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Chapitre 27

Pourquoi Nick est ici ? Il ne m'espionnerais pas quand même, si ? Je le voyais s'en aller. Il se dirigeait vers le coin d'une rue et je ne pourrais bientôt plus le voir. Il fallait que je lui parle, que je lui demande qu'est-ce qu'il faisait là, à nous observer dans le parc ce soir. Je plaçais alors mes mains sur le torse de Will et le poussais doucement. Il s'écarta de moi avec un regard remplit d'incompréhension. Je ne pris pas la peine de lui donner des explications et courus pour quitter le gazon fraîchement tondu du parc et arriver sur le trottoir.

    Aussitôt, je distinguais une ombre -que je pensais être Nick- prendre à droite. Il pleuvait toujours des cordes et il m'étais impossible de courir avec ses talons. Je les enlevais rapidement et courus avec mes chaussures en main. Arrivée au carrefour, je tournais la tête de tous les côtés en espérant voir Nick mais tout ce que je constatais, c'était les trottoirs sinistres de la ville, seulement éclairés par la faible lumière des vieux lampadaires. Il avait disparut.

    Je soupirais, frustrée, et constatais que des frissons avaient fait leur apparition sur mes bras. Je frottais ces derniers à l'aide de mes mains pour me réchauffer et fis demi-tour pour retrouver Will que j'avais  lâchement abandonné dans le parc.

               Quand j'arrivais enfin, Will repliait tristement la nappe du pic-nic, sûrement avec la certitude que je l'avais laissé tomber. Je le rejoignis en marchant.   

               — Will excuses-moi. J'ai cru voir quelqu'un qui nous observait alors je suis allée voir, mais la personne avait disparut, dis-je en espérant qu'il me pardonnerait ma fuite.

               — Non ne t'en fais pas. De toute façon nous devons rentrer, il pleut des cordes.

               Ses paroles me rassuraient même si je voyais bien qu'il était contrarié. Je pris mon sac et ramassais ma veste, que j'avais mise par terre tout à l'heure, pour l'enfiler. Comme moi, elle était trempée mais je n'avait pas d'autre choix. Will prit un parapluie qu'il devait avoir préparé au cas où il pleuvrait, au moins nous n'allions plus recevoir la pluie sur la tête, parce que contrairement à celle de Darwin, la pluie d'Edimbourg est glacée. Nous marchions jusqu'à la maison sans nous adresser la parole.

    Je ne voulais pas terminer notre rendez-vous sur une note négative. J'ouvris la porte et me réfugiais sous à l'intérieur de la maison pendant que Will restait sous son parapluie noir dans une main et le panier dans l'autre. Ses magnifiques cheveux dorés bouclaient sur son front à cause de la pluie tandis que ses yeux bleus regardaient ses pieds sûrement pour ne pas affronter mon regard.

               — Will... Pardonnes-moi. Je n'aurais jamais dû partir comme cela. Je ne sais pas ce qu'il m'a prit. Je suis désolée mais j'ai vu...

               — Quelqu'un nous observer, oui je sais Greer. Tu n'as pas besoin de te justifier, dit-il en relevant la tête mais cette fois c'était à mon tour de ne pas pouvoir le regarder en face tellement j'étais honteuse de mon comportement.

                Il posa le panier sur le sol mouillé et prit mon menton entre ses doigts fins pour que je croise ses iris azures.

                — Par contre je ne savais pas que j'embrassais si mal, plaisanta-t-il avec un sourire qui me fit fondre.

                — Arrêtes de dire n'importe quoi...

                Sans réfléchir une seconde de plus, je pressais mes lèvres contre les siennes et lui fit oublier ses précédentes paroles avec un baiser qu'il me rendit sans attente. Nous nous écartions alors qu'un sourire narquois se dessinait sur ses lèvres.

                — Je savais qu'avec cette phrase j'aurais droit à un baiser de ta part, rit-il.

                — Quoi ?! Profiteur, m'écriai-je, faussement énervée en lui donnant une tape sur l'épaule.

                — Allé, fais-moi un bisous, me taquina-t-il en avançant ses lèvres vers moi.

               — Dans tes rêves, dis-je en lui fermant la porte au nez.

                Je me tournais vers les escaliers pour rejoindre ma chambre quand je m'aperçus d'une chose que j'avais oublié de dire à Will. Rapidement, j'ouvris la porte et fus heureuse de constater qu'il n'avait atteint que le trottoir.

               — Au fait Will, soufflais-je alors qu'il se retournait vers moi, la soirée était géniale. Et dis à ta mère que le repas était délicieux...

                Il rit à mes paroles, je donnerais tout pour voir éternellement ce sourire devant moi. Je refermais doucement la porte d'entrée et cette fois-ci me dirigeais vraiment vers ma chambre en montant soigneusement l'escalier pour ne pas réveiller toute la maison, seulement éclairée par le clair de lune. J'appuyais sur la poignée de la porte de ma chambre et allumais la lumière. J'étouffais un cri de surprise car en face de moi, Alex était assis, les bras croisés, sur ma chaise de bureau orientée vers l'entrée de ma chambre pour l'occasion.

              — Minuit quarante-huit jeune fille ! Ce Will n'est pas très à cheval sur les horaires dis donc, en plus vous avez cours dans quelques heures, débite mon meilleur ami sur un ton sévère et le visage grave.

              Nous éclatâmes soudain d'un rire interminable devant sa bêtise. Il me fera décidément toujours autant rire celui-là. Nous étions littéralement pliés en deux pendant que j'essuyais une larme de mon oeil tellement j'avais ri. Je déposais mon sac sur mon lit et mes escarpins au sol.

               — Alex, ne me dit pas que tu es resté éveillé depuis que je suis partie ?

               — Non bien sûr que non...je me suis réveillé quand j'ai entendu tes pas d'éléphant dans l'escalier, dit-il, un rictus fier étirant son visage.

               — Très marrant, grimaçais-je.

               — Je sais. Alors, comment s'est passé ton rendez-vous ? Est-ce que je dois aller lui régler son compte ou l'inviter à la maison ?

               — C'était magique.

               Je m'asseyais sur mon lit en lui racontant toute la soirée en prenant bien soin d'éviter le sujet de la visite surprise de Nick, et en prétextant simplement qu'il pleuvait trop pour rester.

               — Ça explique pourquoi tu es trempée. Je suis content pour toi Greer si ton rendez-vous s'est bien passé. Je vais te laisser dormir maintenant, me lance-t-il en m'embrassant le haut du crâne avant de sortir. Bonne nuit !

             

                C'est vrai que j'étais fatiguée, surtout que j'avais cours et que je devais encore me doucher pour éliminer l'eau de pluie et me sécher avant de dormir. Je me dirigeais alors vers la salle de bain et en ressortis propre, en pyjama et les cheveux encore légèrement mouillés quelques minutes plus tard. Je me glissais sous les couvertures totalement éreintée et fermais les yeux.

  

                Je jetais un énième coup d'oeil à l'horloge de notre cours d'histoire et constatait qu'il ne restait que cinq minutes avant que la sonnerie ne retentisse. Ce n'était pas que je détestais l'histoire mais je devais absolument parler à Ed : trop de questions sur Michael me trottaient en tête pour que je me concentre sur la déclaration d'Arbroath* qui énonçait l'indépendance de l'Écosse. La cloche sonna encore lorsque je me ruais littéralement vers la sortie. J'étais désormais dans les couloirs quand une voix beaucoup trop familière à mon goût -et que je n'aimerais plus jamais croiser- m'interpella.

               — Mademoiselle Marshall ! Attendez !

               Je me retournais et affichais le sourire le plus faux que j'avais en réserve. Je ne pouvais plus voir la directrice en peinture depuis que je savais que son mari travaillait pour Michael et qu'elle voulais que j'aille en pension psychiatrique.

               — Oui Mrs. Clarkson. Que puis-je faire pour vous ?

               — Et bien je voudrais savoir si vous n'aviez pas de problème au niveau de l'apprentissage et si tout ce passait bien dans votre famille d'accueil, dit-elle avec une assurance et un calme olympien.

               — Oui ne vous inquiétez pas, tout va pour le mieux.

                J'allais à présent partir sous son regard attentif lorsque que je me souvenais qu'Alex devait intégrer Welce Hill au plus tôt.

               — Mrs. Clarkson ?

               — Oui ?

               — Mon meilleur ami Alex, de Darwin, vient d'arriver en ville et je me demandais s'il pouvait étudier à Welce Hill jusqu'à la fin de l'année dans le cadre d'un échange scolaire ? dis-je enchantée en attendant sa réaction.

               — Oh...et bien je ne vois aucune objection à cela. Je serais, au contraire, ravie d'accueillir un nouvel élève. Je contacterais son lycée à Darwin pour avoir son dossier.

               — Merci. Sa mère en serra très heureuse. Au revoir.

               Et ce fut sur ces paroles que je quittais la directrice pour rejoindre Lindsay dans le bus. Elle était comme d'habitude, toujours rayonnante avec ses cheveux bruns bouclés et ses yeux noisettes.

               — Greer ! Je participe à la finale d'un championnat de cross, ça me ferais très plaisir que tu viennes y assister. Tu veux bien ? me proposa-t-elle, toute excitée par l'événement mais inquiète de ma réponse.

               — Bien sûr Lindsay, je viendrais. Quand est-ce ?

               — Samedi. Je suis contente que tu veuilles bien venir. Tu es vraiment une super amie, crie-t-elle en me serrant fort dans dans ses bras.

                — Attends ne me dit pas que c'était un test ? dis-je en me dé-serrant de son emprise avec un sourire joueur.

                — Et bien... On s'en fiche, ta réponse est positive donc tu as réussi le test.

                — Encore heureux ! 

                Elle éclata de rire au moment où le bus s'arrêta pour nous déposer à notre arrêt. Logan ne tarda pas à me rejoindre. Nous marchions en direction de la maison et je pris soin de vérifier qu'il n'y avait personne de susceptible d'entendre notre conversation.

                — Logan, j'ai besoin de parler à Ed, je vais au Q.G, je peux compter sur toi ?

                — Oui, ne t'inquiètes pas. Je dirais à Alice que tu es chez Lindsay, soupira-t-il avec ennuie.

                — Quand est-ce que tu crois qu'Alice remarquera que nous mentons ? demandais-je.

                — Quand on aura utilisé Lindsay comme excuse au moins une centaine de fois...

                — Ouais. Bon j'y vais. Je ne rentrerais pas trop tard. A plus Logan, m'écrias-je quand une certaine distance s'était installée entre nous.

                — Fais attention à toi Greer !

                Logan avait l'air angoissé de me laisser rejoindre le Q.G. seule depuis que les hommes de Michael nous avait poursuivis dans les rues, mais on allait dire que c'était les risques du métier. Bien sûr, maintenant je faisais plus attention et la preuve, il ne m'étais rien arrivé. Vingt minutes plus tard, j'arrivais devant le bâtiment du cercle. J'allais appuyer ma main sur la poignée de la porte d'entrée, quand, quelqu'un de l'autre côté de celle-ci me devança. J'étais contente de constater que c'était Ed.

                

              — Tiens, bonjour Greer ! Tu viens prendre des nouvelles de Cam ? Il va mieux, s'empresse-t-il de me dire.

              — Euh... Oui mais à vrai dire Ed, je suis venu te parler.

              — Et bien vas-y, je t'écoutes.

              — On peut discuter en marchant, demandais-je en indiquant la rue même si je sentais à ses sourcils froncés qu'il redoutait ce que j'allais lui demander.

              — C'est à propos de Michael, avouais-je lorsque que nous marchions. Je me suis retrouvée face à lui à Baffin Région et nous avons un peu discuté.

              — Ah oui ?

              Je voyais dans ses yeux de l'interrogation et à la fois de la crainte, mais pourquoi ? Pourquoi Ed craignais autant ce que j'allais lui dire ? Y aurait-il quelque chose que je ne devrais pas savoir ?

              — Il m'a parlé de mes parents et en particulier de ma mère, comme si... comme s'il l'avait... apprécié, dis-je avec difficulté et dégoût. Je lui ai demandé pourquoi il avait tué ma mère s'il semblait être si proche d'elle et il a ri avant de constater que tu ne m'avais rien dit. Qu'est-ce que tu me caches Ed ?

             — Greer... Tu n'aurais rien dû savoir mais... avant que ta mère ne tombe amoureuse de ton père et entre dans le cercle, elle avait rencontré un fantôme avec qui elle était devenu amie. Il venait à sa rencontre au lycée, pendant les cours et chez elle. On pouvait dire qu'elle vivait pratiquement avec lui. Avec le temps, ta mère voyait bien qu'il commençait à éprouver des sentiments pour elle. Puis un jour, le cercle lui à proposé de faire partie du groupe, ce qu'elle a accepté. Evidement, elle ne pouvait plus autant voir le fantôme qu'avant. Elle commençait à le délaisser pour David, un autre membre du cercle, de qui elle était amoureuse. Quand l'entité l'a apprit, elle était furieuse car elle aimait ta mère et qu'elle n'acceptait pas qu'elle en aime un autre. Ce fantôme, c'était Michael. Quelques années après, tes parents t'ont eu et tu étais la plus belle chose qui leur était arrivée. Peu de temps après, Michael à décidé de se venger et à tué ton père puis ta mère après qu'elle t'es abandonnée. C'est pour cela qu'il hait les membres du cercle : parce que ta mère en aimait un et surtout que nous faisons disparaitre les esprits. Il a essayé de te retrouver mais tes parents adoptifs ont déménagés en Australie en t'emmenant avec eux.

             J'étais sans voix face à son monologue. Michael avait aimé ma mère et les avaient tué, elle et mon père, parce qu'ils s'aimaient. Cela confirmait encore plus ce que je pensais de lui, c'était un monstre et un égoïste. Quelques larmes voulaient s'échapper de mes yeux mais avec du temps et un peu de pratique, je réussissais maintenant à les contrôler.

             — Mais pourquoi ne m'a-t-il pas tué lorsqu'il en avait l'occasion puisqu'il me déteste  autant ? demandais-je.

             — Parce qu'il veut te faire souffrir autant mentalement que physiquement avant de te tuer et tant qu'il n'aura pas réussi, il t'épargnera.    

             — Ed, comment connais-tu toute cette histoire ?   

             — Je la connais parce que ta mère m'a raconté sa vie avant d'entrer dans le cercle pour que je puisse te la transmettre, et Michael aussi. C'est aussi pour cela qu'il m'a épargné, parce que je devais te la conter. Maintenant, je ne lui suis plus d'aucune utilité et je dois faire plus attention pour ma vie et pour celle de mon fils, m'annonça l'ami de mes parents, la gorge visiblement nouée. Promets-moi, Greer, que s'il m'arrivait quelque chose, tu prendrais soin de Jacob. Michael à tué ma femme pour m'atteindre en attendant de me tuer et il fera sûrement de même pour Jacob avec moi...

              — Je te le promets Ed. Je veillerais sur Jacob comme si c'était ma propre vie, mais tu ne crois pas qu'il devrait savoir se battre pour qu'il puisse se protéger seul en cas de problème ? dis-je en pinçant les lèvres, espérant une réponse positive de sa part.

             

             Il réfléchit puis soupira avant de répondre :

              — Oui... Tu as raison. Il doit savoir se battre. Je ne serais pas toujours là pour le protéger...

             J'étais soulagée et en même temps désolée pour Ed. Il se confiait à moi comme s'il préparait son testament. Le voyant aussi triste, je le pris dans mes bras. Nous fîmes ensuite le chemin inverse pour rejoindre le Q.G. et nous rentrions à l'intérieur. Nous étions maintenant dans le couloir et la porte de la salle commune était à un mètre devant moi quand Ed m'interrompit.

             — Je pense que tu peux rentrer chez toi Greer, tu devrais te reposer pour mieux t'entrainer demain, dit-il gentiment mais de manière assez soudaine.

             Bizarre. Ed ne voulais visiblement pas que j'entre dans la salle commune. Il devait y avoir quelque chose qui me contrarierais à l'intérieur. Je lui répondis alors naïvement pour entrer et voir la chose que je ne devais pas voir.

              — Non c'est bon Ed. Et puis je vais voir comment va Cam...

            J'ouvris au même moment la porte et je ne fus pas déçue de découvrir « la chose ». Mary, Cam, Jacob et Nick étaient assis sur les deux canapés en face de la télévision, mais quelque chose ou plutôt quelqu'un était debout devant eux. Une fille aux cheveux blond-platine et aux magnifiques yeux chocolats, semblait avoir l'attention de tout le groupe avec ses paroles. Je n'avais pas entendu son discours pendant que je contemplais la scène mais tous les membres du cercle éclatèrent de rire. Elle semblait être très drôle en plus. Ed ferma la porte dernière moi, ce qui fit se retourner tout le monde vers moi. Nick se leva immédiatement, un sourire immense sur le visage, et mit un bras autour de la taille de cette fille aux allures de mannequin pour la rapprocher un peu plus de lui. La fille souriait au moment où Nick la colla contre lui. Il me regardait dans les yeux quand il ouvrit la bouche :

             — Greer, voici Lauren, ma petite-amie !

    Je comprenais mieux maintenant pourquoi Ed ne voulais par que j'entre...



*la déclaration d'Arbroath est une déclaration d'indépendance écossaise, écrite en latin sous le règne de Robert Bruce dans le but de confirmer le statut de l'Écosse en tant que nation indépendante et souveraine. Elle est datée du 6 avril 1320.

Voilà comme promis le chapitre suivant. J'espère qu'il vous aura plu. Si c'est le cas : likez ce chapitre et commentez. Enfin tant que l'histoire vous plait je suis heureuse... À dimanche prochain...

Vous n'êtes pas obligés de lire ce qui va suivre puisqu'il s'agit d'un tag que m'a lancé @isilia03 . Ce tag consiste à vous dire 13 choses sur moi :

1) J'ai lu 15 gros livres en 3 mois.
2) Je déteste et trouve les moustiques écœurants.
3) Ma trilogie préférée est "The Mortal Instrument : Les origines" de Cassandra Clare.
4) J'aurais bien aimé vivre aux 16ème et 17ème siècle.
5) J'aimerai un jour publier au moins une de mes histoires.
6) J'ai deux lapins adorables.
7) J'aime beaucoup les romans historiques et fantastiques.
8) J'ai connu Wattpad en achetant le livre "Phoneplay" de Morgane Bicail.
9) Ma saga préférée ( en film ) est Harry Potter.
10) Je n'ai jamais réussi à regarder un film d'horreur car je suis trop froussarde.
11) La géographie de l'histoire d'Unlocked m'est venue car c'est une ville réputée fantomatique et que j'allais voyager à Edimbourg.
12) Mes fleurs préférées sont les roses.
13) Je vous laisse deviner mon âge...

Voilà, voilà... J'espère que ce tag vous permet de mieux me cerner et qu'il vous a plu. Surtout toi @isilia03 😉

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