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Chapitre 24

Le lendemain, je fus réveillée par les rayons du soleil qui filtraient entre les murs de bois. Tout le monde était réveillés sauf Cam qui dormait encore. Il avait reprit des couleurs depuis la veille, ce qui était bon signe. Je me mis sur mes deux jambes et pliais mon sac de couchage pour ensuite rejoindre mes camarades autour du feu, toujours allumé.

— Bonjour tout le monde ! Bien dormis ? chuchotais-je.

— Oui et toi Greer ? me demanda Mary.

— Oui mais bon on ne peut pas dire que le sol soit le meilleur matelas au monde.

— Une barre de céréales ? me proposa Nick, avec une voix ensommeillée et ses cheveux de jais en bataille.

Il me faisait rire même si je ne lui disais pas pour autant. J'acceptais la barre de céréale qu'il me tendit et la mangeait rapidement. Quelques minutes plus tard, Cam se réveilla mais ne pouvait toujours pas bouger à cause de la douleur dans son épaule. Mary se porta alors volontaire pour lui apporter le petit-déjeuner. Nous n'étions plus que tous les deux, moi et Nick, comme souvent en ce moment. Je n'imaginais même pas la tête que je devais avoir au réveil et vu le sourire en coin de l'autre idiot, mes craintes devaient se confirmer. Je passai mes mains dans mes cheveux pour les remettre en ordre puis sur mon visage pour me réveiller un peu.

— C'est bon ? demandais-je rapidement.

— De quoi ?

— Ma tête.

— Comme d'habitude.

— Espèce d'idiot, dis-je en le tapant à l'épaule, ce qui parut le faire rire.

— Pourquoi tant d'agressivité ? Je suis simplement honnête.

— C'est ça, moques-toi de moi, Mr. Le Moche, dis-je fière de moi alors que c'étais tout à fait faux : il est très beau, même le matin.

— Ah, tu veux jouer à ça !

Je n'eus pas le temps de protester qu'il était déjà debout et s'avançait vers moi, les mains en avant. Il commença à me chatouiller et ç'en était fini de moi. Je riais aux éclats jusqu'à même ce que quelques larmes perlent sur mes joues. J'étais maintenant allongée, le dos sur le sol, en le suppliant d'arrêter cette torture. Je n'arrivais plus à respirer et des crampes firent leur apparition dans mon ventre. Après une dizaine de supplications de ma part, Nick se décida enfin à me laisser tranquille. Je commençais à reprendre une respiration normale au fil des minutes quand je décidais de ne pas m'arrêter là. Il allait me le payer et la vengeance était un plat qui se mangeait froid mon cher Monsieur Pieters...

— Alors ? Toujours aussi moche ? me demanda-t-il, toujours aussi fier de lui.

— Oui.

Je me mis aussitôt à courir vers la porte avant de subir une autre attaque et me cachais contre le mur extérieur du cabanon, derrière la porte. Je rigolais intérieurement tandis que Nick sortait de la cabane, le dos tourné, ne me voyant pas. C'est alors que je lui sautais dessus mais ce que je n'avais pas prévue c'était qu'il m'entraîne avec lui dans la neige. Dans la chute, il s'était retourné de façon à ce que nos visage ne soit qu'à quelques millimètres. Lui sur le dos, moi sur lui et cette proximité inattendu.

Je me mis soudainement à éclater de rire alors qu'il se joignait à moi. Plus les secondes passaient et plus notre rire s'estompait pour laisser place à du sérieux. Son regard faisait l'aller-retour entre mes yeux et mes lèvres tandis que j'étais obnubilée par ses iris claires. Nos lèvres se rapprochaient dangereusement quand je pris conscience de ce qu'il était en train de se passer. Je pris appui sur Nick et me relevais. Je lui tandis ma main pour l'aider à se relever avant qu'il ne la saisisse. Je n'osai plus le regarder dans les yeux et je crois que lui aussi. Nous avions faillis nous embrasser ! Moi et Nick ! Autant faire comme s'il ne s'était rien passé et rentrer dans le cabanon.

— Alors tu t'es vengée Greer, me demanda Mary, un sourire plein d'espoir et de malice sur le visage.

— Euh... Oui...

Je marchais jusqu'à mon sac et fouillais dedans pour trouver mon téléphone. Il affichait 9h45. Le jet n'allait pas tarder à venir nous chercher.

— On devrait se préparer à partir, le jet ne va pas tarder à arriver, informais-je tout le monde.

Cinq minutes plus tard, nous avions tous fait notre sac. Nick avait attaché le bras de Cam en écharpe pour le soulager un peu tandis qu'il portait le sac de ce dernier sur son dos en plus du sien. Le bruit du vent froid dans les hélices du jet nous informèrent de son arrivée. Une fois à l'extérieur, nous nous dirigions vers l'appareil pour ensuite monter à l'intérieur. Je me dirigeais instantanément vers le siège près du hublot comme à l'aller alors que Nick décida de se placer à côté de Cam. Nos actes semblaient bien montrer le malaise qu'il y avait entre nous deux. Je regardais par le hublot jusqu'à ce que je sente une main délicate sur mon épaule. Je me retournais instantanément et constatais que ce n'était que Mary. Je reportais donc automatiquement mon attention vers l'extérieur.

— Qu'est ce qu'il s'est passé tout à l'heure au cabanon Greer ?

— Rien, répondis-je mollement.

— Tu es sûre ?

— Oui Mary je suis sûre, dis-je un peu plus durement que je ne l'aurais voulu.

Elle n'insista pas tandis que je me re-concentrais sur les étendus de neige du Canada. Le jet décolla enfin. Nous voilà repartis pour huit heures trente de vol.

— Greer ! Tu boudes ?

Je reconnaissais parfaitement cette voix et ce n'était pas celle de Mary. Je ne lui répondis pas mais me tournais quand même vers lui. Ces yeux avaient une lueur joueuse tandis que les commissures de ses lèvres étaient étirées en un large sourire. Mon visage restait impassible même si je n'avais pas vraiment envie de lui faire la tête, surtout pour quelque chose qui ne s'était pas passé. J'avais seulement envie de voir comment il allait s'en sortir.

— Allée ! Refais-moi ton joli sourire, ou je vais devoir te chatouiller encore...

Je souris immédiatement à sa réplique tout en le serrant dans mes bras. Cela me faisait un bien fou : j'adorais me sentir en sécurité dans ses bras et sentir son odeur boisée qui m'apaisait autant. Je me détachais doucement de lui pour voir par la suite Mary qui discutait joyeusement avec Cam tout en nous regardant. Ces deux-là complotaient quelque chose, je le sentais. Pendant tout le reste du trajet, moi et Nick parlions de tout et de rien : il me faisait rire et nous nous chamaillions entre deux compliments. J'adorais cette atmosphère.

Huit heures trente après, nous arrivions enfin à l'aéroport d'Edimbourg. Je synchronisais mon portable sur le fuseau horaire local qui m'appris qu'il était désormais 23h30. Et dire qu'il y a à peine deux mois, j'arrivais dans ce même aéroport avec mes parents... Je n'aurais jamais imaginé les événements qui allaient suivre...

Nick me ramena à la réalité pour que nous puissions sortir de l'appareil. Ed nous attendait, posé contre le van noir du cercle. Il sourit instantanément en nous voyant, même si ce fut de courte durée. Quand il remarqua l'épaule de Cam, il se précipita vers lui pour le bombarder de questions. Cette attention m'attendris, Ed se conduisait comme un père pour eux. Il fallait tout de même que je l'interroge sur la réaction de Michael quand je l'avais rencontrer, mais pas en présence des autres, je voulais que cela reste secret.

Nous montions tous dans le van, fatigués après ce long vol. D'ailleurs, je remarquais que Mary et Cam s'étaient endormis l'un sur l'autre, trop mignon. Vingt minutes de trajet plus tard, nous arrivions enfin dans le centre de la ville. J'avais tellement hâte de revoir Alice, et de connaître les détails du rendez-vous de Logan, que je n'arrivais pas à rester en place sur mon siège. Ed qui était au volant me demanda où se situait ma maison. Et, j'arrivais bizarrement à bien me repérer dans cette ville pleine de tournants et d'habitations brunes.

Quand j'arrivais enfin devant la maison d'Alice, jamais cette porte ne m'avait autant paru si belle que maintenant. Je pris mon sac et sortis du véhicule en prenant bien soin de saluer Nick et Ed, qui étaient toujours éveillés. Je me retournais une dernière fois vers le van qui décollait, puis tournais ma clef dans la serrure pour enfin rentrer chez moi. Après avoir enlevé mes chaussures et mon manteau, je montais silencieusement les escaliers pour entrer dans ma chambre. Je troquais mon jean et mon T-Shirt pour mon pyjama constitué d'un short gris et d'un débardeur noir. Je me glissais sous les couvertures et m'endormis rapidement.


Je marche dans un couloir blanc immaculé. Je place mes mains sur chaque parois et constate qu'elles sont en sang. Mes mains sont en sang ! Je commence à courir sous l'effet de la panique mais constate rapidement que c'est un couloir sans fin. Les murs se succèdent et je vois vite que je ne peux pas sortir de ce labyrinthe infernal. Je m'arrête, à bout de souffle, et suis choquée de ce que je vois : du sang coule de mon ventre et de mon épaule droite. J'appuie mes mains sur la plaie au niveau du ventre mais celle-ci saigne abondamment. Je me laisse glisser contre le mur et me vide de mon sang lentement. Je recule et vois mon corps inerte, une marre de sang à ses côtés et mon regard vide...


Je me réveillais en sursaut, et me mis en position assise. Ma respiration était saccadée, je suais à grosse goutte et j'avais horriblement chaud. Je me levais et courais à la salle de bain. Mon reflet dans le miroir reflétait bien ce que je pensais : d'immenses cernes encadraient mes yeux, des gouttes de sueur perlaient sur mon front et ma nuque tandis que mon teint était blanc, et mes cheveux emmêlés. Je m'attachais donc les cheveux en un chignon puis pris une douche tiède pour me rafraichir.

Des images de mon cauchemar me revinrent en tête, et, à chaque fois, ces visions me paniquaient. Et si elles montraient le futur ? Et si j'allais mourir ? Cette possibilité me terrifiais mais, peut-être n'étais-ce juste qu'un cauchemar sans interêt pour me montrer mes plus grandes peurs ? Je sortis de la douche après ces réflexions et mis un autre pyjama pour remplacer l'autre, trempé de sueur. Je rejoignis ma chambre et jetais un coup d'oeil au réveil : une heure du matin. Impossible de me rendormir, j'étais bien trop réveillée pour cela. Je décidais donc de prendre mon ordinateur, posé sur mes genoux, et de m'installer à la fenêtre. Je fis des recherches sur les rêves et les cauchemars prémonitoires -ce qui ne me donna rien de plus que ce que je ne connaissais déjà-, j'écoutais de la musique pour me changer les idées, mais rien n'arrivait à me faire oublier mon cauchemar.

Quand je fermais les yeux parce que je tombais de fatigue, des bribes de ma probable prémonition me revinrent et me firent me réveiller immédiatement. Je fermais alors mon ordinateur et vis un livre posé sur mon bureau. Tiens, cela faisait longtemps que je n'avais pas lu.

Avant de déménager en Écosse, je dévorais les livres en passant parfois ma journée entière à lire... Mais cela à bien changé depuis la mort de mes parents. Je pris donc curieusement le roman intitulé : « Les Hauts de Hurlevent » de Emily Brontë. Alice avait dû le mettre dans ma chambre pour m'occuper l'esprit et c'était exactement ce que je voulais à ce moment précis.

Je lus ce livre pendant toute la nuit et je devais dire que l'histoire d'Heathcliff -le personnage principal- était quelque peu similaire à la mienne : il n'avait plus de parents et se faisait recueillir dans la famille Earnshaw -comme moi dans la vie d'Alice. Rapidement il tomba amoureux de Catherine, la fille Earnshaw mais était malmené par le fils, Hindley, qui le détestait. Quand Catherine se maria à Linton, il décida de se venger de toute la descendance de ces deux familles pour lui avoir gâché la vie. Au fil de l'histoire, Heathcliff prouve son sadisme en tuant et en torturant des animaux, en profanant la tombe de la fille qu'il aimait et en se réjouissant de la mort d'êtres humains. Après s'être vengé, Heathcliff meurt en approuvant finalement le mariage de la fille de Catherine et du fils de Hindley...

Cette histoire était vraiment bien écrite mais très torturée. Quand je tournais la dernière page du livre, mon réveil sonna. Il était 6h30. J'avais réussie à m'occuper l'esprit pendant 5h30. Je me levais, m'habillais et maquillais mes cernes pour une journée de cours habituelle. En descendant, je croisais Alice qui préparait des oeufs brouillés. Après avoir pris mon petit-déjeuner, j'attendais Logan dans l'entrée, et je devais dire que cela faisait du bien de le voir, surtout qu'il affichait un grand sourire tout le long du trajet jusqu'à l'arrêt de bus.

— Alors comment ça s'est passé avec Lindsay ?

— Très bien ! Je l'ai emmené au restaurant et on s'est bien amusés. Je crois qu'elle m'aime bien, ajouta-t-il, un sourire timide au coin des lèvres et le regard dans le vide. Au fait, et toi ? Ta mission ?

— Euh...on n'a pas réussis à avoir de preuves comme quoi Michael à tué mes parents mais je lui ai parlé...

— Et il t'as dis quoi ?

— Laisse-moi finir. Il m'a parlé de ma mère -ce qui m'a énervé- et maintenant, j'ai des questions à poser à Ed. Et, il y a aussi Cam qui s'est fait tirer dessus, dis-je en essayant de parler sur le ton le plus normal possible.

— Il s'est fait tirer dessus ! Greer ! Il va bien ?

— Oui ne t'inquiète pas. Nick lui a désinfecté la plaie et il devra garder le bras en écharpe pendant un moment.

— C'est trop dangereux Greer ! Tu ne devrais pas retourner dans une autre de ces missions, me conseilla-t-il avec un air apeuré sur ce qui pourrait potentiellement m'arriver en mission.

— Je fais attention Logan. Et puis je sens que Michael ne me tuera pas pour l'instant...

— Mais Cam fait partie du cercle depuis beaucoup plus longtemps que toi et pourtant il est blessé. Je n'aimerais pas qu'il t'arrives la même chose, et puis ce Michael à l'air complètement dingue : s'il veut te tuer, il le fera un jour ou l'autre.

— Tu as raison, dis-je d'un ton résigné. Mais de toute façon Michael me retrouva un jour ou l'autre, et si je veux pouvoir le détruire un jour ou l'autre, il faut que je continue à m'entraîner.

Il souffla en signe d'inclinaison tandis que le bus arrivait. Comme d'habitude, je m'assis avec Lindsay pour discuter.

— Ta soirée avec Logan s'est-elle bien passée ?

— C'était génial ! Il m'a emmené au restaurant et après on s'est baladés, c'était vraiment très romantique.

— Je suis contente pour toi, par contre j'en connais une qui va être verte de jalousie.

— Aileen, s'exclama ma meilleure amie avant que nous partîmes dans un fou rire interminable.

Nous commencions la matinée avec un cours d'histoire des arts et autant dire que je n'avais jamais autant baillé dans un cours. Le manque de sommeil se faisait déjà ressentir et je dus lutter pour rester consciente. Je sentais Will me lancer des regards intrigués mais j'étais trop concentré à mettre ma tête dans mes bras pour pouvoir les lui rendre. Vint ensuite le cours d'allemand : pour moi, le tableau était remplit de lettres qui n'avaient rien à faire entre elles, ce qui me provoqua un mal de tête à force d'essayer de me concentrer. La sonnerie annonçant la fin des cours du matin sonna et se fut comme une délivrance pour moi. Je me précipitais vers la sortie quand une main stoppa mon bras. Je découvris mon petit-ami, ses yeux azurs dans les miens et un triste sourire sur les lèvres.

— Qu'est-ce qu'il se passe Will, dis-je en me remettant droite et en effaçant toute trace de fatigue de mes traits.

— Je devrais plutôt te retourner la question. Ça va ? Tu n'a pas l'air dans ton assiette aujourd'hui.

— Je ne vois pas ce qui te fais dire ça, lui dis-je de mon air le plus innocent en marchant jusque dans le couloir. Je vais bien. Je suis juste un peu fatiguée c'est tout, pas besoin d'en faire toute une histoire.

Il me sourit quand même, malgré que je voyais que mes explications ne le convainquait pas. Il me tira contre lui et me serra dans ses bras. Nous restâmes ainsi un petit moment, puis nous allons au réfectoire pour manger. Nos plateaux près, nous nous dirigions vers la table du petit groupe où tout le monde nous attendait, y compris Logan qui était assit à côté de Lindsay. Une fois que nous fûmes assis, Aileen -alias la joie communicative- ne put s'empêcher de parler au plus grand damne de mes oreilles fragiles.

— Comment allez-vous vous habiller pour le bal ? J'ai choisi une magnifique robe longue à bustier rose. Lindsay ? Comment sera ta tenue ?

— Je n'ai pas encore choisi ma robe mais je l'imagine rouge, affirma ma meilleure amie.

— Tu seras superbe, crois-moi. Et toi Greer ?

Je levais soudain la tête, jusque là fascinée par les légumes vapeurs dans mon assiette.

— Euh... Elle est bleu pâle et longue, dis-je en replongeant ma tête dans mon assiette.

Tout le reste de la conversation se porta sur les tenues des garçons et sur la date du bal qui se tiendrait finalement le premier samedi d'avril. Je n'avais même pas fait attention à la tenue que porterait Will, si il décidait de m'inviter. La sonnerie maudite de la reprise des cours sonna tandis que nous nous levions pour rejoindre nos matières respectives. Le reste de l'après-midi se déroula comme la matinée, mais en bien pire : mes yeux me piquaient, si bien que je devais cligner plusieurs fois des paupières pour pouvoir regarder dehors par la fenêtre. Des étourdissements me faisaient presque m'écrouler dans les couloirs et des sueurs froides me parcouraient le dos. J'allais bientôt rentrer chez moi et tout cela serait fini...enfin, si je ne refaisait pas de cauchemar.

Le trajet de retour dans le bus se fis dur pour moi : mes oreilles bourdonnaient dans le brouhaha du bus, mes yeux avaient comme un voile gris qui m'empêchais de voir correctement et l'espace semblait se réduire autour de moi. Lindsay semblait l'avoir remarquer étant donné le regard qu'elle me lançais.

— Greer, ça va ? Tu es toute blanche.

Je lui murmure un « ça va » même si ses yeux ne me quittèrent pas une seconde de vue. Le bus s'arrêta finalement. Je crois que nous étions arrivés à notre arrêt. En tout cas je sortis du bus, n'en pouvant plus de cet endroit. Je manquais de tomber en ratant une marche mais me rattrapais de justesse à la rambarde. Logan me rejoignis et nous commencions à marcher silencieusement. Tout tanguait autour de moi quand je décidais de m'arrêter. Je croyais entendre Logan me demander pourquoi mais ne pris pas la peine de lui répondre. Puis soudain, le noir complet...Bonjour tout le monde. Comme promis le chapitre 24 et j'espère qu'il vous a plu même si j'avoue qu'il n'y a pas beaucoup d'action mais il est simplement transitoire. N'hésitez pas à commenter et à liker. À la semaine prochaine et à dimanche...

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