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Chapitre 29

Je continuais de courir tous les matins pendant une semaine après la dispute que j'avais eu avec Nick, que je n'avais pas revu depuis. En rentrant, j'avais prétexté une chute sur les mains pour expliquer les bandages, que j'avais retiré immédiatement avant de franchir le seuil de la porte, et personne ne soupçonnait un énième mensonge. Le samedi suivant, nous avions assisté à la finale du championnat de cross de Lindsay, et nous avions tous sauté de joie quand la fin du match fut marquée par la victoire de l'équipe de ma meilleure amie. Nous avions ensuite fêté ça au « Edinburgh's seat » -le bar où mes amis m'avaient amené à mon arrivée en ville- ainsi que le début des vacances d'hiver.

J'allais enfin me reposer pendant 10 jours... Enfin si on pouvait appeler une mission avec le cercle comme du repos. Ed m'avait contacté pour m'annoncer que nous partions pour la capitale anglaise demain et j'hésitais encore entre un pull ou un gilet devant mon sac de voyage. Bien sûr, j'avais dû me justifier auprès d'Alice sur mon départ pendant deux jours et la seule excuse qui m'était venue à l'esprit était un week-end avec Will, ce qui m'avait valu un regard de travers de sa part ainsi que d'Alex. Logan, lui, savait que je partais pour Londres et donc n'avait pas pu s'empêcher d'essayer de me dissuader de partir, en vain. Je voulais savoir ce que Michael complotait et il était impossible de m'en dissuader. Je repensais souvent à mon moment d'égarement, quand j'étais dans la salle d'entrainement, et je ne comprenais toujours pas comment j'avais pu être aussi idiote d'avoir eut ne serait-ce que la pensée de vouloir me rendre à Michael. Quelle imbécile je faisais !

J'enlevais délicatement les bandes qui recouvraient mes mains et découvrais avec joie que mes plaies autrefois ouvertes s'étaient refermées. En effet, Alice avait tenu à me refaire un bandage, ignorant totalement que Nick avait tenté de le faire auparavant. Je retrouvais donc une totale mobilité dans mes mouvements. Je refermais ensuite la porte d'entrée et montais dans le van noir du cercle, garé devant chez moi pour rejoindre l'aéroport d'Édimbourg. Tout le monde, y comprit Lauren, était présent à l'intérieur. Je n'osais même pas croiser le regard insistant de Nick sur moi, pour cause, il ne voulait pas que je sois ici.

J'entrais désormais à l'intérieur du merveilleux jet et m'asseyais comme à mon habitude près du hublot avant que quelqu'un ne me vole la place. Exceptionnellement, Ed nous accompagnait dans cette mission, sûrement parce qu'il avait autant envie que moi de connaître les projets funestes de Michael... Enfin...pas le temps de s'interroger plus que je sentis une présence joyeuse à côté de moi. Lauren.

— Bonjour Greer, dit-elle toute excitée.

— Bonjour aussi Lauren. Tu vas bien ?

— Parfaitement bien et toi ? me demande-t-elle en m'adressant son plus beau sourire, et, rien qu'à cela je compris pourquoi Nick sortait avec elle : elle était tout simplement magnifique.

— Bien aussi.

Je la regardais attentivement et constatais que tout chez elle respirait la joie de vivre et la gentillesse. J'étais vraiment contente qu'elle et Nick s'aiment même si je ne pouvais m'empêcher de ressentir un léger pincement au coeur à chaque fois que je les voyais ensemble. Une question sur leur relation me brûlait les lèvres.

— Je peux te poser une question Lauren ? demandais-je timidement.

— Bien sûr, je t'écoute.

— Comment toi et Nick vous êtes-vous rencontrés ?

Elle me sourit avant de réfléchir comme si elle cherchait ses mots pour pouvoir s'exprimer clairement.

— Nous étions au lycée ensemble. Très vite nous nous sommes rapprochés et il m'a avoué ses sentiments, dit-elle et à ses mots je ne pouvais que rire : Nick qui avouait ses sentiments à une fille, je crois qu'il préfèrerait cent fois se battre contre mile hommes plutôt que de faire ça, il devait beaucoup l'aimer.

— Qu'est-ce qui te fais rire ? demande-t-elle.

— Rien, rien.

— Un jour, il m'a parlé du cercle et de son don lui permettant de voir les fantômes. Au début, je n'y croyais pas mais comme je voyais qu'il ne plaisantait pas, j'ai commencé à le croire et c'est à partir de ce jour-là que nous sommes sortis ensemble. Quand nous avons finis le lycée, j'ai dû aller faire mes études dans la plus prestigieuse université de Londres alors que Nick voulait rester ici pour se consacrer pleinement au cercle. Nous avons donc décidé de rompre...

— Je suis désolée Lauren, soufflais-je en prenant sa main dans la mienne.

— Ne t'en fais pas, m'avoua-t-elle avec un sourire conquérant. Quand je suis revenu à Edimbourg pour vous informer de ma découverte, nous avons parlé toutes la soirée. Il avait l'air abattu ce soir-là... Il se faisait tard alors je suis allée me coucher pendant que Nick est sorti pour se balader dans les rues. D'ailleurs je n'ai jamais compris ce qui le pousse à sortir en pleine nuit dans les rues sombres...

— C'est qu'il préfère les rues calmes et sombres, dis-je sans réfléchir, ressortant machinalement les paroles de Nick.

— Si tu le dis... Enfin le fait est qu'il m'a demandé si je voulais ressortir avec lui le lendemain matin...

C'était tout de même bizarre, je me demandais si sa demande pour que Lauren ressorte avec lui ne soit liée au fait qu'il nous ait vu moi et Will dans le parc ce même soir. Peut-être était-ce parce que j'avais annulé notre séance d'entraînement au dernier moment. Malgré cet élément troublant, je souriais à Lauren comme si rien ne me gênais. Elle en semblais ravie. Puis elle me laissa de nouveau seule. Je crois que je commençais à apprécier Lauren : elle était gentille, avenante et toujours de bonne humeur.

Une heure et quinze minutes plus tard, nous arrivions enfin à Londres. J'avais toujours voulu visiter cette ville et maintenant que j'y mettais un pied, j'avais du mal à contenir mon émerveillement devant les fameux bus rouge à deux étages et les quartiers chics peuplés d'habitations blanches immaculées. Après avoir atterris à l'aéroport d'Heathrow, nous étions montés dans un autre van noire pouvant accueillir tout le monde. Nous nous sommes ensuite mis en route vers l'université de Lauren. Quinze minutes suivirent avant que nous arrivions enfin devant le magnifique domaine universitaire de Royal Holloway.

L'établissement ressemblait véritablement à un immense château, avec une imposante tour munie d'une horloge à l'entrée du bâtiment - celui-ci formant un huit- ainsi que d'innombrables cheminées sur les toits et des tours encadrant à merveille les quatre coins du palais aux murs orangés. Devant ma mine ébahie, Lauren me prit par le coude pour que j'avance jusqu'à l'entrée. Nous étions à présent sous la première tour-horloge encadrée par deux longs couloirs. En face de nous se trouvait un immense jardin à la pelouse impeccable, traversé par une sorte de bâtiment horizontal orné d'un clocher reliant parfaitement les deux extrémités opposées du château. J'imaginais facilement que de l'autre côté du clocher existait le même jardin accompagné de la même horloge, telle une symétrie parfaite.

— Tu n'as jamais vu ça pas vrai ? me demanda Lauren, visiblement amusée.

— Non mais c'est magnifique ! Comment fais-tu pour ne pas t'émerveiller à chaque fois que tu te retrouves devant un tel chef d'oeuvre ?

— J'ai l'habitude tu sais... On prend vite goût à la vie de château quand on le voit tous les jours.

— Dis donc Lauren, tu ne nous as jamais dis que tes parents étaient assez riches pour pouvoir t'envoyer dans une école comme celle-là, lança admirativement Cam, le yeux rivés sur le plafond en pierres sculptées, ce qui fit soupirer la petite-amie de Nick, qui lui, ne disait rien.

— Je sais, l'établissement peut paraitre exclusivement pour les élèves d'origine aisées mais les études ici ne sont pas plus chères qu'ailleurs. En plus il ont un très bon programme de psychologie ! Venez je vais vous faire visiter !

Nous suivîmes Lauren à travers tout le campus. Elle était tellement heureuse de nous faire partager son univers que personne n'osait la déranger dans ses explications sur l'histoire de cette université. D'après Lauren, Royal Holloway était une fusion du Bedford College et, du Royal Holloway College depuis 1885 qui était à cette époque une école d'étude supérieur exclusivement destiné aux femmes. Lauren nous expliqua aussi que la devise de l'établissement était : « Esse quam videri » qui voulait dire « Être plutôt que de paraître ». Personnellement j'adorais cette citation. Nous traversions ensuite les jardins pour atteindre les dortoirs. Lauren nous conduisit jusqu'à sa chambre en nous expliquant que sa colocataire était rentrée chez elle pour les vacances et donc, que nous pourrions élaborer un plan sans être gênés. Je m'assis donc sur le lit de la colocataire de Lauren pendant que Mary et la propriétaire de la pièce s'asseyaient sur le second qui appartenait à cette dernière. Cam décida de s'assoir sur la chaise de bureau tournante alors que Nick s'adossa nonchalamment contre la porte de la chambre. Ed, lui, s'appuya contre le bureau en bois à côté de Cam tandis que Jacob vint me rejoindre sur le lit. Tout le monde arborait maintenant un air sérieux et je devais avouer que cela montrait bien que le tourisme était bel fini.

— Lauren, il faudrait que tu nous indique précisément ceux qui t'ont questionné sur le cercle, dit Nick.

— D'accord.

— Nous irons les voir ce soir, annonça Ed. Pendant que tout le monde dormira.

— Je pense que l'on pourrait les emmener au sous-sol, ajouta Lauren. Je connais une entrée secrète et personne ne pourra nous voir ni nous entendre.

— Parfait. Jacob tu t'occuperas de déconnecter les caméras de surveillance depuis une salle de classe -l'endroit le moins fréquenté du campus après dix-sept heures-, annonça de nouveau Ed, ce qui lui valut un hochement de tête de la part de son fils. Nick et Cam, vous irez faire le tour du campus pour repérer d'éventuels ennemis ou sorties discrètes. Mary, Lauren te montrera les hommes de Michael, vous les suivrez et me rapporterez tous leurs faits et gestes.

— Très bien.

— Toi, Greer, tu resteras ici jusqu'à ce qu'on se rejoignent tous. Je vous veut rentrés à la chambre pour vingt-deux heures, d'accord ?

Tout le monde opina du chef tandis que je ne me remettais toujours pas de ce que venait de dire Ed. Il voulait que je reste dans cette chambre, seule, jusqu'à leur retour. N'importe quoi ! Nick et Cam partirent en premier, très vite suivis de Mary et Lauren. Jacob s'en alla vers dix-sept heures en direction d'une salle de cours. Il ne restait plus que moi et Ed dans la pièce, et je n'arrêtais pas de lui envoyer des regards inquisiteurs.

— Pourquoi me regardes -tu comme ça Greer ?

— Je n'arrive pas à comprendre pourquoi les autres ont une mission bien précise alors que moi je dois simplement rester cloitrée dans cette fichue chambre toute la soirée, dis-je avec un ton calme mais renfrogné.

— Tu es moins expérimentée que les autres...

— Ça n'empêche rien ! Au contraire, je pourrais apprendre sur le terrain, m'énervais-je. Je croyais que tu voulais que je participe aux missions Ed...

— Peut-être mais de toute façon il n'y a rien d'autre que tu puisses faire qui n'est déjà fait, dit-il, toujours digne, en ouvrant la porte.

— Où vas-tu ?

— J'ai des choses à faire !

Puis il ferma la porte. Des choses à faire. Bien sûr...et moi je suis la reine d'Angleterre ! Franchement, il y a des fois où je crois que tout le monde me prend pour un bébé... J'était enfin seule. Si je n'avais rien à faire, autant en profiter pour visiter le campus. Je me dirigeais vers mon sac de voyage que j'avais posé au sol quelques minutes plus tôt et décidais de mettre des vêtement un peu plus « passe-partout » qu'une tenue intégralement noire. Je détachais ensuite mes cheveux et j'étais prête. J'ouvris la porte discrètement et me glissais dans le couloir. Personne à part des élèves plus âgés que moi. Parfait.

Je marchais jusqu'à la tour-horloge et sortis du château, là où j'avais aperçus d'autres bâtiments plus tôt dans la journée. Un petit chemin en gravier blanc me montra le trajet à suivre pour accéder au reste du campus. Je continuais tranquillement mon ascension, tout en croisant des élèves tous souriants et heureux d'être ici. Je me sentais étrangement bien dans cette université. Tout un tas d'arbres arpentaient les alentours ainsi que quelques bancs qui étaient à disposition de ceux qui voulaient étudier en pleine nature. Régulièrement, des panneaux m'indiquaient les différents bâtiments.

Je passais donc devant le « Windsor Building » avant d'apercevoir, de loin, le « Moore Building » ainsi que le « Williams Building ». Soudain, je distinguais les silhouettes de Nick et Cam qui marchaient dans ma direction, les yeux scrutant les moindres recoins du campus. Zut ! Où allais-je bien pouvoir me cacher ? Rapidement, un panneau vint me sauver la mise et ce que je vis écrit dessus m'enchanta d'autant plus. « BEDFORD LIBRARY ». Je pris à droite comme me l'indiquais le panneau et arrivais bientôt devant un magnifique bâtiment dernier cri en bois avec quelques structures de verre.

Décidément, je crois que je commençais à adorer ce campus. Je m'engouffrais à l'intérieur de la bibliothèque et lisais un panneau sur lequel figuraient les horaires du bâtiment : 9h-19h. Il restait encore deux heures avant que la bibliothèque ne ferme. Je tournais encore la tête en direction de l'extérieur pour voir si les garçons ne m'avaient pas vu et il s'avérait que non. Super ! Au moment où je re-tournais la tête du côté de l'entrée du bâtiment, je rentrais en collision avec quelqu'un. J'entendis le poids de plusieurs livres tomber sur le sol. Je me précipitais immédiatement pour les ramasser.

— Oh, excuses-moi ! Je suis tellement maladroite, dis-je en relevant la tête vers la personne que j'avais bousculé, et la première chose que mes yeux croisèrent fut des iris brunes magnifiques.

— Ce n'est rien. Je veux bien être bousculé par de jolies filles tous les jours, dit l'inconnue avec un sourire aussi beau que ses yeux.

Ses paroles montèrent enfin à mon cerveaux, et aussitôt, mes joues chauffèrent alors que je les imaginais déjà cramoisies. Le jeune homme qui se tenait devant moi avait une chevelure brune comme ses yeux et de belles petites fossettes accompagnant son sourire. Autant le dire : il était très séduisant. Voyant que je ne répondais toujours pas, il repri la parole :

— Tu as perdu ta langue ? C'est dommage.

Je souris bêtement avant de me ressaisir. Ce n'est absolument pas mon genre de rester figée devant un garçon. Allée Greer, un peu de courage, il ne va pas te manger !

— Désolée. Je m'appelle Greer, dis-je en lui tendant la main.

— Ian, glisse-t-il en la serrant. Greer...ce n'est pas commun comme prénom...

— Oui je sais.

— Mais c'est très joli...

— Merci... Oh et tiens, tes livres, m'exclamais en ayant oublié que je les tenais toujours dans mes mains.

— Merci. J'allais retourner dans ma chambre pour lire mais si tu veux je peux te tenir compagnie. Tu es nouvelle ? Je ne t'ai jamais vu à la bibliothèque ?

— Non, je viens seulement rendre visite à une amie, mentis-je. Mais, oui, cela me ferais très plaisir de passer un peu de temps avec toi.

— Génial alors allons-y !

Nous rentrions dans la bibliothèque pendant que mon nouvel ami m'expliquait la répartition des différents niveaux du bâtiment. Au premier niveau se trouvaient des espaces de lecture, des ordinateurs, scanner, journaux et bien sûr, des livres. Au deuxième, cohabitaient les livres de philosophie, psychologie, religion et sociologie ainsi que les photocopieuses, les imprimantes et un café pour les petites faims. Enfin au troisième, sont présents les livres de biométrie, biologie, criminologie, économie, science et vie de la Terre, géographie, histoire, relations internationales, management, mathématiques, physique, science politique et sociologie. Cela faisait beaucoup de matières différentes mais c'est ce qui faisait la richesse de l'université.

Ian et moi allâmes ensuite au café du deuxième étage pour parler. Je lui racontais que j'habitais à Edimbourg, ce qui parut l'intéresser mais ne lui racontait pas la mort de mes parents ni mon intégration au sein du cercle : il m'aurait tout de suite prise pour une folle. Lui de son côté avait un grand frère inscrit justement dans cette université et habitait Bristol -une ville à l'ouest de Londres- quand il n'était pas à l'université. Ian était très gentil et à l'écoute de ce que je lui disais. Je l'aimais bien, même si je réalisais que nous n'allions plus nous revoir. Il était dix-neuf heures quand je jetais un coup d'oeil sur mon portable. La bibliothèque fermait mais cela ne nous empêcha pas de continuer à parler. Nous marchions maintenant sur la pelouse parfaitement tondue du jardin de l'établissement. Je regardais souvent autour de nous pour voir si Nick, Cam, Mary, Lauren ou Ed ne soit prêt de nous pour gâcher ce bon moment.

— Je vais aller déposer mes livres dans ma chambre, si tu veux on peut aller manger un morceau au restaurant du campus après ? me proposa Ian.

— Avec plaisir. Je t'attends ici.

Après avoir mangé au restaurant étudiant -que Ian avait d'ailleurs payé pour moi- il me raccompagna jusqu'à la chambre de Lauren.

— J'ai passé une très bonne soirée Ian. Merci beaucoup.

— De rien. Je dois dire que tu es d'une très bonne compagnie, avoua-t-il en se rapprochant légèrement de moi.

Son visage s'approchait progressivement du mien, et, avant que je ne comprenne quoi-que-ce-soit, Ian m'embrassa. J'étais tellement surprise par son geste que je mis un certain temps à me rendre compte de se qu'il venait de faire. Je le repoussait et voyais que son visage arborait un immense sourire. Il se pencha ensuite de sorte que sa bouche soit à la hauteur de mon oreille.

— Adieu Greer, murmura-t-il, son souffle chaud me caressant la nuque.

Puis il s'en alla, les mains dans les poches de son jean et un air sûr de lui ne quittant pas ses traits. Je rentrais quelques peu perplexe dans la chambre et m'allongeais sur le lit de Lauren. Vingt-et-une heure trente-cinq : personne n'était encore rentré. Je décidais donc de remettre une tenue adéquate pour la mission -c'est-à-dire le total look noir- et attendais patiemment le retour du cercle et de Lauren.

Vingt-deux heures. Ed et Jacob étaient revenus mais il manquait encore Nick, Cam, Lauren et Mary. Soudain quelqu'un frappa à la porte. Ed s'empressa d'ouvrir, ce qui nous permis de découvrir Mary, complètement essoufflée, devant se tenir au chambranle de la porte pour ne pas s'écraser par terre.

— Grâce à Lauren... On a retrouvé les hommes de... Michael et... Et on les a enfermé dans la pièce secrète... Ils vous attendent, balbutia-t-elle entre plusieurs souffles.

Nous la suivirent tous les trois jusqu'à un couloir en pierre totalement désert. Après avoir prit à droite et poussé une lourde armoire en bois appuyée contre le mur, nous arrivions jusqu'à nos trois acolytes restant. Derrière eux, se trouvaient deux chaises retenant les deux hommes de Michael grâce à des cordes. Lauren se décala sur sa gauche, me permettant ainsi de voir le premier de nos deux ennemis. Il était brun et possédait des yeux marrons. Quand mon regard bleu tomba avec celui de la même couleur du deuxième, mon coeur rata un battement.

— Ian ?!

— Salut Greer ! 



Bonjour tout le monde ! Vous vous en doutiez pour Ian ? Désolée pour l'heure tardive mais j'ai passé toute la journée à écrire ce chapitre pour qu'il soit au mieux. J'espère que ce chapitre vous a plu et je vous invite à voter... À DIMANCHE PROCHAIN POUR LE CHAPITRE 30...

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