.

Rien.

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(T/p), en Mai.
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Mai.

C'est l'anniversaire de Vitani. On a tous cru mourir en voyant son ventre rond et son regard fier.

Elle nous a bien fait croire qu'elle était enceinte avec un coussin IKEA.

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(T/p), en Juin.
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Juin. On passe le bac.

On est tous stressé comme des merdes. Personne n'a dormi ces derniers jours et on n'a fait que réviser. On s'est même plus occupé des Secondes. On en a eu marre et on s'est mis en mode hérisson et panda.

Plus de communication pendant 3 semaines.

Du coup, comme on était tous armés contre eux, ils nous ont étrangement pas fait chier.

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COUCOU MES BÉBÉEEEES !!

KomenKeTuVas ?
Vous avez le seum hein ? (Juste pour ça, tu remontes dans mon estime.)

Je sais, je suis une salope qui mérite de crever en enfer. (C'est ce que je me dis depuis le début de cette correction.)

Je fais un putain de discours sexy sensuel ta mère la dalle et je fais MÊME PAS le lemon qui va avec. (C'est ingénieux.)

J'aime vous frustrer.

Et j'ai fait une ellipse de 8 mois carrément en un chapitre. Je suis fière ! (C'est bien Fatou de Seconde on est content.)

Et là, le prochain chapitre sera en Juillet et Août. Donc...

Ce sera le dernier chapitre de Va Chier.

Préparez les mouchoirs, ça va chialer.

J'espère que vous avez aimé ce chapitre et...

CŒUR SUR VOUS.