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Chapitre 22 : It's where my demons hide

⚠️ Présence de scènes pouvant heurter la sensibilité. 

Sun

https://youtu.be/fqagZ9H8pAI

— T'es sûr de toi ?

— Quoi, n'en as-tu pas envie ? Si c'est le cas, dis-le, s'énerva Kim dans un geste de rejet.

J'attrapai son bras pour le calmer. Sa fierté était piquée à vif, je pouvais le voir. Il fournissait un gros effort et mon incompréhension avait été prise pour un manque d'attirance.

— Si, mais je ne veux pas que tu te forces.

— Pourquoi penses-tu que je me force ?

— Peut-être par ce que tu as toujours refusé et que ta demande sort de nulle part.

— Oui et bien j'y ai réfléchi et j'aimerais essayer, voilà tout.

— OK. Ça n'a donc rien à voir avec la découverte récente de tes origines ou un quelconque défi d'autorité ? questionnai-je en marchant sur des œufs.

Au vu de sa réaction outrée, je réalisai que j'avais carrément mis les pieds dans le plat.

— Je ne veux pas que tu le regrettes ensuite et que tu m'en fasses porter la responsabilité.

— Je me dispense d'aide extérieure lors de mes prises de décision depuis des années. Et je pense être suffisamment mature pour en endosser seul leurs répercussions.

— Alors on est d'accord.

Je l'embrassai à nouveau et ainsi évitai d'aggraver encore plus mon cas. Ce contact le détendit quelque peu et je revins aux stimulations sur son membre. Ses mains entreprirent de me déshabiller. Sans rompre le lien, il tira sur mon pantalon, emporta avec lui mes chaussettes, avant de jeter le tout en tas, dans un coin de la pièce. Je m'attelai à faire de même avec le sien, attrapai son boxer en même temps, quand un point essentiel me vint à l'esprit.

— T'es allé quand aux chiottes pour la dernière fois ? demandai-je, concentré sur mon action.

— Hein ?

La question, sortie de son contexte, lui semblait absurde, c'est pourquoi j'insistai.

— Réponds juste. Et je ne parle pas d'aller pisser.

— Euh, en milieu d'après-midi, pourquoi ?

— OK, ça devrait l'faire.

Je repris la tâche suspendue, mais face à son air complètement perturbé, je précisai :

— Je te ferai un dessin plus tard. Les explications risqueraient de niquer l'ambiance.

J'en profitai pour lui retirer son tee-shirt. Au passage de mes mains sur son ventre, un frisson le parcourut et coupa court à ses réflexions. Il était de retour avec moi. Bien.

— T'as ce le nécessaire ? le pressai-je.

Il me désigna le chevet d'un signe du menton, sans dire un mot. Je percevais son appréhension. Il fuyait mon regard, trouvait le motif de briques rouges sur le mur, soudainement beaucoup plus intéressant que ma personne. Supposant qu'une position où il ne me ferait pas face l'incommoderait moins, je l'encourageai en douceur :

— Mets-toi à quatre pattes.

Il s'exécuta sans broncher. Revenu à ses côtés, lubrifiant et préservatif en main, je caressai l'arrière de ses cuisses pour signifier ma présence.

— Si ça ne va pas, tu le dis et j'arrête tout, OK ? tentai-je gauchement.

Je n'étais pas habitué aux partenaires peu à l'aise. L'enjeu de la situation me sembla d'un coup beaucoup plus important que ce à quoi je m'étais attendu. Je chassai cette pensée dans un coin de ma tête, la vue de son postérieur suffit à me stimuler à m'en faire mal. Je n'avais pas été soulagé autrement que manuellement depuis beaucoup trop longtemps. J'essayai de ne pas paraître trop impatient dans mes gestes en approchant ma main enduite de substance, de son entrée.

— Ça va être froid.

Il se crispa sous mon pouce lorsque je commençai à le caresser. Pas du genre à faire dans la dentelle, mon index s'engagea bien vite en lui. Il poussa une interjection indéchiffrable, sans toutefois commenter. J'en conclus que je pouvais y aller et bougeais mon doigt.

L'étape de la préparation ne s'éternisa pas, une fois que je l'estimai assez dilaté, mes trois doigts se retirèrent afin de passer à la suite. Le tout s'était déroulé dans le silence le plus total. Je me positionnai à genoux derrière lui, sortis ma verge de mon boxer, baissai ce dernier juste un peu, de sorte à ne pas être entravé dans mes mouvements et enfilai le préservatif.

— J'y vais, prévins-je, en me rapprochant.

Toujours pas de protestation. J'attendis tout de même quelques secondes, au cas où il mettrait du temps à réaliser et change d'avis.

Aucune plainte ne s'éleva alors j'entrai en lui le plus doucement possible. La résistance de ses chairs serrées autour de moi était tout bonnement divine. Arrivé à la garde, je lâchai un soupir rauque. Cette sensation exaltante me faisait un bien fou. Ma respiration s'accéléra ainsi que la sienne. Il n'avait toujours pas prononcé un son et sans apercevoir son visage, il m'était difficile d'interpréter son ressenti.

— Ça va ?

J'obtins un cri étouffé en guise de réponse, mais son hochement de tête me rassura.

— OK, je vais bouger alors.

Nouveau hochement de tête.

— Accroche-toi, ça va secouer.

Pourquoi avais-je dit ça ? Les mots étaient sortis de ma bouche sans y penser. Les entendre me fit réaliser qu'ils venaient de moi. Je me sentis stupide.

Je commençai mes coups de reins. D'abord lentement puis à un rythme plus soutenu. Ses mains se resserrèrent sur les draps, s'agrippèrent comme si sa vie en dépendait au point que les jointures de ses articulations blanchissaient. Cette vision, les mots précédents, me paraissaient familiers. Des images s'imposèrent à mon esprit. Des larmes, de la violence, des corps en sueur, parfois du sang. Des sons. Des insultes, des peaux qui claquent, des cris, des pleurs, des coups, des ricanements, des paroles blessantes. Je revivais la scène, tout me semblait naturel, normal. Ça s'était toujours passé ainsi, on m'avait sans cesse traité de la sorte. Mes oreilles bourdonnaient, ne filtraient que mon essoufflement. Ma vue, brouillée par la transpiration et la pénombre, me permettait de ne distinguer qu'un tissu froissé par mes poings tremblants. La temporalité, l'environnement se distordaient. J'acceptais juste mon sort, dans l'attente de ma sentence.

La jouissance arriva rapidement, telle une délivrance, éloigna toutes ces images, grâce à une stimulation dont je perdis la perception. Je réalisai alors que le corps amorphe qui subissait ces assauts, s'agrippait à son linceul, n'était pas le mien. J'avais été l'instigateur de tout cela. Les rôles inversés me transformèrent en bourreau.

Je me retirai d'un coup et tombai à la renverse sur le lit. Kim s'écroula devant moi, à bout de souffle. Je restai sans bouger, interdit. Je n'avais aucune idée du temps écoulé, encore moins de celui mis par mon amant à se redresser sur ses coudes pour finalement s'asseoir avec difficulté au bord du matelas.

— Je...

— Je vais me doucher, me coupa-t-il debout.

De toute façon, je ne savais pas quoi dire. Il avait complètement débandé. Depuis quand était-il dans cet état ? Quand la porte de la salle de bain se referma derrière lui, je vérifiai la literie et confirmai qu'il n'avait même pas joui. Qu'avais-je fait ? J'étais un monstre.

Écroulé sur le dos, j'essayais de me remémorer la scène pour comprendre à quel moment tout avait dérapé, sans succès. L'eau sous la douche se fit entendre, je n'avais toujours pas bougé, le préservatif encore en place. Je le retirai, le nouais, à la recherche d'une poubelle. Il n'y en avait aucune. La porte de la salle de bain n'était pas claquée. Je pris l'initiative de m'y introduire pour l'y jeter. Le rideau tiré, Kim ne s'aperçut pas de ma présence.

Débarrassé des vestiges de ce moment, je me rafraîchis quelque peu au lavabo quand des pleurs étouffés m'attrapèrent l'oreille. Ne voulant pas le mettre davantage mal à l'aise, je quittai discrètement la pièce.

Je ne savais pas quoi faire. Me barrer comme un lâche ? Le confronter ? Lui parler ? Pour lui dire quoi ? Lui demander pardon ? Mes actions étaient-elles seulement pardonnables ?

Assis sur le lit, je me prenais la tête dans tous les sens du terme quand il réapparut au bout de longues minutes. Il avait enfilé un boxer propre, fit le tour de la chambre pour se coucher, toujours sans un mot avant de me faire signe de le rejoindre.

— Viens dormir.

Face à mon air perdu, il tapota la place à sa gauche.

— Je...

Complètement paumé, incertain sur l'attitude à adopter, les choses à dire ou non, je m'installai à ses côtés. Son corps contre le mien me surprit puis deux bras m'enlacèrent.

— Qu'est-ce que !

— L'after care, tu connais ?

— Mais, on...

— Ce n'est pas pour toi, mais pour moi, me coupa-t-il encore une fois.

Je ne protestai pas, bien trop rongé par la culpabilité. Je le laissai m'étreindre avec délicatesse, m'apporter le soin que j'aurais dû lui offrir, me témoigner une affection que je ne méritais pas.

À aucun moment, il ne revint sur les événements. Il se contenta de plaquer son torse contre mon dos, glissa son bras sous ma tête et caressa d'une main ma hanche, en de petits cercles concentriques. Ses gestes si doux m'apaisèrent et je m'endormis, pour la première fois, aux côtés de quelqu'un d'autre que Hobi ou Luna.

🌙

https://youtu.be/pvrkfb1C4tE

Le matin, je me réveillai comme je m'étais assoupi. Dans les bras de Kim. La nuit se révéla compliquée, parsemée de cauchemars, entrecoupée de cogitations ou de prises de conscience qui agitèrent mon esprit aussi bien que mon corps. Cela ne lui avait pas échappé. Il m'avait réconforté et apaisé. Doux, tactile, augmentant sans le savoir mon trouble. Sans doute épuisé par ces derniers événements en plus de son propre malaise, il dormait encore à poings fermés, sa respiration rythmait une accalmie. Il m'enlaçait comme on étreignait une peluche, ma tête reposait contre son torse, chacun sur un flanc, face à face. Ses jambes, emmêlées aux miennes m'empêchaient de fuir.

Je tentai de m'extirper, mais je ne réussis qu'à le réveiller.

— Mhhh, grogna-t-il, sa prise resserrée autour de mon corps. Laisse-moi dormir encore un peu.

— Tu peux pioncer, mais lâche-moi.

Il n'en démordait pas, ne me donna pas le loisir de bouger. Je compris bien vite qu'il était inutile de lutter.

— J'ai besoin d'enlacer quelque chose dans mes bras.

— Je dois me sentir honoré d'être ce quelque chose ?

Ma réflexion le fit glousser. Ses conquêtes devaient se montrer plus que ravies de ce genre de moment de tendresse matinale, ce n'était pas mon cas.

— Comment vas-tu ?

— C'est plutôt moi qui devrais te demander ça.

— Ton sommeil a été très agité, m'ignora-t-il.

— Écoute, Kim, pour hier soir...

— Nous en parlerons. Pas maintenant. Laisse-moi process tout ça, OK ? J'ai besoin d'un peu de temps.

— D'accord.

La moindre des choses était d'attendre qu'il soit prêt. J'admirais sa facilité à verbaliser ses pensées.

— J'ai réfléchi à ta mention par rapport à Jimin.

Il me lâcha pour se reculer un peu, le coude calé sur son oreiller, la tête maintenue dans sa paume. Le drap glissa sous ses hanches, exhibant la peau hâlée de son torse et le début de son ventre. Il n'avait aucun problème de pudeur, contrairement à moi, toujours en tee-shirt.

— C'est-à-dire ? demandai-je en imitant sa position.

Ses cheveux étaient en pétard, ses traits tirés par la fatigue. Il planta ses yeux dans les miens, un air concentré sur le visage. Machinalement, sa main libre vint se percher sur ma taille pour dessiner des formes aléatoires sur mon épiderme. Il ne semblait pas réaliser son geste, bien trop perdu dans ses réflexions. Je ne le chassai pas, de plus en plus habitué à son besoin de perception haptique.

— Par rapport à cette histoire de soleil. Tu m'as averti qu'il le pointait souvent du doigt. Il use aussi du dialecte ancien pour en parler. J'ai tout de suite songé au conte, mais je subodore qu'il y a plus que ça.

J'acquiesçai pour confirmer ses dires et l'inciter à continuer sa pensée.

— Si on l'a fait taire, c'est qu'il détenait des informations. Mon frère est intelligent. Il a forcément laissé des indices, ou au moins une piste quelque part, au cas où il lui arriverait malheur.

— Et t'as une idée ?

— Depuis qu'il semble reprendre conscience, tous les signes ne nous mènent que vers un seul endroit.

— Le soleil.

— Oui, mais plus particulièrement le conte.

— Je ne vois pas en quoi ça nous aide, confiai-je.

— Avant l'incident, il est passé rendre visite à ma mère. Cela n'avait rien d'étonnant. Elle l'a élevé et considère Yerim comme sa petite fille. Ma mère ignore que ce n'est pas celle de Jimin. Il n'a jamais eu le cœur à le lui avouer.

— C'est quoi le rapport ?

— Notre exemplaire de la légende d'Amaterasu se trouve dans ma chambre, chez elle.

— Euh... d'accord. Et tu penses qu'il a laissé quelque chose là-bas ?

— Je ne sais pas. Possible. Il a peut-être caché un indice dans le livre, ou quelque part dans la maison.

Sa théorie semblait assez tirée par les cheveux, mais après tout, c'était la seule piste que nous avions.

— Ça se tente. On n'a pas mieux tant qu'il ne parle pas.

Je m'assis en tailleur face à lui. Il reprit ses caresses sur mon genou deux secondes plus tard.

— Tu sais, commençai-je prudemment, il faut sérieusement se préparer à la suite quand Jimin sera transportable. On ne pourra pas cacher sa convalescence bien longtemps. Park va l'apprendre.

Son doigt s'immobilisa.

— Impossible que monsieur Park ait infligé cela à Jimin.

— Qui que ce soit, la personne qui l'a mis dans cet état ne se risquera pas à ce qu'il parle. Quand il s'en apercevra, il voudra le faire taire. Peut-être de façon plus violente et définitive que de l'empoisonner à petit feu. Ils ne le laisseront pas s'en sortir. On doit songer à l'extraire de là.

— Et comment va-t-on s'y prendre ?

— J'y travaille. Mais en aucun cas, tu ne dois y être mêlé. S'ils se rendent compte que tu es derrière tout ça, ils t'élimineront aussi. Le plus simple serait de leur faire croire à un décès.

— Je vois. S'ils l'estiment mort, ils ne le chercheront pas. Encore mieux, ils penseront que leur plan est un succès et ne se méfieront pas. En plus de Jimin, nous nous protégerons nous-mêmes.

— Exactement.

— C'est donc à cela que tu passais ton temps ? Préparer la suite du sauvetage ?

— Entre autres, oui. Jin a confectionné de quoi simuler un arrêt cardiaque. Ne t'inquiète pas, c'est sans danger. La substance ralentira juste son cœur pour y faire croire. L'infirmier à son chevet a trafiqué régulièrement son dossier médical pour aller dans ce sens. Ils penseront que leur drogue en est la cause. Ça fait partie des effets possibles de cette merde.

— Et une fois sorti ?

— Nous le cacherons chez quelqu'un de confiance, en mesure de continuer ses soins.

— Ici ? Ou chez ma mère ?

— Trop risqué. Vous êtes tous les deux surveillés. Se faufiler jusqu'ici sans être repéré est une chose. Le faire avec un malade et tout le matos nécessaire en est une autre.

— Où, alors ?

— J'y réfléchis encore.

Kim s'assit à son tour, adossé à la tête de lit. Le contrejour de la grande arche vitrée faisait ressortir sa silhouette et ses cheveux hirsutes. Il cogitait à toute allure.

— Kim, tu devrais peut-être profiter de voir ta mère pour lui parler de Park.

Il baissa les yeux, tritura le drap du bout des doigts. Elle lui avait menti elle aussi. Je ne pouvais qu'imaginer la trahison qu'il devait ressentir et toutes les questions traverser son esprit.

— Tu viendrais avec moi ? lâcha-t-il alors que je me relevai.

Sa demande me figea. Je me retournai lentement vers lui, pas sûr de comprendre.

— Pourquoi ?

— Je...

Je quittai finalement le lit et commençai à m'habiller.

— Que les choses soient claires, soupirai-je, en enfilant les manches de mon pull. On n'est pas en couple.

Quand ma tête sortit de l'encolure, je vis une moue bougonne sur son visage.

— Je n'énonçai pas cela dans ce sens-là.

— Très bien. Alors pourquoi ?

— Pour me soutenir ? Comme un ami ?

— Le gamin ou Rosé ne seraient pas plus adaptés pour ça ?

— Laisse tomber, souffla-t-il debout à son tour.

Vêtu uniquement de son boxer, il me contourna pour ouvrir son armoire. Je préférais ne pas m'étendre sur ce terrain glissant. J'attrapai mon téléphone tombé de ma poche pendant nos ébats et m'apprêtai à descendre quand sa voix m'interpella.

— Nous sommes quoi l'un pour l'autre ?

Je fronçai les sourcils, réfléchis quelques instants avant d'affirmer :

— Tu es mon client.

Ma réponse lui arracha un rire amer.

— Ton client... Oui, tu as raison, je te paye pour un service.

Son ton cynique n'augurait rien de bon.

— Et tout en fait partie ? ajouta-t-il dans un geste qui englobait la pièce et plus particulièrement le lit, puis son corps.

— Kim, grinçai-je des dents comme un avertissement.

— Du coup, ça fait quoi de toi ? Ma pute ?

Je serrai de toutes mes forces ma main sur la rambarde. Ce choix de mot était volontaire. Loin d'être idiot, il avait compris les sévices infligés par mon père. Kim ne parlait de façon vulgaire que profondément en colère ou blessé, et au vu de la nuit que je lui avais fait passer, il en avait le droit. Je pris donc au maximum sur moi pour calmer la rage grandissante dans mes entrailles et ajoutai :

— Tu as raison. C'était une erreur, on n'aurait pas dû déraper. Ce n'était pas professionnel.

Sans attendre une riposte de sa part, je dévalai les marches, attrapai mes affaires et me chaussai.

— Où vas-tu ? cria-t-il depuis la balustrade de la mezzanine

— Faire ce pour quoi tu me payes.

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Bonjour tout le monde. 🙈Bon... un pas en avant pour deux en arrière.

J'espère avoir réussi à retransmettre le trouble de Sun et son malaise dans ce chapitre. N'hésitez pas si vous avez des doutes à me poser des questions. Tout commentaire est bon à prendre pour améliorer mon récit. La mission avance, des pistes se mettent en place.

La suite du plan la semaine prochaine. D'ici là, prenez soin de vous.

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