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Chapitre 20 : La chaleur est présente...

C'est notre dernier jour en Australie.

C'est triste.

On est allé partout sauf à la plage.
J'ai beaucoup appris de Janiss et Jonas à la voix trop badass.

Mais je crois qu'aujourd'hui, on va à la plage avant de nous faire escorter à l'aéroport dans différentes caravanes de luxe.

Enfin, j'espère.

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On fait nos valises avec Janiss et Jonas à la voix trop classe avant le départ à la plage puis en avion.

- Ça m'a rassuré de voir que la nouvelle génération est passionnée à ce point, sourit Janiss.

Je suis émue par ses paroles. Je lui fais un câlin. Elle sort de la chambre pendant que Levi entre en pyjama de moins en moins couvrant.

Cette fois-ci, seulement un bas de jogging avec une bouteille d'eau.

Je crois que je vais crever.

Il est beau.

'Conscience : On parle de Levi aussi.
Ses abdos... Sa musculature... Sa mâchoire que tu veux embrasser... Ses lèvres fines mais pulpeuses... Sa chevelure qui a l'air si douce... Sa peau parfaite... SES YEUX PUTAIN. ILS CHANGENT DE COULEUR C'EST TROP BEAU. Là ils sont bleu océan de l'espoir.
Du putain de reflet de la lumière. Faut pas abuser non plus.'

'Conscience : C'est un mannequin. Il a des mains parfaites.
Bon, là j'avoue que oui.'

Il se retourne et se baisse pour chercher quelque chose dans ses affaires. Je fronce les sourcils et m'approche de lui.

- Dis Levi.

- Hm ?

Il boit son eau tranquillement en attendant que Hanji sorte de la salle de bain.

- C'est quoi cette cicatrice dans ton dos ?

Il penche la te tête en arrière pour me regarder. Je me penche un peu en avant en le regardant.

- C'est une cicatrice.

- Nan mais Levi Te fout pas de moi.

- Me pose pas de questions comme ça alors. Boulet.

Je lui tape la tête. Il me tord le poignet et me tire. Je lui tombe dessus. Il manque de se prendre le lit dans la tête. Je suis à califourchon sur lui, les mains sur ses muscles pectoraux développés et le visage drôlement proche du sien. Et je sens une énorme douleur au niveau de ma cuisse, comme s'il m'avait claqué violent ici. Il me regarde désespéré mais ne bouge pas.

- Ah bah bravo la Chieuse.

- Roh ça va...

La porte s'ouvre. On tourne tous les deux la tête. C'est Hanji qui fait un malaise. Elle nous prend en photo. Levi decide d'enfoncer le clou de la gêne dans mon orifice anal et m'embrasse la joue. Je rougis à vue d'œil. Je me lève pour le laisser aller dans la salle de bain. Il me regarde amusé et y va avec ce qu'il cherchait dans sa valise. Je mets mes mains sur mes joues et regarde Hanji. Elle s'accroche au lit pour remonter. Elle me fixe.

- Vous êtes ensemble...? Me demande-t-elle, toute tremblante.

- Non. Faut pas rêver.

- Mais...

- Je suis tombée sur lui comme dans les films clichés américains.

- Oh c'est beau ça. Un peu de cliché dans ta vie ne fait pas de mal.

- Hm Hm.

- Mais il s'est passé quoi ?

Elle s'assoit à côté de moi. Je lui raconte l'épisode de la cicatrice. Elle hume.

- C'est cocasse quand même, commente-t-elle.

- N'est-il pas ?

- Tu pourras lui redemander ça plus tard à la plage non ?

Je vérifie que mon maillot de bain ne soit pas trop voyant sous ma tenue et je hume.

- Mais qui te dit qu'il va me répondre ? Il a esquivé la question là.

- Toi par contre il t'a pas esquivé.

Elle pointe la grosse trace de main sur ma cuisse. Je soupire.

- Je sais. Mais bon, qu'est-ce que tu veux que je fasse Hanji ? Il veut pas me répondre et plus je force, plus il sera énervé. Et moi je veux pas m'énerver là.

Elle me regarde méfiante.

- Mais c'était ta raison de vivre de l'énerver il y a un mois. J'ai dû rater un tru-

Elle ouvre grand la bouche et crie de joie. Elle danse comme une folle dans la chambre. Je la regarde en soupirant.

- MON BÉBÉ EST AMOUREUSE ! LE LOVE EST OLFACTIVEMENT PRÉSENT, hurle-t-elle.

Je me noie dans ma propre bave.

Je la fixe complètement outrée.

- Mais toi t'as fumé des cheveux ! Moi ? Amoureuse de Levi ? Jamais de la vie ! Ce serait gâcher la chance d'un autre gars pour rien !

Elle me regarde en croisant les bras. Elle sourit comme une vicieuse.

- On verra ça sous le soleil de la plage de Sydney, (T/p).

=====
Le couple de coachs nous accueille dans le bus. On s'accroche aux accoudoirs en voyant que c'est Vi qui conduit.

Pourquoi je suis toute seule, tout derrière, à côté de Levi...?

'Conscience : Car comme ça, vous pourrez vous embrasser tranquillement sans personne pour vous gêner. De rien.'

On se regarde avec Levi. Gadon se lève.

- Bon, les lycéens. Vous n'avez rien à craindre. Vi est une pro des courses-poursuites. Fut un temps où elle était même cascadeuse, nous rassure-t-il.

- Dans quel rôle ?

'D'ailleurs j'ai toujours pas vu le film o- Et merde.'

- Une conductrice de bus qui enfonce son véhicule dans un bâtiment.

On panique. Le brun rit, nous force à nous attacher et met une musique qui me rassure pas du tout.

Mais pas du tout du tout.

Je prends la main de Levi, par réflexe, et la serre. Je reconnaîtrais le nom de cet AMV entre mille.

Affective Schoolgirls

(NDA: Il est l'heure de mettre la musique en média si vous le souhaitez !)

Vitani part en trombe. On crie tous, sauf Levi. Moi, étant légèrement fragile lors des sensations fortes non maîtrisées, je lui broie la main et j'essaie de voir les dégâts.

Entre Jean écrasé sur Eren,

Armin collé à Gunther,

Eld sur les épaules de Erwin,

Ta mère la pure,

Mikasa neutre comme la Suisse,

Sacha et Connie qui ne se lâchent plus,

Marco à moitié collé sur la fenêtre,

Ton chien l'animal de compagnie,

Auluo écrasé par Mike lui même chevauché par Petra,

Isabel qui hurle dans les oreilles de Reiner,

Berthold qui crie au scandale sur Gadon,

Ta famille les vrais,

Ymir qui protège Christa avec son sexy body,

Farlan qui s'accroche aux portes-sacs en hauteur du bus,

Moi qui me sert de Levi comme pare-choc,

Ta soeur l'être humain,

Et Vi qui s'enjaille à nous torturer,

Je vois beaucoup de dégâts. Et je n'y survivrai pas là si ça continue. Mais j'aurais bien voulu, avant de mourir écrasée...

'Conscience : EMBRASSER LEVI SOUS LE CLAIR DE LUNE UN SOIR DE NOËL.
Ou juste manger gras une dernière fois aussi.'

Les virages sont putain de violents. Toutes les personnes mal accrochées tombent. Ça fait une pile plutôt drôle de personnes.

Reiner sous Farlan sous Jean sur Marco sous Petra sous Eld sous Mike sous vide.

Pauvre Reiner.

On s'arrête d'un coup. C'est un feu rouge.

C'est un miracle surtout.

On reprend tous notre souffle. Je me détache pour mieux respirer. Tout le monde fait comme moi. Je lâche alors doucement la main de Levi. Il me tape avec.

- Tch.

- Y'a quoi le Nain ? Tu veux te battre ?

- Faudrait déjà que j'ai la main pour.

Il me montre sa main, complètement déchiquetée par mes soins.

Ah, j'ai de la peau de Levi sous les ongles. J'aime pas.

Je ris.

- Tu veux un bisou magique pour ton bobo ? Me moqué-je.

Il me met la main dans la gueule.

Il l'a eu son bisou magique au moins.

J'allais me venger quand le bus repart à 180 km/h au dessus de la limite autorisée en campagne. Je crie pour ma vie en m'accrochant à Levi.

Nous sommes dans une position fort sexuelle couple de baiseurs sans gène qui se mangent les appareils reproducteurs dans un bus scolaire.

Je suis assisse à califourchon sur lui en BOUT DE TISSU INUTILE DU NOM DE JUPE, avec ses mains dans mon dos qui remontent mon haut, mes bras le serrant le plus fort possible, pour pas mourir seule, et lui qui a collé mes seins à lui.

Je suis sûr il profite bien le con.

'Conscience : Tu profites aussi hein. Il a mis qu'un short de bain et son gilet, t'as une vue plongeante sur l'homme.
Certes oui.'

Il me serre et se sert de moi comme bouclier contre les cons qui ont décidé de me suivre dans ma quête de l'enlèvement de ceinture. Je me prends un cadavre vivant en plein dans le dos. Je crie et serre Levi pour me retenir de proférer toutes insultes dégradantes. Levi me regarde amusé. Je plisse les yeux et me mords la lèvre pour pas gueuler.

- On dirait que tu as aimé ça la Chieuse.

Et hop, un autre imbécile qui m'arrive dessus.
Je mets ma tête sur l'épaule de Levi et souffle ma douleur. Je lui griffe la peau.

- T'es vraiment un chien Levi... Tu te sers de moi...

- C'est toi qui est arrivée ici, pas moi qui t'aie mise sur mes genoux.

Je regarde ce con aux yeux gris et lui pince le nez. Il ferme un oeil et prend ma main.

'Conscience : OUH BÉBÉ NE LA LÂCHE PAS. ELLE A CHAUD LA PETITE.
Ah bon. J'apprends.'

Je le regarde Mal.

En fait, je pourrais descendre de ses genoux mais j'aurais plus le corps bien au chaud contre lui.
Je pourrais aussi le mettre K.O et en faire un bouclier mais je ne sentirais plus ses mains douces dans mon dos.

Et c'est précieux ça.

Je veux pas qu'on se lâche en fait. Je suis trop bien ici contre lui.

'Conscience : PARDON ?! SERAIT-CE DU LOVE ?!'

Alors les seuls moyens de le punir seraient d'occuper ses membres, sauf sa bite, et de le retourner de sorte à ce que LUI se prenne les cadavres vivants. Ou alors je l'étouffe dans mes boobs.

'Conscience : Et s'il passe sa langue ? Qui te dit qu'il est pas en chien là ? Il a plus couché depuis un long moment déjà.
Il s'était bien amusé à la soirée de Marco pourtant hein. Avec cette meuf là j'ai déjà oublié son nom tellement je n'ai pas d'estime pour elle.
Conscience : MADAME FAIT SA JALOUSE ? Et t'étais pas très chaste non plus. Tu te rappelles ? Rick et Hailee ? T'as failli faire un plan à 3 pour ta première fois quand même !
J'AVAIS PRIS DES SHOTS ET BEAUCOUP DE VODKA AVANT NE ME JUGE PAS SI APRÈS J'AI FAIM DE CUL, DE CHATTE, DE BITE ET DE POITRINE.
Conscience : J'aurais pu être fière de toi et t'applaudir pendant 6 mois si tu avais fait ça. Tu aurais frappé fort dans le game du dépucelage.
C'est moi qui vais te frapper fort tu vas voir.'

Je le détache, prends son bras libre et le bloque. Il me regarde bizarrement. Je tombe sur le côté et l'emporte dans ma chute. On arrive sur le siège, lui sur moi. Il se prend Farlan en plein dos. Il me tombe dessus. On geint tous les deux. On se regarde dans les yeux.

- Fragile va, insulte-on comme si on lisait dans les pensées de l'autre.

En attendant, il bouge pas. Il me colle presque et il s'en fout. Je le laisse me protéger. Il se prend Sacha et se mord la lèvre.

Dieu que ça m'a donné envie de coucher avec.

Il ferme les yeux et souffre en silence. Vitani s'arrête.

- ON EST ARRIVÉS À LA PLAGE MES BÉBÉS ! Annonce-t-Elle.

Levi se laisse tomber sur moi et soupire. Je reprends un souffle normal en lui caressant les cheveux.

Par réflexe.

Il met ses mains sur mes hanches. On ne bouge plus. Je vois Hanji prendre des photos. Levi se relève.

- Viens.

Il me tire en passant par dessus les cadavres vivants. Je souris en voyant ces gars et descends sur la plage avec mon sac. On se met en maillot. Y'a la team eau de mer et la team sable de mer.

Moi, je suis entre les deux.

Je vais chill sur le transat en matant Levi. Il retire son gilet et me le donne. Je le regarde bizarrement.

- Euh t'as cru j'étais ta bonne toi.

- Y'a des bonbons dedans.

Je les cherche direct. Il soupire et me tape la tête avant d'aller tester la chaleur de l'eau. Je l'observe partir en suçant la boule au goût sucré trouvée dans sa poche.

'Conscience : Ce boule mazette.
Tu vas calmer tes ardeurs toi.
Conscience : Qui a les tétons qui pointent depuis qu'il a retiré son gilet ? Toi ou moi ?
...'

Je me mets en maillot et m'allonge sur mon transat, lui-même sous un parasol. Je souffle et lis un bon livre sur ma tablette de lecture.

Oh tiens regardez. Un Jean sauvage apparaît.

Il s'arrête devant moi.

- Dis (T/p).

- Oui Kirschtein ?

- J'aurai besoin de ton pistolet à eau.

- Et j'ai quoi en échange ?

Il me tend un billet de 5€. Je le prends et le renifle.

- Ravie de faire des affaires avec toi Jean Bonneau.

Il grogne et prend le pistolet dans mon sac. Je range mon argent fraîchement gagné à la sueur de mon front et observe l'animal. Il vise Mike et Erwin, au calme dans leur bateau gonflable avec Hanji et Gunther. Il touche le verre de Gunther. Et là se passe toute un enchaînement d'événements plutôt cocasses.

Hanji crie.
Donc Erwin sursaute.
Donc son verre se verse sur Mike.
Donc Mike se lève en rageant.
Donc le bateau coule.
Donc Gunther se noie en exagérant la situation.
Donc Eld se prend pour un sauveteur d'alerte à Malibu.
Donc Gunther se fait sauver.
Donc Eld lui fait un joli bouche-à-bouche.
Donc les fujoshis telles que ma personne sont foutrement satisfaites. Donc j'applaudis Jean.
Donc je lui rends ses 5€.
Donc je l'adoube avec une frite en mousse.
Donc il remonte dans mon estime.
Donc on finit par faire une cérémonie de respect envers Jean.
Donc il fallait former des couples.
Donc je me suis retrouvée avec Eren.

Eh oui.

Je ris en mangeant ma glace pendant que Eren me sort des phrases d'accroches de beaufs avec un faux accent de la banlieue.

- Eh Mademoiselle t'es parfumeuse ? Parce que j'ai hâte de m'imprégner de tes fluides.

Je ris comme une conne. Il en profite pour me mettre la glace dans le nez et fuir pour sa vie.

Attendez seulement je vais lui mettre une paille dans le cul ça va lui faire une pénétration.

Je prends un parasol fermé et poursuit l'Allemand énervé. Je le balaye. Il tombe dans l'eau.

C'est à son tour de me poursuivre.

Il essaye de m'attraper coute que coute. Vitani m'arrête, Eren me rentre dedans. Je me mords la lèvre pour ne pas hurler.

- Je savais que tu aimais ça, conclut Levi.

Je le regarde mal. Vitani la Reine mère me tient contre elle.

- Vous êtes un couple trop turbulent ! Je ne tolère pas cela ! S'indigne la Reine mère de rien du tout.

- Et donc ?

- Vois changez de partenaires.

- Eren avec Mikasa et moi avec Levi pour plus de drama j'imagine ? Soupiré-je.

- Non mais si tu insistes...

'La connasse.'

Elle sourit et me case avec Levi. Je croise les bras. Il ne me regarde même pas.

- Eh Levi.

Il pose enfin ses beaux yeux gris acier scintillants de mille feux autour de mon âme en peine de moi.

'Conscience : Tu as complètement abusé là. Moi je dis y'a du love.
Non. C'est amical.'

- Les moments dans le bus. On les oublie ? On fait comme si de rien n'était ?

Il hoche la tête.

- Je veux pas qu'on se rappelle que j'ai mis mes mains sur tes hanches et que je t'ai serré fort contre moi, répond-il en faisant exactement ce qu'il annonce avec moi.

Je soupire.

'Conscience : Tu te sens comment ?
Bien.
Conscience : Revigorée ?
Oui.
Conscience : Bien en vie ?
Oui.
Conscience : Bien entourée dans ses bras ?
Oui.
Conscience : Tes tétons pointent toujours ?
Oui.
Conscience : T'es en chien sur lui ?
Un peu je crois.
Conscience : Ah il est pas moche hein.
Totalement.'

Je mets mes mains sur son torse et m'appuie sur lui en souriant.

- Dommage que tu ne veuilles pas... C'est agréable pourtant, tenté-je de convaincre Levi.

- Certes.

Je le juge. Il me juge. Je mets mes mains autour de sa taille et le serre. Il hausse un sourcil. Je le porte et le jette dans l'eau. Je me fais applaudir par la populace pendant que Levi me regarde tel un tueur en série. Je lui fais une grimace avant de commencer à courir pour ma vie. J'esquive une balayette qu'il me faisait et trace. Il réussit à m'attraper par les chevilles. Je tombe puis tente de faire un beau mouvement pour le balancer en avant.

Mais non.

Je me tourne vers lui.

'Conscience : AY AY CALOR MI AMOR.
...
Conscience : Me dis pas que tu n'as pas chaud en le voyant magnifiquement trempé comme ça.
J'ai surtout chaud au cul.'

Il me tire vers l'océan. Je crie à l'aide mais les autres me font que me filmer. Je m'accroche à un parasol. Levi grogne et me tire.

Cocasse comme situation.

'Conscience : Surtout pour être trempée après.'

=====
Levi s'allonge sur le ventre sur mon transat. Je m'assois sur son cul.

- Bouge ton gros cul de là, ordonné-je.

- Non.

- Alors je bouge pas.

Je m'allonge sur lui.

J'espère qu'il sent bien mes boobs sur son dos.

Je m'amuse à créer une tension ambigüe et mets mes mains sur sa taille. Il me regarde du coin de l'œil.

- Ça va tu t'installes bien sur moi ?

- Ton gros cul est confortable.

Il lève les yeux et les ferme. Je joue avec son visage tranquillement, sans vraiment réfléchir.

'En vrai, je me sens bien comme ça avec lui.
Conscience : HU HUH DONC MADAME APPRÉCIE BIEN LA PRÉSENCE DE CALOR LEVI ACKERMAN.
Oui.
Conscience : Je suis sûre que tu apprécies encore plus que « bien ».
Peut-être.
Conscience : Entre lui et Eren ? Tu choisis ?
Lui.
Conscience : Le transat et lui ?
Lui.
Conscience : Le beau mannequin qui vient te parler et lui ?
Levi.
Conscience : Ça sent le LOVE.'

Je soupire.

- Dis Levi, introduis-Je.

- Levi.

Je lui tape la tête. Il grogne.

- Je rigole pas moi. Bref. Pourquoi tu veux pas me parler de cette cicatrice ?

- Bah j'ai pas envie. J'en ai le droit non ?

- Oui oui bien sûr. Mais j'ai l'impression que ça date de l'attaque des Bas-Fonds alors ça m'intrigue.

- Tu as de bonnes impressions.

Je me redresse un peu. Il me regarde neutre. Les reflets bleus de ses yeux ne me laissent pas indifférente.

- Alors pourquoi ne pas m'avoir dit ce matin ? C'est pas comme si j'allais être traumatisée à vie à cause de ça.

- Tch.

Il me fait signe de me lever. Je le fais. Il se met sur le dos et me remet sur lui avant de me serrer.

- Tu vas pleurer si je veux garder ça un minimum confidentiel ?

- Bah non.

- Alors arrête de te préoccuper de cette cicatrice et repose-toi sur moi.

Je rougis légèrement et hoche la tête. Je ferme les yeux et me laisse bercer par sa calme respiration. La mienne s'adapte à la sienne.

On dit que, lorsque deux personnes qui s'aiment sont ensemble, leurs respirations sont synchronisées.

Foutaises.
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HEEEEEEEYYYYY LES GENS !!!

KomenKeTuVas ?
Moi très bien !

Comme je n'avais pas beaucoup de temps, j'ai pas pu publier hier et je m'en excuse ! Mais du coup je le fais aujourd'hui ! (C'EST BIEN FATOU ON EST CONTENTS. SURTOUT QUE J'AI DÛ TOUT RÉÉCRIRE CAR TU N'ÉCRIVAIS QUE DE LA PERDE EN PENSANT QUE TU AVAIS UN CERTAIN TALENT. ALORS QUE J'AVAIS LE BAC DE FRANÇAIS TOI AUSSI)

Le prochain chapitre sera le passé du duo préféré de Hanji et Vitani ! (CRÈVE T'AS CRU J'ALLAIS LAISSER ÇA.)

Ce chapitre il est genre plein de faux espoirs ! (FAUX ESPOIRS S'AVÉRANT VRAIS HEIN.)

De rien !

Pour me faire pardonner ! (Comme si tu t'excusais, être sans âme ni talent.)

(Bon. Là j'avoue que tes excuses inexistantes sont acceptées.)

J'espère que ce chapitre vous aura plu et...

OUROUVOUÈRE !! (C'EST ÇA CASSE-TOI)

(BISOU BYE CIAO.)

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