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Chapitre 18

La journée était passée très rapidement et j'avais pris le chemin du Q.G du cercle à une vitesse qui m'avait étonné après la fin des cours. Une fois là-bas, je trouvais Nick, adossé au mur en regardant sa montre.

    — Greer ! Enfin, j'ai faillis attendre !

    — On va dire que je sais me faire désirer, dis-je, un grand sourire aux lèvres.

    — C'est ça... Et où est ta tenue de combat ?

    — Oh... J'ai complètement oublié de passer chez moi prendre des affaires. Et pourquoi tu souris, demandais-je sérieusement.

    — Suis-moi !

    Je le suivis sans demander de réponse et, après être montés à l'étage et être entrés dans ce qui ressemblait à une chambre, Nick fouilla dans les tiroirs d'une petite commode en bois vieilli. Il en sortit quelques vêtements, bien sûr exclusivement noir. Quel est leur problème avec les couleurs ? Enfin bon... Après qu'il soit sortit, j'enfilais la tenue et je ne pus que comprendre que ces vêtements étaient ceux de Mary, autant dire qu'elle n'allait pas être ravie de cet empreint de ma part. Le haut de la tenue était constitué d'un débardeur noir moulant et le bas d'un jogging de la même couleur. Des baskets traînaient à côté du lit, alors je les pris. Si Mary me voyais avec ses vêtements, la sentence serait la même alors autant en profiter. Lorsque je sortis, Nick me regarda de haut en bas en souriant. Quel idiot !

    Après avoir fait redescendre Nick sur terre, nous nous arrêtâmes devant une porte en bois massif à double battant vraiment impressionnante, ce qui ne collait pas du tout avec l'ambiance délabrée des lieux. Quand Nick poussa la porte, je fus accueillie par une odeur de renfermé et de tapis d'entraînement. C'était une grande salle de combat munie de punching-ball accrochés au plafond, d'espaces de combat entourés de barrières comme des rings de boxe et de canapés accompagnés d'une petite table basse en bois et d'un frigo à côté. Une lumière blanche éclairait la pièce et je compris qu'elle provenait d'une verrière au-dessus de nous.

    J'étais excitée à l'idée de commencer à m'entraîner mais j'espérais de tout coeur que j'arriverais à me défendre, surtout avec Nick comme adversaire. Ce n'allait pas être facile. En baissant le regard, je constatais que ce prétentieux de Nick m'attendait sur un tapis, les poings serrés et prêts à frappés. Je déglutis difficilement mais le rejoignis quand même. Je pouvais le faire, j'avais regardé beaucoup de film où les personnages devaient se battre, après tout il fallait juste arriver à faire pareil. Enfin c'est ce que je croyais...

    Je me positionnais tranquillement et attendais le signal de départ du combat. Sans que je ne m'y attende, Nick m'asséna un coup de poing dans le ventre, ce qui me fis me plier en deux, les mains sur la zone douloureuse. Une fois mes esprits repris, je lui envoyais un coup de pied au niveau des côtes mais ce dernier l'intercepta avant même qu'il n'atteigne son objectif, et la tordit, ce qui m'arracha un cri de surprise au moment où je me retrouvais face contre terre.

    Un accès de colère m'envahis soudainement et je lui envoyais mon poing dans le ventre puis mon genou dans l'entre-jambe et une fois recroquevillé, je lui assénais un coup de coude dans le dos qui le mis à terre. J'étais plutôt satisfaite de mon enchaînement mais ma joie s'envola au moment où il me renversa d'un coup de jambe, ce qui me fit valser au sol. Je le détestais définitivement.

    Il se releva vite comme si mes coups étaient moindres tandis que mon dos me faisait atrocement souffrir mais je me relevais quand même. Aussitôt, je lui envoyais mon poing à la figure mais il m'attrapa le poignet de sa main droite et l'autre avec sa main gauche puis les vrilla en me faisant voltiger pour ensuite m'écraser au sol. Mon corps entier me faisait souffrir mais son sourire en coin me redonna la force de me relever. Il parut surpris mais se remit en position. J'allais frapper mais mes oreilles se mirent à siffler de plus en plus et un mal de crâne m'envahit. Ça recommençait, comme dans le couloir du lycée, à cause du fantôme que je pouvais entendre crier comme la dernière fois. Ma vue commençait à se troubler après que je vis Nick se diriger vers moi. Je portais mes mains à ma tête avec l'espoir que le mal passe, et quand ma vue se stabilisa enfin, je pus remarquer que je m'étais accroupie sans m'en rendre compte. Les cris et les sifflements passèrent juste après cela et mon mal de tête s'estompa, quand je manquais de tomber en me relevant. Heureusement, Nick me tenais fermement la taille pour ne pas que je chute mais je me détachais de lui plus vite que je ne l'aurais pensé. Je pouvais facilement lire l'inquiétude dans ses yeux.

    — Greer ! Ça va ? Qu'est-ce qu'il se passe ?

    — Oui...oui...ça va ! Merci... C'était juste un étourdissement, le rassurais-je même si ça n'avais pas l'air de marcher.

    — Viens, assis-toi ici, dit-il en me conduisant jusqu'au canapé du coin salon -un bras toujours autour de ma taille pour me soutenir.

    — Qu'est-ce que c'était que ça Greer ? Et ne me dit pas que c'est un étourdissement, ajouta t-il quand nous fûmes assis.

    — Ce n'était rien ! Je suis juste fatiguée et tes coups n'ont pas aidé, mais je me sens mieux maintenant, merci.

    — De rien, de toute façon j'ai vu ton niveau et on retravaillera ça la prochaine fois, me rassura-t-il en affichant son éternel sourire mais cette fois-ci compatissant, tandis que j'acquiesçais. Tu ne te bas pas si mal tu sais, continua t-il en rigolant.

    — Merci, toi aussi !

    — C'est normal ! Je suis le meilleur !

    — Tu n'es pas croyable ! On te fait un compliment et tu deviens narcissique !

    On pouffa de rire jusqu'à ce qu'il décide de me raccompagner jusqu'à la chambre de Mary pour que je me change. Cette séance de combat n'avait pas été complètement inutile : j'avais mis à terre Nick au moins une fois et j'avais d'assez bons réflexes.

    Quand je fus prête, je descendis les escaliers et allais me chercher un verre d'eau avant de partir. Je croisais Jacob que je saluais et il .

    — Coucou Jacob !

    — Bonjour Greer ! Alors cette séance d'entrainement avec Nick ?

    — Je crois que je ne me débrouille pas si mal mais je ne suis pas tout à fait prête.

    — Tu pourras peut-être nous accompagner alors ?

    — Pour aller où ?

    — Au Canada, à Baffin Région, tu te souviens ?

    — Oh...euh... Oui, oui, Évidement ! Mais personne ne m'a prévenue. Vous partez quand ?

    — Et bien si personne ne te l'a dit, je ne devrais sans doute pas...

    — Jacob... (j'avais employé mon visage de petite fille suppliante)

    — Bon d'accord, capitula-t-il. Nick, Cam et Mary partent dans deux jours.

    — Dans deux jours ?! Et tu ne pars pas avec eux ?

    — Non. Tu vois, je suis plus du genre accro aux écrans, alors je gère toutes les missions à distance. Et puis...je ne sais pas me battre...

    — Je trouve cela injuste, après tout tu as autant le droit de voyager que les autres et puis ce n'est pas parce que tu ne sais pas te battre qu'il faut te laisser au placard.

    — Ce n'est pas l'avis de tout le monde et encore moins de mon père.

    — Tu fais partie du cercle tout autant que nous, Jacob.

    — Tu as raison, avoua t-il en remontant ses lunettes sur le haut de son nez.

    — Bon, et bien je suis contente de t'avoir vu Jacob, dit bonjour à tout le monde de ma part. Et d'ailleurs où sont-ils ?

    — Ils sont allez acheter du matériel pour le voyage au Canada.

    — Ah d'accord, je dois y aller alors à plus Jacob !

    — Au revoir Greer, dit-il alors que je fermais la porte derrière moi.

    Nick m'avait dis qu'il m'attendrait dans le van pendant j'étais dans le salon. Je le rejoignis donc.

    — Je viens avec vous au Canada, affirmais-je sans lui laisser le temps de parler.

    — Quoi ? Non Greer, tu n'es pas prête !

    — Bien sûr que si ! Je sais un peu me défendre et il vous reste deux jours pour que vous m'appreniez encore des choses. En plus on est jamais assez nombreux et, je sais me faire très discrète...

    — Non ! dit-il les yeux rivés sur la route.

    — Aller ! Nick s'il te plaît, s'il te plaît...

    — Hum... Je vais en parler à Ed, céda-t-il en soupirant.

    — Merci !

    — Mais je doute qu'il accepte, me prévint-il tout de même face à mon excitation.

                     

    J'avais gagné ! Et, à peine avais-je eu le temps de célébrer ma victoire que nous étions arrivés devant chez moi. Je descendis et je m'apprêtais à refermer la portière passager quand Nick s'exclama :

    — Oh et au fait, tu viens de refaire ta petite fille gâtée.

    Il m'avait dit cela avec un immense sourire collé sur le visage -laissant apparaître ses fossettes trop mignonnes. Quoi ? Qu'est-ce que je raconte ?- et sur un ton fier de lui. Je ne pus lui répondre que par une grimace et une phrase incompréhensive avant de refermer la portière.

J'allais passer la porte noire laquée de la maison quand j'entendis la voix d'Alice crier. Alors je collais mon oreille à la porte.

    — Logan...

    Encore lui...

    — Où...est...elle...si...elle...fugué...aides-moi..., disait Alice sur un ton inquiet en implorant Logan.

    — Mais...non...tu connais...Greer...va revenir..., lui disait-il visiblement pour la rassurer -ce qui me choquait moi-même. Quoi ?! Logan ? Rassurer Alice ? Impossible ! Il se moque éperdument de moi ou même d'Alice.

    Je ne pouvais plus en entendre d'avantage. J'ouvris alors la porte, enlevais mes chaussures d'un revers de jambe et fonçais vers ma chambre. Au passage, je pus entendre un petit cri de surprise de la part d'Alice et risquais un regard en leur direction pour justement voir Logan prendre Alice dans ses bras. Je suis sûre qu'il fait cela juste pour pouvoir avoir la permission de sortir ou d'avoir un nouveau jeu vidéo. Cette scène me répugnais au plus haut point alors que j'allais fermer la porte de ma chambre à clé.

    Quelques secondes plus tard, j'entendis quelqu'un essayer d'ouvrir la porte, en vain. Pendant ce temps, je me changeais et optais pour un jogging gris et un débardeur blanc. J'étais exténuée de ma séance d'entraînement avec Nick et d'ailleurs quelques courbatures faisaient déjà leur apparition. Je me jetais mollement sur mon lit et commençais à faire mes devoirs qui avaient attendus toute la soirée. Tout d'un coup, la porte s'ouvrit à la volée et Logan apparu dans l'embrasure. Qu'est-ce qu'il faisait là ? Et surtout comment avait-il fait pour ouvrir la porte ? Je l'avait pourtant fermée.

    — Qu'est-ce que tu veux ? crachai-je en me levant du lit et en fonçant droit sur lui.

    — Je suis venu t'éclaircir les idées, parce que tu ne m'as pas l'air très intelligente !

    — Quoi ?! Et puis comment as-tu fais pour ouvrir la porte ?

    — Tu n'as même pas vu que je tournais la clé de l'extérieur, franchement, ajouta t-il, un rictus moqueur sur les lèvres et les sourcils haussés. Et tu as intérêt à m'écouter si tu ne veux pas que je raconte à Alice ta petite virée nocturne d'hier soir.

                      

    Immédiatement mon air suffisant s'évapora et je courus fermer la porte pour ne pas qu'Alice ne nous entendent. Comment avait-il su pour hier soir ? Vu son air satisfait, il voyait qu'il avait touché dans le mile. Je le détestais infiniment à cette instant.

    — Alors on m'écoute maintenant, ou alors je ferais mieux d'aller dire à Alice qu'un van noir est venue te chercher, ce serait peut-être bien, tu ne croîs pas, chuchota t-il.

    — Qu'est-ce que tu veux ? dis-je en voyant son visage s'illuminer de contentement, sûrement de voir que son chantage marchait à la perfection.

    — Que tu te comportes mieux avec Alice !

    — Depuis quand t'en préoccupes-tu ?

    — Depuis que j'ai dû la ramasser à la petite cuillère pendant que tu t'amusais bien, ou que vu que tu n'étais pas au repas avec nous, tu ne peux pas savoir qu'elle n'en peux plus de toi et que tu l'exaspères. Tu passes ton temps à faire ta capricieuse et à prendre tout le monde de haut, même avec les personnes comme Alice qui t'ont accueillie et qui t'apprécient.

    J'en restais bouche bée. Lui, Logan Miller, voulait aider Alice et ça c'était bien une première. Mais peut-être qu'il n'avait pas tord, pour moi aussi cette dispute commençait à me peser. Et peut-être que pour une fois je devais l'écouter.

    — Bon o.k, finis-je par céder.

    — J'adore avoir affaire avec toi, dit-il en me faisant un clin d'oeil, et, alors qu'il commençait à s'éloigner, je l'arrêtais.

    — Logan ! Pourquoi fais-tu cela ?

    — Parce que j'apprécie Alice. Elle est la famille d'accueil la plus cool que j'ai jamais eu mais toi, tu ne t'en rends pas compte et je trouve que c'est dommage...

    — Combien as-tu eux de famille d'accueil au juste ?

    — A peu près...6, dit-il en comptant sur ses doigts.

    — Et pourquoi t'ont-elles laissé tomber ?

    — Parce que je suis le petit monstre que redoutent toutes les familles d'accueil !

    — Et pourquoi ne fais-tu pas pareil ici ?

    — Parce que j'ai trouvé pire que moi, lâcha t-il en me désignant du doigt.

    Je restais stoïque, face à sa révélation. Il profita de mon absence pour sortir de ma chambre, tout sourire. J'étais si pénible et peste que cela ? Peut-être. Pourtant personne ne m'avait dit ça avant la mort de mes parents ou alors c'était leur mort qui avait tout changé en moi. Les paroles de Logan ne faisaient qu'appuyer les dires de Mary et je voulais que cela change. Je ne veux plus être la fille ingrate qu'ils décrivent tous. Je vais aller m'excuser auprès d'Alice pour tout ce que je lui ai fait ou dit. Elle le mérite. J'ai été horrible avec elle alors qu'elle m'a accueillie ici et qu'elle s'est occupée de moi comme si j'étais sa propre fille.

    Je sortie en trombe de ma chambre et couru vers celle d'Alice. J'ouvris la porte sans frapper et la pris rapidement dans mes bras. Elle parut surprise mais me rendit quand même mon étreinte.

    — Alice je suis désolée pour ce que je t'ai fais subir ! Tu m'as accueillie chez toi et tu t'es très bien occupée de moi. Tu as toujours été là pour moi alors que je te rejetais sans arrêt. Je m'excuse pour l'inquiétude que je t'ai causé et pour la dispute que l'on a eu : tu t'es comportée comme une mère pour moi et je t'en suis énormément reconnaissante. Merci, chuchotais-je à son oreille.

    — Je te pardonne Greer, mais je te comprends en même temps que tu aies perdu ta famille et que la présence de Logan te gênent mais il n'est pas méchant tu verras, alors s'il te plaît, essayes de t'entendre avec lui, je te le demande. Est-ce que tu pourrais faire cela pour moi ?

    — Bien sûr... Et puis je crois que tu as raison, il n'a pas l'air aussi stupide qu'il n'y parait, plaisantais-je en me détachant doucement d'elle.

    — Je suis heureuse de te l'entendre dire ! Je vais aller préparer le diner et peut-être bien que je vais lever ta punition...

    — J'espère mais prends quand même ton temps, dis-je en lui faisant un clin d'oeil alors que nous sortions de la pièce.

    Le diner s'était déroulé dans la joie débordante d'Alice même si je pense que notre discussion y était pour beaucoup. Logan et moi avions raconté notre journée à Alice qui semblait très heureuse que l'on ai à peu près les mêmes amis. Je sortis rapidement de table en prétextant que j'avais beaucoup de devoirs, ce qui, soit dit en passant, était vrai : une dissertation en allemand m'attendait ainsi qu'un devoir de mathématiques.

                

    Allongée sur mon lit à me creuser les méninges pour créer cette maudite dissertation en allemand, je jetais un dernier coup d'oeil à mon réveil qui affichait une heure du matin. Je commençais sérieusement à désespérer. Tout d'un coup, de petites frappes se firent entendre contre ma porte. Qui cela pouvait bien être à une telle heure ? Et je ne fus qu'à moitié surprise de trouver Logan dans l'entrebâillement de la porte.

    — Logan ! Qu'est-ce qui me vaut le plaisir de ta visite, dis-je ironiquement.

    — Qu'est-ce que tu fais ? demanda t-il en regardant par-dessus mon épaule.

    — Ma dissertation d'allemand et pour l'instant il n'y a pas grand chose qui me viens à l'esprit !

    — Attends, lâcha-t-il en quittant la pièce, visiblement pressé avant qu'il ne revienne quelques secondes plus tard, un papier à la main.

    — Qu'est-ce que c'est ?

    — Ma dissertation ! Prends-la je l'ai finie, dit-il en me la tendant.

    — Pourquoi me la donnes-tu ?

    — Rectification : je te la prête pour que tu puisses t'en inspirer et faire les arrangements que tu veux.

    — Merci, fis-je ne la lui prenant des mains. (il se dirigeais maintenant vers la porte quand je l'interpellais : )

    — Au fait, comment as-tu su que j'avais besoin d'aide ?

    — Je n'arrivais pas à dormir alors j'allais descendre pour prendre un verre d'eau quand j'ai vu qu'il y avait de la lumière dans ta chambre. J'ai décidé de voir ce qu'il se passait et j'ai bien fais apparemment.

    — Pourquoi m'aides-tu ? Nous ne sommes pas censés se détester ?

    — Je t'aides parce que je voudrais qu'on reparte sur de nouvelles bases et on ne se déteste pas, ou du moins je ne te déteste pas complètement, plaisanta-t-il.

    — D'accord pour un nouveau départ, et merci encore pour ton devoir, je te le rendrais demain matin sans faute. Bonne nuit Logan.

    — Bonne nuit Greer.

    Puis il repartit en refermant la porte dernière lui. Je finis de copier la feuille de Logan en y apportant quelques modifications pour que le professeur ne se rende pas compte que nous avions presque le même travail avant de fermer les yeux quelques secondes.



J'espère que ce chapitre vous aura plu. Dans ce chapitre j'essaye d'arranger les relations entre Logan et Greer et celle-ci prend conscience de son comportement. Il y aura plus d'action dans le prochain chapitre que je posterais sûrement samedi prochain. N'hésitez pas à commenter, à mettre une petite étoile à ce chapitre si vous l'avez aimé et à ajouter cette histoire dans votre liste de lecture... À la prochaine.

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